Le Grand tête-à-Queue…


 

 LoL

En quelques semaines, la Gauche française, Parti Socialiste en tête, vient d’effectuer un tête-à-queue historique.

Les Français, médusés par un tel culot restent sans voix. Tout comme les opposants à ceux qui nous gouvernent depuis trois ans, et qui n’ont rien vu venir…

Peu à peu une vraie mutation s’est opérée sous leurs yeux ahuris.

Une Gauche traditionnellement « anti-militariste »est prise d’une frénésie guerrière insoupçonnée jusqu’ici, sous la conduite d’un « Chef de Guerre » pépère et bedonnant…

L’Internationale qui ponctuait chaque réunion de ses partisans est devenue une vibrante Marseillaise.

Des mots, « tabous » jusqu’ici, sont prononcés sans vergogne : pour moins que cela « on » se faisait traiter, il y a peu de temps, de fascistes, de propagateurs d’idées « nauséabondes », de racistes, d’islamophobes et que sais-je encore…

Ceux qui pointaient du doigt la montée des dangers que chacun pouvait percevoir, – il suffisait d’ouvrir les yeux – étaient accusés d’amalgames ! Toute dénonciation de faits que chacun constate jour après jour était perçue comme stigmatisante.

On les accusera bientôt de ne pas être assez « patriotes » aux yeux de ces nouveaux adorateurs de la Patrie, qui hier, accusaient de fachos, de « ringards », ceux qui se révoltaient quand on siffle la Marseillaise, quand on piétine notre drapeau, ou quand on « nique la France »  !

Quand à ceux qui souhaitaient voir nos frontières mieux protégées, on les accusait de vouloir saborder l’Europe en les qualifiants d’un méprisant « souverainistes » !

Enfin, quand à ceux qui réclamaient que l’on mette fin aux dérives islamistes de certaines mosquées, et à ceux qui considèrent qu’il y a trop d’immigrés en France, et que l’identité même de ce pays est menacée, on leur brandissait des  » Pas d’amalgames  » vengeurs !

Un tête à queue qui prend à contre-pied tous ceux qui mettaient ces « balivernes » sur le compte d’une aveuglement stupide et dangereux.

Un « tête-à-queue » qui pour se produire, aura attendu que le sang innocent de 130 jeunes qui ne demandaient qu’à vivre, coule, un Vendredi 13 de Novembre…

Mais la stupidité doit vite laisser place à la lucidité !!!

Car, ce qui se passe ressemble fort à une énorme manipulation de l’opinion, à une basse manoeuvre politicienne, dans l’unique espoir de maintenir au pouvoir une bande d’arrivistes  déguisée en faux patriotes…

Commandant Suprême…


Celle-là, je ne pouvais vraiment pas manquer de la diffuser !!!

Il y a des moments, dans la vie d’un pays ou le tragique rejoint, hélas, le grotesque !!! Quand le Capitaine de Pédalo, devenu Chef de Guerre et Père de la Nation, rejoint les postures du Grand Timonier et copie le « Commandant Suprême », le citoyen sent que la République est au bord du gouffre, et que ce « Grand Président », succédant au « Petit » en talonnettes, va faire faire à la Nation « le Grand Bon en Avant » !!!

Corée

Pauvre France !!!

PS: Ces « Faux-culs »qui font semblant de se lamenter auront du mal à masquer longtemps une réalité qui leur explosera au visage . Ils sont coupables, car ils savaient: de toutes parts, des informations filtrent, qui montrent « qu’ils savaient ». http://www.mondafrique.com/attentats-de-paris-le-drs-algerien-avait-prevenu-la-dgse/

Faux-culs, faucons….


Sanglot

https://youtu.be/44vzMNG2fZc

Les observateurs, s’interrogent. Sommes-nous en train d’assister, à la fin de « la Fin de l’Histoire »???. Sommes-nous en train de vivre un retournement majeur de l’opinion ??? Sommes-nous en train d’assister à une prise de conscience de la société insouciante, festive, libertaire, celle de la « jouissance sans entraves » que nous ont léguée les « révolutionnaires de Mai 1968. Une Société soudain sidérée devant la gravité des dangers qui la menacent…

Je n’en suis pas sûr. Malgré quelques symptômes tels qu’une prise de conscience identitaire soudaine, répondant à une menace qui s’en prend à « ce que nous sommes ». Des symptômes qui se traduisent, entre autres, par une propension à hurler les premiers couplets de la Marseillaise, un peu partout, dans les stades, sur les lieux où se sont déroulés des évènements tragiques, traduisant le réel besoin qui s’exprime dans la jeunesse, de retrouver un semblant d’Unité Nationale….

Ce qui me paraît certain, c’est que ceux qui étaient prêts à « brader » notre identité, à accepter de remettre en question les valeurs qui fondent notre civilisation, notre culture, nos traditions, au nom d’un « vivre ensemble » fantasmé, en fermant les yeux sur tout ce qui pouvait remettre en question leurs certitudes naïves, tous ceux-là sont ébranlés, soudain, par la brutalité des faits.

Car « les faits sont têtus »!!! (Je crois que l’on peut attribuer cette maxime à un certain Michel Rocard…)

A force d’auto-critique, de repentance, « justifiées » par notre « culpabilité post-coloniale », incitant l’homme occidental »à de lourds « sanglots » en raison de ses turpitudes supposées, nous avons perdu le sens de la mesure des dangers qui menacent une civilisation: la nôtre, dont la richesse comparée à celle du monde qui l’entoure suscite des convoitises de la part de ceux qui, profitant de notre « culture de l’excuse » justifient l’horreur et la haine qui les inspire par une sorte de légitimité victimaire, qui se nourrit de notre propre contrition….

On a soudain le sentiment de l’effondrement de tout le bloc de valeurs qui nous sont assénées par ceux dont les « convictions »obscurcissent les esprits:  le culte de la différence, du métissage, de la mixité, associé à une sorte d’altruisme dévoyé au point de valoriser « l’Autre » au détriment de nous-mêmes, comme si nous devions absolument nous rabaisser afin que l’autre ne se sente pas inférieur, a envahi nos sociétés, jusque dans son système éducatif….

Et tout aussi soudainement, une époque s’achève.

La Gauche française est contrainte à un de ces « retournements de veste » dont elle a le secret.

J’ai connu l’époque où un certain François Mitterrand proclamait que « l’Algérie c’est la France », l’époque où il envoyait l’Armée française combattre « les rebelles »et faisait guillotiner les auteurs d’attentats terroristes en Algérie, ce qui n’a jamais empêché nos socialistes de faire comme s’ils étaient, depuis toujours, à la pointe de « l’anti-colonialisme ».

Tous ceux qui dans les années 50 dénonçaient le « colonialisme » de l’Occident, en omettant d’évoquer la politique coloniale de l’Union Soviétique et vouaient un culte au Stalinisme et aux « lendemains qui chantent » du catéchisme marxiste, et leurs héritiers, sont les mêmes à nous jouer la mélodie du « vivre ensemble », avec le même aplomb …sauf que leur crédibilité en a pris un coup …..

La Gauche des « faucons » d’aujourd’hui tente de faire oublier qu’elle raillait, il n’y a pas si longtemps, la « politique sécuritaire » défendue par la Droite. Tout comme elle raillait ceux qui s’inquiétaient des angoisses identitaires des Français, Tout comme elle jugeait « irresponsable » de toucher une seule ligne du traité de Schengen : la « libre circulation » qui faisait partie des totems sacrés de l’Europe est en train de voler en éclats à la demande pressante de notre « sinistre de l’Intérieur ». L’éventualité d’un retrait de la nationalité française aux bi-nationaux impliqués dans des actes de terrorisme ou ayant choisi de combattre contre la France était considérée, il y a encore peu de temps, comme une hérésie, « contraire à nos valeurs », etc….

Déchoir

Tous ceux qui applaudissaient à ces balivernes en ont le souffle coupé !!!

La négation de l’autorité, la sacralisation de « l’interdit d’interdire », les fanatiques du « ni Dieu, ni maître », de la haine de ce que nous sommes, du rejet des traditions, le mépris envers ceux qui attachaient à la Marseillaise la valeur symbolique de l’attachement à la Nation, sont en train de sombrer. Balayés par un peuple qui dans ses profondeurs a compris que l’on s’attaquait là au socle de ce qui fait de nous des Français attachés à leur Patrie.

L’univers mental fait d’un mélange d’angélisme, de foi aveugle dans un progressisme dont nul n’est plus capable de nous dire où il nous mène, est en train de se dissoudre, emporté par la nécessité de regarder le monde en face et de l’affronter tel qu’il est et non pas tel que nous l’aurions rêvé.

J’admire l’extraordinaire capacité des Socialistes français à retourner leur veste et à changer de coquille à la manière des homards….

Plus à droite que la Gauche française, tu meurs aujourd’hui.

Même Marine Lepen en a le bec cloué. Quand à la Droite républicaine, elle se sent dépouillée de ses idées, de ses velléités de ponte d’un programme, puisqu’elle n’est déjà plus dans l’opposition: baillonnée par la mise en demeure d’adhérer à l’Union Nationale avec ceux qui ont tout fait pour diviser le pays !!!

Nous vivons une époque curieusement intéressante, si ses perspectives n’étaient tragiques….

Faux-culs, à la recherche du Temps Perdu…


Valls salafiste

Je ne suis pas Proust, hélas, mais il y aurait matière suffisante pour écrire de longs paragraphes inspirés par la situation créée, en France, par l’agression que Paris vient de subir….

Car, au lendemain de ce massacre, comment ne pas l’admettre : que de temps perdu !!!

Voici que le pouvoir est confronté à des réalités aveuglantes qu’il refusait de voir, obéissant plus à des réflexes politiciens qu’à un souci de prendre enfin la mesure des risques qui pèsent désormais sur un pays qui a offert l’asile à la plus importante communauté musulmane d’Europe.

Refusant de voir que cette communauté abrite en son sein, une minorité d’hystériques obsédés par des pulsions criminelles, pour certains, au nom d’un Dieu et d’un Coran dont la plupart sont incapables d’interpréter correctement les messages ambigus, et pour d’autres pour punir notre société et notre culture, au sein desquelles ils n’ont pas su trouver leur place.

Cette minorité s’abrite derrière une communauté de musulmans venus chercher en France, ce que leur pays d’origine n’a pas su leur donner, c’est à dire la possibilité de vivre en paix dans un état de droit et d’y élever leurs enfants en leur offrant la perspective d’un avenir.

Une communauté que la République n’a pas su « intégrer », certes.

Mais la question reste ouverte : l’Islam peut-il se fondre dans la République ??? Cette question, nauséabonde pour certains, reste posée, plus que jamais aujourd’hui, notamment en raison de ceux pour qui la Loi coranique se place au-dessus des Lois républicaines. Et le nombre de ces derniers, nul ne sait comment l’évaluer… de même que nul ne sait évaluer, aujourd’hui encore, combien sont, et seront demain, ceux qui sont prêts à mourir dans l’espoir de faire régner la Charia dans leurs pays d’adoption….

Il aura fallu attendre que plus de 120 jeunes soient fauchés par une mort injuste et que près de 400 autres soient atteints dans leur chair, dont certains sont encore aujourd’hui entre la vie et la mort, pour que soudain, ceux qui jusqu’ici étaient aveugles ouvrent enfin les yeux.

Et l’on assiste soudain à un déferlement de décisions destinées à faire face à une menace que l’on a feint d’ignorer, alors que ceux qui ne cessaient de la dénoncer et qui émettaient des signaux d’alerte ont été ignorés avec un arrogant mépris : tout ce qui était considéré comme inenvisageable, pour ne pas « stigmatiser » la communauté musulmane devient, en quarante-huit heures, possible dans l’urgence.

L’expulsion des Immams prêcheurs de violence, la fermeture de mosquées salafistes, l’assignation à résidence des djihadistes de retour de Syrie, la déchéance de nationalité pour les doubles nationaux impliqués dans des actes de terrorisme, etc…etc… tout ce qui, hier encore, fleurait le nauséabond, et était de nature à « faire le jeu du Front National », tombant sous le coup du « PADAMALGAM », devient, soudain, légitime pour une Gauche au pouvoir qui, sans vergogne, s’empare de ces dispositions pour en faire « son » programme !!!

Soudain, comme si notre pantin de Président était touché par la grâce, il devient urgent de prendre contact avec le chef d’Etat le plus détesté de la planète: toutes affaires cessantes il lui faut rencontrer Poutine, et modifier notre stratégie dans le conflit syrien afin de faire de l’écrasement de l’Etat Islamique la priorité absolue. Alors qu’hier, la priorité était au renversement de Bachar El Assad, au profit de « révolutionnaires » musulmans prétendus modérés qui, en Syrie comme ailleurs ne représentent rien…..

En même temps, dans une manoeuvre politicienne aveuglante, l’opposition est mise en demeure de cautionner ces décisions improvisées, au nom d’une prétendue « unité nationale » qui n’a cessé d’être bafouée depuis le début de ce quinquennat….

Ensuite, on assiste à une « libération de la parole », et l’on entend désormais, dans la bouche de ceux qui faisaient régner jusqu’ici un terrorisme intellectuel digne des pays totalitaires d’une autre époque, des mots imprononçables jusqu’ici !!!

Je lis, dans le Point, ce matin, que pour Franz-Olivier Giesber à propos des évènements tragiques de Paris : »Ce n’est plus un choc mais bien une guerre de civilisation. Celle-ci nous oblige sans doute à écrire une nouvelle page du roman national. » On croyait avoir compris que le terme de « conflit de civilisation »était une expression dangereuse, et à proscrire….

Dans le même numéro du Point, Philippe Val ancien patron de Charlie Hebdo !!!– qui n’est pas suspect d’être un homme de droite – regrette ( je cite ) « qu’aucun des intervenants (sur la scène politique ) ne prononce les mots : « attentats islamistes », « islamo-fascisme », « terroristes islamistes ». On a tellement pris l’habitude de ne pas oser nommer l’ennemi. » Voilà plus de vingt ans qu’une pensée démagogique et lâche domine le langage médiatico-politique, et refuse de nommer la réalité. Nous en payons aujourd’hui le prix tragique. »

Un peu plus loin :  » On a cherché dans notre propre culpabilité la justification des crimes. Une peur confortable s’est installée toujours plus profondément, anesthésiant tout désir de s’attaquer aux vraies causes, qui sont politiques et religieuses.

Nous sommes en train de payer les âneries dont nous ont bercés les sociologues anticolonialistes, les Edgar Morin, Régis Debray, Emmanuel Todd, de tous ceux qui pensent échapper au danger en flattant les Tariq Ramadan et en ignorant les Boualem Sansal et les Kamel Daoud.
Ne nous y trompons pas, c’est la peur inconsciente, ou préconsciente, ou secrète, qui préside aux discours qui nous expliquent que les causes de ces crimes sont sociales, donc de la faute des Etats de droit égoïstes et dominateurs…

C’est le même discours que celui des beaux esprits des années 30 – lesquels se sont tous un peu ou beaucoup retrouvés dans la Collaboration – qui expliquait que les Allemands étaient humiliés par le traité de Versailles, qu’il fallait les comprendre, et que Hitler n’était que le symptôme de notre arrogance. Discours supposé pacifiste, discours de lâches, en réalité, paniqués de perdre les privilèges de leur caste, abandonnant leur devoir de parler vrai au peuple. Seul Churchill à l’époque eut le courage de nommer les choses. Il parlait du nazisme en disant qu’il fallait l’écraser et de Hitler en disant qu’il fallait l’éliminer. Sans ces mots, il n’aurait jamais eu le peuple anglais derrière lui, et j’ignore dans quel monde nous serions aujourd’hui. »( Fin de citation ).

Lequel de nos « zintellectuels » aurait eu le courage de publier de tels propos, il y a encore quelques semaines ??? Et qui, à droite aurait échappé aux sanctions de la « Police de la Pensée » en soutenant un tel discours ???

Tout se passe comme si, dans un sauve-qui-peut pathétique, la Gauche essayait de rattraper « le temps perdu » en arguties et en propos lénifiants destinés à masquer une lâcheté viscérale et une démagogie arrogante….

La même arrogance que celle des « pacifistes » des années 30, devenus, plus tard, des collabos … Une arrogance relayée par des médias complices :

http://www.ojim.fr/attentats-quand-les-medias-denoncaient-en-bloc-le-fantasme-de-linfiltration-terroriste/

On entrevoit, peut-être, le moment où il sera possible, dans un pays de Liberté comme la France, d’appeler un chat, un chat …..Mais que de temps perdu jusqu’ici !!!!

Même Philippe Bilger, cet ancien Magistrat « médiatique »l’admet: (Je cite ) »J’avais trouvé que Marc Trévidic récemment avait poussé au noir la vision de l’avenir quand il avait affirmé que le pire allait advenir. Il avait raison. », et plus loin :  » De grâce qu’on n’insulte plus ceux qui, avant tous les autres, avaient compris ; qu’on ne les stigmatise pas davantage que les porteurs de mort dévoyant une religion à l’égard de laquelle on a de plus en plus de mal à demeurer tolérant ».( Fin de citation).

Son blog vaut, lui aussi, le détour:
http://www.philippebilger.com/blog/2015/11/mais-qui-sont-ils-.html

PS : Tout ce qui se passe aujourd’hui, et tout ce qui se passera demain était prévisible.Tout le monde savait.

Y compris en Belgique, d’où viennent les tueurs, et où le déni de réalité et la lâcheté des hommes politiques ont conquis les esprits, tout comme en France. Il suffit de se référer à cet article paru dans la Presse belge :

http://m.lalibre.be/debats/opinions/molenbeek-merci-philippe-56499f1d3570bccfaf1369ca

A lire. Absolument !!!

Bagatelles pour un massacre….


L'horreur

D’après le Robert, bagatelle signifie « occupation futile, dénuée de sérieux ; fadaise. » « Perdre son temps à des bagatelles ».

Empruntée à Céline, encore un écrivain maudit de la Littérature française, cette boutade tragique semble convenir aux pantomimes du pouvoir, face à une tragédie sans précédent dans l’Histoire récente de notre pays….

J’ai attendu 48 heures avant de m’exprimer sur l’odieux attentat qui vient d’ensanglanter Paris, afin de ne pas le faire sous l’empire de la colère.

Mais 48 Heures après, la colère reste vive.

Car ce massacre, hélas, était prévisible. Il était prévisible parce qu’il était annoncé.

De même que nous était annoncée la promesse formulée par Nasser, par Boumédienne, et plus récemment par Khadafi, de voir des hordes de populations avides de « nos richesses » déferler sur l’Europe.

De même que nous est annoncé, depuis longtemps, le noyautage par l’Etat Islamique, des groupes de migrants qui traversent la Méditerranée, où des « combattants », terroristes potentiels se sont glissés et sont venu grossir les rangs, voire même encadrer, les troupes « dormantes » constituées, en France, mais pas seulement en France, par tous les candidats au Djihad…..

Il y a bien longtemps qu’ici même nous dénonçons le fait que « le ver est dans le fruit »: https://www.youtube.com/embed/TsGFTh_ZKFE

Mais dans le petit monde des « bisounours », de la « bien-pensance », et de la « générosité verbale » qui cachent, en fait, une lâcheté et un déni de réalité criminels, nul ne veut entendre les cris d’alerte de ceux qui sont affublés de tous les qualificatifs les plus « nauséabonds »….

Colère en écoutant notre Ministre de l’Intérieur, en charge de l’ordre public et de la sécurité des Français prendre des airs martiaux après cet horrible attentat pour tenter de faire oublier qu’il y a encore peu de temps il déclarait, devant les micros de RTL, que « le Djihadisme n’est pas un délit » !!! Bernard Cazeneuve avait expliqué sur RTL en août 2014 qu’il refusait de faire interdire les livres djihadistes, car “ce n’est pas un délit de prôner le jihâd“. Son ministère avait affirmé au Figaro qu’il n’était pas question de réagir car “la Bible c’est pareil” (sic)

Colère en voyant sur TF1,notre Premier Ministre, mâchoires serrées et menton en avant, tenter de nous faire oublier qu’il y a peu de temps, il déclarait, devant le Parlement, s’adressant à l’opposition: « le retour du terrorisme, c’est vous !!!! », et déclarer aujourd’hui, qu’il veut « expulser tous les Imams radicalisés, qui bafouent ce qu’est l’âme française »….

Colère devant le silence coupable de notre « Garde des Sots » dont la politique pénitentiaire permet à tant de tueurs potentiels de continuer à courir la campagne, alors qu’ils sont « connus de services de Police »….

Coupables

Colère en voyant le pantin qui nous sert de Président, se muer en « Chef de Guerre », pour tenter de faire oublier la dégradation de son image et les railleries qui accompagnent toutes ses interventions, alors qu’il y a peu de temps il joignait sa voix à celle de l’angélique Merkel, pour ouvrir largement les portes de l’Europe, dans l’urgence et sans préparation ( gouverner c’est prévoir ), et condamnait sévèrement les Chefs d’Etat qui refusaient de faire planer sur leur pays, en accueillant ces vagues massives de « migrants », la menace qui pèse désormais sur la France…..

Fadaises et bagatelles…

Colère en apprenant que l’un des tueurs parisien est vraisemblablement un « réfugié » syrien dont on a retrouvé la trace grâce à son passeport….

Colère en entendant le Juge anti-terroriste Trévidic expliquer que, pendant 3 ans, on a laissé grandir un monstre ( http://www.lepoint.fr/societe/marc-trevidic-pendant-3-ans-nous-avons-laisse-grandir-un-monstre-15-11-2015-1981817_23.php )….

Colère, mais aussi tristesse infinie en pensant à toute cette jeunesse fauchée par la mort qu’elle a vu venir en la regardant en face, impuissante, parce que sans défense, et à toutes ces familles endeuillées qu’aucune compassion officielle ne pourra consoler de la perte brutale d’un être cher.

Associons-nous, sans bruit, à cette douleur.

Poutinisme: cynisme ou réalisme ???


Syrie

(Suite de mon précédent billet).

Sur le conflit Syrien, les analyses de Poutine et celles des Occidentaux, notamment celles des Européens sont totalement divergentes, ce qui ne laisse pas présager, à court terme, une synergie et une convergence dans l’action sur le terrain pour combattre l’expansion de l’Etat Islamique.

En effet, la Russie a explicitement choisi la force comme préalable de la résolution de la crise syrienne, alors que les Européens continuent à préconiser une approche avant tout politique. Les Russes entendent imposer une solution par les armes pour ensuite mener des négociations en position de force.

C’est « la méthode Poutine »: prendre l’initiative, et par les armes, occuper des positions qui lui permettent de négocier en position de force, en spéculant sur les réticences adverses à combattre: c’est la tactique employée dans « l’affaire Ukrainienne » et l’épisode de la reconquête de la Crimée.

Il y a un lien étroit entre l’épisode de la Crimée et la position Russe dans l’affaire syrienne ; la Russie qui ambitionne de devenir une puissance méditerranéenne à un moment de l’Histoire où le réveil de l’Islam, celui de puissances telles que l’Iran et la Turquie qui rêvent de restaurer leur emprise sur cette parie du monde, ne lâchera rien de ses positions en Méditerranée.

Ses choix tactiques actuels découlent de l’analyse que la Russie fait de la situation syrienne, car si, pour les Européens, la situation actuelle est avant tout une guerre civile, – dans la continuité des « printemps arabes » aux quels Poutine n’a jamais cru -, pour Poutine il s’agit d’une insurrection djihadiste d’ampleur géopolitique.

Poutine, qui a déjà dû combattre, en Russie même, une révolte islamique en Tchétchénie, qu’il a matée par la force sous les critiques des Occidentaux, sait qu’il ne peut se permettre aucune faiblesse face à cette perspective, car la Russie compte sur son sol, environ 50 millions de musulmans….ce qui n’est pas encore le cas de l’Europe, même si ça en prend le chemin….

Poutine n’a jamais cru à la victoire possible des « modérés », soutenus par l’Europe, et plus particulièrement par les Etats unis et par la France qui les ont imprudemment dotés d’un armement qui a abouti en majeure partie, entre les mains des « djihadistes »de Daech.

Comme l’explique fort bien Bernard Lugan, fin connaisseur de l’Afrique, sur son blog, ( je cite )  » en Syrie, si le président Poutine n’avait pas sifflé la fin de la récréation, le Quai d’Orsay voulait faire remplacer le président Assad par de « gentils démocrates » salafistes. En Libye, ce serait au profit des Frères musulmans et d’Al-Qaïda (ou de ses diverticules) que nos forces pourraient être engagées. Comme elles le furent hier à l’avantage des musulmans de Bosnie et du Kosovo… ». ( Fin de citation ).                                                  

( http://bernardlugan.blogspot.com.es).

Car en la matière, nous n’en sommes pas à notre première bévue sur un monde musulman, idéalisé par nos ‘stratèges élyséens »….

Or, après quelques mois d’une intervention militaire fort contestée en Occident, que constate-t-on ???

La Russie s’est donné les moyens d’avancer ses pions de manière significative, au prix d’un effort de guerre manifestement destiné à impressionner les opinions : à la différence des Européens et des Américains, la Russie n’hésite pas à utiliser les moyens militaires les plus sophistiqués au service de ses intérêts. Poutine n’a pas hésité à conduire des opérations au sol, sans lesquelles chacun s’accorde à admettre qu’aucune perspective d’abattre Daech n’est envisageable, obligeant les Occidentaux à revoir leur copie…

Or, la Russie remporte actuellement une victoire tactique essentielle . Elle a restructuré le champ de bataille: alors que, avant août 2015, il opposait de multiples insurrections entre elles et avec le gouvernement central, il apparaît désormais comme un duel entre la Russie et le terrorisme international. Alors qu’il était éclaté entre de multiples forces au sein de coalitions hétéroclites, il est désormais unifié dans un combat  où la Russie tient la tête d’affiche et où l’opposition modérée est discréditée ou oubliée.

L’insurrection issue des printemps arabes est définitivement transformée en conflit global entre un Bachar El Assad soutenu par les Russes, et le chaos islamiste. Les Etats-Unis et la France sont relégués au second plan et ont été contraints par la Russie de s’ajuster aux réalités comme en atteste la conclusion, le 22 octobre 2015, d’un protocole entre forces russes et forces américaines pour éviter les accidents aériens.

Tactiquement, on peut conclure que Poutine a bien joué. Reste à savoir si, au-delà du court terme, sa stratégie sera efficace. Car la Russie peut « sauver la peau » de Bachar El Assad, mais elle ne parviendra pas à abattre Daech seule….

Une fois de plus, la France, piégée par son engagement au sein de l’OTAN, et drapée dans ses habituelles postures à prétentions morales, aveuglée par ses dénis de réalité compulsifs, risque d’apparaître comme la grande perdante de cet embroglio géopolitique.

La diplomatie française semble isolée, voir « manipulée »: absente du règlement du conflit avec l’Iran, espionnée par ses propres « alliés », conduite par un Ministre affaibli par les poursuites judiciaires qui concernent son fils aux Etats-Unis, la France n’est plus en mesure de jouer un rôle déterminant dans la conjoncture actuelle.

Une diplomatie qui a du plomb dans l’aile, une armée à bout de souffle, il ne reste plus à la France du « Parti du Bien »que l’esbrouffe verbale de son Président normal pour tenter d’impressionner Poutine : http://www.medias-presse.info/general-vincent-desportes-dans-nos-armees-un-avion-sur-deux-ne-peut-pas-decoller-un-navire-sur-deux-ne-peut-prendre-la-mer-et-un-char-sur-deux-ne-peut-plus-rouler/43217

Il n’est pas nécessaire de recourir à Machiavel pour comprendre qu’au Moyen-Orient, la naïveté et les bons sentiments ne sont pas des armes efficaces: dans le monde arabe, seule la force est respectée….

Dans la tête de Poutine…


Poutine

Poutine est aujourd’hui, le Chef d’Etat le plus détesté de la planète.

Suite du billet précédent.

L’homme au regard froid d’un serpent, indéchiffrable, calculateur comme l’excellent joueur d’échecs qu’il est, « l’ancien du KGB », celui pour lequel « la démocratie » n’est qu’un moyen comme un autre de conquérir et de conserver le pouvoir, est considéré, en France et surtout à gauche, comme un ennemi à abattre.

Pourquoi « surtout à gauche » ???

Parce que les communistes savent, notamment, que tant que Poutine se maintiendra au pouvoir, le « communisme » n’a aucune chance de renaître en Russie où l’oligarchie de l’appareil du Parti a été « supprimée » quand elle n’a pas été « absorbée » par la nouvelle oligarchie des milliardaires qui se sont partagé, sous le regard bienveillant d’Eltsine, d’abord, puis de Poutine ensuite, les dépouilles de l’empire communiste.

Mais la détestation de Poutine ne s’arrête pas là !!!

Elle trouve aussi ses sources dans les divergences d’analyses qui séparent la Russie de Poutine, de celle des dirigeants occidentaux fortement influencés par l’Amérique, et par les ambitions européennes de l’OTAN dont la survie dépend essentiellement d’une stratégie de tension à entretenir avec la Russie, et qui justifie ses « avancées territoriales », et son renforcement permanent.

L’écrivain Michel Eltchaninoff qui ausculte, dans un livre déjà cité dans mon précédent billet, les sources idéologiques de la pensée de Poutine, éclaire ceux qui s’interrogent encore sur ses intentions à long terme.

Poutine dénonce l’aveuglement suicidaire des «pays euro-atlantiques» qui tournent le dos à «leurs racines, notamment chrétiennes, fondement de la civilisation occidentale». Ces mêmes pays, selon Poutine, «refusent les principes éthiques et l’identité traditionnelle: nationale, culturelle, religieuse et même sexuelle. (…) Ceci ne peut mener qu’à une crise démographique et morale». «Aujourd’hui dans de nombreux pays les normes de la morale et des mœurs sont réexaminées, les traditions nationales sont effacées, ainsi que les distinctions entre les nations et les cultures».

Voici encore ce qu’il dit en juin 2013, dans un autre discours: «Aux moments les plus critiques de notre histoire, notre peuple s’est retourné vers ses racines, ses fondements religieux, ses valeurs religieuses».

Il est clair que ce discours a un retentissement positif chez tous ceux, en Europe, qui s’élèvent contre le projet d’une Europe « métissée », « multiculturelle », tournant le dos à son Histoire et à ses racines.

Poutine cite souvent le philosophe Constantin Leontiev (1831 – 1891). S’exprimant devant une Assemblée du Peuple, il déclare: «La Russie, comme le disait de manière si frappante le philosophe Constantin Leontiev, s’est toujours développée comme une complexité florissante, comme un Etat-civilisation reposant sur le peuple russe, la langue russe, la culture russe, l’Eglise orthodoxe russe et les autres religions traditionnelles de la Russie».

Or ceci est la négation même de la doxa européenne actuelle qui fut symbolisée par le refus de Jacques Chirac de voir mentionnées dans le Projet de Constitution européenne les « racines judéo-chrétiennes de l’Europe ».

Dans un article consacré à l’analyse du livre de Michel Eltchaninov, le Figaro conclut que, (je cite) : « Vladimir Poutine est un personnage complexe, ambivalent, à l’inclination autoritaire incontestable mais qui ne peut se réduire à cette seule caricature. Emmanuel Carrère a parfaitement résumé cette ambivalence dans Limonov: «Je pense que Poutine est un homme d’Etat de grande envergure et que sa popularité ne tient pas seulement à ce que les gens sont décervelés par des médias aux ordres.

Il y a autre chose. Poutine répète sur tous les tons quelque chose que les Russes ont absolument besoin d’entendre et qui peut se résumer ainsi: ‘On n’a pas le droit de dire à 150 millions de personnes que soixante-dix ans de leur vie, de la vie de leurs parents et de leurs grands-parents, que ce à quoi ils ont cru, ce pour quoi ils se sont battus et sacrifiés, l’air même qu’ils respiraient, tout cela était de la merde’».( Fin de citation).

(http://premium.lefigaro.fr/vox/monde/2015/05/08/31002-20150508ARTFIG00166-dans-la-tete-de-vladimir-poutine.php )

Tout cela éclaire à la fois  la pensée, et les positions de Poutine, et permet de mieux comprendre le fossé idéologique qui le sépare des dirigeants occidentaux et particulièrement européens sur des questions fondamentales pour l’avenir de notre continent, et ce qui le rapproche du discours « souverainiste » qui se développe en Europe…

J’expliquerai dans un billet à venir, en quoi, selon moi, les analyses de Poutine influent sur sa stratégie dans le conflit irako-syrien, ainsi que les écarts d’analyse qui le séparent de celle des Occidentaux sur la manière de battre l’Etat Islamique….

Poutinemania ….


dans-la-tete-de-poutineLes élections américaines avaient donné lieu il y a quelques années, à une impressionnante vague d’Obamania…

Une vague qui s’est bien calmée depuis, tant Obama a déçu ses supporters les plus enthousiastes, aux Etats Unis, mais aussi dans le monde. Un peu comme si avec le Prix Nobel de la Paix il avait gagné son « bâton de Maréchal », au point d’avoir abandonné toute velléité d’initiative dans un Moyen Orient où les Etats-Unis s’étaient illustrés jusqu’ici, par leur activisme, et surtout, par leur manque de clairvoyance.

Pourtant, Dieu sait si les « Obamaniaques » qui se confondent souvent avec les chantres d’un monde « coloré »nous prédisaient une Amérique nouvelle, tolérante et généreuse, où « black is beautifull », ostensiblement ouverte à un monde arabo-musulman promis à un nouveau destin.

Car il se trouve que ceux, dans les médias occidentaux, qui saluaient cette « Amérique nouvelle », sont précisément les mêmes que ceux qui découvriront, avec un enthousiasme proche du délire, l’éclosion en chaîne, de « Printemps arabes », dans des pays qui, sous de rassurantes dictatures, connaissaient jusque là, une relative stabilité, mais dont les peuples étaient soudain touchés par la grâce d’une ferveur démocratique qui s’est transformée très vite en chaos généralisé, offrant ainsi au prurit de l’Islamisme conquérant un terreau idéal…

On sait ce qu’il en est advenu.

L’irruption de l’Etat Islamique, sa fulgurante expansion au Moyen-Orient, mais aussi dans presque toute l’Afrique, qui aurait dû être prévisible en Occident, si celui ci n’était affligé, depuis trente ans, de l’une des générations de dirigeants politiques parmi les plus médiocres de son Histoire….

Les dirigeants occidentaux qui masquent leurs renoncements, leurs lâchetés, et leur ignorance de tout ce qui concerne un monde Arabe qui les fascine par ses colossales richesses, derrière une prétendue vocation universelle à répandre une conception euro-centrique de la Démocratie et des Droits de l’Homme, n’ont pas vu venir le danger.

Ils ont placé leurs pays surendettés sous la dépendance économique et financière de ceux qui sont les principaux fomentateurs des troubles qui ont permis l’émergence d’un islamisme violent et barbare qui ne masque pas sa haine de l’Occident et de la civilisation qu’il incarne.

Ces mêmes dirigeants aveuglés par leurs certitudes, n’ont pas vu venir la menace d’une « invasion » migratoire pourtant prévisible, elle aussi, car annoncée depuis longtemps par des dirigeants arabes qui, depuis cinquante ans en évoquaient la perspective: leur réponse, tout aussi angélique, par laquelle Mme Merkel, pourtant l’une des rares personnalités « à poigne », s’est singularisée en Europe, mettant en danger la stabilité de son propre pays, sert aujourd’hui, de révélateur à l’angoisse et à la colère des peuples qui se manifeste de deux manières.

  • La « droitisation » des opinions, partout en Europe, qui fait, en France, de la montée du Front National considéré comme le porte-parole de ceux qui entendent défendre leur identité envers et contre tout, une sorte de banalité.
  • Le bon sens populaire, dans de nombreux pays, reprend le dessus et les peuples, plus que leurs dirigeants, dans lesquels ils n’ont plus confiance, sentent la montée des dangers du tourbillon dans lequel l’Europe se sent emportée, et, un peu partout, sont bien décidés à se faire entendre…
  • L’étonnante montée, un peu partout en Europe, et curieusement, en France, de la popularité de Poutine, et ce, malgré tous les efforts concertés des médias pour entretenir une « diabolisation » à laquelle la CIA n’est pas totalement étrangère…        
  • La « Poutinemania » dont la manifestation s’exprime dans tous les réseaux sociaux, et plus généralement sur internet, se nourrit du sentiment partagé par de plus en plus de Français mais aussi d’Européens, selon lequel Poutine se comporte en vrai Chef d’Etat, patriote, fermement attaché à la défense des intérêts et des valeurs de son pays. Un Chef d’Etat réaliste, voire cynique, qui ne s’abrite pas derrière un « bric-à-brac » de fausses convictions et de valeurs à géométrie variable, et qui met sa diplomatie et ses forces armées au service des intérêts de son pays, alors que les nôtres restent soumis à trop d’influences extérieures….

Il est devenu évident pour bien des analystes en géopolitique que la stratégie de Poutine est au service d’un projet cohérent, dont il sent que l’époque lui offre l’opportunité, du fait du désengagement de l’Amérique qui regarde de plus en plus vers l’Asie où se joue le destin du monde de demain, et du fait de l’incapacité de l’Europe à incarner une force capable d’affronter les dangers qui la menacent.

Je reviendrai dans un prochain billet, sur « ce qu’il y a dans la tête de Poutine », pour paraphraser le titre d’un livre récent qui nous éclaire sur la personnalité de ce personnage complexe….

( à suivre …)