2013 en révision


Les lutins statisticiens de WordPress.com ont préparé le rapport annuel 2013 de ce blog.

En voici un extrait :

Le Concert Hall de l’Opéra de Sydney peut contenir 2.700 personnes. Ce blog a été vu 46  000 fois en 2013. S’il était un concert à l’Opéra de Sydney, il faudrait environ 17 spectacles pour accueillir tout le monde.

Cliquez ici pour voir le rapport complet.

Le Temps des Quenelles….


Quenelles Lustucru

« La quenelle est une boulette de forme généralement allongée, à base de différents ingrédients, typique dans la cuisine traditionnelle de plusieurs régions françaises. On peut citer les quenelles de brochet, les quenelles lyonnaises, les quenelles de moelle, les quenelles de foie. »

Jusqu’à ce jour, la connaissance que j’avais de la « Quenelle française », se limitait à la définition ci-dessus.

Mais, depuis quelques jours, un de ces déchaînements médiatiques dont la France a le secret m’oblige à réviser mes connaissances en matière de gastronomie.

Car, ignare que je suis, j’ignorais que la « quenelle », « cette boulette de forme allongée à base d’ingrédients divers, typique dans la cuisine traditionnelle française », était devenue, – « à l’insu de mon plein gré » – un symbole monstrueux du racisme et de l’antisémitisme dont la vague semble devoir submerger la France si on en croit les « vigiles » de notre société pétrifiée dans ses peurs obsessionnelles…

Dans toute la Presse, écrite, parlée, ou télévisuelle, je n’entends qu’un cri unanime: « sus à la quenelle » !!!

Il est même question d’exiger du Ministère de l’Intérieur de déposer sans tarder un projet de Loi visant à interdire « la Quenelle » !!!

Diable !!!

Mais que vont devenir les Grandes Marques de produits alimentaires qui commercialisent ce savoureux produit de la gastronomie traditionnelle française ??? Encore combien de nouveaux emplois menacés par la « crise de la Quenelle » ???

Et tout cela parce que un certain Dieudonné M’bala M’bala, humoriste de son état, se serait emparé de ce symbole culinaire pour en faire un geste dont seuls quelques initiés – dont je n’étais pas jusqu’ici – connaissaient la signification !!!

Son épouse aurait même, – dit-on -, déposé la marque « Quenelle » laquelle, ainsi protégée, ne saurait être que la marque d’un produit rare, réservé à « la Grande Cuisine »antisémitique ….

L’affaire a pris des proportions planétaires, depuis qu’un joueur de Football, que j’ai plusieurs fois épinglé sur mon blog (1), a exécuté « Le Geste » symbolique sur un stade anglais, après avoir marqué un but !!!

Ainsi donc, Anelka serait devenu, – au retour de l’un de ses périples qui l’on conduit aux quatre coins de la planète, pour exercer son talent qui se limite à un « savoir taper dans un ballon, après avoir longtemps couru derrière » – un amateur de quenelles.

J’imagine que les ingrédients entrant dans la composition de la « Quenelle d’Anelka » sont rigoureusement sélectionnés, et ne sont confectionnés qu’à partir de produits « hallal », car dans le cas contraire on serait en présence d’un geste délibérément blasphèmatoire, et passible d’une « fatwa »…..

(1) – On consultera avec intérêt mes précédents billets traitant de la carrière de cet illustre personnage, sur:

https://berdepas.wordpress.com/2010/07/15/le-cas-anelka/

https://berdepas.wordpress.com/2010/10/07/anelka-quitter-la-france-suite/

https://berdepas.wordpress.com/2011/12/13/anelka-la-fuite-des-cerveaux-se-poursuit/

https://berdepas.wordpress.com/2012/01/17/football-hallal/

La révolte des Mozabites….


La France n’a plus le « monopole » des problèmes identitaires ou des affrontements racistes et inter-communautaires. Les « officines spécialisées », telles que SOS-Racisme,(1) ou le MRAP, devraient s’intéresser aux nouveaux marchés et aux perspectives de business que leur offre la « mondialisation dans un domaine où la France doit affronter une concurrence jusqu’ici sous-estimée….

Citation:

http://www.elwatan.com//actualite/a-ghardaia-c-est-le-pourrissement-28-12-2013-240129_109.php

Affrontements intercommunautaires.

A Ghardaïa, c’est le pourrissement…

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le 28.12.13 | 10h00

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Citation:

« Une lourde tension pesait hier sur Ghardaïa après les affrontements intercommunautaires. Certains commerces ont ouvert, mais les deux camps s’observent malgré les appels au calme. La ville était toujours quadrillée vendredi par la police, qui avait dénombré la veille 40 blessés dans ses rangs, et donne l’impression, triste spectacle, d’être plongée dans un climat de guerre.

Ghardaïa. De notre envoyé spécial

Vue du ciel, Ghardaïa ressemble à une carte postale. Au bord de la route surplombant la ville depuis les hauteurs de Bouhraoua, des dizaines de voitures s’arrêtent le temps d’un cliché, comme cette Land Rover, avec, à son bord, des touristes étrangers qui prennent la pose devant un magnifique belvédère dominant la vallée du M’zab. Mais il suffit de zoomer sur les entrailles de la ville pour découvrir une toute autre réalité. Perforée la carte postale, ce sont des images de guerre qui vous sautent à la figure. Des scènes dignes d’une ville assiégée. Une ville au bord de la guerre civile. Dire qu’en pareille période de l’année, Ghardaïa est, en temps de paix, assaillie par des contingents de «réveillonneurs» plutôt que par les cortèges de CRS. A l’hôtel El Djanoub où nous avons pris nos quartiers, un réceptionniste nous lance : «Vous avez de la chance. Plusieurs familles qui avaient réservé pour passer le réveillon ici ont différé leur voyage à cause des événements, autrement, l’hôtel affiche complet à l’approche du nouvel an.»

Magasins fermés et rues désertes.

En débarquant jeudi soir à Ghardaïa, nous sommes d’emblée happés par le triste spectacle d’une ville plongée dans le chaos. La plupart des magasins des artères principales ont baissé rideau. Un étalage impressionnant de fourgons de police et autres compagnies de gendarmerie fait penser à un couvre-feu. Des monticules de gravats, des auréoles de pneus brûlés, des magasins maculés de cendres, des pans de murs effondrés, servent de décor à des rues désertes. «Vous allez à Ghardaïa ? Vous êtes au courant de ce qui se passe ? El hala ma taadjabch, faites attention !» nous avertit un agent des forces de police originaire de Blida posté à un barrage, à l’entrée de la ville. Nous nous engouffrons dans les boyaux de la vieille ville et c’est une cité fantôme qui s’offre à nous. Une voiture carbonisée annonce la couleur aux abords de Souk Lahtab. Le vieux marché est quadrillé par une vingtaine de fourgons des forces antiémeute de la Gendarmerie nationale dépêchées en renfort ce jeudi. Sur le pont de la SNTV, des camions de police sont ostensiblement déployés, de même qu’au long de l’avenue Hadj Messaoud, ou encore à Haï El Moudjahidine et à Theniet El Makhzen. Inutile de chercher un restaurant dans ces zones-là. Il faut descendre à Sidi Abbaz, une artère commerçante relativement épargnée par les troubles, pour trouver des restos ouverts. Partout ailleurs, c’est le même climat de guerre. Dans les quartiers mozabites comme dans les quartiers arabes, les riverains sont sur les dents.

Le marché quadrillé.

Hier, Ghardaïa a ouvert les yeux sur un vendredi maussade. La nuit aura été une nouvelle fois agitée. «Il y a eu des échauffourées avec les forces de l’ordre jusqu’au petit matin», indique Khodir, membre du bureau local de la LADDH. Des tirs de grenades lacrymogènes ont troublé le sommeil des habitants de la vieille médina. La journée de jeudi a eu également son lot d’affrontements. «Un jeune Mozabite de 21 ans a été grièvement blessé après avoir reçu des blocs de pierre sur la tête. Trois policiers ont été blessés en tentant de le sauver», poursuit Khodir. Le jeune en question a été évacué à la clinique Al Ouahat, à la sortie de la ville. Khodir appelle le père du jeune homme pour avoir de ses nouvelles. Il est soulagé d’apprendre qu’il est hors de danger. Des rumeurs persistantes ont annoncé des morts. Il n’en est rien. En revanche, les blessés se comptent par dizaines, voire par centaines, entre Mozabites, Arabes et forces de l’ordre. «Nous avons eu 44 blessés dans nos rangs», confie un officier de la sûreté de wilaya de Ghardaïa. Et d’ajouter : «Il y a eu un nombre assez important d’arrestations des deux côtés.» Une dizaine, selon Kamel Eddine Fekhar, membre du conseil national de la LADDH et chef du bureau de la Ligue à Ghardaïa. M. Fekhar déplore, par ailleurs, des «centaines de blessés parmi les Mozabites» et «une vingtaine de magasins saccagés, leur appartenant» (lire l’interview qu’il nous a accordée dans nos prochaines éditions). Pour lui, il ne fait aucun doute que Ghardaïa «est en état de guerre». Notre interlocuteur précise que beaucoup de blessés ne sont pas évacués à l’hôpital par crainte d’être arrêtés. L’ancien élu FFS à l’APC de Ghardaïa accuse ouvertement la police de prendre fait et cause avec les Arabes. «Ils ont pratiqué des actes de torture et infligé des sévices sexuels à des Mozabites», appuie-t-il.

«Il nous faut un ordre du wali».

Photos à l’appui, il accuse également la police de complaisance avec les agresseurs de l’autre camp. Sur l’une d’elles, il nous montre un jeune avec une bouteille d’essence abrité derrière un membre des forces antiémeute. Sur une autre photo, il est question d’une foule de jeunes de la communauté arabe massée derrière un camion «moustache» de la police. «Regardez, c’est lui qui leur ouvre la voie», commente-t-il. Des accusations que rejette un représentant de la police officiant à la sûreté de wilaya qui nous dit : «Nous, nous n’avons pas cette mentalité (discriminatoire, ndlr). On ne fait pas de différence entre Arabe et Mozabite. Nous ne faisons que notre travail. Nous sommes responsables devant Dieu et devant les hommes. Des fois, on est obligés de tirer des grenades lacrymogènes, Allah ghaleb. On a été ciblé par des cocktails Molotov des deux côtés. On nous a même balancé des citernes dans les petites venelles où il est difficile d’intervenir.» M. Fekhar reproche aux forces de l’ordre leur complicité passive. «Pas plus tard qu’hier (jeudi, ndlr), j’ai alerté les gendarmes positionnés au niveau du vieux marché sur le cas d’un magasin qui se faisait attaquer à quelques encablures de là. Ils m’ont rétorqué qu’ils ne pouvaient rien faire sans un ordre du wali. Apparemment, les Mozabites n’ont pas droit à la sécurité dans ce pays», s’indigne-t-il.

Des commerçants vident leurs échoppes.

Hier, la matinée a connu un calme précaire. La plupart des magasins du centre-ville ont gardé leur rideau baissé. Le vieux marché, habituellement si animé le vendredi, avait triste mine. Image éloquente : plusieurs commerçants évacuaient leurs marchandises dans des camionnettes pour les mettre dans des lieux sûrs avant de cadenasser leurs échoppes. Certains commerces alentours affichaient les stigmates d’actes de vandalisme caractérisés. «Ils viennent, ils les pillent et ils les incendient», fulmine Khodir en dénonçant à son tour la passivité de la police. Khodir qui habite en contrebas de la vieille cité de Melika, dans un quartier «mixte», nous confie avoir emménagé depuis quelques jours chez sa belle-famille, sur les hauteurs de Melika. Sa mère, quant à elle, est partie se réfugier à Ouargla. «Beaucoup de Mozabites ont été obligés de fermer leur commerce et quitter leur maison par crainte des voyous qui viennent semer la terreur chez nous», dit-il. Khodir a très peu dormi. Il nous confie : «J’ai passé la nuit à monter la garde. Nous devons rester vigilants pour protéger nos biens.» Jeune entrepreneur et ancien élu APW (FFS), Khodir a cinq enfants, dont deux garçons âgés de 15 et 13 ans. «Eux aussi montent la garde avec moi. Ils doivent défendre leur territoire», lâche-t-il. A l’autre bord, ce sont quasiment les mêmes mots et les mêmes réflexes. Un groupe de jeunes de la communauté arabe font, eux aussi, le guet devant leurs maisons, à Hadj Messaoud. Ils ne dorment pas la nuit, non plus. L’un d’eux, la tête coiffée d’un keffieh et portant des gants noirs, témoigne : «J’ai passé une nuit blanche à veiller sur le quartier avec mes voisins. Ils peuvent débarquer à tout moment. Nous les attendons de pied ferme. Les Mozabites ont détruit plusieurs de nos commerces et incendié nos maisons.»

Tension maximum après la prière.

Après la prière du vendredi, la tension monte d’un cran. Sur le pont de la SNTV surplombant Oued M’zab, les policiers, arborant casque, trique et bouclier, sont sur le pied de guerre. Des jeunes de la communauté arabe sont attroupés devant les camions de police, les yeux rivés sur une marée humaine cantonnée à l’autre bout de l’oued. Des Mozabites prêts, eux aussi, à en découdre. Chaque partie guette l’autre en un duel haletant. A un moment donné, un dépôt prend feu à Hadj Messaoud.

« Une foule se forme. Les nerfs chauffent. Un fût est roulé sur le bitume. Des policiers massés aux abords d’un cimetière mozabite dont le rempart a été, en partie, démoli, s’ébranlent comme un seul homme. Panique. Cris. Grenades lacrymogènes. Un jeune homme rejoint le groupe des Arabes. Il charge d’emblée les Mozabites: « Ce sont eux les reponsables de ces troubles », fait-il. Il parle de « harb taïfia » ( guerre condessionnelles) en accablant le rite ibadite. »Ni ils prient ni ils se marient avec nous » renchérit-il. Kamel Eddine Fekkar, lui, est catégorique: » Je n’ai pas de problème avec les Arabes, mais avec le pouvoir » martèle-t-il ».

« Depuis 1962 (!!!), c’est la même histoire.C’est un film d’horreur qu’on est en train de vivre en continu, avec des épisodes différents. Il y a une volonté politique de détruire l’identité d’un groupe. Cela s’appelle un ethnocide. Le pouvoir essaie depuis l’indépendance de casser la société mozabite. Il veut effacer l’identité mozabite. Aujourd’hui, nos jeunes ne connaissent ni l’ibadisme ni le tamazight. Certes, on ne tue pas physiquement les gens, mais on tue leur identité. Le pouvoir veut nous tuer culturellement.»

(Fin de citation).

Sans commentaire. En rajouter serait prêter le flanc à des soupçons de « racisme »aggravés par des « relents de colonialisme »: des accusations en vogue, à l’heure actuelle, en France…. 

(1).- « L’anti-racisme » business se porte bien: Le Journal officiel a publié les comptes de SOS Racisme. SOS Racisme a reçu 579 000 euros de subventions publiques en 2009 alors que le montant des adhésions plafonne à 18 669 euros. Vous pouvez vérifier par vous mêmes sur:
http://www.observatoiredessubventions.com/2010/les-subventions-a-sos-racisme/
(A la page 3 figure un récapitulatif des dons, adhésions et subventions.).

« Ils » inventent la France de demain….


ernest renanVous avez été révoltés par le contenu de mon récent billet, intitulé « Fantasmes ou Folie pure » ??? Vous ne serez pas déçus par celui-ci !!!

L’information circule bien sur internet, fort heureusement pour nos libertés. Ainsi, on parvient toujours par avoir accès à ce que l’on aimerait savoir et que l’autocensure des médias nous interdit d’apprendre….

Qu’il s’agisse des délits ou crimes commis par ceux dont les noms sont soigneusement occultés pour éviter une prétendue « stigmatisation », et que l’on finit toujours par apprendre par des voies détournées, ou d’informations gênantes pour le pouvoir en place dont la collusion avec le monde médiatique est une évidence de plus en plus troublante, plus rien n’échappe à notre connaissance, grâce à l’internet.

Ainsi, on peut accéder sur internet à la liste des « personnalités hautement qualifiées » choisies, sous l’autorité de notre Ayrault national, pour élaborer des propositions en matière d’intégration, alors même que cette liste a été supprimée sur le site où l’on peut lire ce petit chef-d’oeuvre de stupidité….

http://www.gouvernement.fr/presse/refondation-de-la-politique-d-integration-releve-de-conclusions

LIVRE 1

 Salah AMOKRANE, Coordonnateur de l’association TACKTICOLLECTIF

Karim BOURSALI, Étudiant

Mohand HAMOUMOU, Maire de Volvic

Abdelkader HAROUNE, Président de l’association «Les Chemins de la Réussite»

Jamel OUBECHOU, Président de l’association «Génériques»

Alain BESSAHA, Cabinet du Ministère des Sports, de la Jeunesse, de l’Éducation populaire

et de la Vie associative

Ratiba BENDJOUDI, Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances

Fadila MEHAL, Agence Nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances

Najette REZAG-CHARPENTIER, Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité

des chances

Sarah ZOUHEIR, Cabinet du Ministère délégué à la Ville

Kader ATTOU, Directeur du Centre chorégraphique national de la Rochelle

Ali BOUKACEM, Directeur des affaires culturelles et de la communication, Ville de Grenay

Zineb BOUZIANE, Médiatrice culturelle du quartier de la République à Avion

Jean DJEMAD, Fondateur de la Compagnie « Black, Blanc, Beur »

Faiza GUELAMINE, Sociologue, Responsable de formation à l’Association Nationale

des Cadres du Social – ANDESI

Nacira GUENIF-SOUILAMAS, Sociologue et Anthropologue, Maître de conférences HDR

à l’Université Paris-XIII, Vice-présidente de l’Institut des cultures d’Islam

Abdel, Bakir et Nordine BARAKA, Compagnie les Atellanes

Abderradak JANATI, Recteur de la Mosquée de Lens

Abdellatif CHAOUITE, Association Adate, Région Rhône-Alpes

Hédi CHENCHABI, Secrétaire général, Réseau Mémoires-Histoires en Île-de-France

Mohammed OUADDANE, Délégué général, Réseau Mémoires-Histoires en Île-de-France

 LIVRE 2

Fadéla BENRABIA, conseillère intégration et asile, Ministère de l’Intérieur

AZAHOUM Boualam, Divers-cité/Rhône-Alpes

BENIA Djamel, Association Adice

BENCHARIF Lela , Vice-présidente du Conseil régional du Rhône-Alpes / déléguée à

la démocratie participative, à la vie associative et à l’éducation populaire

BOUBEKER Ahmed (co-président) Professeur des universités à l’Université Jean Monnet de St Etienne

CHAOUCHI Karim Collectif Vivre ensemble l’égalité (Lormont)

M’RAD Azzedine Adjoint au directeur de la DRJSCS Franche-Comté

SBAHI Fatima, Membre du Collectif « sorties scolaires : avec nous ! »

SONZOGNI Djamila Conseil régional d’Alsace (EELV), présidente de l’Association

de Lutte contre les Discriminations en Alsace (ALDA)

TALEB Issam Chef adjoint de cabinet au Ministère de la fonction publique

ZOUHEIR Sarah Chargée de mission, Cabinet Ministère délégué à la Ville

 LIVRE 3

Abderrahmane DJELLAL, Adjoint au maire de Grenoble chargé de l’emploi, de

l’économie, de la recherche, de l’insertion et de la formation professionnelle

Amine SOUSSI, Mission locale de l’Etang de Berre

Béligh NABLI, cabinet de la ministre déléguée à la réussite éducative – co-responsable

du groupe de travail

Fathi TLILI, Force ouvrière (FO)

Hakim HALLOUCH, Responsable du pôle « Diversité » à Science Po Paris

Khalid HAMDANI, Directeur de l’Institut Ethique et Diversité – co-directeur du groupe

de travail

Mahrez OKBA, Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques

du ministère du Travail et de l’emploi (DARES)

Majda CHERKAOUI, Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des

chances (ACSE)

Mohamed YAZID, Collectif « Vivre ensemble l’égalité » de Lormont

Nabil BOUGHRIBA, Collectif « Vivre ensemble l’égalité » de Lormont

Ommar BENFAID, Confédération française du travail (CFDT)

Zahra BOUDJEMAI, chargée des questions de suivi de la scolarisation des enfants

Roms à la Délégation interministérielle à l’hébergement et à l’accès au logement (DIHAL)

Mamadou DISSA, directeur, et Dominique REVEL, chargée de la lutte contre les

discriminations à la mission locale de Villeurbanne

LIVRE 4

Agnès El Majeri, cabinet de Mme Touraine

Association Schebba à Marseille : Haciba Redjdal

CAF de Seine-Saint-Denis (Rosny) : Tahar Bel Mounes

CNLE 8e collège : Khalid Alaoui, Djemila Mahmoudi

Boualam Azahoum, directeur de l’association El Ghorba à Villeurbanne

 LIVRE 5

Chaynesse Khirouni, Députée

Adil Jazouli, Sociologue, SGCI

Edifiant, non ???

Et parfaitement éclairant sur les raisons du contenu complètement « décalé »  de ce rapport explosif !!!

Manifestement ceux qui se sont exprimés à travers ce document n’ont pas la moindre perception de ce que les Français veulent faire de la France et de son identité.

On lira avec intérêt l’article paru sur le Blog d’Ali Devine, un blogueur iconoclaste que j’apprécie : il révèle des informations intéressantes sur le « parcours » et les « références » de certains des « zintellectuels » consultés dans le cadre de ce travail de réflexion sur les axes possibles d’une remise à plat de notre système d’intégration.

http://devine.over-blog.fr/article-post-scriptum-les-indigenes-sont-dans-la-place-121710357.html

Vous observerez que, parmi tous ces « zintellectuels » appelés à « réfléchir » sur le futur du pays qui les a accueillis, il n’y a aucun artisan, aucun Chef d’Entreprise, ni aucun membre des professions créatrices des richesses du pays !!! Que des « apparatchiks », des « Présidents » d’Associations, des « sociologues », des fonctionnaires ou des politiciens professionnels vivant au crochets du contribuable français….

« Ils » rêvent d’une France où les Français, à genoux, après les avoir accueillis chez eux, leur laisseraient la clé de la maison, après en avoir été chassés ou condamnés à travailler pour leur « servir la soupe »….

On est abasourdi par autant d’inconscience imbécile chez un Premier Ministre « à la ramasse », car en confiant une « mission de réflexion » à un tel aréopage d’irresponsables, il n’était pas difficile de prévoir le résultat de leurs élucubrations…

Conseil à notre « Ayrault national »: relire Ernest Renan !!!

Nation

Affrontements communautaires à Ghardaïa – 25 décembre 20143


Fêtes religieuses….


Les voeux ( tardifs ) de Zigounette aux Français, à l’occasion des fêtes de Noël, viennent de donner lieu à une polémique qui fait « le buzz » sur les réseaux sociaux.

Certains se plaignent du manque de considération du Président pour les Chrétiens, dont Noël représente une Fête majeure de leur calendrier. En face, ceux qui font office de « cireurs de pompes » de service, dès que Zigounette occupe le devant de la scène, font observer à juste titre que d’autres Présidents, avant lui, avaient négligé de s’adresser aux Français pour leur souhaiter un « JOYEUX NOËL »….

Cela montre à quel point les Français, qu’ils soient chrétiens ou pas, pratiquants ou pas, sont attachés à la symbolique des évènements et des traditions qui ponctuent notre vie en société. Une symbolique que les Socialistes aimeraient bien chambouler, pour nous imposer d’autres symboles plus conformes à leurs fantasmes idéologiques….( cf. mon billet intitulé « Fantasmes ou folie pure ???).

Je pense que pour beaucoup de Français, quelles que soient leurs convictions religieuses, ce qui est choquant, ce n’est pas le silence, ou les voeux tardifs de ceux qui sont au pouvoir actuellement, quand il s’agit de fêtes chrétiennes, mais bien plutôt l’empressement, la chaleur, l’empathie suspectes manifestés à l’égard des Musulmans, qui, par contraste, suscite un sentiment de révolte.

Aïd

Ainsi, si aucun de ceux qui gouvernent aujourd’hui la France, qu’ils soient Président, Premier Ministre, ou Ministre de l’Intérieur ministre des Cultes ne se sont rendus à la Messe de Minuit chère à de nombreux Chrétiens, ce qui se justifie dans un Etat Laïque, comment excuser le fait que, en délégation officielle, le Premier Ministre et le Ministre de l’Intérieur aient jugé utile de célébrer, à la Mosquée de Paris, les Fêtes de l’Aïd qui marquent la fin du Ramadan ????

Une dissymétrie qui contribuera à entretenir la colère légitime de beaucoup de Français, et même parmi ceux qui ne sont pas pratiquants….

L’Hiver


Penon

Ce soir, au coucher du soleil, finira le premier jour de l’hiver…..

L’automne fut clément sous le ciel d’Espagne et les rigueurs de l’hiver ne sont pas une menace ici.

Mais même lorsque l’hiver est doux, l’hiver reste l’hiver.

La nature a fait le ménage et les arbres feuillus ont retrouvé le vert de leur couleur naturelle car les feuilles ont été dépouillées de leur poussière de l’été par les pluies d’orage. 

Les orangers et les citronniers se parent des couleurs de leurs fruits parvenus enfin à maturité.

Cueillir une orange, sous l’arbre même, l’éplucher et en déguster les tranches en laissant leur jus débordant dégouliner de chaque côté des lèvres, c’est un plaisir simple. Comme un retour aux sources de la vie…

Les goëlans ne se risquent plus à pêcher en mer, lorsque la Méditerranée  revêt ses couleurs menaçantes et quand l’orage gronde, au large; le ciel gris ici, noir là-bas, se reflète dans les vagues tumultueuses qui deviennent vert de gris au bord de la plage, et d’un bleu sombre au large.

Alors, les goëlans tournent en rond dans le ciel en poussant des cris étranges…

Mais dès le lendemain, le ciel retrouve sa couleur d’un bleu profond, et la côte se détache plus nettement qu’en été, sous la lumière rasante et douce de l’hiver.

Alors tout rentre dans l’ordre: les oiseaux de mer partent à la rencontre des chalutiers qui rentrent au port, à la tombée du soir, et le bergeronnettes, sautillantes, autour de la moindre flaque d’eau, viennent étancher leur soif, dans un rayon de soleil…..

Au port, les pêcheurs, un temps immobilisés par la tempête, en ont profité pour réparer leur filets étendus sur le quai, parmi lesquels quelques mouettes, venues picorer des restes de poissons et de coquillages restés prisonniers des filets.

Dans l’arrière-pays, on cueille les olives, et dans les plantations d’oliviers, résonnent les voix de cueilleurs qui secouent les branches chargées d’olives qui tombent au sol recouvert de toiles destinées à recueillir les fruits ….

De temps à autres, dans la montagne, résonne une détonation : la chasse est ouverte, et si les chiens aboient, c’est pour marquer leur joie de retrouver la trace d’un gibier pour lequel l’hiver est une saison sinistre….

Pour nous, c’est la saison des longues promenades le long des plages désertes, en respirant l’odeur iodée des embruns qui gonflent nos poumons d’un air sain et vivifiant et en écoutant le murmure de la vague qui, venant de si loin, vient mourir sur le sable, et nous apporte un message de paix sereine.

Il est réconfortant, en ces instants précieux, de sentir dans le creux de sa main la chaleur de la main de la douce compagne qui sait partager, en silence, ces instants de bonheur serein.

C’est aussi la saison des ciels changeants selon l’inclination du soleil.

Au fur et à mesure de sa descente sur l’horizon, celui-ci projette ses rayons lumineux qui virent lentement du jaune clair à l’orange, puis au rouge profond lorsque le soleil s’apprête à disparaître : ces ciels d’aquarelle qu’il m’est arrivé de peindre en reproduisant leurs couleurs réelle, que mes amis, surpris contemplent avec un scepticisme poli, tant ces couleurs leur paraissent artificielles…..

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L’âge m’a rendu plus sensible au temps qui passe : chaque saison nouvelle s’écoule implacablement, comme le sable coule dans le sablier de la vie. J’ai appris à goûter chaque instant et à m’émerveiller de ces choses simples et naturelles qui font la beauté du monde.

Me revient alors en mémoire ce que me disait mon père: « apprends à vivre et à goûter chaque minute de ta vie comme si c’était la dernière »…..

Mr « Petite blague »….


Hollande dubitatif

Normal 1er, est connu, dans le microcosme socialo-politique, pour sa propension à émettre de ces « petites blagues »qui  ont contribué à façonner sa réputation de joyeux luron au sein d’un Parti Socialiste boudeur qui attendait impatiemment « l’alternance », et l’heure d’accéder aux ors des Palais de la République……

Depuis que Hollande est devenu un « Président Normal »,la réputation de son talent s’étend désormais au-delà de nos frontières. Mais on ne peut pas dire que ce talent soit également apprécié partout.

Ainsi, – la Presse française a bien tardé à nous en rapporter les échos – sa dernière blague sur l’Algérie a été « moyennement » appréciée à Alger, comme en témoigne cet article récent du quotidien « El Watan ».

http://www.elwatan.com//actualite/la-blague-de-mauvais-gout-de-francois-hollande-21-12-2013-239364_109.php

Le président français félicite Manuel Valls pour être revenu «sain et sauf» d’Algérie…

la blague de mauvais goût de François Hollande

le 21.12.13 | 10h00

Une plaisanterie de mauvais goût, des insinuations pathétiques, et un nouveau coup de froid à l’horizon dans les relations censées être «normalisées» depuis la visite de François Hollande en Algérie, en décembre 2012.

« Décidément, il n’est pas encore révolu le temps des petites phrases assassines, échanges véhéments de propos incendiaires qui mettent sous haute tension les relations entre les deux capitales. En dépit de la très pragmatique Déclaration d’Alger (signée en 2012), la «communauté de destin», les impairs diplomatiques pullulant condamnent les rapports algéro-français à la loi du chaud et froid. Après le fameux discours du président Sarkozy à Dakar où il était question de l’«homme africain qui n’est pas rentré dans l’histoire», François Hollande réitère presque la même chose. Avec le rire en plus.

A l’Elysée, lundi 16 décembre au soir, après un banquet arrosé en l’honneur des 70 ans du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), le président François Hollande a laissé entrevoir quelques-unes de ses facettes d’humoriste qui étaient jusque-là méconnues au «président normal». Alors que Jean-Marc Ayrault, son Premier ministre ferraillait encore à Alger où il était arrivé dans la matinée pour une visite de deux jours, visite assortie de la signature d’une vingtaine d’accords potentiellement bénéfiques, le président français s’en donnait à cœur joie de cet humour grinçant le racisme et sentant les stéréotypes sortis tout droit de la remise du centenaire de la colonisation (dit de la conquête) ou de l’Exposition universelle (et des indigènes) de Paris de 1889. »

Lors de son discours à l’Elysée, et au détour d’une de ces petites digressions malheureuses qui ruinent de grands desseins, Hollande annoncera – sans transition justifiée – la visite prochaine de Manuel Valls en Algérie. Le ministre de l’Intérieur français lui rappellera qu’il revenait justement d’Algérie. Réplique au vol : «Il en revient sain et sauf», relance tout sourire, le président français. «C’est déjà beaucoup !», ajoutait-il sous les rires des convives et journalistes amusés. D’humeur joyeuse et arrosée, le banquet parisien fera l’effet d’une douche froide en terre algérienne, dont le peuple est renvoyé, sans autre forme de procès, à sa condition de colonisé, de sauvage à civiliser, d’indigène de la République, dénué aussi bien de cortex cérébral que d’humour. »( Fin de citation ).

Chacun sait à quel point les Algériens, dont l’humour, en général, ne manque pas de sel quand il s’agit de se gausser de la France, sont susceptibles et sensibles à toute marque de condescendance de l’ancien « colonisateur ».

La blague, imprudente, est d’autant plus mal ressentie qu’elle a été prononcée au cours d’un banquet, sans doute trop arrosé, en l’honneur du Conseil Représentatif des Institutions Juives de France….

Une petite blague aux conséquences diplomatiques qui peuvent annuler d’un trait de plume, les « avancées » réalisées dans l’amélioration des relations entre les deux pays lors du dernier voyage « triomphal » de Normal 1er en Algérie….

http://www.elwatan.com//actualite/derapage-verbal-de-francois-hollande-alger-s-indigne-22-12-2013-239481_109.php

Normal 1er : Un Grand Chef de Guerre, un petit Président et un tout petit diplomate….

Conflits d’intérêts…


Fonctionnaires

Je regardais, hier, assez tard dans la soirée, une émission de France2, « Complément d’Enquêtes »animée par un journaliste jouant son numéro de dénonciateur des dérives, des abus, des malversations dont souffre notre société….

Un rôle nécessaire dans une Démocratie.

Le sujet de l’émission traitait de la notion de « conflit d’intérêt », illustrée par le rôle discutable des « lobbyistes », et par de nombreux exemples choisis dans l’industrie pharmaceutique, dans l’industrie automobile, et bien évidemment dans le monde politique, où, entre autres, quelques Parlementaires cumulent les fonctions que leur confère leur mandat avec la profession d’Avocat….Suivez mon regard !!!

Les exemples choisis étaient évidemment choquants et témoignent d’un sérieux »déficit » sur le plan de l’éthique, un « déficit » largement répandu dans certaines professions.

Quittant cette émission, je zappe un instant et tombe par hasard sur une chaîne où un journaliste, participant à une émission politique, participation pour laquelle il a été vraisemblablement rémunéré, ce qui, en soi, n’est pas choquant.

Mais ce qui est choquant, c’est que, selon une tradition qui semble bien établie dans le milieu de la télévision, l’animateur de l’émission se livre à un petit exercice de « promotion » gratuite du dernier livre publié par « l’invité ». Petit conflit d’intérêt ???

Sur une autre chaîne, un artiste en représentation dans une émission de « variétés »se livre à son tour à une peu discrète opération de promotion du « dernier album » qu’il vient de « sortir ». Je croyais savoir qu’à la télévision la « publicité occulte » était interdite ???

Ce matin je tombe sur un article de presse relatant les « états d’âme » de Vincent Peillon, notre Ministre de l’éducation nationale, qui s’inquiète des suites de sa carrière, considérant selon ses propres mots, qu’il est sur un « toboggan »…. Chacun sait pourtant qu’il « poursuivra » sa carrière politique d’apparatchik en se faisant élire au Parlement Européen…

Par curiosité je consulte, sur internet, sa biographie.

Intéressante biographie.

Selon Wikipédia : « Vincent Benoît Camille Peillon est le fils de Gilles Peillon (1928-2007), banquier et communiste, qui fut directeur général de la première banque soviétique hors d’URSS2, la Banque Commerciale pour l’Europe du Nord – Eurobank, puis de la banque franco-algérienne Union méditerranéenne de banque3. Du côté maternel, il est issu d’une famille juive alsacienne4 : sa mère, Françoise Blum, née en 1930, fut directrice de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), spécialiste en physiopathologie de l’hypophyse ; son grand-père était le professeur Léon Blum (1878-1930)5, spécialiste de la physiopathologie rénale à Strasbourg, initiateur de l’insulinothérapie en France, fils aîné du rabbin Félix Blum (1847-1925) et de Jeannette Lederman ; sa grand-mère Thérèse Lion (1894-1985) est la fille d’un assureur de Moselle, avocate et féministe, dont le militantisme marqua particulièrement le jeune Vincent6 ; son oncle maternel est Étienne-Émile Baulieu (né Étienne Blum), coinventeur de la pilule RU 486, professeur honoraire au Collège de France, et sa tante maternelle est Suzanne de Brunhoff économiste au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), belle-fille du créateur de Babar7.

Vincent Peillon est le frère du journaliste Antoine Peillon.

Il est père de quatre enfants : deux filles, Salomé et Maya, nées de son premier mariage, et deux fils, Elie et Izaak, nés de son union en secondes noces avec la journaliste Nathalie Bensahel, rédactrice en chef adjointe au service « Notre Époque » de l’hebdomadaire du Nouvel Observateur1.

Bachelier à 16 ans, Vincent Peillon est ensuite étudiant en philosophie à la Sorbonne (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne). Il fréquente rarement les bancs de l’université et obtient sa licence à vingt ans. Après une agression ( ???), « Vincent plaque tout et part à l’aventure »11. Il travaille pour la Compagnie des wagons-lits sur la ligne Paris – Copenhague et importe en cachette du saumon fumé. Il fonde alors l’Office de ventes d’import-export et de diffusion avec comme slogan « du saumon norvégien pour tous (1)», société spécialisée notamment dans la vente de saumon fumé aux comités d’entreprise. ( !!!).

Il prépare ensuite le concours pour le certificat d’aptitude au professorat de l’enseignement du second degré en philosophie. Nommé professeur certifié stagiaire à la rentrée 1984 au lycée Édouard-Herriot à Lyon 6e, il est affecté comme titulaire à la rentrée 1985 au lycée Pierre de Coubertin à Calais. Il enseigne aux élèves de terminale scientifique, économique et sociale, et technique. Il prépare parallèlement le concours de l’agrégation de philosophie et deviendra professeur agrégé après une première tentative infructueuse. Il reste deux années à Calais, puis est muté pour être formateur à l’école normale primaire de la Nièvre« .

En fait, selon certans de ses propres collègues, notre Peillon n’est pas agrégé. C’est un agrégé interne (ce titre n’a pas  d’existence officielle), c’est-à-dire qu’il a été nommé directement, sans concours,  agrégé, compte tenu … de ses autres diplômes et…. de quoi au juste ?  Chaque année de nombreux échelons sont ainsi franchis par « attribution » lors de commissions paritaires ou « sur demande d’un Inspecteur » ou après entretien oral ou passage devant une classe seulement . Il a donc le titre, l’échelon administratif,  et… la rémunération correspondante et tous les avantages liés à cet échelon.

Toujours selon certains de ses collègues enseignants, il a été nommé Directeur de Recherche au CNRS en 2002 sans en avoir la moindre qualification, si ce n’est le fait d’avoir rédigé une vague thèse sur Jules Ferry. Une de plus…….

Toujours intéressant de savoir quel est le « pedigree » de nos Ministres !!!

On comprend mieux ainsi, les motivations de leur engagement politique ainsi que leurs options idéologiques et on est renseigné sur les « relations étroites » qu’ils entretiennent avec le monde de la Presse…..

Vous vous direz peut-être que cela nous entraîne loin du sujet de ce billet ???

Pas tellement. Car je me suis demandé si on pouvait être Ministre de l’Education Nationale et faire en même temps une carrière d’enseignant, dont le cours se poursuit, avec les avancements automatiques et les droits à retraite qui font partie des privilèges de la Fonction Publique ???? Le tout basé sur des Diplômes acquis grâce à de solides appuis dans la Fonction Publique…..

N’y a-t-il pas un petit « conflit d’intérêt » dans le déroulement de ces « carrières parallèles » ???

Il semble d’ailleurs que la question n’ait jamais été soulevée sous cet angle, s’agissant de la « carrière » de la plupart de nos Parlementaires socialistes, qui appartiennent en majorité à la Fonction Publique, et qui « font les Lois » de la République en veillant jalousement à ce qu’elles ne portent pas préjudice aux avantages et privilèges du « Statut des Fonctionnaires ».

Si la plupart d’entre eux ne font pas profession d’Avocats, ils sont bel et bien les défenseurs vigilants de la caste à laquelle ils appartiennent.

Combien de Ministres, de Parlementaires, en exercice ou retirés de la vie politique, ont pu faire ainsi des carrières parallèles, en cumulant des avantages et des privilèges refusés aux élus appartenant au secteur privé ???

Curieux que ceux qui sont si attachés au respect de règles de déontologie par les autres, aient une conception aussi peu rigoureuse de la leur….

La notion de conflit d’intérêt, mal définie par la Loi, ce qui n’est pas surprenant quand on sait quels sont ceux qui font les Lois, est une notion à géométrie variable, qui permet d’être brandie, dans certains cas, et enveloppée de silences dans d’autres cas….

(1)  Le « Saumon fûmé Norvégien pour tous » !!! J’aurais parié plutôt pour « le Caviar pour tous « pour ce prototype de « socialo-bobo » !!! recyclable pour fêter « le Mariage pour Tous »…..

Le piège….et la fumée.


délinquance image

Selon « lePoint.fr »le Front National estime « qu’il y a un lien évident « entre « l’immigration et la délinquance et l’insécurité ». De « l’art d’enfoncer les portes ouvertes »….

Comme toujours, lorsque le Front National prétend que « la nuit, le soleil se couche », tous ceux qui font le même constat sont montrés du doigt et accusés de tous les noms d’oiseaux que l’on utilise pour désigner ceux qui refusent de tomber dans le piège destiné à aveugler les Français sur des réalités qui leur sautent aux yeux.

Malgré la « Loi du silence » qui entoure la désignation de tout auteur d’un grave délit ou d’un crime, si celui-ci est « étranger », la vérité finit toujours par remonter à la surface….

Malgré le refus de publier des statistiques ethniques sur les « populations carcérales », on finit toujours par apprendre une réalité qui émerge au détour d’une enquête ou d’un documentaire télévisé.

Ce matin, les médias soulèvent le coin du voile pudique qui recouvre habituellement cette réalité.

Nous apprenons ainsi dans « les Echos », que (je cite):

Près de 27% des personnes mises en cause par la police pour des vols en 2012 sont des étrangers, en augmentation d’environ dix points en quatre ans, selon une étude publiée lundi par de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales.

En 2012, observe l’ONDRP, près de 152.000 personnes ont été mises en cause — c’est-à-dire interpellées par exemple mais pas obligatoirement condamnées — pour des vols en France, dont quelque 36.210 femmes (23,8%), 49.480 mineurs (32,6%) et 40.670 étrangers (26,8%) selon une étude publiée lundi par de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP). Cette étude couvre les années 2008 à 2012 et se base sur le fichier Stic (Système de traitement des infractions constatées) de la police.

Si en quatre ans, la part des mineurs impliqués dans des vols a plutôt diminué mais celle des étrangers a nettement augmenté. Il y a en revanche un « doublement » du nombre de mineurs étrangers mis en cause entre 2008 et 2012. Une hausse qui va de paire avec l’augmentation de près de 10 points en quatre ans de la part des infractions commises par des étrangers.

Dans le détail, la hausse de la part des étrangers impliqués s’explique en partie par la mise en cause des personnes de nationalité roumaine qui, observe l’ONDRP, sont en forte proportion impliqués dans des vols sans violence comme les ressortissants originaires d’Europe balkanique.

La part des Géorgiens impliqués, pour leur part, dans les vols à l’étalage ou par effraction est aussi en augmentation. Elle a été multipliée par quatre entre 2008 et 2012.

L’étude pointe également la part de Tunisiens mis en cause dans tous ces types de vols, « multipliée par trois » en quatre ans. Il « apparaît légitime de supposer que ces variations seraient en lien avec la situation politique et économique que la Tunisie a connue après la chute du président Ben Ali » en 2011, fait valoir l’ONDRP qui évoque à cet égard une « délinquance de subsistance ».(Fin de citation).

Ainsi donc, nul ne peut plus nier qu’il existe un lien étroit entre le développement continu de la délinquance, en France, et l’immigration.

De même, on ne peut plus nier, à la lecture de ces chiffres, que « les Roms » constituent une catégorie d’immigrés « à problèmes », et on doit pouvoir évoquer ces problèmes sans être taxés systématiquement de « racisme ».

Je remarquerai, en passant, que ces chiffres sont publiés à l’initiative du Ministre de l’Intérieur, au lendemain d’une polémique qui a enflammé la classe politique à la suite de la publication, sur le site du Gouvernement, d’un rapport scandaleux qui traite avec une légèreté stupéfiante et une approche purement idéologique des problèmes posés par l’échec de notre politique d’ intégration….

Alors, certes, il ne s’agit pas ici de suggérer que tous les immigrants sont des délinquants, loin s’en faut.

Mais nier le poids de l’immigration dans la dégradation du climat de sécurité en France, c’est faire preuve d’un angélisme dont on peut se demander s’il est dénué de tout calcul….

Les prochaines échéances électorales devraient permettre aux Français révoltés, de montrer qu’ils ne sont pas dupes de tous les artifices utilisés, à Droite, comme à Gauche, pour masquer derrière un rideau de fumées, ce qu’ils perçoivent clairement : le déni de réalité, et l’impuissance qu’il révèle, atteint les limites du supportable.

Les  Français en ont assez d’être pris pour des « billes »….

PS: Aviez-vous appris, à l’occasion des nombreux reportages télévisés sur le braqueur abattu « sauvagement » par un « sale bijoutier raciste »dans la Marne, quelle était l’identité de la « victime » ??? Evidemment NON !!! Il s’agit de Fathi Meheni, membre du groupe Rap 113, auteur de la chanson qui se termine par « Je baiserai la France jusqu’à ce qu’elle m’aime »….

A quoi servent ces silences et ces rideaux de fumée, puisque l’on finit toujours par savoir quelle est la vérité ???