Méditation


L’actualité, ses rebondissements, les déceptions qu’elle inspire, qui parfois confinent à l’écoeurement ou à la colère…

Besoin de « changer d’air ».

 Désir d’aller respirer sous d’autres climats.

De se confronter à d’autres cultures, d’autres philosophies, d’autres conceptions de la vie sur cette planète folle…

Pendant quelques semaines je serai absent de ce blog.

Vous pouvez toujours m’imaginer dialoguant avec un gourou.

 Ou en plongée spirituelle, dans l’extase, au son obsédant d’un cithare et au rythme d’un tabla indien….

Vous ne serez pas très loin de la réalité.

Je pars en Inde.

Pour méditer sur le « Temps qui passe »……et tenter de découvrir ce que nous sommes devenus, dans le regard des autres !!! 

A bientôt.

Je vous raconterai….à mon retour.

A la Chine !!!


A Bruxelles, après une nuit cauchemardesque, les dirigeants européens ont accouché d’un dispositif complexe, sur lequel « les commentateurs » n’ont pas fini de gloser.

Je ne vais pas en rajouter une couche, en me livrant à une analyse critique du résultat de ces discussions, que l’on peut entendre sur toutes les ondes, .

Une fois de plus, ce sont « les marchés », qui n’en déplaise aux « penseurs » de la « démondialisation », qui seront les arbitres du formidable affrontement auquel nous assistons, et auquel j’ai fréquemment fait allusion dans ces pages, en évoquant « le nouvel état du Monde ».

Mais d’ores et déjà, le grand vainqueur, celui qui marquera ce siècle de son empreinte, c’est ce groupe de pays que l’on a coutume d’évoquer sous le nom de « pays émergents ».

Je serais curieux d’entendre les commentaires de ceux qui, pendant des années nous ont saoulés de leurs agressions verbales, leurs leçons de morale, leurs discours culpabilisateurs, leurs démonstrations de générosité, et qui s’étaient attribué un label, celui de « Tiers Mondistes ».

Ces esprits généreux, avec des « richesses » qu’ils ne possédaient pas (comme toujours!!!), avaient fini par faire de nous des européens honteux,  dont le « devoir » était de permettre à ce que l’on appelait « le Tiers-Monde », de participer au partage d’une opulence financée à crédit, afin qu’ils puissent accéder à la modernité, en favorisant le transfert de notre savoir-faire technologique afin qu’ils puissent accéder à leur tour au développement et à la « société des loisirs » qui nous était promise….

Et bien, nous y sommes.

Nous avons tellement transféré, que nous ne maîtrisons plus des pans entiers de notre industrie et de notre savoir faire industriel.

Nos « élites » nous expliquaient avec condescendance, que notre habileté consistait dans le transfert des processus de fabrication, alors que nous conservons le pouvoir que confère l’intelligence, la noble fonction de l’invention, de la céativité, du design, et du marketing.

On connaît la suite….

Nous ne sommes plus capables de fabriquer le moindre de ces objets que nous convoitons, au point d’en être devenus « accros »: téléviseurs extra-plats, ordinateurs, smartphones,et même, nos machines à laver, nos fours à micro-ondes ou nos « machines à café »….sans parler des 4X4, ou des limousines de luxe qui aujourd’hui concurrencent les nôtres.

Pire encore, ils ont appris à faire des porte-containers géants, des pétroliers, et même des porte-avions et bientôt des avions longs courriers….

Et nous, endettés jusqu’à la moelle, nous sommes regardés, aujourd’hui, avec une sorte de commisération par les nouveaux riches de la planète, ceux qui ont compris que le travail est la principale source de richesse, et que l’on accède pas à l’opulence sans souffrir un peu.

D’ailleurs, notre propre opulence ne s’était-elle pas construite sur les souffrances des générations qui nous ont précédé ???

Quant aux « richesses », elles ont ostensiblement changé de main.

Endettés jusqu’à la corde, ces ex-pays industriels, aux quels était attaché le qualificatif « d’Occidentaux », les voici contraints de tendre la main et de « négocier », avec une humilité blessante, un soutien financier des ces ex-pays du « Tiers-Monde » devenus pudiquement « émergents ».

Je l’écrivais, dans un récent billet: nous payons des décades de gouvernance irresponsable, de démagogie et de gabegie budgétaire,d’illusions entretenue par des bonimenteurs, de faiblesses devant les chantres du « toujours PLUS », revendicateurs d’un toujours plus de bien-être, au risque de compromettre celui des générations futures.

Les pays émergents qui verseront leur écot, afin de nous éviter une faillite humiliante ne nous feront pas de cadeaux, eux.

La Chine appelée à contribuer au sauvetage de l’Euro, qui est déjà la principale créancière des Etats Unis d’Obama, ne tardera pas à se manifester, en demandant des contreparties sous des formes diverses, et en particulier, sur le plan commercial.

On peut tout craindre pour le futur, dans une Europe déboussolée, sans cap et sans capitaine, une Europe qui brade déjà une souveraineté qu’elle n’a jamais eue pour avoir trop tardé à émerger, une Europe sabordée économiquement par une génération de pseudo-visionnaires, qui l’on embarquée, par pure idéologie, sur un navire qui prend l’eau, celui d’une concurrence mondiale sans frein.

J’ai honte d’appartenir à cette génération de glands européens….

Printemps Arabe


Dans le monde Arabe, on a vite changé de saison…

En Egypte, en Tunisie, et en Lybie, on a comme l’impression d’être passé brutalement du Printemps à l’Automne. Un peu comme si « l’été » était réservé aux » indiens »…

Derrière la « Démocratie » se profile soudain, depuis quelques jours, « la Charia »et son cortège de « Frères Musulmans ».

Et les femmes, de ces pays, qui croyaient avoir fait un pas en direction d’une plus grande liberté, entendent une petite musique, sur des paroles qu’elles ont déjà entendu, sur un air de polygamie, et de retour à des valeurs traditionnelles…

Nos « zozos » et autres « gogos » habituels en sont pour leur frais.

Philosophes, et autres politologues de « Café du Commerce », qui avaient déjà fait de la Tunisie, de l’Egypte et aujourd’hui de la Lybie, des modèles révolutionnaires, pour le « monde Arabe » comparables au modèle français de 1789, vont devoir réviser leurs pronostics à la baisse.

Déjà, quelques voix, parmi celles qui se font entendre sur nos radios , amorcent « le virage » qui consiste à tenter de nous convaincre que si ces « révolutions » accouchent d’un islamisme, ça ne peut qu’être un islamisme « modéré »puisque….taratata.

Comme s’ils n’avaient pas encore compris que les doctrinaires de « l’Islam en marche », virtuoses du « double langage », sont passés maîtres dans l’art de détourner les principes et les valeurs de nos démocraties à leur profit, profitant de la niaiserie de ceux qui se prétendent des démocrates, mais qui sont prêts à s’asseoir sur leurs grands principes pour un plat de couscous…

Laissons passer l’hiver et nous en reparlerons. 

Après la rose viendront les épines….


L’Espagne qui était, il y encore peu d’années, une des championnes de la croissance en Europe, est en train de sombrer, malgré les efforts désespérés de Zapatero, à la tête d’un Gouvernement et d’une majorité socialistes.

C’est la démonstration parfaite du bien fondé d’une conviction partagée par beaucoup de Français, à savoir que devant la dureté d’une crise dont nous ne vivons que les prémices, les Socialistes pas plus que les Libéraux ne détiennent la clé de sortie d’une dépression qui menace de s’étendre à l’ensemble de la planète.

On peut s’étonner, à ce titre, du voyage,- le premier qu’il effectue à l’étranger, dans le but de se donner « une dimension internationale » – effectué par François Hollande, considéré à tort ou a raison, par les médias comme le vainqueur probable de l’élection présidentielle française de 2012.Curieuse inspiration que d’aller chercher la bénédiction d’un looser….

Les prochaines élections législatives, en Espagne, porteront certainement les Libéraux au pouvoir. Mais « le pouvoir » de faire quoi ???

Les Espagnols en sont convaincus: ce sera « bonnet blanc et blanc bonnet ».

Dans une série d’articles rudement pessimistes, le quotidien « Le Monde » nous livre une description sans concession de la situation dramatique vers laquelle ce pays du « Club Med » est en train de glisser à son tour. En attendant que d’autres le suivent sur ce sentier dangereux pour la stabilité du monde.

http://www.lemonde.fr/europe/article/2011/04/29/le-chomage-espagnol-atteint-un-taux-record_1514720_3214.html

http://www.lemonde.fr/europe/article/2011/10/24/la-grande-misere-avance-a-grands-pas_1593031_3214.html#ens_id=1268560

Les élites mondiales paraissent dépassées par l’ampleur et la complexité des problèmes à résoudre.

Le silence des principaux dirigeants européens, Merkel et Sarkozy mis à part, est éloquent.

Tout autant que celui des dirigeants américains. Obama, qui doit faire face aux Etats Unis à une situation d’endettement bien plus grave que celle de la plupart des pays européens, se contente de suivre avec inquiétude, l’évolution de la situation en Europe, et ne peut qu’exprimer la crainte de voir l’Europe, grande puissance industrielle, mais aussi immense marché de consommateurs, sombrer dans la récession. En entraînant derrière elle, le monde industrialisé.

La seule certitude que l’on puisse nourrir de cet état du monde, c’est que plus personne ne croit, désormais, que « demain on rasera gratis »….

La seule manière crédible d’envisager une sortie possible de cette crise de l’endettement des Etats budgétivores, c’est en serrant de plusieurs crans nos ceintures, et en réapprenant aux peuples boulimiques que nous sommes, à vivre à la hauteur de leurs moyens et non au-dessus.

Ce qui se profile, partout, en Europe particulièrement, c’est le refus de « payer pour les autres », de ceux qui bossent, qui ont accepté de lourds sacrifices, qui ont adapté leur mode de vie à la nouvelle donne d’un monde où les « pays émergents » qui, précisément, émergent de la misère et revendiquent un meilleur sort, ne nous épargneront guère.

Les Allemands et d’autres , en Europe du Nord, ne veulent plus payer pour ceux qui espèrent continuer à vivre  » comme avant », les Flamands ne veulent plus payer pour les Wallons, les Italiens du Nord pour ceux du Sud, les Catalans pour les Andalous etc….

Partout, la solidarité et derrière elle, l’unité, sont menacées.

Car quand les temps sont durs, les coeurs se durcissent, et les égoïsmes fleurissent.

  

L’avenir n’appartient plus

aux vendeurs de chimères et de rêves !!!

Rumeurs…


http://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/affaire-du-carlton-j-etais-fascine-par-dsk_1043250.html

Selon l’Express, « Lille tremble.L’affaire de proxénétisme présumé n’en finit pas d’éclabousser des notables de la ville. Des chefs d’entreprise, un avocat, un policier et… DSK sont cités dans le dossier du Carlton. Cinq personnes ont déjà été mises en examen et les convocations de témoins se poursuivent. Et les langues commencent à se délier. « 

Il semblerait que, sans doute en raison du « Pacte de Marrakech », la Martine dont les « portugaises sont copieusement ensablées » n’ait prêté l’oreille qu’aux rumeurs de rumeurs sur les rumeurs concernant son époux ???

https://berdepas.wordpress.com/2011/07/20/rumeurs-de-rumeurs-sur-la-rumeur/

Car comment pouvait-elle ignorer ce que tout Lille savait….???

Sondage


Gare au Goriii…lle !!!

On vient de réaliser un sondage chez un panel de femmes  pour savoir si elles souhaiteraient avoir une relation sexuelle avec Dominique Strauss-Kahn :

–  5% ont dit : OUI

– 10% ont répondu : NON

– 85% ont répondu : PLUS JAMAIS !

Le « Rocco Siffredi » de la Haute Finance Internationale

aurait-il déçu ses groupies ???

Caton plus fort que Brutus ???


De Hollande, il n’y a pas de quoi  » faire un fromage » me direz-vous.

Mais sous la croûte, c’est pas si mou…

Car, la Droite va devoir faire face, au cours de cette campagne, à un fabulateur doublé d’un manipulateur de talent, caché derrière des mines de naïf un peu demeuré.

Capable de mentir , et même, s’il le faut, pour atteindre son but, de se glisser dans la peau d’un autre.

Et de « fabriquer » de vraies « boules puantes ».

Pour preuve, cet épisode, peu connu de la vie politique française de ces dernières années: http://youtu.be/uTHGxIg84k0

Un épisode qui semble avoir échappé aux « journalisme d’investigation »….

Et un « exploit » dont « Flamby » s’est peu vanté jusqu’ici.

Mais qui constitue un excellent « indicateur de personnalité ».

Le « massacre » du 17 Octobre 1961.


Un chat est un chat.

Un énorme montage de la propagande du FLN !

Quelques socialistes dont François Hollande, désireux sans doute de faire oublier les rôle de Guy Mollet et de François Mitterrand pendant la terrible guerre d’Algérie, se sont associés aux gestes de célébration de cet anniversaire douloureux, qui laissera indifférents, bien des Pieds Noirs qui comptent parmi les membres de leur famille ou de leurs proches, des parents enlevés et disparus à jamais, des égorgés, des mutilés ou des amputés par les bombes du FLN.

Le 17 octobre 2001, déjà,  le maire de Paris avait inauguré une plaque en souvenir de ce « massacre », exprimant le repentir de la France et mettant gravement en cause la responsabilité de la police parisienne (gardiens de la paix, gendarmes mobiles, CRS et forces de police auxiliaires composée de Harkis).

C’était le début d’une intense campagne de propagande inspirée par Alger, qui devait être suivie de beaucoup d’autres épisodes de calomnies, de mensonges ou de contre-vérités ininterrompus, rarement contredites, puisque toute contradiction apportée à cette propagande ne peut venir que de ceux qui ayant vécu cette époque sont restés des « témoins gênants »d’une « Histoire » en cours de fabrication, et sont interdits de parole par la « police de la pensée ».

Cette nuit là, donc, l’ensemble des forces de l’ordre aurait massacré près de 300 Algériens et fait plus de 2.000 blessés dans les rangs de ces derniers. Il s’agissait, pourtant, d’une manifestation pacifique, pour appuyer les négociations débutantes que De Gaulle avait entreprises avec le FLN de Tunis.

 Le Colonel Raymond Montaner, commandant de la Force Auxiliaire des Harkis de Paris dont il avait pris le commandement en 1959, n’a jamais eu droit à la parole dans les médias français.

Son unité avait pour mission de protéger les Algériens de la capitale et des banlieues voisines contre la vaste entreprise de racket du FLN pour lever « l’impôt révolutionnaire ».

Tout récalcitrant s’exposait aux couteaux des égorgeurs dont le grand chef, Salah Louanchi, responsable de la fédération FLN de France, avait longtemps échappé à la police grâce à la complicité d’un réseau de chrétiens progressistes groupés autour d’André Mandouze.

Sa longue expérience à la tête de SAS en milieu rural, mais aussi et surtout, en milieu urbain au Clos Salembier à Alger, avait préparé le lieutenant colonel Montaner à faire face, très efficacement, au terrorisme perpétré par les agents du FLN dans la région parisienne.

Lors de la fameuse nuit du 17 octobre 1961, Montaner se trouvait à pied d’œuvre, avec ses Harkis parisiens et ses deux principaux adjoints, le capitaine de Roujoux et le lieutenant Champsavin.

Dans la revue « l’Afrique réelle » de l’automne 2001 (N° 33), il expose ainsi les faits :

1.      « Il ne s’agissait pas d’une manifestation pacifique, mais d’une double action minutieusement montée par le FLN. Tandis que des groupes armés devaient saboter et incendier des installations vulnérables dont le port pétrolier de Gennevilliers et le complexe pétrolier de Melun, d’autres manifestants, mobilisés souvent de force, sous la menace, devaient envahir le centre de Paris, principalement vers la place de l’Opéra, de la République, et converger vers les Champs Elysées pour y déployer le drapeau FLN. A cette époque, toute manifestation de ce type était interdite dans la capitale ».

2.      « La police parisienne semble avoir été surprise par ces manifestations. Environ 1.300 hommes répartis en petits groupes de 25 policiers étaient disséminés dans les zones sensibles, sans grande coordination. Un premier affrontement eu lieu, dès 19h30, au pont de Neuilly, une quinzaine de policiers se retrouvèrent opposés à plusieurs centaines de manifestants. Cependant, aucun coup de feu ne fut tiré. Les forces de l’ordre se replièrent vers d’autres points d’appui. Rapidement, la police reprit la situation en main.

3.      « On découvrit alors un fait étonnant : l’extrême rapidité avec laquelle, devant le regroupement des policiers qui avaient reçu des renforts, les manifestants se débandèrent, ou se laissèrent appréhender. Conduits au Palais des Sports et au stade de Coubertin, l’immense majorité des Algériens arrêtés avouèrent qu’ils avaient été mobilisés sous la menace de mort par les agents recruteurs du FLN, ou menacés de représailles sur leurs familles pour ceux qui auraient refusé de se joindre à ce « rassemblement patriotique ». La plupart furent renvoyés chez eux, après vérification d’identité…

4.      « Le vrai bilan, entre le 17 et le 21 octobre 1961, s’établissait à 7 morts, dont 2 seulement attribués directement à la police : Achour Belkacem et Amar Malek, tous deux agents du FLN. 5 autres morts seront décomptés, dont un Français, Guy Chevalier, et 4 Algériens, vraisemblablement victimes de règlement de compte. ».

L’agitation politico-médiatique, à la suite de ces manifestations, fut sans lendemain : il fallut bien reconnaître l’échec total du FLN dans son intention de soulever les Algériens de la région parisienne et de saboter les installations pétrolières visées.

Ce n’est qu’en 1986, 24 ans plus tard, qu’un ancien responsable de la fédération du FLN en métropole, Ali Haroun, publia un livre écrit « à la gloire du FLN en France » : « La Wilaya VII ou la guerre du FLN en France –(1954/1962).

Le « roman noir » débutait, mais c’est seulement en 1991 qu’il acquit sa notoriété avec le livre du communiste Jean-Luc Einaudi directement inspiré de celui d’Ali Haroun, commenté et amplifié : « La bataille de Paris – Octobre 1961).

L’auteur relaie directement la propagande d’Alger et accuse la police française d’avoir assassiné, en cette nuit du 17 octobre 1961, 300 Algériens, tandis que 2.300 d’entre eux étaient blessés.

C’est à partir de ce livre que des sympathisants français, appelés aujourd’hui « Les frères des frères » par le FLN,  organisent, chaque année, une cérémonie à la mémoire des « martyrs algériens du 17 octobre », lesquels n’ont jamais existé que dans l’imagination de leurs créateurs, comme le souligne Bernard Lugan, auteur de la revue « L’Afrique réelle ».

En l’an 2000, année, ou début, de la grande offensive de calomnie contre la France, à la suite du premier voyage retentissant de Bouteflika en France (reçu avec solennité à l’Assemblée Nationale à majorité socialo-communiste) est créée l’association « 17 octobre 1961 contre l’oubli » dont le Président, Olivier Lecour Grandmaison, est bientôt appuyé par Pierre Vidal-Naquet, Maspéro, Marcel Péju, et toute l’équipe gaucho-marxiste du Paris intellectuel.

Les preuves apportées par le Colonel Montaner pour dissiper cette légende sont nombreuses et accablantes. Tout d’abord, pourquoi le FLN et ses complices parisiens ont-ils attendu près de trente ans avant de lancer leurs accusations ?

Les chiffres extravagants, par ailleurs, ne peuvent nous troubler quand on connaît la fable du « million cinq cents mille morts » dans les rangs du FLN, pendant la guerre d’indépendance, celle des « quarante cinq mille morts » de Sétif le 8 mai 1945, etc, etc…Nous sommes habitués à cette exagération des chiffres qui, d’ailleurs, révèle bien leurs origines.

Ensuite, l’auteur s’est livré à une enquête surplace

1.      Alors que se déroulait, en plein cœur de la capitale, un soi-disant massacre d’Algériens, aucune intervention des pompiers, ni de police secours, ni de la Croix Rouge, ni d’aucun service d’ambulance anormal, lors de cette nuit, ou des jours suivants, n’ont laissé de traces.

2.      Aucun des services hospitaliers d’urgence de Paris, ou de la banlieue parisienne, n’a vu un afflux anormal de blessés : pourtant, 2.300 blessés en une nuit, cela laisse des traces… Où sont passés ces blessés ? Se sont-ils évaporés ?

3.      A l’objection de la propagande FLN selon laquelle tous les corps (morts et blessés) auraient été « jetés dans la Seine », l’auteur répond en signalant que rien n’a été retrouvé de tous ces corps dans les barrages sur la Seine en aval de Paris. Près de 2.500 corps en une seule nuit dans un fleuve et aucune trace les jours suivants ? Où sont-ils passés ? Se sont-ils dissous ?

Toutes ces invraisemblances accumulées ne nous choquent plus depuis longtemps de la part du FLN qui nous a habitués à de telles fabulations.

En revanche, ce qui nous afflige, c’est le fait qu’elles aient trouvé des échos dans les milieux d’extrême-gauche qui leur ont redonné vie et risquent de les pérenniser dans cette vaste entreprise de culpabilisation de l’opinion publique française.

Cette propagande a aussi pour but de nous faire oublier une terrible réalité : depuis janvier 1955 jusqu’à juillet 1962, les groupes armés du FLN ont assassiné, en France, plus de 6.000 Algériens, tués par balles, strangulation, égorgement, après tortures. Il faut compter aussi 9.000 cas de mutilations (ablation du nez, des oreilles, des lèvres) soit une moyenne de 5 tués ou blessés par jour, pendant 7 ans !

Notre « télévision nationale » s’était d’ailleurs fendue, il y a quelques mois, d’un « documentaire » diffusé en seconde partie de soirée, à la gloire des tueurs du FLN, ptésentés comme des héros et qui avaient, goguenards et sans scrupules, évoqué et décrit quelques unes de ces « exécutions » d’Algériens fidèles à la France.

Ceci prouve aussi combien la masse de ces Algériens en métropole était hostile au FLN, dans la même proportion où elle se situait, en Algérie même.

Car, ne l’oublions jamais, le tribut payé par les Algériens fidèles à la France, au cours des huit années de guerre, sous forme d’exécutions, de massacres, de crimes barbares, est bien supérieur, en nombre de victimes, à celui des victimes françaises. Ce qui montre bien que cette guerre a été avant tout, une guerre fratricide, avant d’être une « guerre de libération »…

Pendant toute la guerre d’Algérie, il y eu, en outre, en métropole même, 120 gardiens de la paix et 150 civils français assassinés.

L’action des Harkis de Paris fut très efficace pour dépister les caches d’armes et démanteler les réseaux de racketteurs du FLN.

Ces Algériens là, fidèles à la France, eurent 10% de tués et 20% de blessés graves. Leur nom figura longtemps sur les plaques commémoratives apposées dans la cour de la Préfecture de Police de Paris. De tous ceux-là, aujourd’hui, on ne célèbre plus la mémoire puisqu’il est de bon ton de ne rendre hommage qu’aux criminels du FLN et à leurs porteurs de valises !

Il y a des mises au point qui s’imposent, car comme disait ma grand mère « qui n’entend qu’une cloche n’entend qu’un son »…..Et ceux qui « fabriquent l’Histoire », en bon marxistes, savent qu’une propagande, pour être efficace, doit imposer le silence à toutes les voix contraires.

Alleluia !!! Gilat Shalit est libéré !!!


L’allégresse complaisante avec laquelle certains médias français ont accueilli la libération d’un millier ( ??) de prisonniers palestiniens, en échange de celle du « Franco-Israélien » Gilad Shalit est saisissante.

Quel contraste avec l’accueil réservé par les mêmes médias, aux soldats « Franco-français » de retour d’un « séjour » en Afghanistan !!!

Mais ce qui est plus surprenant, c’est l’insistance avec laquelle les mêmes médias tentent d’imposer à l’opinion, l’idée que Gilat Shalit possède la double nationalité « Franco-israélienne ».

Or, j’ai du mal à trouver une explication convaincante de la manière dont Gilat Shalit( je me réjouis sincèrement, néanmoins, de sa libération) a pu acquérir la nationalité française, lui dont les parents qui ne s’expriment qu’en Hébreu, n’ont jamais vécu en France. Les seuls éléments biographiques que j’ai pu rencontrer sur internet sont les suivants:

« Guilad Schalit naît le 28 août 1986 à Nahariya, en Israël, où il vit jusqu’à l’âge de deux ans. Il déménage alors avec ses parents à Mitzpe Hila en Galilée occidentale.

Il obtient son diplôme avec mention à Kabri Manor High School. À 19 ans, Guilad commence alors son service militaire dans les Forces de défense israéliennes et ce, « malgré un faible profil médical ». Il obtient le grade de caporal tankiste au sein de l’armée israélienne et sera promu sergent pendant sa captivité. »(Wikipedia).

J’ajoute que cet échange dont aucun média ne souligne assez qu’il va permettre de rendre la liberté à des criminels, auteurs d’attentats meurtriers qui iront grossir les rangs de ceux qui n’ont qu’un seul objectif, la destruction de l’Etat d’Israël, et viendront renforcer les extrémistes palestiniens opposés à tout accord de paix avec Israël.

Et chacun de faire semblant de croire que cet échange constitue un pas en direction d’une ouverture sincère de négociations ….

Les Gogos et les zozos ont encore de beaux jours devant eux….car nous ne manquons pas, en France, de « Franco-Algériens »,de « Franco-Tunisiens », de « Franco-Marocains », de « Franco-Maliens », de « Franco- Sénégalais », de « Franco-Ivoiriens », etc… qui risquent un jour où l’autre d’être impliqués dans des conflits qui ne concernent pas directement la France !!!

Algérie, intelligenti pauca (suite II)


C’est, en quelque sorte, la Fable de « l’Arroseur arrosé »!!!

Les Chinois fuient lAlgérie !

Citation:

« L’Algérie n’attire plus les chinois. Bien au contraire, elle les fait fuir désormais.

De plus en plus de sociétés chinoises abandonnent leurs activités dans notre pays et mettent les voiles sur un autre pays. Notre confrère El-Khabar a révélé dimanche que pas moins de 30 sociétés chinoises ont quitté l’Algérie en moins d’une année !

D’autre part, ils seraient plus de 1500 chinois qui ont cessé leurs activités pour divers problèmes. Selon les investigations d’El-Khabar, les industriels et commerçants chinois “ont été contraints à quitter l’Algérie suite aux mesures prises par le gouvernement algérien dans le cadre du commerce extérieur et l’obligation de prendre un associé algérien à hauteur de 51% du projet, sans oublier les problèmes de bureaucratie rencontrés sur le terrain par ces opérateurs”.

Mais pour d’autres observateurs avertis, il n’y a pas que le mauvais climat d’affaires qui explique les départs massifs des investisseurs chinois de l’Algérie. Selon plusieurs témoignages, les chinois n’ont jamais cessé de se plaindre du racisme ambiant des Algériens et de leur xénophobie dont ils ont été victimes depuis leur installation dans notre pays.

Il faut savoir aussi que les chinois ont été longtemps des cibles d’agressions, de vols et de cambriolages. D’ailleurs, des affrontements terribles ont éclaté entre des ressortissants chinois et des Algériens dans plusieurs villes du pays. Il n’y a pas longtemps, les commerçants chinois se sont révoltés contre le diktat des bandes de voleurs à Bab Ezzouar. De véritables batailles rangées ont souvent été déclenchées dans ce quartier d’Alger communément appelé le “China Town”.

L’insécurité et la délinquance ont fini, visiblement, par avoir raison de la patience légendaire des chinois lesquels affirment avoir tout fait pour s’intégrer dans la société Algérienne. Décidément, celle-ci, rechigne à les accepter… »

Abderrahmane Semmar

Heureusement pour moi, c’est El Watan qui l’écrit !!!

http://www.algerie360.com/algerie/les-chinois-fuient-lalgerie/