Les baisers qui tuent….


Notez le regard malicieux de Fabius que l’on aperçoit dans le coin gauche.

Le NouvelObs sait lire dans les pensées. Dans celles de Hollande en particulier….

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/politique/20110629.OBS6079/aubry-hollande-pourquoi-ils-se-detestent-episode-2-4.html

 Aubry-Hollande : pourquoi ils se détestent (épisode 2/4)

Publié le 29-06-11 à 11:47 Modifié le 30-06-11 à 06:45 par Le Nouvel Observateur .

Je cite:

« Elle le trouve mou et peu fiable. Il la juge menteuse et méchante. » Verbatim.

Pas gentil tout ça…..

Mais il n’y a pas que des « baisers qui tuent »….Il y a de la tendresse chez ces gens là….

La vie est belle, « Le Monde » est beau….


 

« lemonde est beau »

 ( D’après une chanson optimiste d’Hervé Villar ).

La réputation de sérieux et d’impartialité du « Monde » n’est heureusement plus, aujourd’hui, ce qu’elle était il y a quinze ou vingt ans.

De nombreuses publications, dont le livre de « révélations »de Pierre Péan, « La Face cachée du Monde » ont sérieusement contribué à ternir son prestige. 

Mais le »quotidien du Grand Soir » jouit encore, en France comme à l’étranger, d’un prestige et d’une influence considérables.

Le « prêt à penser » qu’il distille à longueur de colonnes sur le ton faussement mesuré qu’on lui connaît, fait en effet du « Monde » la référence incontournable dont la classe politico-médiatique française, les bobo-gauchos et les « bien-pensants » de tous poils s’abreuvent quotidiennement.

Or, à l’heure ou s’ouvre le procès du quarteron de criminels qui inspiraient ou dirigeaient les Khmers Rouges, au Cambodge,   on ne saurait oublier que, derrière une objectivité de façade, « Le Monde » s’est constamment employé, de sa fondation en 1944 à la chute du mur de Berlin en 1989, à justifier, minimiser et parfois nier les crimes et les méfaits du communisme. On ne peut pudiquement passer sous silence l’aveuglement et la complaisance dont il fit preuve à l’égard de l’Union soviétique, de la Chine maoïste, du Vietnam « libéré » ou du Cambodge sous Pol Pot.

Qui peut en effet oublier, – pour ceux qui, comme moi, étaient en âge de lire quotidiennement  « Le Monde » à cette époque -, que l’un des journalistes vedettes du « quotidien de révérence », Jacques Ducournoy, s’évertuait à convertir ses lecteurs dans la foi aux « lendemains qui chantent » lorsqu’il décrivait en ces termes le programme du FUNK (Khmers Rouges) dans « Le Monde » du 16 avril 1975 : « Une société nouvelle sera créée ; elle sera débarrassée de toutes les tares qui empêchent un rapide épanouissement : suppression des moeurs dépravantes, de la corruption, des trafics de toutes sortes, des contrebandes, des moyens d’exploitation inhumaine du peuple »(…). « Le Cambodge sera démocratique, toutes les libertés seront respectées, le bouddhisme restera religion d’Etat, l’économie sera indépendante, l’usage de la langue nationale sera généralisé dans les services publics »…

On connaît la suite….

Car  pour avoir contribué à endormir l’opinion publique, en France comme à l’étranger, en prédisant la victoire « inéluctable » du communisme en Asie du sud-est, « Le Monde » porte, qu’on le veuille ou non, sa part de responsabilité dans les atrocités qui devaient s’ensuivre… y compris le génocide perpétré par les Khmers Rouges au Cambodge, qu’il a bien tardé à dénoncer dans ses colonnes.

Une longue recherche sur internet, m’a conduit sur la trace de certains articles parus à cette époque dans ce journal, dont la tonalité non équivoque, exprime la sympathie et le soutien de leurs auteurs à cette sinistre entreprise destinée, une fois de plus, à exterminer tous ceux qui, dans le délire de leurs bourreaux, pouvaient entraver la naissance de « l’Homme Nouveau »….

On trouvera ci-après, les références de quelques articles significatifs parus en 1975, et qui montrent, sous couvert d’une « pseudo-objectivité », les sympathies idéologiques de la rédaction du journal envers les « progressistes »de tout poil.

1) Le 1er avril 1975 : « Revers gouvernementaux en Indochine« .

2) Le 4 avril 1975 : Cambodge en sursis

3) Le siège de Phnom-Penh.

4) Les Républicains veulent défendre Phnom-Penh à tout prix.  1940…

5) La République populaire chinoise se réjouit de son influence croissante en Indochine.

6) La longue marche des Khmers rouges, Le Monde 16 avril 1975. Jacques Decornoy fait une analogie avec la fameuse longue marche des communistes chinois.

Et j’en passe….

 Il aura fallu de nombreuses années pour que ces naïfs admettent que la construction du socialisme allait, une fois de plus, engendrer la spirale de l’horreur.

Nombreux furent ceux qui, tel Jean Lacouture (1)  par exemple, persistèrent longtemps encore à nier ces horreurs et continuèrent à propager le marxisme alors qu’ils savaient déjà tout de la réalité de ces idéologies meurtrières.

Mais leur « anti-américanisme primaire » les aveuglait.

Alors, comment ne pas être révolté à la lecture des articles paraissant depuis quelques jours, et rendant compte dans des termes surprenants, du déroulement du procès des dirigeants khmères survivants de cette sanglante expérience de « purification humaine ».

Pas un mot de « repentance », dans ce journal ( pourtant friand du remord des autres), pour la mansuétude, voire la complaisance, qui, à l’époque, a présidé, dans ses colonnes, à l’évocation de ce qui est apparu, très vite, comme une des pires tragédies qu’ait connu l’Humanité.

Le Monde, ou du moins ceux qui inspirent ses articles, pensent que ça n’est pas nécessaire puisque pour paraphraser un personnage de notre longue et parfois triste Histoire, « Les Français ont la mémoire courte »….

(1) Source Wikipedia:

En 1970, dans Le Nouvel Observateur, il fait l’éloge du nouveau gouvernement anti-américain de Penn Nouth, mis en place au Cambodge et du programme politique du FUNK rédigé sur les indications de la « Résistance intérieure » de Khieu Samphan et Ieng Sary entre autres.Il n’est alors pas le seul intellectuel à prendre parti pour les régimes hostiles à « l’impérialisme américain ». Il côtoie Jacques Decornoy, Jacques Julliard, Jean-Paul Sartre, etc.

 En 1975, après avoir salué la chute de Saïgon, Jean Lacouture salue la venue imminente d’un « meilleur Cambodge » avec les Khmers rouges alors que l’édition du 17 avril 1975 du Monde titre : L’écroulement des illusions (de Long Boret, successeur de Lon Nol) et que les Khmers rouges entrent dans Phnom Penh. (a)

À cette époque, pour Jean Lacouture, les Khmers rouges sont « un mouvement de résistance contre un gouvernement fabriqué par les Américains ».Il faudra plus de trois ans à de nombreux intellectuels pour appréhender la réalité de l’idéologie des Khmers rouges et des Vietnamiens du nord et plus encore pour admettre les massacres perpétrés au Cambodge.

(a): En 1975 la population de Pnom Penh atteint deux millions. La ville tombe sous la coupe des Khmers rouges du Kampuchea démocratique le 17 avril, le jour de la nouvelle année cambodgienne. Elle est évacuée de force ; ses résidents devant partir travailler sur des fermes rurales en tant que nouveaux citoyens ou nouveau peuple (« procheachun thmey »), ainsi désignés parce que considérés comme nouveaux arrivants par rapport à ceux qui habitaient déjà la campagne. En une journée, la ville est vidée de la quasi-totalité de ses 2 millions d’habitants, et laissée à l’abandon. L’école Tuol Svay Prey est prise par les forces de Pol Pot et transformée en prison et en centre de torture S-21. C’est désormais le musée Tuol Sleng qui avec Choeung Ek, quinze kilomètres plus loin, est un mémorial à ceux qui périrent du fait de ce régime.

 

 

Vous avez dit « intégration » ????


De quel côté sont les racistes ??? Cliquez sur ce lien et vous saurez….

http://youtu.be/lKhPT5dI4ek

Cette vidéo est dédiée à tous les « zozos », les naïfs, les chantres de la tolérance à sens unique, et autres  futurs « dhimis ».

Car pour admettre  la réalité et la profondeur  du fossé qui sépare les musulmans de ceux qui ne le sont pas, il n’y a rien de mieux que de pénétrer la chaude intimité d’une famille de Marocains, en apparence bien sympathique, et apparemment bien intégrée si on se réfère à son mode de vie, son confort et sa tenue vestimentaire…..

C’est celui qui l’a dit qui l’a fait….


 

Qui a dit ??? :

 » Nous devons exiger que l’immigrant, qui arrive avec de bonnes intentions, devienne Américain et s’assimile. Il doit être traité comme tous les autres en totale égalité. Cela est valable uniquement si le sujet devient un Américain et rien qu’un Américain. Il ne peut exister deux appartenances. Nous avons de l’espace que pour une seule loyauté et cela est la loyauté au peuple Américains. »

?????

Schengen ou le détournement….


 

Partout, en Europe, est posée la question du contrôle aux frontières supprimé par les accords de Shengen.

L’arrivée massive d’immigrants tunisiens à Lampedusa, puis les tentatives d’un grand nombre d’entre eux de pénétrer en France ont incité les Gouvernements Français et Italien à saisir la Commission européenne, afin d’obtenir des aménagements à ces accords qui ont transformé l’Europe en une véritable « passoire ».

D’autres pays leur ayant emboîté le pas, entre autres, l’Espagne, l’Allemagne, la Grèce, Malte, et les Pays-Bas, le chef du Groupe Socialiste allemand au Parlement européen s’en est ému.

Selon lui, «  »Rétablir les contrôles aux frontières et restreindre la liberté de mouvement des citoyens européens est en train de devenir une nouvelle tendance en Europe pour les gouvernements libéraux et conservateurs à l’approche des élections ».

Mensonge. Il n’y a pas que « les gouvernements libéraux et conservateurs, à l’approche des élections » qui durcissent leurs conditions d’accès à l’immigration.

Je cite:

 http://www.courrierinternational.com/chronique/2010/05/25/l-espagne-aussi-dure-que-l-arizona

 » L’Espagne « socialiste » devient aussi dure que l’Arizona.

En effet, plus discrètes que la nouvelle loi sur les immigrés adoptée par l’Etat américain, les arrestations de masse sont de plus en plus nombreuses sur le sol espagnol, constate El País. Une tendance favorisée par la crise. »

Au Danemark, le parti, le troisième le plus important du Folketing, qui assure depuis 2001 la majorité au gouvernement minoritaire de centre droit, célèbre une grande victoire : la réintroduction des contrôles aux frontières. Imposée au gouvernement du libéral Lars Loekke Rasmussen, elle se veut un frein à l’immigration clandestine, à la criminalité transfrontalière venue notamment des pays de l’Est et au trafic de drogue.

Je cite:

« C’est un grand jour pour le Danemark », clame Pia Kjaersgaard, la présidente. L’égérie du parti savoure cette victoire qu’elle attendait depuis dix ans, depuis « ce jour de tristesse de 2001 » où le royaume scandinave faisait son entrée dans l’espace Schengen, et que ses frontières internes volaient en éclats. « Le royaume est devenu une passoire, estime-t-elle. Il est essentiel de maintenir ce qui caractérise un Etat national : ses frontières. » Et un des porte-parole du parti, Soeren Espersen, de constater, sourire aux lèvres : « Les frontières du Danemark de nouveau sûres ! »

L’annonce par les autorités danoises de rétablir les contrôles douaniers aux frontières a suscité l’indignation au Parlement européen, les députés appelant Copenhague à attendre l’avis de la Commission européenne avant d’agir.

La Commision  n’acceptera aucune remise en cause des principes de la libre circulation des biens et des personnes dans l’Union Européenne », a déclaré à l’AFP la porte-parole de l’exécutif bruxellois Pia Ahrenkilde Hansen.

Les réactions de la Commission européenne, celles des groupes socialistes et apparentés au Parlement européen, cachent, en fait une tentative de mystification.

Car il ne s’agit pas de « restreindre la libre circulation des personnes et des biens des citoyens européens à l’intérieur des frontières de l’Europe », ce qui serait une atteinte grave aux libertés conquises grâce à l’union européenne. 

C’est la règle de la libre circulation des personnes et des capitaux, qui entre autres, permet aux « riches » de passer les frontières pour planquer leurs richesses, là où, en Europe, la fiscalité et considérée comme « plus juste » parce que « moins confiscatoire »….

Il s’agit, en réalité, d’empêcher qu’une immigration massive, sauvage, et de moins en moins contrôlée, se serve abusivement d’un dispositif conçu, à l’origine, pour les citoyens européens, afin de s’engouffrer partout où une brèche apparaît, notamment lorsqu’un Etat, totalement dépassé par l’afflux migratoire, essaie de s’en tirer en « refilant la patate chaude » aux pays voisins.

Ce qui a failli être le cas entre l’Italie et la France.

Mais le « Parti Immigrationniste »veille, et ne recule devant aucun procédé pour maintenir béante, la brèche engendrée par le détournement des accords de Schengen.

Il y a des conjonctions d’intérêts puissants qui oeuvrent en faveur d’une immigration sans frein.

C’est, en outre, un procédé assez courant: l’espace de liberté que constitue l’Europe, avec ses multiples Lois protectrices, incite au détournement de ces Lois au profit de ceux qui, habilement, s’abritent derrière ce rempart pour imposer, sournoisement, leur conception particulière de la liberté.

L’exemple le plus fréquent, en France, est celui du détournement des Lois reposant sur le concept de Laïcité et de liberté religieuse, pour obtenir des « avancées » dans l’expression d’un islam qui ne se contente pas, contrairement aux autres religions, du statu quo établi par la Loi de 1905.

Sources:

http://www.lalibre.be/actu/international/article/663266/quand-le-danemark-fait-des-emules.html

  http://humanite.fr/12_05_2011-immigration-surench%C3%A8re-s%C3%A9curitaire-au-danemark-471987

 

« La Marine »….vent debout !!!


 

Je comprends mal que l’on puisse confier à un Pujadas l’animation d’une émission telle que celle qui nous était proposée hier soir par France 2 sous l’intitulé « Des paroles et des Actes ».

Ce journaliste qui compense souvent sa petite taille ( un peu comme Sarko ) en adoptant des postures de petit coq dès qu’il a un responsable politique devant lui, n’était manifestement pas  » à la hauteur » pour maîtriser un débat aussi confus et aussi creux de part et d’autre de la table qui séparait la Marine de ses interlocuteurs.

Les « confrontations » concoctées par les responsables de l’émission se sont transformées en crises de diarrhée verbale. Chacun cherchant à imposer son discours par des éclats de voix, sans répondre sérieusement aux arguments de l’autre.

Le seul moment ou le débat a pu se dérouler de façon apaisée, c’est celui qui abordait le volet économique du programme du Front National. L’économiste de service a pu développer ses arguments, en face des quels les réponses de la Marine paraissaient bien peu structurés et bien peu crédibles, tant ils paraissaient s’inspirer de la méthode Coué chère à ceux qui confondent volonté politique et velléités superficielles.

Face au jeune Namias ( encore un fils de ???), la Marine a pu développer sa critique de « l’UMPS », dans laquelle elle fait montre d’un certain talent, tant il est facile de mettre dans un même sac les oligarchies de Droite et de Gauche qui font tout pour donner prise au discours du « tous pourris »….

Le sommet de la confusion a été atteint dans l’affrontement entre les deux « pépé flingueuses »: Duflot face à la Marine c’est un déluge de phrases creuses, dominé par moment, par la voix de crécelle insupportable de Duflot, et son débit torrentiel . L’agressivité, dans les deux camps, ne compensant pas le vide du discours, on avait envie que cela se termine vite afin de passer à autre chose……

Le clou de la soirée a été, sans conteste, la prestation de Laurent Joffrin, nouveau « patron » du Nouvel Obs, et de Caroline Fourest, l’essayiste dont les médias se sont nouvellement entichés.

Personne ne contestera que les deux se sont « planté ».

Laurent Joffrin, est un familier de notre petit écran. Invité fréquemment pour faire entendre la voix de la Gauche à la télévision, on connaît son ton cassant,le ton du journaliste militant et sectaire, bardé de certitudes.

Hier soir, il donnait l’impression, devant la Marine, d’avoir pété les plombs. Son agressivité, son désir évident d’en découdre plus que de débattre a certainement servi la Marine qui a pu le shooter en lui demandant de garder son calme et de reprendre ses esprits.

Quand à Caroline Fourest, il suffisait de fixer son visage pour être édifié.

Elle n’était pas venue là pour débattre mais pour « abattre »celle dont elle venait de faire un portrait biographique, dont la Marine s’est servi, comme d’un voile, pour détourner l’attention du téléspectateur, et sauter de la position d’accusée à celle d’accusatrice.

En mettant en doute l’honnêteté intellectuelle de celle qui s’est révélée à l’opinion en tentant de s’imposer comme une opposante résolue au diabolique Tariq Ramadan, alors qu’elle n’est, en fait, qu’un petit soldat de l’armée de la « bien-pensance », et une auxiliaire attentive de notre « police de la pensée », la Marine a rejoint l’opinion défendue par nombre de nos « zintellectuels » jaloux de l’ omniprésence de la « demoiselle » dans les médias.

En conclusion, ce débat a dans l’ensemble, plutôt servi l’image de la Marine bien rodée et habituée à affronter les vents de face. 

Elle a pourtant encore bien des progrès à faire, ne serait-ce que pour apprendre à s’exprimer avec calme, en abandonnant le ton hargneux et autoritaire qui est le plus souvent le sien, et qui masque mal la légèreté de ses arguments, sauf lorsqu’elle aborde les questions de société, domaine dans lequel elle est en phase avec l’opinion populaire, et complètement décalée par rapport à l’opinion médiatique dominante.  

Liberté, Liberté chérieeeee….


http://www.lemonde.fr/europe/article/2011/06/23/geert-wilders-entend-utiliser-sa-relaxe-pour-legitimer-ses-propos_1540002_3214.html#xtor=RSS-3208

 Quoi que l’on pense de Geert Wilders et de l’aura qu’il a acquise dans son pays, la Hollande, l’article paru dans “lemonde.fr” est éloquent.

On comprend mieux à la lecture de cet article que le vrai combat qui est engagé, dans toute l’Europe, n’est pas tellement celui qui dénonce les dangers que fait courir à l’identité européenne, une immigration massive, non maîtrisée parce que voulue par quelques beaux esprits envoûtés par des théories fumeuses.

Ce combat, c’est celui qui s’impose partout, contre une “police de la pensée”, agissant sous la pression d’intérêts puissants, qui vont d’un patronat qui fait son beurre de l’afflux d’une main d’oeuvre aux abois qu’il peut exploiter, à certains partis politiques qui, avec la complicité tacite des organisations, des associations multiples, ont fait de l’immigration massive, un fonds de commerce juteux, électoralement et financièrement…

 

Les « connaisseurs » apprécieront le choix de la photo…..

Le combat pour la défense de la liberté d’expression qui fait partie du socle de nos libertés, quels que soient les Etats, au sein de la vaste communauté culturelle que constitue notre continent, est un combat vital pour l’avenir de nos démocraties.

 Je cite l’article sus-visé:

« En relaxant Geert Wilders, jeudi 23 juin, les juges du tribunal d’Amsterdam ont donné raison à l’avocat du leader du Parti pour la liberté : le député populiste et islamophobe va  » loin, mais jamais trop loin « , avait plaidé Me Bram Moskowicz. Le tribunal a estimé que tant dans ses interventions publiques que dans son film Fitna (« discorde » en français), M. Wilders s’en prenait à une religion, l’islam, mais pas aux musulmans.

Retenant l’intérêt supérieur, celui de la liberté d’expression, les juges ont admis que même si certains des propos visés étaient « grossiers et dénigrants », ils ne pouvaient tomber sous le coup de la loi. Et qu’ils se placeraient, en outre, dans le cadre d’un « débat de société ».

M. Wilders ne pouvait être totalement surpris par la décision de la cour : au début du mois de juin, le parquet avait estimé qu’il n’y avait aucune raison de le poursuivre pour incitation à la haine ou discrimination. »

Un peu plus loin :

« En se présentant comme la cible d’associations de défense des immigrés et le héros de la liberté d’expression dans son pays, le dirigeant du PVV devrait continuer à engranger des soutiens. Tant le tribunal que ceux qui ont décidé de lui intenter un procès en 2010 ont, en réalité, amplifié, voire légitimé des propos concernant, par exemple, « la fermeture immédiate des frontières à tout étranger non-occidental », ou la nécessaire interdiction de la lecture du Coran ou de la construction des mosquées aux Pays-Bas.

Ce procès, que la presse avait hâtivement présenté comme celui « du siècle », marquera incontestablement un tournant dans l’histoire du royaume, passé en l’espace de vingt ans d’une grande tolérance à une défiance extrême vis-à-vis de « l’étranger » en général. »

Fin de citation.

On lira, également, avec le plus grand intérêt, l’article paru dans « PressEurop »sous la signature d’une certain Thierry BAUDET….

http://www.presseurop.eu/fr/content/article/742981-geert-wilders-ce-voltaire-moderne

Ainsi le dirigeant du Parti pour la liberté va pouvoir grossir la liste des « martyrs de la bien-pensance », qui compte, en France, déjà quelques victimes.

La liberté de pensée, et la liberté d’expression, appartiennent aux plus nobles conquêtes de nos démocraties, n’en déplaise à ceux qui voudraient bâillonner tous ceux qui ne pensent pas comme eux.

Dévoilées….


Voilées,  elles ont, dans les ruelles de la médina, le charme que l’on attribue au « fruit défendu »….

Mais derrière les murs aux fenêtres grillagées qui entourent les maisons, elles se découvrent…..

Dévoilées, elles ne manquent pas de charme , non plus !!! Ni de sensualité…..Cela explique sans doute la présence à toutes les fenêtres, de « moucharabieh » qui leur permettent de voir sans être vues par les « prédateurs » qui rodent oisivement dans les ruelles, à la recherche d’une proie….

 Car leur culture, leurs traditions, leur mentalité fait, d’une femme dévoilée, une proie qu’ils imaginent consentante….

Cela vient de l’interprétation machiste de certains versets du Coran.

Mais cela vient surtout du fond de l’Histoire du peuple arabe.

Celle dont on ne parle jamais. Celle du temps où les Arabes étaient un peuple de tribus nomades, qui guerroyaient en permanence les unes contre les autres. Chaque « razzia » était une occasion de s’emparer des richesses de la tribu vaincue, et surtout de s’emparer de ses femmes, considérées comme un butin précieux.

Les plus belles trouvaient une place dans le « harem » du chef des vainqueurs, les moins belles étaient revendues comme esclaves.

Car avant d’avoir conquis le droit d’être considérés comme les éternelles « victimes » des conquérants occidentaux, les Arabes ont été eux mêmes des guerriers, de conquérants, des colonisateurs.

Brandissant leurs épées « Au Nom de Dieu », ces héros du « Djihad » contre de « sales mécréants », sont dispensés « ad vitam » de toute repentance…..

Les terrasses de la Médina…


Voilées, dans leur pays, elles ont un certain charme: elles participent au « décor » et à la « couleur locale ». Elles contribuent à nourrir le « mystère » qui enveloppe la femme orientale, ce mystère que tant d’orientalistes, qu’ils soient peintres ou écrivains, ont popularisé, en faisant partager leurs fantasmes à un public ignorant des choses de l’Islam…..

Elles sont à la source de l’un des malentendus les plus profonds entre l’Orient et l’Occident.

 

Voilées, quand elles sont « chez nous », elles provoquent, sur leur passage, un malaise….

Leur silhouette incongrue ressemble à celle de personnages que l’on aurait sorti de leur cadre ordinaire, et qui , grâce à un « copier/coller »maladroit, se trouveraient projetés dans un univers qui n’est pas le leur.

Ce qui serait bien pour tout le monde, serait que Paris reste Paris et Fez reste Fez. Mais ce n’est pas le chemin sur lequel d’imprudents apprentis sorciers nous ont engagés.

Pour preuve: ce Guide marocain, fort érudit et incollable sur l’Histoire de France, qui nous fait visiter la médina en s’arrêtant devant chaque maison transformée en Ryad, par de riches bourgeois parisiens.

Nous lui demandons, avec la mine faussement naïve de ceux qui connaissent la réponse d’avance, comment se passe la cohabitation entre ces « intrus » et le peuple de la médina.

Très mal, nous répond-il.  » On ne se sent plus chez-nous ». (!!!!)

« Ces gens vivent ici, en ignorant les nuisances qu’ils provoquent chez les habitants. Ils ont beaucoup d’argent et font monter les prix chez le boucher et le marchand de légumes. On ne trouve plus, dans les familles marocaines, de femmes de ménage: elles veulent toutes travailler chez les « francaouis »où elles sont mieux payées. »

« Et surtout, ces gens-là, qui vivent ici avec leurs moeurs, et qui font construire des piscines sur les terrasses des Ryads, se baignent et bronzent au soleil, complètement nus. « 

« Du coup, il est interdit à nos femmes de se rendre sur les terrasses, même pour y étendre leur lessive…Quand aux hommes, ils passent leur temps à guetter les Françaises qui se promènent nues, sans pudeur, et sans se soucier du voisinage. »

Les couples marocains se disloquent: les Français sont devenus le principal sujet de dispute conjugale dans la médina.

Le « choc des cultures » n’épargne pas le peuple des souks…..