Violences à Oran


Oran brûle-t-il ???

http://www.dailymotion.com/video/x5lte4_video-emeute-oran-wahren-hamrawa-mc_webcam »>Video

Le 31 Mai les émeutes se poursuivaient encore à Oran:

« 31 mai 2008

« Hier encore, des émeutes ont été signalées dans différents endroits de la ville où les jeunes émeutiers « continuaient d’affronter les forces de l’ordre et de semer la terreur chez une population plus que « désemparée. Dans le centre-ville, plusieurs brasiers ont été allumés à la rue Larbi Ben M’hidi, à hauteur du « passage Germain (couloir reliant la rue commerçante au marché de la Bastille) et à la place Victoire, « interdisant tout accès à des automobilistes dont beaucoup se sont rués, dans un dangereux désordre, « dans les ruelles menant au boulevard Front de mer et, de là, vers la route du port, relativement plus « paisible.

« A Plateau St-Michel, quartier mitoyen de M’dina J’dida comme à El Hamri, d’autres mouvements étaient « enregistrés où des jeunes, souvent des mineurs, jetaient des pierres et tentaient de tout casser sur leur « passage. «Il est clair que cela dépasse désormais le cadre du sport, affirment beaucoup d’habitants. La « relégation du MCO a été le détonateur d’un mal profond… Ces jeunes expriment leur mal-être et « dénoncent la précarité de leur situation, alors que la fabuleuse richesse algérienne ne profite qu’à une « minorité de privilégiés. Les émeutes durent quand même depuis trois jours.» Bien qu’ils vivent dans la peur « et désapprouvent profondément les importants dégâts subis par la ville et les lourds désagréments causés « aux habitants, beaucoup d’Oranais disent comprendre les raisons ayant poussé les émeutiers à pareille « manifestation. «C’est el houkouma qui est responsable de cet état. Pas de travail, aucune perspective « d’avenir. Il est normal qu’ils aient recours à la violence… c’est leur seul défouloir.

« Et d’ailleurs, pourquoi l’ENTV ne montre pas ce qui se passe ? C’est bien la preuve que les dirigeants se « désintéressent de nos jeunes, non !» Ce plaidoyer est surtout fait par une centaine de familles qui se sont « rassemblées, hier matin, devant le siège de la Sûreté de wilaya pour exiger la libération des leurs. « «Beaucoup sont mineurs et n’ont rien fait de répréhensible ; ils sont détenus dans des conditions « indignes», ont-il dénoncé en reculant, toutefois, devant les éléments de la police antiémeute jusqu’à une « centaine de mètres de l’édifice officiel. «C’est une hogra, ont-ils encore dénoncé. Les conditions de « détention de nos enfants constituent une totale violation des droits de l’Homme.»

« Les bilans s’alourdissent

« En trois jours d’émeutes, le nombre de blessés parmi les forces de l’ordre a atteint 147, alors que celui des « émeutiers arrêtés était de 157. Ces bilans sont évidemment toujours provisoires, puisque les émeutes « continuaient hier après-midi dans différents endroits de la ville. Non encore estimés, les dégâts matériels « sont, sans doute, importants, puisque, en plus des destructions enregistrées lundi et mardi derniers « (banques, CNEP, secteurs urbains…), la CNEP-Banque de Seddikia a été partiellement saccagée dans la nuit « de mardi à mercredi derniers, et plusieurs magasins pillés. Dans une timide réaction à ces événements, « l’exécutif communal s’est réuni pour réitérer la nécessité de faire fonctionner tous les services malgré les « troubles. Il reste que les groupes d’émeutiers ont été infiltrés par des voleurs qui, encagoulés, sèment la « terreur chez les particuliers et guettent la moindre occasion de piller et d’agresser. Ces encagoulés, dont « certains sont munis de fusils à harpon, ont été signalés la nuit dans le quartier HLM-USTO (sortie est « d’Oran) et dans le centre-ville. «Je les ai vus, ils marchaient à part, à l’affût de la moindre occasion de voler « ou de piller», raconte un témoin, résidant dans le quartier de Saint-Pierre.

Mon commentaire:

Les médias Français sont étonnament silencieux sur ces évènements. Il est bien difficile d’interpréter ce silence: volonté de ne pas embarrasser le Gouvernement dans ses relations avec l’Algérie ??? Crainte de voir se développer une contagion dangereuse ???

En tout cas, ces informations viennent confirmer le point de vue que j’exprimais dans un blog précédent ouvert à « berdepas.blog.lemonde.fr », et que j’illustrais par des exemples tirés de journaux européens, montrant que ces phénomènes de violence souvent disproportionnée par rapport aux sujets de revendication qu’ils veulent exprimer n’étaient pas particuliers à la France. On trouve des relations comparables de faits déplorables, dans les Presses belge, hollandaise, danoise, suédoise, norvégiènne, allemande, italienne.

La diffusion sur mon « blog.lemonde.fr », de nombreux articles extraits de la Presse étrangère sur ces sujets, m’a valu d’être « expulsé » et a entraîné la fermeture de mon blog par de soit-disant « médiateurs », pour cause de propos xénophobes et racistes. Alors que les propos en question n’étaient pas les miens mais ceux des organes de Presse que je citais, et que tout le monde peut consulter sur internet.

Cela montre le poids de la « censure » qui prévaut au sein du journal « Le Monde », dont la clientèle de « bobos » ne supporte pas que l’on vienne mettre sous son nez ce qu’elle feint d’ignorer par une complaisante couardise.

Or mon propos n’avait d’autre objectif que celui de montrer qu’en matière d’émeutes, et d’actes de barbarie gratuite, la France n’ayant aucun monopole, il était clair que là où une certaine jeunesse inactive, disponible pour tous les excés, prend racine, les mêmes comportements se manifestent tôt ou tard.

Que l’on ne vienne pas me dire que ces actes de violences se justifient par un déracinement ou par une sourde discrimination : l’exemple de ce qui se passe en Algérie démontre le contraire.

Alors, plutôt que d’accabler la France en raison de l’insuffisance de ses efforts d’intégration d’une certaine immigration, ouvrons les yeux et cherchons les vrais remèdes à ces poussées endémiques de violence gratuite.

Emeutes et violences en Algérie…


  Article extrait du Quotidien « Al Watan » du 29 Mai 2008.

Après quarante-huit heures d’émeutes, Oran dans l’incertitude.

Alors que le calme est revenu dans la majorité des quartiers de la ville, une poche d’émeutiers du quartier Yaghmoracen (ex-Saint Pierre) a tenu en haleine la population et les services d’ordre.

 Hier matin, la vie reprenait son cours normal avec les bus en circulation, les magasins qui ouvraient et le service de nettoiement qui commençait à enlever les débris de verre et les pierres. Mais vers 10h30, les émeutes ont repris dans cette partie de la ville délimitée par la rue d’Arzew, une des artères principales. Aux premiers incidents, l’information, enflée par la rumeur, a fait le tour des quartiers avoisinants et rebelote. Les commerces ont baissé rideau, le transport était presque paralysé et la ville s’est vidée. Dans ce quartier réputé difficile, des échanges de tirs lacrymogènes et de jets de pierres n’ont pas cessé pendant une bonne partie de la journée. Les assaillants se rassemblent dans la rue parallèle Cheriet Ali Cherif (ex-Cavaignac) et tentent des incursions par les ruelles adjacentes. Les renforts sont arrivés vers 14h et ce n’est qu’à partir de là que les émeutiers de Saint Pierre ont pu être dispersés. Un calme relatif est revenu. Un dispositif de sécurité a été dressé tout au long de cette grande artère qui traverse le centre-ville d’est en ouest. Déjà dans la matinée, les arrêts de bus saccagés, les enseignes et les lampadaires qui pendent, certaines vitrines défoncées étaient l’image qu’offrait ce lieu d’affrontement. Globalement, pour les deux jours d’émeutes, en même temps que 140 agents de l’ordre blessés, le chiffre de 157 arrestations d’émeutiers en majorité des mineurs a été avancé dans la journée, mais il a dû être revu à la hausse, car plusieurs arrestations ont été effectuées entre temps dans cette partie de la ville, y compris dans l’après-midi. Aucune estimation des dégâts n’a été en revanche communiquée. Devant le siège de la sûreté de wilaya, des mères de famille se sont rassemblées hier au deuxième jour consécutif pour demander des nouvelles de leurs enfants (en général des mineurs) arrêtés depuis le début des événements. On estime à une centaine de personnes rassemblées ici dans l’espoir d’avoir des nouvelles de leurs enfants qui ne sont pas rentrés. Les émeutes ayant coïncidé avec le jour de l’examen de fin de cycle primaire, ce sont officiellement 468 élèves qui n’ont pas pu passer leur examen, les centres d’examen étant, en plus, situés loin de leur lieu de résidence, parfois dans des quartiers chauds comme El Hamri. Les élèves d’un centre situé à la rue Chakib Arslane, pas loin des Halles centrales où on a enregistré des incidents, n’ont été libérés que tard dans la journée de mardi. Ailleurs, la CNEP Banque du quartier Es Seddikia où ont également eu lieu des échauffourées avec la police a subi des dégâts importants. Une troisième voiture a été également entièrement calcinée dans la mêlée. A propos de voitures, les stations-service de la ville étant restées hors service à cause des risques encourus dans ce genre de situation, les automobilistes ont dû se rabattre sur les stations des localités voisines comme Es Senia où on n’a signalé aucun incident. Pourtant, alors que les actes de vandalisme se sont généralisés mardi à plusieurs quartiers, les incidents ont touché plusieurs quartiers périphériques épargnés jusque-là, comme Sidi El Bachir, à la sortie est de la ville d’Oran. Sans doute par mimétisme, les images renvoyées par les émeutes d’autres horizons, certains jeunes, dans le feu de l’action (jets de pierres), se cachent le visage pour ne pas être reconnus. C’est cette image qui a sans doute été apparentée à la bande des encagoulés qui a, à plusieurs reprises, sévi à Oran. Des bandes de jeunes, livrées à elles-mêmes, ont sillonné en début de soirée de mardi plusieurs quartiers dans des cités lointaines implantées vers l’est. Dans certains endroits, selon des témoignages, ce sont les résidents eux-mêmes qui ont dû se rassembler pour dissuader les intrus de pénétrer dans les parkings en plein air. Un témoin affirme que même à Arzew, mardi vers 21h, des bandes de jeunes des cités ont voulu atteindre le centre-ville. Selon les mêmes témoignages, un quadrillage sécuritaire a été mis en place et aucun incident n’a été signalé. La désagrégation de la vie politique explique en partie le côté absurde de ces émeutes d’Oran qui ne sont liées à aucun slogan ou revendication. Les représentants des partis politiques sont restés aussi perplexes que le reste des citoyens qui, dans plusieurs endroits, passés les moments de panique, regardent de loin, les bras croisés, les affrontements comme un spectacle de rue.

 Djamel Benachour.

Mon commentaire:

Tiens tiens…Tout cela a un petit parfum de banlieues « à la française »…..Et les médias français sont curieusement discrets sur ces évènements.

 

Emeutes….


Et pour plus de détails,consulter:

 http://berthoalain.wordpress.com/2008/05/27/emeutes-a-oran-mai-2008/

 29.05.2008

La ville d’Oran (ouest algérien) était mercredi en proie à l’agitation après deux jours de violentes émeutes marquées par la mise à sac et la destruction de biens publics, sur fond de malaise social surtout parmi les jeunes, rapporte jeudi la presse algérienne

Après deux jours d’émeutes et d’actes de vandalisme qui ont ciblé des édifices publics, des commerces et des véhicules dans différents quartiers de la ville, une atmosphère tendue régnait mercredi dans la ville, quadrillée par les forces anti-émeutes, alors que les affrontements se sont renouvelés notamment en début d’après-midi d’hier au niveau du quartier St Pierre, rapporte le journal “Le Quotidien d’Oran”. “La rue Larbi Ben M’hidi avait été subitement investie par des centaines d’émeutiers. La confrontation a commencé en début d’après-midi, avec une énergique réaction des brigades anti-émeutes”, indique-t-il. “Plusieurs arrestations ont été effectuées dans ce quartier, principalement parmi les jeunes adolescents”.

Les violences, qui ont commencé lundi dernier, ont eu pour détonateur le mécontentement des jeunes, suite au match de football Mouloudia d’Oran-O Chlef qui a scellé la relégation en deuxième division de l’équipe locale. Mais le mouvement a drainé ensuite la grande masse de jeunes désoeuvrés, qui n’attendaient que l’occasion pour exprimer leur ras-le-bol et leur trop-plein de frustration sociale face aux sombres perspectives d’avenir qui les taraudent. Malgré un retour relatif à l’accalmie dans les quartiers qui ont été les plus affectés par les troubles de lundi et mardi, l’activité dans la ville n’a pas encore retrouvé son cours normal, selon la presse.

De nombreux commerces sont restés fermés et ceux qui ont ouvert mercredi ont vite fait de baisser rideau après un vent de panique sur la reprise de l’agitation de rue. De même, les transports publics demeuraient perturbés, les transporteurs désertant les quartiers jugés à risques de crainte de s’exposer à la colère des émeutiers.

La presse algérienne fait état de 140 policiers blessés et de 157 arrestations parmi les émeutiers durant les trois derniers jours. Durant la journée de mardi, trois locaux de l’Agence nationale d’epargne et de prévoyance ont été saccagés dans différents quartiers de la ville d’Oran.

Le quartier des Hamraouia a connu les plus grands dégâts avec l’incendie du siège de la division des affaires sociales de la commune d’Oran et l’annexe de la mairie, rapporte “Le Carrefour d’Algérie”. Il indique que dans la commune voisine de Bir El Djir, les actes de vandalisme ont ciblé le parc de la commune où cinq véhicules ont été incendiés hier par les émeutiers. Ces actes viennent aggraver le bilan déjà lourd avec trois cinémas, trois banques, deux secteurs urbains (El Hamri et Petit- lac) saccagés outre des équipements publics et des commerces vandalisés.

Mon commentaire:

Ces émeutes sont révélatrice du climat qui règne dans les « quartiers » laissés à l’abandon par les autorités, où le chômage des jeunes est devenu une plaie béante, et où la colère n’a plus que la violence pour s’exprimer. La discrimination dont souffrent ces jeunes, pour la plupart « candidats à l’émigration » de la part d’une société où seuls les « apparatchicks » d’un système corrompu ont l’espoir d’accéder à un travail rémunéré, n’est que le reflet d’un Etat algérien devenu incapable d’offrir la moindre perspéctive d’avenir à sa jeunesse.

Cela ne vous rappelle rien ??????

Virginité


Lu dans le Figaro du 30 Mai 2008.

La polémique enfle, après la décision du TGI de Lille accordant l’annulation d’un mariage, l’épouse ayant menti sur sa chasteté.

« Deux ans après avoir nocé dans la plus pure tradition musulmane, le mariage vient d’être annulé.

Aïcha (*) « a menti sur sa virginité, condition pourtant requise par Noredine pour l’épouser. C’est le TGI de Lille qui a « accordé cette nullité au mari «dupé».

Une décision qui a été prise car «l’épouse acquiesçant à la demande « de nullité fondée sur un mensonge relatif à sa virginité, il s’en déduit que cette qualité avait bien été « perçue par elle comme une qualité essentielle déterminante du consentement de son époux au mariage « projeté», rapporte le jugement.

«Ce genre de litige est beaucoup plus fréquent qu’on ne le croit», assure « Me Xavier Labbée, avocat de Noredine, contredisant ainsi la Chancellerie qui dit n’avoir «pas le souvenir» « d’une annulation pour mensonge sur la virginité.

« D’ores et déjà, la polémique est lancée.

Alors que le mouvement Ni putes ni soumises condamne cette « «fatwa contre la liberté des femmes», la philosophe Élisabeth Badinter se dit «très inquiète», craignant que « ce jugement fasse «courir nombre de jeunes filles musulmanes dans les hôpitaux pour se faire refaire « l’hymen».

A contrario, le vice-président du conseil régional du culte musulman du Nord-Pas-de-Calais, « Abdelkader Assouedj, souligne que si «l’islam n’exige pas que l’épouse soit vierge», il demande que le « mariage ne soit pas «basé sur le mensonge». «C’est pour cela que la justice a tranché, ce n’est pas par « rapport à la religion», ajoute-t-il.

« (*) Les prénoms ont été changés.

Mon commentaire:

Elisabeth Badinter a du pain sur la planche, si elle veut « philosopher » sur tout ce que l’immigration apporte à la société française. Une vraie « richesse pour la France ».

Polygamie.


Femmes du Sud    

Longue discussion avec notre guide à Zagora, à l’occasion d’une incursion dans le désert marocain, à propos de la polygamie. Selon lui , au Maroc, seuls les gens fortunés peuvent aujourd’hui se permettre « d’entretenir » plusieurs femmes. La prescription coranique selon laquelle, l’homme polygame, doit respecter une stricte équité entre ses épouses coûte très cher aux candidats…Et le femmes sont de plus en plus conscientes de leurs droits et exigent que ceux-ci soient repectés.

Nous restons perplexes. Surtout en voyant tout au long de notre parcours, la dure condition des femmes, quel que soit leur âge, que l’on croise sur les chemins chargées comme des mules, de fagots de bois, d’herbe destinée aux animaux, de jerricanes d’eau, ou qui, pliées en deux moissonnent les blés, à la serpe, comme autrefois en Europe. Alors que les hommes les contemplent, les mains dans les poches, ou assis le long des murs des mechtas, ou au café….. Avoir plusieurs femmes, c’est avoir plusieurs bêtes de somme pour accomplir les tâches de la vie quotidienne.

Cette conversation me revient en mémoire, alors que nous regardons sur la Deux, à une heure tardive ( pourquoi ce genre d’émission ne passe-t-il pas aux heures de grande écoute ???), une émission sur la polygamie en France.

Scandaleux. Alors qu’une Loi Pasqua interdit, en France, cette conception moyenageuse du mariage, la polygamie continue à prospérer dans notre pays.

Une courageuse intervention d’Elisabeth Badinter, déplore l’inaction, voire l’indifférence des pouvoirs publics face à ce « phénomène de société » importé par certaines couches de populations immigrées. Personne n’ose dénoncer ces situations dramatiques que vivent les « premières épouses » aux quelles on impose la présence d’une « seconde épouse » beaucoup plus jeune, et quelques fois une troisième épouse encore plus jeune, et leur cohabitation insupportable dans des appartements de HLM, non conçus pour des familles de dix à douze personnes, dont les enfants sont condamnés à vivre dans la rue, et à devenir la proie de tous les dangers qui pèsent sur leur éducation….

 Selon Elisabeth Badinter, c’est la peur d’être traités de fasciste, de racistes et de ne plus coller au « discours politiquement correct » en faveur des immigrés, qui empêche les autorités responsables de faire repecter la Loi en France.

Les plus « astucieux », et l’émission se charge de nous en montrer quelques échantillons, ont une épouse « légale » en France, à laquelle il ont fait plusieurs enfants, et qui utilisent les allocations familiales auxquelles la famille vivant en France a droit, pour entretenir une deuxième, voire une troisième famille en Afrique, au désarroi de l’épouse « française » aui doit se débrouiller pour nourrir ses enfants!!! 

Selon les femmes courageuses qui se battent dans l’indifférence générale, dans des Associations créées pour faire cesser ce scandale, il y aurait environ 40.000 familles concernées par cette situation intolérable dans un pays civilisé comme la France.

Mais ces « concessions » au respect de la Loi, ne sont elles pas faites au nom de la tolérance, ce mot si souvent employé par les censeurs de tout propos visant à dénoncer des réalités insupportables ????

Sans-papiers ???


C. M. (lefigaro.fr) avec AFP
20/05/2008 | Mise à jour : 15:34 |
Commentaires 114

Allocations scolaires, baux locatifs, bulletins de salaire ou certificats médicaux… C’est presque par hasard que les policiers ont mis au jour une véritable filière de faux documents, dont auraient bénéficié des milliers de personnes.

Vendredi, les policiers interpellent une femme de 68 ans en train de vendre de faux certificats médicaux à la sortie du métro Château-Rouge, dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Après un contrôle et des aveux immédiats, ils remontent assez facilement la piste du trafic et découvrent un véritable «supermarché des faux papiers».

La femme interpellée était membre de l’association «La Main tendue» ayant pignon sur rue dans le quartier Château-Rouge. Officiellement, cette association devait aider la communauté camerounaise, très présente dans le secteur. De manière plus officieuse, l’organisme vendait moult documents administratifs faussés, allant des allocations scolaires aux baux locatifs, en passant par des bulletins de salaire ou des certificats médicaux. Et ce pour 15 ou 20 euros pièce.

 Ampleur du trafic:

 Des milliers de faux documents et six ordinateurs servant à les fabriquer ont été saisis. Six personnes ont été déférées devant la justice. Une information judiciaire va être ouverte pour tenter d’identifier les milliers de personnes qui ont bénéficié de ces faux documents. Pour donner une idée de l’ampleur du trafic, un policier a raconté : «Une trentaine de clients se sont présentés… rien que durant la perquisition».

Mon commentaire: »Le marché de la compassion est en pleine expansion ». Je me suis toujours posé la question de savoir comment vivent, et avec quelles ressources, toutes ces Associations dites « bénévoles » qui se consacrent aux immigrés sans papiers. Voici une élément de réponse. Il y en a certainement d’autres…..

INCORRECT !!!                                                                                                              

Repentance…


13/12/2007 N°1839 Le Point . Lu dans l’excellent numéro de cet hebdomadaire d’information.

« Jacques Marseille – La France doit exiger des « excuses de l’Italie

« A l’heure où le gouvernement algérien exige des « excuses » de la France pour les crimes imputés à « la colonisation, il est temps que la France se libère enfin du poids qui l’étouffe depuis plus de deux mille « ans… et exige à son tour de l’Italie des excuses pour les crimes perpétrés par César et ses légions contre « nos ancêtres les Gaulois.

« En effet, si la conquête romaine, comme la conquête française de l’Algérie, a fait bénéficier notre pays de « certains bienfaits, elle l’a fait au prix de massacres et d’asservissements dont il n’est pas illégitime de « rappeler les manifestations les plus cruelles.

« Il faut tout d’abord souligner que la Gaule était au moment de l’agression italienne un pays de cocagne. « Loin d’être un ensemble de villages repliés sur eux-mêmes-contrairement à ce que veut montrer Astérix-, « les campagnes de la Gaule étaient densément peuplées. Loin d’être de féroces éleveurs de troupeaux « habitant dans de misérables huttes au milieu des forêts, nos ancêtres étaient les acteurs éclairés d’une « économie en plein développement qui a permis une expansion démographique sans précédent. A la veille « de sa conquête par les colonisateurs italiens, la Gaule comptait sans doute 8 millions d’habitants. « Techniciens habiles et artisans réputés, les Gaulois produisaient en série le verre plat utilisé pour les « fenêtres, les vases à boire, les bouteilles trapues, les gobelets, les vases à parfum, les gallicæ (grosses « galoches à semelles épaisses) et les chariots qui s’exportaient dans l’ensemble du monde méditerranéen. « Exploité activement dans le Limousin, l’or excitait l’imagination et la convoitise des étrangers. Dans les « villes qui se multipliaient, les techniques ne différaient pas de celles utilisées dans ce qu’on appelait alors « le monde « civilisé ».

« C’est ce pays prospère à la culture originale que va conquérir le colonisateur italien (c’est-à-dire « romain) au prix de méthodes qui sont autant de violations des droits de l’homme. Pour s’emparer de sa « proie, au mépris des conventions internationales, Jules César multiplie des campagnes terroristes qui en « font, plus que Napoléon ou le père Bugeaud, celui dont Hitler a certainement dû s’inspirer. Outre les 600 « 000 ou 700 000 tués-soit le dixième de la population que comptait alors la Gaule indépendante !-, César « s’est livré à de véritables opérations d’extermination, comme celles dont furent victimes, en 53 avant J.-C., « les Eburons. Ces « ancêtres » des Belges s’étant révoltés, César voulut, écrit-il lui-même, « anéantir leur « race et leur nom même », une définition avouée de ce qu’on nomme aujourd’hui un génocide. En-52, « excédé par la résistance des habitants d’Avaricum (Bourges), il se livre à un carnage qui témoigne d’une « véritable folie meurtrière. Seuls 800 habitants sur 40 000 en réchappèrent. En-46, lorsqu’il fait étrangler « Vercingétorix à Rome, il bafoue sans vergogne la future convention de Genève de 1929 sur le traitement « des prisonniers de guerre. Enfin, en imposant à la Gaule leur langue, leur religion et leur culture, les « Italiens se livrent à un véritable génocide culturel. Imaginons ce que serait aujourd’hui une France celtisée « où la langue anglaise et le tempérament irlandais s’allieraient pour faire de notre pays un des champions « de la mondialisation. C’est tout ce potentiel de croissance que les Romains ont brisé et dont les Italiens « devraient s’excuser lors de la prochaine visite officielle de leur président du Conseil en France.

« Ridicule et grotesque, pensez-vous ? Evidemment ! Comme l’est l’exigence du gouvernement « algérien. Comme le grand historien Marc Bloch le rappelait, la compréhension du présent repose sur la « connaissance du passé et non pas sur son instrumentalisation. Comprendre le passé, c’est se demander « pourquoi, de Victor Hugo à Zola et de Jaurès à Maupassant, personne ou presque n’a remis en question les « principes de la colonisation française. Qui condamnerait Jaurès d’avoir osé proclamer en 1903 à la « Chambre des députés : « […] la France a d’autant le droit de prolonger au Maroc son action économique et « morale qu’en dehors de toute entreprise, de toute violence militaire, la civilisation qu’elle représente en « Afrique auprès des indigènes est certainement supérieure à l’état présent du régime marocain » ?

« On le voit, Nicolas Sarkozy a fait beaucoup et peut-être trop pour « excuser » les méfaits du « système colonial français en Algérie. En fait, si les Algériens voulaient trouver des réponses à leur mal-« développement, ils devraient surtout exiger des excuses de ceux qui les gouvernent depuis « l’indépendance. Si l’Algérie est aujourd’hui un pays riche peuplé par des pauvres, elle le doit surtout aux « gaspillages, aux erreurs de gestion et à la corruption qui gangrènent sa classe politique. En 1962, le PIB « par habitant était en Algérie de 1 433 dollars (de 1990). En Tunisie, autre pays soumis au système colonial « français, il s’élevait à 1 379 dollars. Quarante ans plus tard, il est de 2 813 dollars en Algérie et de 4 710 « dollars en Tunisie, qui ne possède pourtant ni gaz ni pétrole. Est-ce la colonisation qui est responsable « d’un tel décalage ?

J’adore l’humour de Jacques Marseille !!!! Sarkozy devrait envoyer la facture à Berlusconi….

Tolérance islamique….


Lu dans le Figaro International du 20 Mai 2008.  

Une offensive antichrétienne en Algérie

« De notre envoyé spécial à Tiaret Arezki Ait-Larbi
20/05/2008 | Mise à jour : 23:03 | Commentaires  114 .

« Interpellée en possession de bibles et d’évangiles, Habiba Kouider est accusée de «pratiquer un culte non « musulman, sans autorisation». Notre correspondant a suivi son procès mardi.
« Le tribunal correctionnel de Tiaret a abrité, mardi, un procès surréaliste. L’accusée, Habiba Kouider, une « chrétienne de 37 ans, est éducatrice dans une crèche. Elle comparaît pour détention de livres religieux, un « délit passible de ­prison depuis l’adoption, en février 2006, de la loi qui régle­mente «les cultes non « musulmans». Le 29 mars 2008, alors qu’elle se rendait en bus d’Oran, où elle fréquente l’école biblique, à « Tiaret, son lieu de résidence, elle est interceptée par des gendarmes. Dans son sac, ils découvrent les « pièces à conviction : des bibles et des évangiles. Ils l’arrêtent et la transfèrent à la police, qui la place en « garde à vue. Plusieurs officiers se relaient alors pour un interrogatoire humiliant de la «mécréante». Le « lendemain, elle est présentée au procureur, qui lui propose un curieux marché : «Tu réintègres l’islam, et je « classe le dossier ; si tu persistes dans le péché, tu subiras les foudres de la justice !» Réservée, presque « timide, Habiba Kouider a peur, mais elle refuse de renier sa foi.
« Trois ans de prison requis
« Mardi, face au juge qui la presse de questions ironiques, elle répond avec dignité. «Quelle est ta religion ?» « demande le magistrat. «Je suis chrétienne. Je me suis convertie en 2004 à l’église d’Oran», répond-elle « d’une voix presque inaudible. Avec un sourire méprisant, le juge reprend : «Les curés t’ont fait boire leur « eau bénite qui mène au Paradis.» Elle ne répond pas.
« En remarquant la présence de journalistes dans la salle, le juge les interpelle : «Avez-vous une autorisation « pour prendre des notes ?» Me Khelloudja Khalfoun, qui défend l’inculpée, intervient : «L’audience est « publique, les journalistes ont le droit d’être là.» ­Lorsque les robes noires de Tiaret, sollicitées pour « «défendre la chrétienne», se sont défaussées, les dignitaires de l’Église protestante se sont tournés vers « cette avocate du barreau de Tizi-Ouzou, rompue aux procès sensibles. Le juge perd son calme, menace de « «prendre des mesures», avant de confisquer les carnets des journalistes !
« Sous le regard de la presse, les magistrats perdent de leur arrogance. Sans conviction, le procureur rappelle « que «l’islam est religion d’État» avant de requérir trois ans de prison ferme. Me Khalfoun plaide «la liberté « de conscience garantie par la Constitution» et demande la relaxe de sa cliente. Un résumé de deux visions « antago­nistes qui s’affrontent dans la société algérienne. Le verdict sera rendu le 27 mai. Le même jour, « devant le même tribunal, six autres chrétiens comparaîtront pour «distribution de tracts visant à ébranler « la foi des musulmans».
« Depuis janvier 2008, les procès pour «délit de chrétienté» se sont multipliés dans l’Ouest algérien, « notamment à Oran, Mascara et Bel-Abbès. Comme les militants d’opposition de la dictature du parti « unique, les néoconvertis sont contraints de vivre leur foi dans la clandestinité.

 » Sans rire, le ministre « algérien des Affaires religieuses se veut rassurant : «La communauté « chrétienne jouit de tous les droits ; « mais nous luttons contre les sectes !»

« Le Figaro International. »

Mon commentaire:

Pendant ce temps, les Musulmans de France revendiquent le « droit » de vivre librement leur foi avec tous les attributs que cela comporte……

A-t-on déja entendu un Musulman Français s’élever contre les pratiques du Gouvernement algérien au nom de la « tolérance » et du « respect des convictions religieuses », dont on nous rabat les oreilles régulièrement, dès qu’une « victime de discrimination » nous est signalée par les médias complaisants ?????

Algérie française.


A lire absolument, pour ceux qui ne connaissent pas, de près ou de loin, cette page de l’histoire des relations entre la France et l’Algérie, un excellent article paru dans l’hebdomadaire « Le Point » sur ce sujet délicat  pour certains. Sur ce sujet que beaucoup de Français abordent sans connaître les données d’un problème douloureux, qui a fait couler beaucoup trop de sang, inutilement.

 http://www.lepoint.fr/actualites-monde/quand-l-algerie-etait-francaise/924/0/247240

L’aveuglement idéologique, la haine qu’a suscité ce million de Français de la part de leurs compatriotes, le goût pour les clichés définitifs,  les a enfermés dans une légende bâtie de toutes pièces par ceux qui ont cédé à la tentation d’en faire les « boucs émissaires » d’une situation dont ils n’étaient pas les maîtres puisque l’Algérie, Province française comptant trois Départements de la République, était placée sous la souveraineté absolue de la France.

Il est bon que de temps à autres l’Histoire soit rappelée aux mémoires, avec ses zone d’ombre et de lumière.L’Histoire avec un H majuscule, et non « les histoires » racontées, avec des motivations souvent partisanes, par ceux que dans mes blogs précédents j’ai nommé des « historiens de pacotille », dont l’engagement politique exclut toute perspective d’objectivité. En effet, comment peut-on s’intituler « Historien » qund on occulte ses engagements passés, dans les partis extrêmistes ou le « Trotskisme » imbécile ???.

A lire, accessoirement, l’intéressante interview de Susini, l’un des chefs de l’OAS, qui donne une idée de ce que fut ce ramassis d’illuminés qui laisseront dans l’Histoire une tâche de sang indélibile qui éclabousse encore les pieds-noirs les plus attachés à l’Algérie et les plus lucides….

http://www.lepoint.fr/actualites-monde/quand-l-oas-negociait-avec-le-fln/924/0/247246

 

La barbe !!!!


             Djamel sortant de chez son barbier, et se rendant à la noce…..

                                  

Debouze symbolise « l’Homme Nouveau », tel qu’on peut le voir chaque jour sur les écrans de la télévision, dans les pubs consacrées aux parfums et autres produits cosmétiques dont les hommes sont devenus aujourd’hui si friands: beau gosse, mal rasé, ou pas rasé du tout, les cheveux gras ou « gominés » , col de chemise ouvert laissant entrevoir quelques poils sur le poitrail pour attester de la « virilité » du personnage, pas de cravate car cet accessoire fait partie des attributs ringards de la masculinité, l’ensemble submergé par un nuage parfumé signé Jean-Paul Gauthier et destiné à masquer l’odeur de celui qui n’a pas pris une douche depuis une petite semaine, histoire de sauvegarder la pointe de musc dont les filles d’aujourd’hui, paraît-il, raffolent.

On comprend que Mélissa soit tombée sous le charme…..A moins qu’elle n’ait été fascinée par le « talent » de celui qui a été l’an dernier l’acteur qui a touché le plus gros cachet, dans un film français, pour son rôle dans Astérix…