Le « mérite »et la « bobocratie »…


images« Femmen » symbolisant « La France ». On s’interroge : Sont-ils « timbrés » ???

Les Socialistes au pouvoir laisseront le souvenir d’un Parti ardent dans le combat contre « le mérite ». La « méritocratie » ne fait apparemment pas bon ménage avec la « bobocratie » qui tient le haut du pavé dans le Parti préféré des « fonctionnaires ».

L’abaissement du niveau des concours aux Grandes Ecoles pour les rendre accessibles aux « classes populaires » des banlieues, la suppression des « bourses au mérite », la suppression des notes à l’école et au lycée, tout cela est conçu pour laisser une chance aux « cancres » dans l’accession sociale. On est tenté de dire qu’en terre socialiste, « les sots » sont bien gardés…..

« Ils » ne sont pas encore allés jusqu’à sanctionner les bons élèves en les obligeant à aller s’asseoir au fond de la classe, près du radiateur, mais ils n’en sont pas loin, surtout lorsque ces « bons élèves » ne sont pas issus de « familles désavantagées »… Mais ça viendra peut-être, si on leur en laisse le temps.

Rien d’étonnant dans tout cela: « le mérite », « l’effort », « le travail accompli », « les résultats obtenus » ne font pas partie des qualités valorisées dans ce petit monde où ce qui compte, c’est « l’engagement », « les fidélités », « les convictions », et pourquoi ne pas ajouter, le « sectarisme », la « provocation », « l’esbroufe », et « l’entregent ».

Moscovici appartient à la « clique » de ces Socialistes: il possède, semble-t-il, les qualités requises pour occuper les plus hautes fonctions, puisque « le mérite »qui lui a été reconnu, dans son cas, c’est son « engagement », d’abord au côtés de Strauss-Kahn, puis de Hollande, ainsi que …..  ses « convictions ».

Dans son dernier numéro, Marianne ne l’a pas raté !!!

Marianne qui « fit fortune » dans « l’Anti=Sarkozysme », s’est recyclée dans le « Hollande bashing », et l’exécution publique de ceux qui se sont fourvoyés dans le « hollandisme » à deux balles fait désormais partie intégrante de son « fonds de commerce »….

Quand « la Gauche » se paie « la Gauche », ça vaut le détour. Surtout quand l’opposition de Droite , empêtrée dans ses combats de coqs, a d’autres chats à fouetter que de faire son travail d’opposition, et de crier au scandale en dénonçant les « magouilles » de la « bobocratie socialiste ».

Aussi je ne me priverai pas du plaisir de faire partager ce savoureux article à mes lecteurs.
http://www.marianne.net/Le-scandale-Moscovici-ou-la-magouille-pour-les-nuls_a242377.html?TOKEN_RETURN#

Je cite : « A priori, tout devait rouler comme sur un skate. Pour cause de fidélité à François Hollande, Pierre Moscovici était transféré du gouvernement (où il fut d’une rare nullité) (sic ) à la Commission de Bruxelles (où il sera surveillé de près). Ce fût compliqué à obtenir.

Certains – on les comprend – eurent du mal à admettre que l’échec patenté méritait promotion. D’autres se demandèrent s’il était opportun d’aller apporter la caution du PS à une Commission qui ne jure que par l’orthodoxie. Mais les obstacles furent levés les uns après les autres.

Ne restait plus qu’un problème : comment faire pour empêcher une législative partielle dans la 4ème circonscription du Doubs, celle où Pierre Moscovici fut toujours élu d’extrême justesse et où le « hollandisme récessionnaire » laisse un boulevard au candidat du FN. On imagina alors un système aux petits oignons.

Du haut de sa superbe, et au nom de l’éthique qui l’anime, François Hollande confia à Pierre Moscovici une mission au titre pompeux : « La place de la France dans l’Europe ». Le sujet importait peu. Il s’agissait juste de gagner les six mois légalement nécessaires pour que le député démissionnaire soit remplacé par son suppléant, afin de se jouer du suffrage universel, de s’asseoir sur l’avis des électeurs du Doubs et de préserver la majorité absolue des socialistes à l’Assemblée nationale (289 sièges).

On a beau se dire de gauche, on n’en reste pas moins homme de magouille. En ce domaine, d’ailleurs, entre François Hollande et Pierre Moscovici, c’est plus que l’entente cordiale : la fusion du cœur et de l’esprit.

Voilà donc nos deux hommes se tapant sur le ventre, contents de leur bon coup : l’un parce qu’il sauve les meubles à l’Assemblée (c’est à ça qu’on reconnaît un grand dirigeant) ; l’autre parce qu’il va bien gagner sa vie dans un poste où il pourra être ce qu’il est vraiment (un technocrate converti au dogme néolibéral). Seulement voilà. Les socialistes de gouvernement sont tellement nuls que même quand ils mettent au point un stratagème de gamins, ils réussissent à se prendre les pieds dans le tapis.

En l’occurrence, ils ont fait une erreur de calendrier. Pierre Moscovici n’est entré en « mission » que le 5 mai dernier. Pour que le plan échafaudé fonctionne, il fallait donc que la Commission de Bruxelles n’entre en fonction que le 6 novembre, six mois et un jour après la date fatidique. Or, la Commission Juncker a respecté son propre agenda. En vertu de celui-ci, elle devrait être opérationnelle dès le 1er novembre. Dans ce cas, tout tomberait à l’eau. Le suppléant de Mosco devrait aller devant les électeurs, perspective qu’il vit avec l’enthousiasme de la chèvre de Monsieur Seguin.

Pierre Moscovici, lui, s’en moque comme de la première veste qu’il a retournée. Il est déjà recasé. Pour lui, c’est la seule chose qui compte. Grand seigneur, il s’est même permis de lancer, avec le courage de celui qui bat sa coulpe sur la poitrine d’autrui : « Le PS peut très bien conserver mon siège s’il y a une élection partielle ».

Ben voyons. Son bilan est si flatteur, son aura si grande, son talent si reconnu, son dévouement à la cause populaire si ancrée, que c’est gagné d’avance. Et si, par hypothèse funeste, c’était perdu, cela ne pourrait s’expliquer que par l’incapacité du successeur désigné à s’élever à la hauteur de ce personnage historique. En attendant, les socialistes brûlent un cierge chaque matin pour que Jean-Claude Juncker retarde de quelques jours la mise en place de sa Commission.

C’est à ce genre d’histoire que l’on apprécie la grandeur de l’engagement en politique, qui tient parfois de la mission sacrificielle. Montherlant disait : « La plupart des hommes recèlent en eux-mêmes leur propre caricature. Et cette caricature ressort un jour, à l’improviste, sous le coup de l’événement ». ( Fin de citation ).

Ces Socialistes là sont tous plus vrais que leur caricature !!!

Malheureusement pour nous, le ridicule ne tue pas, en politique. Dommage, car cela ferait un peu de ménage dans les allées du pouvoir, et nous débarrasserait de quelques uns de ces « nuls » pour qui « le mérite » est une tare.

Je demande pardon à tous ceux à qui trouveront à cet article un goût « un peu rance »……

Panique dans le marigot….


CrocosLa classe politique, à gauche comme à droite, semble se préparer au pire.

Les commentaires des uns et des autres, entendus dans les « talk-shows »  ou dans les débats télévisés traduisent une forme de désarroi devant la quasi certitude de voir le Front National parvenir, une fois de plus, au second tour de l’élection Présidentielle, avec même une chance de l’emporter au deuxième tour, en profitant de la déroute des Socialistes au pouvoir, et de l’inaptitude de la Droite à s’organiser en une opposition crédible, porteuse d’un projet alternatif et novateur susceptible d’entraîner l’adhésion des Français écoeurés, excédés, déprimés, désespérés.

Comment peut-il en être autrement ??? L’atmosphère de décomposition qui envahit le Parti Socialiste, les combats de « chapeaux à plumes » qui divisent l’UMP, le retour propulsé par des médias complices d’un Bayrou qui, élu Maire de Pau par la grâce des Juppéistes de l’UMP cherche à faire oublier sa trahison à des électeurs qui, eux, n’ont rien oublié, un Bayrou qui rêve de fréquenter à nouveau, et après tant d’échecs, les allées du pouvoir, grâce à la grossière manipulation des médias cherchant faire de Juppé celui qui sortira la France de l’ornière où Hollande l’a fourvoyée, le retour courageux, mais laborieux et problématique d’un Sarkozy auquel rien ne sera épargné par ceux qui sont survoltés par la trouille de le voir revenir « aux affaires », tout cela, c’est du pain béni pour Marine Le Pen.

Comment peut-il en être autrement, alors que les nuages sombres s’accumulent sur l’horizon d’un pays déboussolé, quand le peuple découvre chaque matin , dans l’actualité, l’invraisemblable inconscience d’un personnel politique infantilisé par la fascination qu’exerce sur lui, le « pouvoir médiatique ».

Comment peut-on prendre au sérieux une génération politique qui se complaît dans « l’auto-contemplation », une génération marquée par une prolifération d’egos surdimensionnés, qui ne sait plus quoi faire pour tenter d’exister dans un univers de « people » si bien décrit et caricaturé par le regretté Philippe Muray ???

Des exemples ???

Pas plus tard que ce matin, l’hebdomadaire « Le Point » nous apprend (Je cite) que « sept élus de gauche ou de droite – Bernard Accoyer, Samia Ghali, Jean-Luc Romero, Julien Dray, Geoffroy Didier, Thierry Mariani et Dominique Bussereau – ont participé à l’émission programmée par la chîne D8 début 2015, dévoilée mardi par Le Parisien. Pendant une journée, affublés de perruque, faux nez et menton postiche, ils ont vécu incognito la vie de « Monsieur et Madame Tout-le-Monde » (titre provisoire de l’émission) : celle d’un urgentiste, d’un professeur mais aussi d’un handicapé en fauteuil roulant !!!(Fin de citation).

Ont-ils perdu tout sens de la dignité que l’on est en droit d’attendre des élus de la République ??? La réponse des Français est cinglante. Le même hebdomadaire consulte ces Français dans un sondage: « Approuvez-vous les politiques qui participent à une émission de télé réalité » ??? sur 16673 Votants, leur réponse est : 7% Oui 93% Non !!!
Comme si le vaudeville républicain dont la Star incontestée aura été le Président de la République lui-même, avait besoin de cela !!! Comme si La France n’attendait pas autre chose de ses représentants que ces démonstrations d’immaturité politique !!!

D’autres exemples ???

Du côté des « Corps intermédiaires »– dont on a abondamment accusé Sarkozy de trop les « ignorer » -, cela ne va pas mieux !!! Selon « lepoint.fr », « Les travaux de rénovation de l’appartement de fonction de Thierry Lepaon, numéro un de la CGT, en banlieue parisienne ont coûté 120 000 euros à la centrale, selon Le Canard enchaîné. Selon l’hebdomadaire satirique daté de mercredi, les travaux pour cet appartement de 120 mètres carrés ont coûté 130 000 euros à la CGT, mais le devis initial était encore plus élevé (150 000 euros). Le numéro un de la CGT aurait renoncé à quelques dépenses comme l’installation d’un home cinéma ou d’une cave à vins, selon l’hebdomadaire. »

Lepaon,…encore un à qui il ne manque plus qu’un « chapeau à plumes » !!!

Quand on sait que la CGT, comme la plupart des organisations syndicales, ne survit que grâce aux deniers de l’Etat, les cotisations des adhérents ( 7% des salariés dans le secteur privé ), ne suffisent pas à assurer son train de vie, quand on sait de quelle gabegie se nourrissent une bande d’apparatchiks « gestionnaires » de châteaux et de résidences de luxe pour syndicalistes en vacances, comment ne pas être indignés par de tels comportements en période de crise ???

J’aurais pu allonger la liste des exemples de la déchéance d’une représentation nationale arrivée en bout de course. Mais je laisse ce soin à ceux dont c’est le gagne-pain: le « Canard enchaîné », ou « Médiapart » qui se nourrissent de chair fraîche, en puisant dans le marigot.

Une nombre croissant de nos concitoyens ne se reconnaissent plus dans ceux qui sont censés les représenter, de même que dans la grille de lecture du climat politique actuel que nous proposent les médias.

La France sait désormais que ses politiciens de tous bords l’ont régulièrement trompée depuis quarante ans.

Ecrasés sous la charge d’un Etat incapable de réduire son train de vie, les Français sont désormais convaincus d’être dirigés par une clique d’incompétents, égoïstes et vaniteux. Ils ont compris qu’ils vivaient depuis trop longtemps à crédit et que la générosité de « l’Etat Providence », c’était au détriment des générations futures.

Un simple coup d’oeil sur la Presse étrangère, grâce à internet, permet de mesurer l’étendue du discrédit d’un pays au bord de la déchéance. Et surtout de prendre la mesure de l’inquiétude que suscite ce pays qui refuse de regarder le monde en face, et qui risque d’entraîner toute l’Europe dans sa chute….

Alors, quelques médias complices, en perdition eux aussi, qui ne survivent que grâce à l’Etat, tentent de persuader les Français que ceux  qui croient encore aux valeurs traditionnelles, à l’éthique et au sens de l’honneur, aux leçons tirées de l’expérience, et à celles de l’Histoire sont les survivants d’une « France rance » .

Cette France qui lit les livres interdits par la pression médiatique serait donc la France du passé?…

Je n’y crois pas un seul instant!  je pense, au contraire, que les Médias et les « zintellectuels, sociologues et politologues redondants et bavards que nous infligent les médias sont les représentants d’une France moisie, – je n’ose pas dire d’une France en état de décomposition » – une France idéologiquement égarée, qui cherche désespérément à survivre à la défaite idéologique du socialisme collectiviste, en utilisant l’arme préférée des « trotskystes », celle de  l’anathème.

Car, qu’on se le dise. Nous vivons, depuis plus d’un demi-siècle, dans une sorte de « socialisme mou », hérité du « Conseil National de la Resistance »qui, sous de Gaulle, légiférait sous la menace des milices communistes. Nous subissons l’escroquerie intellectuelle de ceux qui veulent nous convaincre que la crise dont nous serions les victimes est celle du « libéralisme »: or, lorsque près de 57% de la richesse produite par la Nation est absorbée, confisquée, par l’Etat, on peut affirmer que la France, c’est tout le contraire d’un Etat « libéral ».

De plus, ce « socialisme mou » est moribond. Et « la Droite » française n’a jamais eu le courage de le remettre en question: terrorisée par une Gauche hargneuse, accusatrice et culpabilisante, elle a géré complaisamment ce « socialisme mou » ….

En outre, les armes utilisées pour domestiquer l’opinion, et entretenir le mythe de l’Etat Providence  ne fonctionnent plus: elles obligent des journaleux sans talent à recourir à des réactions excessives qui poussent de plus en plus de Français à réagir à l’inverse…

Les Mauriac, les Aron, les Camus, les Lazareff, les jean-François Revel, les Dumayet, n’ont pas eu d’héritiers dignes d’eux. Leurs successeurs ne sont que des « plumitifs » engagés, muselés, ficellés par une police de la pensée « soixantehuitarde », invisible, mais partout présente dans la Presse.

Le succès phénoménal du livre de Zemmour, « Le suicide Français », en est un témoignage cuisant. C’est un des nombreux signaux de la révolte de ceux qui ne sont plus dupes, et ils sont de plus en plus nombreux. Charles Consigny, dans « lepoint.fr », publie un article  intéressant, dans lequel il explique la montée du « Lepenisme »et la « droitisation » de l’opinion française par la « trahison des élites ». Je le cite:

« Comment s’étonner que 15 000 exemplaires soient vendus tous les jours du Suicide français ? Comment s’offusquer de voir Marine Le Pen progresser comme inexorablement dans le coeur des gens ? Comment oser brocarder tel ou tel propos d’Alain Finkielkraut quand, avec un courage remarquable, il s’affranchit de sa caste pour dire la réalité qu’il voit ? Quelle hypocrisie faut-il pour dire que Sarkozy, c’est Pétain, comme l’a fait sans susciter une quelconque réaction « indignée » le gourou des indignés professionnels, Alain Badiou ? Ce qui fait « monter le Front national », ce ne sont certainement pas Zemmour, Finkielkraut ou Sarkozy : ce qui crée l’immense colère qui a gagné les Français, c’est le sentiment qu’ils ont à juste titre d’avoir été trahis par des gens qui, en fait d’oeuvrer à la grandeur de la France, ne songent qu’à nourrir leur plus basse vanité… » (Fin de citation)

Je reviendrai, dans les prochains jours, sur « Le Suicide français », dès que j’aurai terminé la lecture de ce « pavé » de plus de 500 pages, jeté dans le marigot politicien, et qui provoque un début de panique chez les grenouilles de la classe politique.

Car sur ce livre, il y a, en effet, beaucoup à dire.

Déconfiture de la Presse « de Gauche »…


LibéMarchands d’illusions….

La Presse écrite française, confrontée aux bouleversements introduits par les nouvelles technologies et par Internet, traverse une crise existentielle. Sa survie dépendra notamment de sa capacité à trouver de nouvelles formules permettant de faire co-exister « le Journal » traditionnel et de nouveaux médias de diffusion, en matière d’information.

L’opinion a pris ses distances avec les médias traditionnels: l’Internet a permis à chacun de diversifier ses sources d’informations. Personnellement, je fais, chaque jour, en moins d’une heure, un large tour d’horizon de la Presse nationale et internationale, et je me suis déjà fait une opinion sur l’actualité avant même d’écouter la Radio ou de regarder une chaîne française d’information en continu.

Je suis d’ailleurs souvent surpris du décalage qui existe entre la manière de traiter l’information sur les médias français, et dans la Presse étrangère.

De nombreux thèmes sont traités, dans la Presse française, avec un parti pris évident, une soumission au « politiquement correct » et à la tentation de servir à son public du « Prêt-à-penser »dont on a appris à se méfier.

J’en ai fait, plus d’une fois l’expérience, en faisant des rapprochements entre la manière « complexée » dont nos journalistes traitent les problèmes d’immigration, ou les questions relatives à l’Islam, et celle dont les mêmes problèmes sont traités dans la Presse algérienne, tunisienne ou marocaine. J’en ai d’ailleurs évoqué quelques exemples choquants sur ce blog….

Un exemple ??? Dans quel journal français pourriez-vous lire un article comme celui-ci ??? http://www.kabyle.com/revue-de-presse/lislam-envahit-tous-espaces-publics-france-23506   

La « crise » atteint particulièrement la Presse de Gauche. Et tout particulièrement la Presse de Gauche la plus sectaire, plus « porteuse d’idéologie » que d’informations et d’analyses. Celle qui souffre le plus des comparaisons avec les sources d’informations aux quelles Internet donne accès.

Cela explique probablement la déconfiture de certains organes de cette Presse « de Gauche », enfermés dans « des niches d’opinion » qui ne correspondent plus à l’évolution de notre société. De plus en plus suspecte de « connivence » avec le « Pouvoir », la Presse perd chaque jour, un peu plus de crédibilité.

Le Monde a dû procéder, il y a peu de temps à une « recapitalisation » de son Bilan , en introduisant dans son Capital, quelques grosse fortunes emblématiques et traditionnellement « tournées vers la Gauche ». Le quotidien de références de la « bobocratie », soutien traditionnel de ceux qui « n’aiment pas les Riches », ne crache pas sur l’argent lorsqu’il s’agit de survivre….

Mariane, qui avait bâti sa fortune sur un « anti-Sarkozisme » obsessionnel a vu ses ventes sérieusement affectées par la défaite de l’ex-Président, et a dû procéder à des « remises en ordre », non seulement sur le plan financier mais également, sur le plan éditorial, avec le départ de Maurice Safran.

L’Humanité, – dont certains considèrent que ce journal est indispensable à l’expression du peuple de la Gauche communiste – , ne survit que grâce à des subventions et des cadeaux de l’Etat, aux frais des contribuables. Même en période de crise budgétaire, l’Etat socialiste n’hésite pas à « se fendre » de quelques beaux cadeaux à « l’organe du Parti Communiste »pour lui éviter la déconfiture: http://www.assemblee-nationale.fr/14/amendements/1547/AN/410.asp.

Et tout le monde trouve ça normal !!!

Libération, organe des « libertaires » héritiers des « révolutionnaires » de Mai 1968, est également en perdition. Il ne lui aura pas suffit de changer de Direction pour éviter la déconfiture. Car il ne suffit pas de se distinguer, à la pointe du combat de ceux qui sont révulsés par la montée d’une Droite qui progresse dans l’opinion, et qui trouvent, entre autres, que le succès du livre de Zemmour a quelque chose de « rance », pour vendre du « papier ». Sans doute, parce qu’une fraction grandissante du « lectorat » de ce quotidien considère que les « idées » qu’il porte sentent de plus en plus le « moisi »…

Libération en est réduit à »faire la manche » pour survivre: http://www.lepoint.fr/medias/trois-millions-d-euros-a-trouver-pour-remettre-a-flot-liberation-22-10-2014-1874693_260.php.

Tout cela est symptomatique.

La crise, peu à peu, a ouvert les yeux des Français. Ils ont compris que les « idées de gauche » les conduisent dans une tragique impasse. Non seulement sur le plan économique, mais également sur le plan sociétal. On a reproché à Sarkozy d’être « clivant », mais jamais, depuis que la Gauche est au pouvoir, les divisions entre Français n’ont atteint ce degré d’intensité. Et la Presse « de Gauche » n’y est pas étrangère, car elle entretient les « haines de classe », les préjugés sociaux, elle exaspère ceux qui refusent de sombrer dans la société dont « ils » rêvent, d’une permissivité aveugle.

Le « déni de réalité » se heurte peu à peu aux faits et, comme disait Michel Rocard, « les faits sont têtus ».

Les Français se détournent de ceux qui cherchent à leur faire prendre leurs rêves les plus fous pour des réalités, qui, avec aplomb, prétendent encore que « demain on rasera gratis », que l’immigration sans contrôle « est une chance pour la France », que le peuple de ce pays a, intrinsèquement, vocation au « métissage », objet des éternels fantasmes d’une gauche « bobocratique », que les « minorités sexuelles » de tout poil ont un droit légitime d’imposer leur Loi à la majorité, et que le laxisme, la licence en matière de moeurs sont les « marqueurs » d’une société de progrès. Tout comme les élucubrations des « zartistes » d’avant garde, qui seraient, dans la bouche même de Hollande, les précurseurs d’une société en mouvement, mais qui ne sait pas où elle va, car elle a perdu la boussole du « bon sens ».

A force de servir à ses lecteurs de la « bouillie pour les chats », la Presse de Gauche pédale dans la semoule, avant de s’embourber dans la déconfiture….

Pieds Nickelés.


FilocheCe n’est pas la première fois que j’use de cette comparaison « audacieuse », pour évoquer la clique qui gouverne la France.

Entre le Croquignol qui « trône » à l’Elysée, et les « Ribouldingues » du Parti Socialiste, il manquait le chaînon de l’inimitable « Filochard ».

Ce dernier vient de se manifester, à l’occasion des circonstances tragiques de la mort de Christophe de Margerie.

« De Margerie est mort. Famille Taittinger en deuil. Les grands féodaux sont touchés. Ils sont fragiles. Le successeur nous volera t il moins?« , s’est interrogé sur son compte Twitter Gérard Filoche. Avant d’ajouter dans un nouveau tweet: « Un hommage à l’humain? Oui! Au suceur de sang? Non ». 

Ce personnage, qui sue par tous les pores le parfum d’une Gauche haineuse et sectaire, vivant encore au XIXème siècle, et imprégnée d’un mélange de Proudhon, de Marx et Zola, ce « trotskyste » modèle d’héritier des pires « coupeurs de tête » de la Révolution Française, s’est exprimé, avec la délicatesse dont on devine qu’elle est la marque de sa personnalité.

FillocheIl porte sur son visage , la marque de ce qu’il est, au quotidien….

Il a été successivement facteur, conducteur de train, manutentionnaire, chauffeur-livreur, maître-auxiliaire, enseignant de philosophie, journaliste, un des dirigeants du quotidien Rouge du 15 mars 1975 au 29 janvier 1979, ouvrier du livre, puis contrôleur du travail à la formation professionnelle de 1982 à 1985. Ce qui s’appelle « naviguer à vue dans la Fonction Publique avec le bouclier syndicaliste »….

Nommé inspecteur du travail en 1985, il est depuis l’arrivée de la Gauche au pouvoir, Inspecteur Général du Travail. Une vraie carrière d’apparatchik « révolutionnaire »qui lui a permis de se hisser parmi l’oligarchie qui, à Gauche, prospère dans l’arrière cour de l’Etat.

En tant que « personnalité qualifiée » il a été nommé au Conseil économique et social par Lionel Jospin.

Une bonne « planque » d’où il peut exercer, à loisirs, ses activités de militant d’une gauche archaïque. Celle qui « déteste la Finance », « n’aime pas les riches », et encore moins « les patrons ».

Pour l’avoir entendu s’exprimer à la télévision sur des questions touchant au Droit du Travail, je me suis souvent dit que, patron, je n’aurais pas aimé me trouver en face d’un tel personnage: convaincu que chez tout chef d’entreprise sommeille un « buveur de sang », un « exploiteur », un « délinquant » en infraction vis à vis d’un Code du Travail, dont il s’oppose à toute perspective de refonte et de simplification. Et pour cause: dans le maquis des Lois et des règlements, il est de ceux qui trouveront toujours l’article qui permettra de vous faire condamner, par principe….

De la même veine que ceux qui verront toujours, derrière un « Colon », un « esclavagiste ».

Manuel Valls a déclaré, devant la Représentation Nationale, qu’un tel personnage n’avait plus sa place dans le Parti Socialiste.

Hélas, ce Filochard appartient à la catégorie de ceux qui tirent la France vers le bas. Aveuglés par leurs « convictions » d’un autre âge, ils participent, avec un syndicalisme obtus, au travail de sape qui mine, une à une, les Entreprises françaises et décourage les volontés d’entreprendre.

Ils sont les fossoyeurs de notre économie, et le cancer qui ronge, dans ses profondeurs, l’unité de la Nation, car ils portent en eux, des pulsions d’une violence dont on sent bien qu’il suffirait d’une étincelle pour qu’elle s’exprime, autrement que par des éructations verbales….

Têtes de l’Art….


Anal        Reproduction de l’image illustrant un « Tweet » sur le Net. (Il s’agit probablement d’un « artiste engagé »)…

La création artistique a besoin de « liberté ». Mais toutes les « Têtes de Lard » ne sont pas forcément de grands artistes !!!

Les Artistes, les vrais, sont, certes libres d’exprimer leur « talent » en choisissant les formes d’expression qui correspondent le mieux à leur « sensibilité ».
Mais, » la liberté des uns finissant où commence celle des autres », ils ne sont pas libres d’imposer « aux autres » des oeuvres conçues pour provoquer la société, en les exposant dans les lieux les plus prestigieux de la Capitale.
Sous Mitterrand nous avions eu droit à la défiguration de la Place du Palais Royal, à Paris, avec les fameuses « colonnes de Buren » dont les touristes se demandent encore aujourd’hui, ce qu’elles font là, si ce n’est pour rappeler les rayures bleu et blanc des tentes qui ornent les fenêtres du Ministère de la Culture.
L’artiste américain Mac Carthy vient de renoncer à exposer, en pleine place Vendôme une « sculpture » gonflable en forme de « sex-toy »censée représenter un sapin de Noël….
Fort opportunément, il a compris que la Place Vendôme n’était pas le lieu le plus approprié pour exposer cette représentation incongrue qui témoigne d’une inspiration d’un goût douteux. Sans doute s’est-il lancé à la recherche d’une salle d’exposition « à la dimension de son oeuvre »….
L’Artiste a, sans conteste, le droit d’exprimer ses fantasmes les plus audacieux, dans son atelier, et à la rigueur dans des expositions qui s’adressent, en général, à un public « averti », mais la rue appartient à tous les citoyens, y compris à ceux qui ne se sentent pas obligés de partager les « fantasmes » de l’Artiste.
C’est là que se situe la limite de « l’exercice ». Et c’est ce qui explique ce rejet brutal, par ceux qui refusent même de s’interroger, pour savoir si ce « plug anal », c’est « de l’Art, ou du cochon »…..
L’exploit artistique de l’artiste américain Mac Carthy, a  provoqué des réactions qui expriment bien la diversité des « sensibilités artistiques » des Parisiens.
Cette « grande oeuvre » ( par sa taille ), aura au moins eu le mérite d’inspirer de nombreux autres « artistes » sur la Toile, dont une représentation originale de notre Président, « en Majesté », dans toute sa normalité, dans les Jardins de son Palais….Les « talents » ne manquent pas sur le Net.
A méditer par une Gauche qui ne sait pas quoi faire pour tenter d’exister, et pour heurter les Français dans leurs convictions en les provocant : car elle considère qu’elle a le monopole du privilège de représenter la « Modernité », le « Progrès », et d’être le porte-drapeau de l’intelligentsia  des « Bobos »germano-pratains, dont le rayonnement culturel ne dépasse pas les quelques rues qui entourent le Café de Flore….Elle considère, en outre, que tous ceux qui ne partagent pas ce que, pompeusement, elle appelle « ses valeurs » sont des crétins !!!

Zemmour et « le Grand Turc »….


TurcQuand je vous disais que Zemmour, même avec ses excès, ses obsessions, ses « fantasmes » comme disent ses adversaires, est indispensable au monde médiatique français.

Ne serait-ce que parce qu’il nous joue une « petite musique » qui dérange l’ordre des « idées reçues », sans parler de celles que l’on cherche à nous imposer, dans le camp de ceux que de Gaulle dotait de « cervelles de colibri », en nous assenant leurs « vérités » avec l’arrogance de ceux qui prennent pour des « minus habens » , ceux qui ne les partagent pas.

Les lecteurs fidèles de ce blog savent à quel point j’ai toujours combattu l’idée (farfelue à mon sens ) d’une entrée de la Turquie dans une Europe « sans frontières ».

Les partisans de cette monstrueuse idée rasent les murs, aujourd’hui. Quelques uns d’entre eux n’ont pas de mots assez durs pour condamner l’attitude de la Turquie d’Erdogan devant l’écrasement de l’héroïque défense Kurde de la ville de Kobané, à la frontière entre la Syrie et la Turquie, pour qui tout ce qui peut aboutir à l’écrasement du peuple Kurde est bon à prendre.

C’est dire que j’approuve, totalement, le propos de Zemmour dans la video qui suit, et qui a dû en « déranger » plus d’un…..

http://video.lefigaro.fr/figaro/video/zemmour-a-propos-de-la-turquie-ils-disaient…/3843091681001/

Introuvable au Moyen-Orient !!!


VioloncelleNos femmes ne sont pas voilées. Elles ne sont pas « pures » au sens de la Charia. Mais elles sont belles, elles ont du talent, et, pour nous ravir, elles ont en prime, de l’humour !!!!

Les Djihadistes traitent les femmes comme du bétail, les vendent, les violent, les mutilent, les égorgent pour moins que cela….Car les « fous d’Allah », n’aiment pas les femmes et détestent la musique. Le seul instrument dont elles ont le droit de « jouer », c’est « la batterie »…de cuisine.

Alors, soyez-en certains, vous ne verrez jamais ces quatre femmes se produire sur une scène de Doha , de Ryad, et encore moins de Damas ou de Bagdad !!!!

Devant le monde sinistre que ces gens nous préparent, prenez quelques minutes pour vous détendre, et pour sourire, en regardant cette courte vidéo:

  Ces 4 femmes talentueuses sont entrées sur scène. Ce qu’elles ont fait ensuite va vous scotcher !

Et savourez la chance de vivre dans un pays où il est encore permis de sourire.( Pour combien de temps encore ???).

Bonne journée à tous !!!

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« Le Suicide Français ».


zemmour1Le hasard a fait que j’ai eu l’occasion de regarder, la semaine dernière, les deux émissions de Télévision au cours desquelles Zemmour s’est « illustré » dans la présentation et la défense de son dernier livre « Le Suicide Français »: »On N’est Pas Couché » face à Aymeric Caron et Léa Salamé ou sur le plateau de « C A Vous » face à Anne-Elisabeth Lemoine.

J’ai assisté, médusé, comme beaucoup de Français, au « passage à tabac » télévisé de ce polémiste honni de la classe médiatique. Car Zemmour cristallise sur lui, tout ce qu’une certaine bobocratie déteste.

Dans l’émission « C A Vous », l’hôtesse du jour, Anne-Elisabeth Lemoine, qui n’avait manifestement pas lu le dernier brûlot de Zemmour, était en « service commandé » pour dénigrer son dernier livre , mais ne faisait pas le poids, face à l’assurance tranquille de son hôte et à ses réponses fortement argumentées à des questions qu’on avait préparé à l’avance, pour une « animatrice » habituée à traiter de sujets plus futiles que celui du « destin de la France ».

Pendant toute la durée de l’émission « On n’est pas couché », Zemmour avait dû affronter également l’ironie volontairement blessante d’un Aymeric Caron dans tous ses états, les attaques plus feutrées de Léa Salamé, et la verve gouailleuse de Daniel Cohn-Bendit s’efforçant de répondre aux dénonciations de l’héritage de Mai 1968, sous l’oeil rigolard de Ruquier qui sentait qu’il tenait là le « buzz » de la soirée….

Dans la Presse, les chroniqueurs, y compris parmi ceux qui font preuve, en général, d’une certaine indépendance d’esprit par rapport à la « pensée unique », se sont déchaînés : même Charles Consigny dans « le Point », après avoir reconnu les mérites éditoriaux de Zemmour, ne lui pardonne pas son propos sur le « régime de Vichy ».

Je le cite: «  Le succès d’Éric Zemmour comme son aisance dans les médias sont le fruit d’un diptyque gagnant : il est sincère et cultivé, deux qualités qui font défaut à la plupart de ses interlocuteurs. À l’heure où tout le monde parle sans savoir et contraint son verbe par peur du « dérapage », l’éditorialiste du Figaro fait mouche auprès de téléspectateurs et de lecteurs qui ont le sentiment qu’enfin quelqu’un dit la vérité. »

Mais, plus loin, il ajoute : « Les affirmations polémiques sur la distinction faite par Vichy entre Juifs Français et non Français, quand bien même elles seraient basées sur une réalité, sont au moins maladroites, car elles donnent du grain à moudre aux négationnistes qui sévissent sur Internet et notamment dans les banlieues où leurs thèses rencontrent un certain écho, et qui pourront désormais brandir des « même Zemmour le dit ! ». 

Ce qui équivaut, aux yeux de l’intelligentsia parisienne à une condamnation sans appel. Je n’ai lu, dans toute la Presse, aucune analyse critique objective et argumentée de ce livre qui soulève pourtant de réelles et graves interrogations sur le destin de notre pays qui glisse dangereusement sur les pentes de la médiocrité.

Par contre je n’ai lu que des articles traitant du passage de l’ouvrage traitant du sort des Juifs, sous Pétain, qui, pour ceux qui ont réellement lu le livre ne tente nullement de réhabiliter la « Collaboration » et le Régime de Vichy. Comme s’il s’agissait du passage principal du livre……

Zemmour inspire, à certains, une profonde détestation, car Zemmour dérange, dans le paysage journalistique français. C’est un homme cultivé, qui avance ses arguments en les étayant  de références historiques difficilement contestables. Et cela irrite ses adversaires , car rares sont sur nos médias, les journalistes de talent, sachant écrire et s’exprimer dans une langue correcte, et disposant du « répondant culturel » à la hauteur des débats soulevés par le polémiste.

En outre Zemmour qui adore « appeler un chat, un chat », hérisse le poil de ceux qui sont habitués à envelopper leurs idées du « prêchi-prêcha »conformiste habituel, dont la pseudo-générosité hypocrite masque mal un déni récurrent de réalité, ainsi que l’égoïsme générationnel du « tout pour nous, ici, et maintenant » et « après nous la fin du monde »….

Mais, sans doute est-ce un signe des temps. Il faut croire que le discours « droitisant » de Zemmour choque de moins en moins de Français.

Car si le livre de Valérie Treirveiler s’est déjà écoulé à 450 000 exemplaires – et la barre des 700 000 pourrait bien être atteinte d’ici la fin de l’année,le pamphlet rageur et ravageur qui lui succède au palmarès  est bel et bien « Le Suicide Français » d’Eric Zemmour.

Selon « Le Point », il se vend 5 000 exemplaires par jour de son dernier ouvrage, sorti le 1er octobre dernier : la première impression de 100 000 exemplaires pourrait ainsi être écoulée en seulement quelques semaines. Son éditeur Albin Michel pronostique un tirage final à 200 000 livres, si ce n’est plus : Zemmour est d’ailleurs passé devant Trierweiler sur Amazon ainsi que sur Datalib .

Je l’ai vérifié moi même, dans une grande Librairie de Bruxelles , chez « Filigranes », le livre se vend comme des petits pains et le libraire craint de ne pas disposer d’assez de stocks d’ici la fin du week-end : Zemmour est donc lu, et apprécié, au-delà de nos frontières….

Zemmour n’en est pas à son premier coup de maître. Ses précédents ouvrages ont été des succès de librairie, dépassant le plus souvent les 100.000 exemplaires.

C’est le signe le plus probant de la rupture intellectuelle qui s’est installée entre nos « zélites » et une fraction grandissante de Français.

 Car ce livre, dont le succès éditorial est édifiant, ne fait que hurler, peut-être avec un brin de grandiloquence, ce que « le peuple » pense tous bas.

Ce déclin que Zemmour décrit, sans délectation, et même avec une certaine amertume, c’est ce que ressentent tous ceux qui se sont détournés de « l’Establishment », qui, sans succès, essaie de faire passer pour de la « modernité » ce qui n’est que rejet de valeurs dont nos « zélites » se sont détournées, et auxquels un vieux fond de sagesse populaire reste accroché.
A « les » entendre, la Famille, c’est ringard, la Patrie, n’en parlons pas, quand au Travail il est désacralisé…au profit des Loisirs.

Sans doute parce qu’un certain Pétain a eu une intention incongrue, – à un moment où les « zélites » avaient pour la plupart déserté la France laissant ce vieillard sénile, seul devant le désastre – l’intention de revaloriser ces valeurs si décriées aujourd’hui par la « bobocratie »….

Car pour les cervelles de colibri qui servent de « maîtres à penser »autoproclamés, il y a des mots qu’il est interdit, voire dangereux d’utiliser sous peine d’être traités de « nostalgiques » d’une époque révolue. Or, le Travail, la Famille, et surtout, la Patrie, sont devenus des mots « maudits »par nos « zelites » .

Or, Zemmour ne se prive pas d’en user, en esprit libre qui refuse de se plier aux dérives de « la pensée unique ».

C’est pourquoi, même si je trouve que parfois il en fait un peu trop, je considère que Zemmour est irremplaçable dans le paysage médiatique actuel, ne serait-ce que pour y laisser souffler un peu d’air frais…Car si le discours de Zemmour est qualifié de « rance », par « Libération », je n’ai aucun scrupule à proclamer que l’haleine de ceux qui le critiquent a un parfum de moisi….

Car on sait que l’idéologie est une passion française. Mais chez ceux chez qui elle remplace la foi religieuse, l’aveuglement interdit d’évoquer les réalités qui dérangent. Et Zemmour, c’est un électron libre qui dérange………… (http://www.causeur.fr/l%E2%80%99ideologie-une-passion-francaise-6053.html )

Les « bons » et les « méchants »….


Bonshttps://berdepas.wordpress.com/2014/09/15/le-camp-des-saints-ou-celui-des-barbares/

Dans un récent billet intitulé « Le Camp des Saints ou celui des Barbares », je mets en doute le choix de nos alliances dans le conflit qui se profile, et auquel nous ne pourrons pas nous dérober, car cette guerre, ce n’est pas nous qui l’avons souhaitée.

Car nous avons beau « faire semblant », et « faire comme si » ce n’était pas le cas: la guerre nous a été déclarée !!!
Car, le conflit qui s’engage, sera long et meurtrier: il a une dimension mondiale. Il suffit d’étaler une mappemonde et d’entourer d’un cercle rouge toutes les régions du monde où l’Islam pose problème, où se produisent des attentats, des enlèvements, ou des groupes armés tentent de s’emparer du pouvoir, et sont en rébellion contre le pouvoir en place, sans parler des pays qui, hors de l’orbite d’influence de l’Islam subissent, de l’intérieur des pressions à connotations religieuses islamiques….
Pire encore, l’Islam est en guerre avec lui même: nous sommes à l’aube d’un conflit majeur entre Chiites et Sunnites, et nous ne savons pas très bien dans quel camp nous situer, car nous sommes prisonniers d’intérêts de toutes natures, pétroliers, financiers, commerciaux et vitaux pour nos industries d’armement….
Tout cela n’est pas simple.
Pour une fois nous allons, enfin, devoir admettre qu’il n’y a pas, dans le monde d’aujourd’hui, les bons d’un côté et les méchants de l’autre. Il y a des bons partout, mais il y a aussi des méchants partout, d’où la difficulté de savoir où se situent les lignes de front. On en trouvera une illustration dans cet article de l’hebdomadaire « Le Point »:

http://www.lepoint.fr/monde/syrie-pourquoi-la-turquie-laisse-kobane-tomber-08-10-2014-1870590_24.php

Les « politologues » vont devoir réviser et affiner leurs analyses. Car, il y a parmi « nos amis » ceux qui aident nos ennemis. Et parmi « nos ennemis » tels que l’on nous les présente, il y a ceux qui sont opposés à ceux que nous combattons. Je n’oublie pas ceux qui se disent « nos amis » et qui assistent immobiles à la victoire de « nos ennemis »…

Le « djihadisme », porte en lui, comme tous les mots en « isme » les germes d’une dérive quasi « totalitaire ». Le Coran, et les indénombrables interprétations aux quelles il se prête, régit tous les aspects de la vie individuelle et collective de ses « fidèles ». Pour ceux qui nous combattent au nom du Coran, celui-ci est à la fois, la Constitution de l’Etat planétaire qui hante leurs rêves fous, il en est le Code Civil, le Code Pénal, le manuel d’éducation dans la vie quotidienne, allant jusqu’à préciser la main avec laquelle on doit manger son couscous, et celle avec laquelle on doit se torcher aux toilettes….

Le Djihad que l’improbable coalition à laquelle nous appartenons doit combattre est l’expression d’une dangereuse boursouflure de « l’Islam Sunnite »qui veut imposer à la terre entière la rigueur de « son » interprétation du Coran. Une rigueur incompatible avec ce qui inspire nos sociétés de liberté ( de laxisme selon les « djihadistes » ).

Ce n’est pas la première fois, dans l’Histoire du Monde Arabe qu’une crise de cette nature éclate. Mais c’est la première fois qu’un Etat (auto proclamé, certes…) est un « Etat djihadiste », disposant d’une armée, d’un armement moderne, et de ressources financières énormes, émerge du monde musulman.

Or, il est vrai que tous les Arabes ne sont pas des « Musulmans pratiquants », et tous les Musulmans ne sont pas des fanatiques dans leur interprétation du Coran. Il y a chez ces « fidèles », des degrés divers dans l’application au quotidien, des prescriptions religieuses du « Livre vert ».

C’est pourquoi la menace « djihadiste » concerne au premier chef les Musulmans eux-mêmes. Elle vise à contraindre tous ceux qui se réclament de l’Islam, un respect absolu des règles qu’il préconise, dans leur interprétation la plus stricte. Elle vise à les contraindre par la menace physique : les Algériens qui ont traversé une terrible période, dans les années quatre vingt dix, dans une sorte d’indifférence polie de l’Occident, en savent quelque chose. La guerre civile qui a confronté le GIA à la nation algérienne a coûté près de 200.000 morts à ce pays proche de nous….Les Algériens savent mieux que quiconque, à quel degré de cruauté et de barbarie ils ont dû faire face au cours de cette guerre civile.

Une guerre civile qui a laissé des traces profondes, et encore visibles, à l’oeil nu : le « Haïk » blanc que portaient avec grâce, dans ma jeunesse, les femmes algériennes, a disparu dans les rues d’Alger où l’on voit de plus en plus de silhouette noires : les « corneilles » ont remplacé les « colombes », et une sorte de police religieuse, discrète mais efficace veille désormais sur ceux qui s’aventureraient à boire une bière en public…

La Presse algérienne fourmille d’articles qui font référence à cette époque qui a marqué profondément la société algérienne, car la frontière entre les deux camps passait souvent au coeur même des familles, souvent déchirées parfois décimées par l’horreur.

J’utilise cet exemple, parce que je le connais bien, pour montrer que dans ce genre de conflit, il n’y a pas « des bons » d’un côté et des « méchants » de l’autre.

L’excellent journaliste, Pierre Beylau, dénonçait récemment dans « Le Point », tous ces « spécialistes » de l’Islam dont le discours, stéréotypé, nous enfume plus qu’il nous éclaire.

http://www.lepoint.fr/monde/ou-va-le-monde-pierre-beylau/terrorisme-on-n-en-peut-plus-des-specialistes-27-09-2014-1867164_231.php

Ce que Pierre Beylau décrit, c’est exactement ce que je ressens en regardant les débats sur les Chaînes d’Information en continu et sur C’est dans l’Air, l’émission de Calvi sur France 5 ….
Ayant vécu trente ans de ma vie en Algérie et dans le Maghreb où je suis né, parlant autrefois couramment l’Arabe, j’ai la prétention de connaître ce monde auquel je continue à m’intéresser avec passion, cette culture, et même, dans une certaine mesure, cette religion et l’état d’esprit de quelques uns de ceux qui la pratiquent, pour avoir « grandi » avec eux….
Je suis effaré par les affirmations, les certitudes, les contre-vérités les analyses prétentieuses et purement intellectuelles de gens qui me paraissent n’avoir de l’Islam et du Monde Musulman qu’une connaissance purement « livresque ».
On se demande, en effet qu’est-ce que peuvent bien chercher ces « chercheurs »du CNRS et d’ailleurs…. Quand à ces « spécialistes » du Monde Arabe, leurs discours me fait souvent douter de leur compétence.

Un seul d’entre eux trouve quelques fois le moyen de m’intéresser par ses analyses: c’est Antoine Sfeir, qui aborde ces questions avec infiniment de nuances et de modestie.
Les autres ne font que brasser du vent. Mais ce sont toujours les mêmes que l’on voit……

Ces bavards nous ont habitués à une dichotomie du Monde qui sépare ceux qui sont du bon côté de ceux qui sont du mauvais côté. Cette perception binaire du monde va devoir être de plus en plus nuancée…

Plus près de nous, il va falloir prendre en compte, comme je l’ai souvent écrit sur ce blog, le fait que chez nous, « le ver est dans le fruit ». La « police de la pensée » va devoir réorienter ses objectifs et ouvrir les yeux sur ce qui constitue une vraie menace pour l’unité nationale : les bons d’aujoud’hui sont peut-être les méchants de demain et inversement….

Alors, certes, il ne faut pas « stigmatiser »aveuglément….. Mais gardons les yeux ouverts !!!

« Orgueil et préjugés »… »racistes ».


racisme2J’ai éprouvé un certain malaise, avant hier soir devant mon poste de télé en regardant sur la 2 l’émission consacrée à Juppé.

Un petit « chef-d’oeuvre » de comédie médiatique.

Il n’y avait pas de méchants, ce soir-là, pour apporter la contradiction à Juppé. Car même les « méchants » habituels étaient « gentils », et comme fascinés par la personnalité de ce vieux cheval de retour, qui leur a démontré qu’on n’est jamais « fini » en politique.

Il suffisait, en effet de le regarder. A l’aise, droit dans ses bottes, la répartie facile et intelligente, une attitude décontractée de vieux sage à qui « on ne la fait plus ». Juppé a été à la hauteur de sa nouvelle réputation.
Les journaleux, devant lui, avaient l’air médusés. La plus affectée par ce face à face où son numéro habituel a fait fiasco, c’est celle de Radio France, qui portait sur sa mine le désarroi de celle qui était venue pour mordre et qui ne parvenait pas à planter ses dents dans la chair lisse du personnage qu’elle affrontait.

On sentait bien, tout au long de cette émission, que les journaleux ont déjà fait leur choix pour la prochaine élection présidentielle….

Mais, pour moi, l’essentiel n’était pas là. Car l’un des sommet de ce moment de comédie a été atteint avec « la beurette de service » venue nous interpréter « l’air des banlieues », enfermées dans le ghetto qu’elles fabriquent elles-mêmes en faisant fuir les uns après les autres les « souchiens » submergés.

En écoutant cette jeune femme au verbe abondant, s’exprimant dans un excellent français je me disais que nous étions là, en face d’une caricature de ce que produisent nos « banlieues »: des êtres « transplantés »,  parfois « éduqués » mais ne parvenant pas à s’intégrer faute de pouvoir se débarrasser de préjugés dont ils accusent les autres…

Cette jeune femme prétendait souffrir du « racisme » mais elle n’aimait pas, en Juppé,  « l’homme blanc, bien élevé », qui a fait des études pour « s’élever » dans la vie….

Les médias, comme de coutume, ne se sont pas attardés sur cette séquence. Et pourtant cette intervention dans une grande émission, à une heure de grande écoute ne sera pas passée inaperçue des Français attentifs aux signes préoccupants de l’échec de la politique d’intégration prônée par ceux aux quels de Gaulle attribuait une « cervelle de colibri »….

Cette séquence avait valeur de symbole.

Car la difficulté d’intégration pour ces immigrés de la deuxième et parfois de la troisième génération, s’explique principalement, par le fait qu’ayant « idéalisé », avec orgueil, le pays d’origine de leurs parents, ils sont imbibés de la doxa ambiante complaisamment répandue, qui accuse notre pays de tous les maux dont souffrent leurs pays d’origine. Ils sont convaincus, en outre, grâce au « matraquage » des MRAP et autres SOS-Racisme, que la France est un pays raciste,- et même le seul au monde – de même que sont racistes tous les Français, sans exception.

Malheureusement, ils négligent trop souvent d’aller voir ce qui se passe dans les pays d’où viennent leurs parents…Des pays où SOS-Racisme ne met jamais les pieds.

Chacun sait ici que ma curiosité naturelle me pousse à fouiller dans la Presse de ces pays, à la découverte d’informations, de débats ou de points de vues, dont on ne trouvera jamais la trace dans nos médias englués dans leurs postures conformistes et « politiquement correctes ».

Voici quelques perles qui, si elles étaient portées à la connaissance de ces « révoltés » des banlieues, les inciteraient à réfléchir sur leur sort, comparé à celui des « compatriotes » de leurs parents.

Faites un petit tour sur le site :

http://maliactu.net/les-arabes-detestent-les-noirs/#sthash.Q9XqVigA.dpuf

Vous y lirez ceci (je cite): “Les Arabes détestent les Noirs. Et cela ne date pas d’aujourd’hui, c’est dans leur sang», déclare Aboubakr, un jeune ressortissant du Sénégal qui espère éventuellement rallier l’Europe. Il a passé près d’un an à Rabat, la capitale du Maroc, avant d’arriver dans ce campement près de la frontière espagnole et ses expériences là-bas lui font ressentir de l’amertume.
“Certains de mes amis ont été attaqués au couteau. Les bandits nous prennent pour cible parce qu’ils savent que nous ne pouvons pas aller à la police, même si nous sommes dépouillés et blessés. Étant sans papiers, nous serons plutôt arrêtés. Les Noirs n’ont aucun droit ici”.
Les attitudes racistes se manifestent également d’autres façons. Souleymane, de Guinée-Conakry, est en colère du fait que les Marocains l’appellent “Africain” dans un sens péjoratif. “Ils doivent nous considérer comme frères africains, dit-il, c’est différent quand un Européen vous appelle Africain, ou quand un autre Africain le fait”. Aboubakr ressent également de l’insulte du fait que les Marocains “ne peuvent pas croire que la plupart d’entre nous sont aussi des musulmans”. A l’en croire, les gens sont surpris lorsqu’ils le voient s’agenouiller pour la prière. “Ils ne pensent pas qu’un Noir puisse être musulman”.

Hé oui !!! Ces Arabes, Musulmans, ont du mal à croire que des Noirs peuvent être Musulmans comme eux !!! Et ils n’ont pas l’équivalent de « SOS Racisme », ou d’un Bedos, pour leur dire « Ils sont Musulmans comme nous » sur l’air d’une chanson bien connue: « Ils sont Français comme nous !!!… »

Autre exemple, extrait cette fois, de la Presse algérienne, sur le site de : http://www.alger-info.com/actualites/racisme-en-algerie-les-algeriens-sont-ils-racistes

Je cite: 

« Si l’on reproche, sans cesse, aux Occidentaux d’être racistes, xénophobes et islamophobes, il serait temps, chez nous, de se remettre en question et de revoir certaines attitudes ancrées dans la tête des Algériens.

« En Algérie, les travailleurs chinois sont plus de 50 000. On les aperçoit par groupes sillonnant nos villes pour faire leur marché ou bien en promenade. Les immigrés chinois ont investi notre pays ces cinq dernières années et ce, en qualité de travailleurs qualifiés.

Face à cet état de fait, les Algériens ne cessent de manifester leur hostilité envers cette main-d’œuvre venu spécialement travailler sur les grands chantiers et combler ainsi un manque criant en matière de main-d’œuvre compétente et surtout respecter les délais de réalisation par un travail ponctuel en un laps de temps assez court et ce en assimilant qualité et ponctualité. Lors de notre descente dans les rues d’Alger nous avons tenté de connaître l’opinion des Algériens face à la vague de Chinois qui envahissent nos rues ainsi que les opinions des Chinois eux-mêmes pour être au fait de leurs conditions de séjour sur le territoire national.

Entre admiration, hostilité, racisme et xénophobie les Algériens se prononcent.

Nous nous sommes d’abord rendus dans les quartiers avoisinant les chantiers où ils travaillent afin de tenter de cerner les réactions des gens, après avoir dévoilé notre identité, plusieurs personnes ont voulu nous livrer leurs opinions, Mehdi un chômeur de 27 ans nous dira  » ils nous prennent tout le travail qui nous était destiné. Quand ils ont inauguré ce chantier on attendait avec impatience que le patron affiche une liste pour un recrutement, en vain, après s’être rapproché des lieux, les responsables nous ont fait savoir qu’ils ne recrutaient pas des Algériens sans plus de détails, après quoi on a vu des groupes de chinois débarquer sur les lieux et en plus ils mangent devant nous en plein ramadhan ajoutant à cela le bruit qu’ils provoquent la nuit lorsqu’ils se soulent. Moi personnellement je ne les aime pas trop « .

Le témoignage de ce jeune n’est qu’un échantillon parmi une vague de contestataires qui, en plus, les provoquent quotidiennement en leur lançant des  » chnaoua  » ou « les mangeurs de chats « . Ces appellations nous renseigne bien sur la réalité et l’envers du décor qu’offrent les visages radieux de ces Chinois.

Un autre nous parle du non respect des traditions religieuses du pays en ajoutant plus loin  » comment peut-on faire appel à une main-d’œuvre étrangère alors que l’Algérie souffre de 32 % de taux de chômage c’est aberrant et en plus les Chinois sont payés le triple que les Algériens ainsi ils perçoivent 42 000DA alors que les ouvriers algériens perçoivent 18 000DA « Les Chinois commencent à susciter un vrai débat au sein de la société algérienne et surtout font face à des insultes et parfois même des agressions physiques.

Pathétique réalité pour une Algérie déjà coupée du monde et isolée du marché mondial où la xénophobie a pris le dessus sur le soi-disant légendaire accueil des Algériens, une tradition bien sûr erronée vu le nombre d’étrangers déjà peu nombreux, qui se sont vu soit agressés ou bien délestés de leurs objets de valeur ainsi que des obscénités lancées à leur égard. ( Fin de citation ).

Ce n’est pas la première fois que j’évoque ce sujet sur ce blog.

Il suffit de faire une recherche sur la page d’accueil sur le terme « racisme » pour avoir les coordonnées de mes billets traitant de ce sujet. Pour l’heure, je me contenterai de citer celles-ci: https://berdepas.wordpress.com/2013/11/26/le-racisme-est-un-phenomene-universel/

ou mieux encore : https://berdepas.wordpress.com/2014/01/20/anti-racisme-loverdose/

Pour revenir au sujet initial de ce billet, et à l’émission consacrée à Juppé, mon point de vue est qu’il faudrait cesser de donner la parole, sur nos chaînes télévisées, à des énergumènes excités venus pour pointer leur doigt accusateur sur les citoyens de ce pays, sans leur opposer des gens capables de leur répondre et leur servir autre chose que des arguments « compassionnels » enrobés de  notre « mea culpa »…

Au cours de l’émission évoquée ci-dessus, on aurait aimé que Juppé réponde avec un peu plus d’énergie à cette beurette, et ne se contente pas de déplorer le triste sort de nos banlieues et les problèmes de racisme qui y sévissent, sans en évoquer les causes profondes….

La « compassion », c’est bien, mais le souci de la « Vérité », c’est beaucoup mieux….

Or la « Langue de Bois » est toujours en usage dans notre classe politique. Quand à nos « médias », ils sont d’une discrétion proche de l’omerta sur toutes les informations susceptibles de nuire à l’image des Musulmans de France….

Autrefois « il ne fallait pas désespérer Billancourt », aujourd’hui, il vaut mieux ne pas faire de peine aux « Banlieues »….

PS: Je viens à peine de terminer la rédaction de ce billet, lorsque je tombe, sur Algérie-Focus, sur un sujet qui fait partie du « contentieux »qui oppose, dans les banlieues, les « nouveaux arrivants », si souvent discriminés, et les « souchiens ». A lire pour comprendre un des aspects du fossé qui sépare les uns des autres.

http://www.algerie-focus.com/blog/2014/10/video-algerie-les-cites-transformes-en-abattoirs-a-ciel-ouvert/

Les images de la video sont difficilement supportables, et choquantes pour notre sensibilité d’occidentaux.C’est pourquoi elles ont été « censurées », à juste titre par WordPress. Et pourtant, elles appartiennent à la banalité des usages dans ces pays où l’on pratique « l’égorgement » rituel, et pas seulement dans les grandes occsaions.;…. A lire, pour comprendre et mesurer réellement ce qui nous sépare, les commentaires des lecteurs de cet article…..