Les « premiers de la classe » seront-ils châtiés ????


L’aventure des « Bleus » égarés dans un Mondial auquel ils n’étaient pas destinés, aventure qu’il nous faudra vite oublier, aura permis de mettre en évidence des réalités  que le bon sens populaire avait, dans un reflexe de « populisme » sain, depuis longtemps identifiées, mais que le silence imposé par les polices de la pensée qui veillent à ce qu’elles soient occultées, ne permettait pas de mettre en lumière.

La complaisance dont bénéficie la dérive des moeurs importées dans notre pays, la prosternation devant de fausses idôles et les fausses valeurs qu’elles véhiculent, la tolérance à l’égard de comportements étrangers à notre culture a fini par aveugler nos « élites » manipulées par des groupes de pression multiples qui s’emploient à culpabiliser toute tentative de dénonciation de ces « phénomènes de société » dont se nourrissent la nouvelle génération de sociologues.

Pourra-t-on encore longtemps se cacher derrière son petit doigt, pour ne pas voir qu’une partie de notre jeunesse,- et pas seulement celle des banlieues,car les « phénomènes » en question gagnent du terrain et se développent jusque dans « les beaux quartiers » – une jeunesse qui n’aspire qu’à préparer son avenir,  doit se plier à des règles imposées par des petits caïds qui , dès l’âge où l’on fréquente l’école, décident de la manière dont les filles doivent s’habiller, rackettent les garçons trop bien élevés et habillés, et font régner, au besoin par la violence, leurs propres lois.

Ces petits « caïds », s’expriment dans la langue pseudo-virile qui est la leur (QUOI!!! ), avec un vocabulaire grossier (QUOI!!!) mais que certains trouvent pittoresque (QUOI!!!), manient un humour décapant qui, lorsqu’il est utilisé pour ridiculiser ceux qui refusent de se soumettre aux lois la bande », peut aller jusqu’à détruire leur cible(QUOI!!!).

 Ces comportements parviennent à « terroriser » les enfants qui grandissent dans un environnement et une éducation familiale qui ne les préparent pas à affronter ces nouvelles formes de « hiérarchies » dans le mileu scolaire, hiérarchies qui situent au bas de l’échelle, les « bouffons », c’est-à-dire ceux qui viennent en classe pour apprendre dans l’espoir de gravir des échelons dans la société, et non pour s’élever dans une autre hiérarchie, celle des futurs dealers et des voyous.

Car dans ces établissements scolaires, que fuient ceux qui ne veulent pas que leurs enfants subissent l’emprise de ces « lois », chacun sait que c’est : « malheur à celui qui est le premier de la classe ».

Ajoutons à cela que les phénomènes de « bandes » se développent dans certains quartiers, obéissant à des règles qui s’inspirent de celles en vigueur chez les mafieux. Organisées selon des règles et selon une hierarchie au sein de laquelle règne la loi du plus violent et du plus fort, elles « punissent » les « traîtres » de façon parfois cruelle.

Certes, il ne faut pas généraliser et il faut se méfier des « amalgames ».

Car c’est précisémment derrière ces amalgames que ces voyous, encouragés par un discours complaisant s’abritent. Avec l’appui des organisations de la « bien-pensance », ils hurlent au racisme et à la stigmatisation dès que l’on s’avise de les montrer du doigt, en laissant croire que à travers eux, c’est toute la jeunesse des banlieues qui est stigmatisée.

« Les jeunes », qui hésitent à se désolidariser de ces moeurs et de ces comportements, se sentent pris en otages. Car l’image détestable que ces voyous diffusent dans toute la société rejaillit sur ceux qui, par leur travail, par leur attitude dans la vie, font des efforts énormes pour mériter leur intégration en même temps que l’estime et la considération auquel leur mérite devrait leur donner droit. Ce sont eux qui souffrent le plus de ces « discriminations » dont on devrait accabler le petit monde des voyous.

L’habileté des orfèvres en matière d’amalgame est apparue au grand jour, lorsque, sous les caméras vigilantes des médias, Sarkozy a commis l’imprudence de proclamer, à la demande des certains habitants du quartier qu’il visitait, qu’il allait nettoyer tout ça « au Karcher », s’agissant, bien évidemment des voyous qui imposaient la violence de leurs lois dans ce quartier. Cette phrase immédiatement reprise par le choeur de ceux qui sont devenus des professionnels de la confusion, ne s’adressait pas à l’ensemble de la jeunesse de ce quartier. Elle visait seulement les voyous. Mais on a fait semblant de ne pas comprendre, et tout s’est passé comme si toute une population issue de l’immigration était visée.

De même que, lorsque le journaliste et polémiste Zemmour affirme que les prisons sont peuplées en majorité par la délinquance issue de l’immigration, le tir de barrage s’organise immédiatement en tentant de faire croire qu’il a blasphémé, et insulté toute la France issue de l’immigration, en se gardant bien de répondre à l’affirmation contestée en publiant des chiffres officiels démontrant le contraire de ce que dit Zemmour. Une fois de plus, avec la complaisance des même pros de la confusion, on permet aux voyous qui peuplent nos prisons, de » s’abriter » derrière les innocents.

Pour revenir à « l’aventure » des « Bleus » dont il était question au départ de ce billet d’humeur, on voit se dessiner la stratégie des mêmes professionnels de l’amalgame. Dénoncer les méthodes « mafieuses » qui ont conduit ce groupe à la catastrophe que l’on sait, c’est tenter de jeter l’anathème sur certains joueurs issus de l’immigration. La « technique » est toujours la même: faire comme si tout le monde était « mis dans le même panier ». Puisque le terme de « stigmatisation » est devenu la « tarte à la crème », stigmatisons le voyous, et empêchons-les de masquer l’émergence d’une génération de jeunes vivant dans des quartiers soit-disant « défavorisés »qui lutte pour s’intégrer, par l’effort, le travail et le respect du pays qui les a accueillis ou qui a accueilli leurs parents.

C’est sur ce dernier point que je suis en désaccord avec Finkielkraut, dont je partage cependant le point de vue sur la signification a donner à cette triste mascarade et sur le diagnostic qu’il en tire sur les maux de la société française.

On peut écouter l’interview de cet Universitaire sur France Inter à cet endroit : http://www.scooppeople.com/article-14497-alain-finkielkraut-qualifie-les-bleus-de-voyous.html

C’est pourquoi il sera important de dissocier, les trois ou quatre meneurs de cette petite « bande », des autres joueurs, au moment du bilan, et à celui de « faire les comptes ». Je suis convaincu du fait que certains des joueurs de cette équipe, plus intelligents que les autres, ont bien vu venir les conséquences de ce comportement puéril, mais qu’ils ont subi la « loi » du groupe, qui est celle des « petites bandes », c’est-à-dire celle du silence, dans les vestiaires et  en dehors.

Malheur aux premiers de la classe ??? Malheur au « traître » ??? ou malheur aux voyous ???  

Rire pour ne pas en pleurer….


…….en paraphrasant Beaumarchais.

Car le feuilleton que nous propose la « camarilla » pitoyable qui « gouverne » aujourd’hui le football français, provoque en nous, un tel malaise que nos sentiments évoluent entre l’envie irrésistible de rire et celle, contenue, d’en pleurer.

Me revient à l’esprit, la phrase de Philippe Muray, cet auteur trop tôt disparu, que j’ai citée dans un précédent billet: « 

 «La ridiculisation du monde tel qu’il va est une discipline encore dans les limbes. Faire rire de cet univers lamentable, dont le chaos s’équilibre entre carnavalisation enragée et criminalisation hargneuse, entre festivisation et persécution, est la seule manière, aujourd’hui, d’être rigoureusement réaliste ».

(Extrait de  Exorcismes spirituels III, Les Belles lettres, 2002. 21 Euros.)
(ISBN: 225144209X)

Nous vivons une époque qui fait la part belle aux émotions superficielles, aux indignations préfabriquées, aux compassions infantiles, à l’irrationalité, au goût pour les « festivités » perverses, aux adorations suspectes pour la « Déesse Fric », aux manifestations d’une pseudo-tolérance poussée jusqu’au laxisme et à l’aveuglement, une époque qui bannit de son vocabulaire usuel le mot « discipline » et encore plus le mot « rigueur », une époque où le terme de « respect » ne s’applique plus qu’à des « égos » surdimensionnés, que dis-je, bouffis par la prétention et l’ignorance, et ….mieux vaut que j’arrête là le fleuve de qualificatifs qui me vient à l’esprit, après avoir vu et entendu pendant ce week-end le torrent de stupidités, d’âneries, de situations grotesques, que la radio et la télévision nous ont servies à propos de l’extravagante aventure des « Bleus ».

Mieux vaut en rire, donc.

Et pour ne rien vous cacher, en voyant, hier, sur plusieurs chaînes de télévision, la scène au cours de laquelle, les « Bleus », constitués en « collectif autogestionnaire » et réunis en « conciliabule » remontaient dans leur autobus, après avoir fait lire – dans une manifestation suprême de courage et de dignité – un communiqué, certainement pas rédigé par l’un des membres de cette bande d’illettrés – j’ai été pris d’un irrésistible fou-rire, histoire d’évacuer ma colère…..

 

Au moment où le bus démarrait, emportant ces grévistes de luxe pour les reconduire dans leur hôtel de luxe, j’ai pu lire, furtivement, l’inscription imprimée sur toute la longueur du car : « Tous ensemble vers un nouveau rêve…. ».

 Oui,  j’ai bien lu,  » Tous ensemble  » !!!!

Et j’ai eu envie de hurler : prions mes frères, oui, prions  « TOUS ENSEMBLE !!! TOUS ENSEMBLE !!! OUI !!! OUI!!! » TOUS ENSEMBLE !!! OUI !!!OUI…… pour le nouveau sélectionneur, car il a vraiment du pain sur la planche.

 

La Grève des « Bleus » !!!!


Invroyable !!!

Alors maintenant, si même les « salariés milliardaires » se mettent en grève, où va-t-on ????

Les « Bleus » refusent de s’entraîner !!!!! Ainsi en a décidé le « soviet » des joueurs !!!

 Le « collectif » réserve ses forces pour Mardi contre l’Afrique du Sud …..

A suivre.

Des mafieux chez « les Bleus » ???


La conférence de Presse au cours de laquelle le Président de la Fédération Française de Football, accompagné de Patrice Evra Capitaine de l’équipe de France, largement diffusée et commentée sur les chaînes qui « couvrent » l’évènement planétaire qu’est la Coupe du Monde nous a offert un spectacle pitoyable.

A entendre les deux compères, ce qui doit être mis en accusation, ce n’est pas l’attitude et les paroles insultantes d’Anelka, et l’absence totale d’autorité de Domenech sur cette équipe, qui aurait dû s’exprimer par la décision immédiate d’exclure le joueur et de le renvoyer dans ses foyers.

 

Les coupables sont « le traître » qui a dénoncé cet incident à la Presse, et le Journal l’Equipe qui a, en première page, diffusé les insultes proférées dans les vestiaires, à la mi-temps du match France-Mexique.

Incroyable, non ???

A la question d’un journaliste demandant si Anelka aurait été évincé si ses propos n’avaient pas été révélés au grand public, les réponses sont sinon évasives mais pour le moins contradictoires : Escalette prétend que la décision d’exclure Anelka avait été prise la veille de la diffusion dans la Presse de ses propos « confirmés par l’entraîneur » ( je cite ), quand à Patrice Evra, il reste silencieux,….avant de se lancer dans une accusation qui pèsera lourd dans la suite du destin de cette équipe.

« Il y a un traître parmi nous. Le problème ce n’est pas Anelka, c’est le traître !!!! »( sic ).

Cela en dit long sur l’ambiance mafieuse qui existe au sein de cette équipe, qui fonctionne semble-t-il comme un petit gang de banlieue, avec son « parrain » ( Zidane), ses « chefs » ( Thierry Henry, Gallas ) et ses « sous-chefs » ( Ribéry, Anelka, et le nouveau promu Patrice Evra ).

La Presse ne manque pas de souligner que l’origine de l’altercation entre Domenech et Anelka, c’est la démarche entreprise par quatre joueurs (Henry, Gallas, Ribery, Evra) pour convaincre l’entraîneur de modifier le système de jeu et de modifier la composition de l’équipe, en évinçant Gourcuff.

 Domenech, furieux, ayant appris que cette démarche avait été inspirée par Zidane ( qui semble avoir encore autorité sur cette équipe ) aurait décidé de ne pas se laisser imposer, comme en 2006, lors des Championnats d’Europe, les décisions nécessaires au fonctionnement de l’équipe.( Source « Libération » http://www.liberation.fr/sports/0101642392-quand-zidane-se-prend-pour-le-patron-des-bleus )

Mais dans les « clans » c’est ainsi. On s’accommode des « voyous », mais on ne supporte pas les « balances ». Ce n’est pas celui qui est à l’origine de » l’affaire » qui doit être sanctionné. Ce sont les « balances » qui doivent être supprimées.

On imagine que tout ceux qui ne font pas partie de  » la Bande » deviennent de facto, des suspects. Bonjour l’ambiance !!!

Et cette ambiance n’est pas nouvelle. Elle a été cautionnée par les silences ou les pirouettes verbales de Domenech, qui a préféré « faire avec », plutôt que de s’attaquer au problème en prenant les décisions qui s’imposaient. Elle continue à être masquée par les mesures prises pour isoler l’équipe de France, par des conférences de Presse « bidons » au cours desquelles on envoyait au « casse-pipe » chaque jour, un joueur différent, pour amuser la galerie en répondant aux questions des journalistes par un discours de langue de bois qui ne trompait personne.

Quand on se cache de cette manière, derrière des écrans de vigiles, de grillages, et avec un luxe de mesures de « sécurité », c’est qu’il a bien quelque chose à cacher. Les journalistes ne s’y trompaient pas, qui essayaient, de loin, au téléobjectif, de saisir des images permettant de tirer quelques conclusions sur l’ambiance des entraînements. Les journalistes essaient de « faire leur boulot » qui est d’informer. C’est d’ailleurs un phénomène bien connu: quand ils n’ont pas de vraies informations sous la main, ils se rabattent sur « les petites phrases »……

Mais la prochaine question qu’il faudra poser à Evra, le nouveau capitaine de cette » bande en pleine débandade », c’est la suivante:

Est-il plus coupable de mentir comme il l’a fait pendant des semaines, en rabachant son discours sur la » bonne ambiance dans cette équipe soudée et motivée, qui est venue là pour gagner la Coupe du Monde », ou de « trahir » des secrets qui de toute manière, à notre époque, ne sont que des « secrets de polichinels », tant la curiosité des journalistes est devenue insatiable à propos des « petites phrases », des « tacles » en tout genre qui ponctuent la vie politique et celle des people ?????

Quand on sait que la moindre « petite phrase » prononcée en Conseil des Ministres fait le tour du microcosme parisien en moins d’une journée….. 

Les « Bleus » ??? La classe !!!


La classe a parlé !!!

Quand je vous le disais !!!  âne el Ka quitter l’équipe de France !!!

Aucun sélectionneur d’une équipe nationale digne de ce nom n’aurait supporté une telle insulte, devant tous ses joueurs.

Anelka aurait dû « faire ses valises » immédiatement et renvoyé chez lui, sans attendre la fin du match contre le Mexique.

Les « bleus » ne sont plus que le pâle reflet d’une petite équipe de banlieue. A l’autorité du sélectionneur, s’est substituée celle d’une petite « camarilla » de voyous, vulgaires et sans scrupule . Portée aux nues par une presse complaisante, soucieuse de ménager les supporters des « quartiers défavorisés »,pour qui ces joueurs sont devenus un modèle dont ils imitent le style « bling bling »,elle a désormais « la grosse tête », mais avec pas grand chose dedans…..

Le Quotidien « l’Equipe » relate un épisode significatif de la mentalité de ces petits voyous, que l’on propose comme modèle aux centaines de milliers de jeunes gens licenciés dans des clubs amateurs, et qui rêvent de devenir, un jour, des « stars » :

«  Confirmation du mépris que certains « cadres » de l’équipe de France, Franck Ribéry et Nicolas Anelka en tête, nourrissent à l’endroit de Yoann Gourcuff et des effets que leur pression exercent sur le Girondin. Toujours la zone mixte. Gourcuff est en train de répondre aux journalistes lorsque déboulent ses deux « amis ». L’Equipe raconte : «Quand Gourcuff aperçoit le milieu du Bayern Munich, l’image est saisissante : il évite de croiser son regard frondeur et se colle un peu plus contre la barrière pour le laisser passer comme le premier de la classe fait place au caïd du collège par peur de prendre une baffe derrière la tête

C’est cela le style, l’ambiance des relations au sein de l’équipe nationale !!!! Et nous n’avons pas fini d’en apprendre…..

Laurent Blanc va avoir du pain sur la planche !!!!!

La débacle des « Bleus ».


 Domenech ne restera pas dans nos mémoires : il ne sera pas  » l’homme du 18 Juin » du Football français !!!!!

 Nous sommes pressés de l’oublier.

Ce que tout ceux qui vivent les yeux ouverts prévoyaient s’est produit: « les Bleus » sont tombés dans « le trou noir » !!!!

 

La débacle de l’équipe de France devant des Mexicains « basanés », mais sympathiques, qui jouent pour défendre les couleurs de leur pays, s’est produite. Pour moi, la différence se faisait déjà au moment symbolique d’entendre les hymnes nationaux.

D’un coté des Mexicains, concentrés, la main sur le coeur le regard voilé par l’émotion, à l’unisson d’un  public enthousiaste et coloré , de l’autre des « bleus », absents, silencieux, le visage fermé, sauf pour deux ou trois d’entre eux, et quelques autres faisant mine de remuer les lèvres, comme s’ils chantaient « la Marseillaise ».

 En somme d’un côté, une équipe qui a une âme, et qui sait pour quoi elle est là, de l’autre une équipe sans âme, de soit-disant « stars » ( il y a longtemps que je dénonce ici « l’imposture » évoquée par certains journaux aujourd’hui ), venus là « pour se faire plaisir » (pour reprendre une de leurs expressions préférées ), pour soigner leur notoriété dont dépendent les contrats fabuleux qui leur donnent l’illusion d’appartenir à l’élite.

Il est intéressant de lire les revues de Presse du jour. La sévérité des jugements qui condamnent cette équipe et son « coach » n’a d’égale que la mansuétude dont elle a été gratifiée, tant nos journaleux sont prompt à monter au pinacle certains joueurs dont le profil se fond si bien dans « l’air du temps », et à les descendre  quand ils sentent que le vent tourne …..

Comme toujours, à l’heure de la débacle, les langues se délient, et on apprend sous forme de « révélations » des choses qui sautaient aux yeux de ceux qui vivent les yeux ouverts, depuis longtemps.

On suggère, ici et là, qu’il existe au sein de cette équipe des situations et des comportements aux relents de communautarisme évidents.

Mais en parler, n’était–ce pas tenir un discours « nauséabond » ???

 Déjà en 2008, un article que j’avais rédigé sur mon blog ouvert sur « lemonde.fr » avait été « modéré », coupable que j’étais d’avoir cité et reproduit un article paru dans un journal de sports espagnol, évoquant le fait que ce « sélectionneur » n’avait pas les mains libres pour constituer son équipe, car au sein de cette équipe sévissait un « poder negro » ( un pouvoir noir ), exercé par quelques joueurs dont les noms étaient cités, mais qu’il était sacrilège de prononcer tant ils étaient adulés par les médias français.

Ces joueurs refusaient de jouer avec certains autres, pour des raisons obscures. C’est ainsi que certains joueurs ont été définitivement écartés de la sélection, sans que l’on sache très bien pourquoi. Les Pirès, Trézéguet, Giuly et autres en ont fait les frais…..

Rien n’ayant été fait pour mettre fin à cette situation intolérable, la même situation s’est reproduite pendant la préparation de ce mondial. Il n’y a pas de « sélectionneur », pas plus que « d’entraineur » de l’équipe de France. La sélection de se fait par cooptation des joueurs entre eux, et si par malheur la notoriété acquise par l’un d’eux pousse le sélectionneur à le retenir dans son effectif, le « poder negro » se charge de le marginaliser sur le terrain.

Ainsi donc, nous apprenons ce matin, dans Marianne, que  » ce groupe aurait laissé place… à des clans. « Les Noirs d’origine antillaise, les Noirs d’origine africaine, les Blancs, les musulmans, ceux qui jouent à l’étranger, ceux qui sont restés en France, » écrit l’envoyé spécial (cliquer sur le lien ) du Monde à Knysna. Le capitaine Patrice Evra escamote donc la vérité lorsqu’il explique que le « groupe vit bien » et qu’il « y a une bonne ambiance ». L’équipe de France est divisée et malheureusement, cela lui porte préjudice. »

L’Editorial du Monde n’est guère plus flatteur: » …… mais, au-delà de ces considérations techniques, comment ne pas voir dans cette équipe, à l’inverse de celle de 1998, un miroir de la société française d’aujourd’hui. Dominé par des ego tourmentés et des salaires de stars, coupé de la réalité du pays et de ses supporteurs, fractionné en de multiples clans – Noirs d’origine antillaise, Noirs d’origine africaine, Blancs, musulmans, expatriés de luxe ou restés en France, issus des cités de banlieue et revanchards ou venus de la modeste province et « triquards » -, ce football épouse les contours du pays. Sans même y ajouter ce qui devrait, dès lors, en être le moteur : la performance et la culture du résultat ! »

Dans son édito en une de L’Equipe ce jeudi, Fabrice Jouhaud (cliquer sur le lien ) va plus loin, « stigmatisant » Ribéry, qui « se comporte avec Gourcuff comme un caïd de cour de collège ». La principale victime des petites manœuvres est donc bien Yoann Gourcuff. Certes le Bordelais n’a pas fait la prestation qu’on est en droit d’attendre de lui lors du match contre l’Uruguay. Mais il n’a pas fait moins bien que Franck Ribéry (cliquer ) (je dribble dans mon coin), Nicolas Anelka (je ne sais pas me placer et je me promène au milieu du terrain, ce qui n’est pas la place d’un avant-centre) et Sydney Govou (je défend trop pour attaquer).

Ainsi donc, règne au sein de ce groupe, l’état d’esprit que les voyous de banlieues ont répandu dans les lycées et les collèges.

 Mort au « premier de la classe », à l’élève bien éduqué, qui n’insulte pas le prof, qui travaille, ne fréquente pas les dealers ( ou les putes, car il n’en éprouve pas besoin…), et ne participe pas aux activités des « bandes » au sein des quelles s’imposent des « caïds », qui viennent attendre « à la sortie » les « bons élèves » pour les racketter, voire les corriger et si possible, les terroriser.

On apprend que Gourcuff ferait l’objet d’une véritable « discrimination » sur le terrain.

 Les ballons, il n’a qu’à aller les chercher, on ne les lui « passera » pas. Ce qui probablement explique, qu’il s’épuise, dans des courses tous azimuts, pour tenter de remplir son rôle de milieu de terrain, et récupérer des ballons, pendant qu’un Anelka se promène, vient jouer jusqu’au milieu du terrain pour priver son équipier d’occasions, tout en jouant « perso »,  gâchant des ballons sans résultat.

Car selon nos journaleux, Gourcuff est un garçon timide, se mettant peu en avant, mais intelligent, ayant une vraie vision du jeu et préoccupé de stratégie, ce qui semble être le dernier souci de l’entraîneur et des joueurs qui comptent sur leur talent individuel pour se mettre en valeur plus que sur le jeu collectif.

Ce fils d’un prof de maths entraîneur de Lorient, – réputé pour ses qualités d’éducateur -, autant que pour sa compétence dans le football, est trop bien élevé pour être coopté par la petite « camarilla » de joueurs « bling bling » qui vivent entre eux, dans un monde fermé, dont ils ne sortent que pour se renfermer à nouveau, les écouteurs aux oreilles, pour écouter du rapp et cultiver leur « culture de banlieue »….

Le faible niveau intellectuel de cette équipe nous est apparu tout au long des jours qui ont précédé le début de ce « mondial », à l’occasion des « Conférences de Presse » quotidiennes au cours desquelles ces « stars du ballon rond » daignaient répondre à la Presse internationale : un discours creux, en forme de langue de bois, aussi ennuyeux que les déclamations en usage au Parti Communiste français…

On rougit pour eux, surtout lorsqu’on entend dans les minutes qui suivent, les commentaires d’un Lizarazzu, d’un Pirès, ou d’un Fabien Barthès ou d’un Dugary. Manifestement le niveau n’est pas le même.

Ce qui a manqué à cette équipe de France, c’est non seulement une âme, mais aussi , un brin d’intelligence et de modestie.

En outre, elle n’est absolument pas représentative du football français, ou du moins de celui qui se pratique en France.

 A titre d’exemple, les joueurs des équipes italienne, allemande, anglaise jouent dans leur championnat national, les 23 joueurs sélectionnés dans l’équipe de France jouent dans 5 championnats différents. 

Il était prévu qu’elle n’aille pas très loin dans cette compétition. Nous y sommes. Il vont quitter l’Afrique du Sud, sans avoir gagné un seul match, après avoir été ridiculisés par des équipes sans « stars »….

Bon débarras.

 Il reste au futur entraîneur, à donner un grand coup de balai dans cette pétaudière, et à repartir à zéro, à ouvrir, enfin, « une page blanche »  avec des joueurs jeunes, ambitieux, fiers d’être français et de représenter la France, et prêts à se défoncer, pour mériter le « statut » que l’opinion confère aux meilleurs d’entre eux.

Violences…


Selon RTL info, « la violence physique progresse sur les 10 dernières années en Belgique. Sur le plan national, les constatations de coups et blessures ont augmenté de plus d’un tiers, avec 75.416 cas en 2009. Les meurtres et assassinats sont passés de 681 à 914 cas. Les viols sont par contre en baisse après un pic atteint en 2007.

Les actes de vandalisme ont également augmenté, passant de 61.942 à 100.996, soit une hausse de 63%. La hausse est encore plus marquée en Wallonie (+71%). En ajoutant les destructions et incendies volontaires, la police a répertorié 124.257 faits de « violence contre la propriété » en 2009.

La hausse la plus spectaculaire concerne la criminalité informatique. La police avait recensé 4 cas en 2000, pour 11.425 en 2009, dont 4.789 en Wallonie. »

« La Martine » vous l’avait bien dit : tout ça, c’est « à cause de Sarkozy » !!! Cela démontre l’inefficacité de sa « politique sécuritaire ».

Afrique du Sud: la Légende.


Nous avions l’habitude d’entendre parler de l’Afrique du Sud comme d’une « nation arc-en-ciel », véritable « melting-pot » culturel, un pays où par la grâce d’un personnage de légende, – le Président Mandela – les noirs, dans un élan de générosité magnanime, avaient tiré un trait sur les années d’apartheid, et garantissaient aux blancs, le droit de vivre en paix dans un pays qu’ils ont largement contribué à développer, au point d’en faire l’un des pays les plus riches (ou les moins pauvres ???) d’Afrique.

 

Le « Mondial » organisé par l’Afrique du Sud devait donner au monde, l’occasion de découvrir ce pays, et de constater les progrès réalisés dans tous les domaines depuis qu’il a été mis fin à l’apatheid et que les noirs ont, enfin, pris leur destin en main, en même temps que celui de la nation Sud Africaine.

Ainsi, donc, la « bien-pensance » pouvait s’en donner à coeur-joie.

Mais depuis le début de ce championnat du monde, et passés les moments euphoriques des fêtes d’inauguration, les reportages se multiplient, et les témoignages affluent de la part de ceux qui, s’étant rendu sur place pour participer aux festivités, nous font partager un constat qui n’a rien à voir avec la légende que la « pensée unique » voulait nous faire avaler.

Peu à peu, et au fil des reportages et des articles de la presse, et notamment de la presse étrangère, nous sommes amenés à découvrir la sinistre réalité de ce pays, qui ne diffère pas tellement de celle de beaucoup de pays africains, depuis que ces derniers ont accédé à leur indépendance.

Nous découvrons ainsi que le quart de la population masculine reconnaît « pratiquer »  très tôt et massivement le viol (BBC News), et que pour reprendre la formule imagée d’un journaliste du » Mail and Guardian« , une femme avant d’atteindre la trentaine, » a plus de chances,  d’être violée que d’apprendre à lire ».

Nous découvrons que plus d’un million de blancs ont déja quitté le pays, et que ceux qui ont tenté d’y rester vivent dans l’insécurité la plus totale, et dans la peur d’être victimes d’agressions partout, à tout moment, d’être cambriolés de jour comme de nuit avec le risque, pour les femmes, en prime, d’être violées et, pire encore assassinées. Les barreaux aux portes et aux fenêtres ne suffisent plus et les Sociétés de Gardiennage font fortune. Il est plus facile, dans ce pays qui compte 40% de chômeurs, de trouver une place comme vigile que comme représentant de commerce ou comme employé d’usine.

Les Administrations, dans lesquelles la « discrimination positive » au profit des noirs est devenue la règle sont en état de déliquescence, et seule la Police, encore encadrée partiellement par des blancs, fonctionne tant bien que mal, débordée et impuissante devant une criminalité qui explose.

En d’autres termes, si l’apartheid a disparu, il est remplacé, en sens inverse par d’autres formes de discriminations qui font des blancs qui ont cru pouvoir « jouer le jeu », des citoyens de seconde zone.

L’ANC, d’inspiration communiste, ( hé oui, ça existe encore !!!), est devenu un parti omnipotent et corrompu. Mandela, arrivé trop vieux et fatigué au pouvoir,- et dont les bonnes intentions ne peuvent pas être mises en doute -, n’a pu empêcher que la corruption atteigne même son entourage le plus proche.

Bref, la « Légende » s’effrite, et les réalités visibles ne peuvent plus être occultées.

Reste, pour l’équipe de foot Sud Africaine, à écrire une autre légende.

Mais il suffit de jetter un regard sur la composition de cette « sélection » pour constater que, contrairement aux équipes « black, blanc, beur » européennes, cette « légende » ne sera pas « arcen-ciel »……

Danger d’hallali sur l’apéro ????


http://www.lexpress.fr/actualite/societe/l-apero-saucisson-et-pinard-fait-tache-d-huile_899647.html

Selon l’Express.fr, » l’idée d’un apéro « Saucisson et Pinard » anti-islamisme s’étale: Sylvie François, la créatrice du groupe Facebook initial, a mis en ligne cet après-midi sur la page du groupe les liens vers 4 groupes similaires à Toulouse, à Lille, Lyon, Bruxelles et Londres.

 L’initiative de l’apéro dans le quartier de la Goutte d’Or a été interdite ce mardi 15 juin par la préfecture de Paris: « Cet événement de voie publique est créateur de risques graves de troubles à l’ordre public » a-t’elle précisé. »

BEN VOYONS !!! Comme si les prières collectives sur la voie publique ne troublaient pas l’ordre public !!!

 

 Je suggère,  que ces « apéros » s’étendent à toute l’Europe, afin de développer la convivialité dans les relations intercommunautaires. 

Dans un souci d’apaisement, je suggère également que le « saucisson hallal » soit autorisé par les autorités, et qu’il soit permis de servir de la limonade aux barbus.

Gandourah et tenue de burqa de rigueur.

Chinoiseries.


Réel ou truqué ??? Qui peut me le dire ??? Une vidéo qui fait un buzz !!!

En tout cas bien informé, et remarquable pédagogue, ce « vénérable » Professeur d’économie Chinois …..

Il a certainement compulsé ce succès littéraire, dont il existe peut-être une traduction dans la langue des mandarins :

Quoi qu’il en soit, cette vidéo vaut le détour. Cliquez sur le lien:

http://www.youtube.com/v/DMKb9A6Kouk&hl=fr_FR&fs=1&rel=0&border=1″></param><param

Pour ceux qui voudraient nous faire croire aux « lendemains qui chantent » !!!!