Vivre ensemble….


AimerLe « vivre ensemble » est une expression récente, apparue avec la « novlangue »et son cortège de mots « tabous ».

Il y a ceux qui sont « sanctifiés » par le clergé de la bien-pensance, et ceux qui sont « diabolisés », car ils véhiculent des « idées coupables » et « contraires » aux « valeurs » qui appartiennent au « bric à brac » de principes, et de préjugés que la Gauche s’est fabriqués au fil du temps. Des mots qui sont menacés de disparaître de nos dictionnaires. Car, on l’a bien compris, désormais, pour « tuer l’idée », il faut « tuer le mot » qui la véhicule…

Les « idées » de Gauche, elles, sont défendues avec une âpreté sectaire et agressive par une pseudo-intelligentsia. Elles ont fini par déteindre sur celles de la Droite républicaine »au point d’avoir rendu son message politique si ambigu, qu’elle a incité un nombre croissant de sympathisants de la Droite à se rapprocher du Front National…

Un « rapprochement » qui n’est pas sans ambiguïtés, à son tour, car si beaucoup de ces « transfuges »partagent certaines prises de position du Front National, notamment sur les problèmes de société, ils sont loin d’en partager sa doctrine économique, considérée comme incompatible avec un environnement mondial qu’elle semble ignorer.

C’est cette problématique qui rend hasardeuses toutes les tentatives de prévisions quant à celui,- ou celle -, qui sortira vainqueur de l’élection présidentielle de 2017.

Quel qu’en soit le résultat, cette élection aura des conséquences profondes sur l’avenir de la société française, qui n’en déplaise à certains, se « droitise » à vive allure….

Notre société, traversée par de profonds courants antagonistes, entretenus,  notamment, par « le défi migratoire » et par une présence que nul ne songe plus à occulter,- après avoir trop longtemps tenté de la minimiser -, de « communautés »exogènes issues de plusieurs décennies d’une immigration dont on continue à sous-estimer dangereusement l’influence qu’elle aura sur la vie politique future du pays.

Mais pas seulement dans la vie politique: car contrairement au discours naïvement généreux de certains – et parmi ceux-ci, rares sont ceux qui vivent au contact quotidien avec les « nouveaux venus » – c’est l’homogénéité de la société française qui est menacée…

S’il est exact d’affirmer que la France n’est plus un pays de race blanche et de culture judéo-chrétienne, – ce qui a sans doute échappé à cette pauvre Nadine Morano -, peu de gens mesurent aujourd’hui les menaces qui pèsent sur notre paix sociale, et qui vont s’aggraver avec l’arrivée inévitable de nouvelles couches d’immigrants venus du Proche-Orient, qui vont aggraver l’hétérogénéité de la société française.

Les « généreux », partisans d’un accueil sans limite de populations qui fuient autant la misère et la mauvaise gouvernance de pays « libérés » de la Colonisation, que l’insécurité et l’absence de perspectives d’avenir, ignorent tout d’un monde arabe, qu’ils voient, à travers la littérature « orientaliste », comme un espace uniforme d’exotisme,- façon « Mille et Une Nuits »-, mais qui transporte dans son maigre bagage, sa culture, ses tabous, ses préjugés et bien d’autres spécificités inspirées par de dangereuses exégèses du Coran, qui ne tarderont pas à devenir problématiques, au pays de « Droits de l’Homme »…

 Ecoutez la voix de Jacques Julliard, un intellectuel de la Gauche réaliste : « Mon pari est que les musulmans français choisiront le statut français et pas le statut islamique »… Douce illusion, mais dont les conséquences seront tragiques.

Les progrès de notre civilisation européenne, qui sont le fruit d’une longue et douloureuse histoire, nous ont permis de bannir les dangers de guerre civile. La République a réussi à devenir un ciment efficace entre ses citoyens, et nous a permis jusqu’ici, du moins, à échapper aux risque d’un communautarisme étranger à notre culture.

Il n’en est pas de même pour les peuples qui arrivent massivement en Europe et dont une partie choisira de s’établir en France.

Ces peuples ont été habitués, depuis toujours, à vivre au sein de communautés tribales, religieuses, ethniques, structurées qui leur confèrent des identités spécifiques, s’opposant parfois les unes aux autres dans des conflits sanglants, et souvent contraintes à « vivre ensemble » par la main de fer de dictateurs, ceux-là mêmes dont la disparition a permis l’émergence de l’Etat Islamique…..

Chacun conçoit le représentant d’une communauté autre que la sienne comme un ennemi potentiel, non comme un concitoyen. Le « surmoi qui obligerait à vivre fraternellement avec les Autres ne s’est pas construit, et nous ne sommes coupables en rien de ce ratage proche-oriental ».( Causeur).

La doxa actuelle, répandue par la Gauche française consiste à mettre sur le dos de l’Occident, les malheurs de l’Orient et nous condamne, depuis des décennies à nous auto-flageller, secoués par l’immense « sanglot de l’homme blanc »…

L’attitude accusatrice et culpabilisatrice des « immigrationistes » dispense ces derniers de s’interroger sur ce que les nouveaux arrivants transportent dans leurs bagages.

Or, ce qui pèse le plus lourd dans leurs bagages, c’est ce communautarisme qui est à l’origine des guerres sanglantes que se livrent, en Syrie, en Irak, au Yemen, et dans tout le Proche-Orient, des communautés ethniques, ou religieuses, qui ont renoncé à vivre paisiblement ensemble, depuis des lustres….

Nul doute que ces « spécificités » ne tarderont pas à s’exprimer et à s’ajouter aux difficultés que rencontre la France, dans la réalisation du rêve enfantin que constitue « le vivre-ensemble »….

Personne n’a relayé, ni entendu l’avertissement de l’archevêque  de Mossoul (Irak), Mgr Amel Shimoun Nona, s’adressant aux Occidentaux : nos prétendues valeurs ne sont pas les leurs…

Il faut avoir vécu, ou voyagé dans ces pays arabes pour savoir à quel point, les moeurs, les traditions et même la culture sont différents. Il faut savoir que lorsqu’un Algérien s’adresse à un Syrien, il lui est difficile de se faire comprendre car, paradoxalement, ils ne parlent pas tout à fait la même langue….alors que chacun d’eux est convaincu de parler arabe, la langue du Coran.

Les « lendemains qui chantent », et l’hymne au « vivre ensemble »n’ont pas fini de nous réserver des surprises !!!!

Les exemples du Liban, du Kosovo, de la Tchétchénie, parmi beaucoup d’autres, sont là pour nous inciter à la vigilance et à nous préparer à des jours difficiles.

Racisme, ou « islamolucidité » ???


SilenceJ’éprouve, depuis le début de l’existence de ce blog, un malin plaisir en diffusant des textes, des images, ou des informations que l’on ne trouvera pas facilement dans les médias français.

J’y mets, parfois une pointe d’ironie mordante et provocatrice.

Ainsi, vous ne lirez, n’entendrez, ne verrez dans aucun média l’information selon laquelle deux yatchs de la famille royale saoudienne croisent actuellement au large de la Libye pour participer au sauvetage en mer d’immigrants en perdition.

Vous ne lirez jamais l’information selon laquelle la famille royale du Qatar a décidé de « sacrifier » l’une des plus hautes tour de Doha, pour y accueillir des immigrés fuyant des pays arabes déchirés par des guerres civiles….

Vous ne lirez jamais une enquête journalistique sérieuse sur l’origine des ressources qui permettent à des migrants qui vivent chez eux avec deux dollars par jour, de payer des sommes pouvant aller jusqu’à 15.000 dollars à des passeurs, pour traverser la Méditerranée sur des rafiots destinés à la casse….

Pas plus que vous ne lirez, un jour, l’information incongrue selon laquelle, plusieurs membres de notre Gouvernement socialiste ont décidé, à titre personnel, d’exprimer leur solidarité et leur compassion, en accueillant, chez eux, une famille de migrants recueillie sous les ponts de Paris, ou que le Président luxembourgeois de la Commission Européenne a décidé d’ouvrir les portes du Luxembourg, jusqu’ici largement ouvertes aux « évadés fiscaux », aux « Chrétiens d’Orient »en quête d’asile…..

J’ai diffusé, il y a quelques jours, sous le titre volontairement provocateur de « Je suis raciste », ( https://berdepas.wordpress.com/2015/08/03/je-suis-raciste/ ) une vidéo dans laquelle s’exprime une voix étouffée par les médias, autant en Angleterre qu’en Europe et qui dans un réquisitoire argumenté, contre ceux qui sont prêts à brader nos identités nationales, au nom d’une soit-disant fatalité, en vertu de laquelle nous devrions accepter l’islamisation rampante de l’Europe, sans réagir, sans même avoir le droit de dénoncer la lâcheté de ceux qui s’emploient à favoriser cette mutation et qui seraient les seuls représentants du « Parti du Bien ».

Je récidive, en publiant ci-après, le texte intégral, dans une traduction française autorisée, d’une intervention de Paul Weston,   représentant de l’International Free Press Society en Angleterre. Cette intervention n’a fait l’objet,- et l’on comprend pourquoi -, d’aucun écho dans les médias institutionnels.

On trouvera la version originale, – en Anglais -, de ce texte sous : http://www.pointsdereperes.com/articles/nous-vous-demanderons-des-comptes

Paul Weston a prononcé ce vibrant discours à Amsterdam (Hollande) à l’occasion d’une manifestation en soutien au député hollandais Geert Wilders ( « Extrême Droite » ) pour la liberté d’expression.

Dans ce discours percutant, Paul Weston aborde des sujets brûlants : la clairvoyance de Wiston Churchill à propos de l’islam, la démission de nos politiciens actuels, la nature de Mahomet et de l’islam, la criminalisation de la liberté d’expression, la déclaration « version islamique » des droits de l’homme, l’invasion de l’Occident par l’islam, la fausse étiquette de « raciste » attribuée à ceux qui veulent défendre les valeurs-piliers de l’Occident, l’abandon et la trahison du peuple par ses « élites », l’abandon, de facto, de la démocratie en Occident…

Mais il évoque comme une source d’espoir, le réveil de plus en plus important, dans la plupart des pays, de la population de souche en Occident, à propos de la nature véritable du péril islamique, et du désir qui s’ensuit de travailler concrètement à la préservation des valeurs humanistes de l’Occident.

Ce discours il l’a intitulé « Nous vous demanderons des comptes » « We will hold you to Account ».

« Bonjour, mon nom est Paul Weston et je représente l’international Free Press Society en Angleterre.
Je suis ici aujourd’hui parce que nos élites libérales ont trahi nos pays pour l’islam.
Il y a 42 ans, le politicien britannique Enoch Powell a prononcé son célèbre discours des « rivières de sang » dans lequel il déclarait que la « fonction suprême de l’homme d’État est de parer aux fléaux évitables.
Eh bien, nos policitiens d’aujourd’hui font exactement le contraire : ils promeuvent activement un fléau évitable.

Winston Churchill.
 Il y a quatre-vingts ans, un homme, Winston Churchill a été très clair sur la prévention d’un mal manifeste et actuel, « Herr Hitler et les nazis ».
Mais Churchill était la voix solitaire qui crie contre la vague d’apaisement, et un carnage qui aurait pu être évité, a eu lieu avec une intensité redoublée.
L’Europe se retrouve aujourd’hui dans une situation similaire. L’islam croît sur les plans démographique, territorial et militant tout en étant présenté comme une « religion de paix » par des politiciens lâches et carriéristes de type que ceux qui ont cru apaiser Hitler.
Islam : une religion de sang et de guerre
Pour Winston Churchill, l’islam n’était pas une religion de paix. Il l’a décrite comme une religion de sang et de guerre.
Toute personne ayant une connaissance de la fondation et de l’histoire de l’expansion islamique sait que c’est la vérité.
Mahomet était un seigneur de guerre. Et il excellait. Il a vaincu militairement et converti la plupart des tribus païennes et chrétiennes de la péninsule arabique.
Après sa mort, l’islam s’est rapidement répandu par l’épée, il a vaincu d’anciennes civilisations et envahi des continents.
L’islam veut dominer le monde
Aujourd’hui, l’islam est en Europe, il est en Occident, et il exige ce qu’il a toujours exigé : la domination islamique totale.
Et si nous voulons résister, il utilisera la terreur contre nous.
Nos politiciens traîtres continuent pourtant de parler d’une « religion de paix », et ils nous disent que si nous refusons cette notion fantasmatique et ridicule et choisissons plutôt de croire Churchill qui disait que l’islam est une religion de sang et de guerre, nous serons jetés en prison.
Bien sûr, l’islam n’est pas une religion de paix. Son fondateur est un guerrier, et le plus grand honneur accordé à un musulman est la promesse de hordes de houris parfumées et de rapports sexuels éternels dans l’Au-delà qui ne se méritent pas des actes de bon samaritain mais en mourant en martyr en combattant pour répandre l’islam impérialiste.

Islam signifie littéralement soumission.

Quel genre de religion se donne le nom de soumission?
L’islam divise le monde en deux sphères : la Maison de l’islam (soumission) et la Maison de la guerre. Quel genre de religion se définit par la conquête militaire?
Pourtant, nos dirigeants nous disent que nous ne pouvons pas critiquer l’islam parce que c’est une religion, pendant que l’Organisation de la Conférence Islamique s’efforce, avec la connivence des Nations Unies, de rendre illégale toute critique de l’islam.
Mais l’islam est beaucoup plus qu’une religion. Il s’agit d’un cadre politique, social, juridique et structurel qui domine totalement la vie d’un dévot musulman, et souhaite incidemment dominer aussi la vie de tous les dévots non musulmans.
L’islam est profondément intolérant et profondément antidémocratique. Il ne croit pas aux lois édictées par les hommes dans une démocratie, préférant se conformer à la parole absolue d’Allah telle qu’elle a été interprétée au 7e siècle par un analphabète du désert.
Nos politiciens ont importé cette idéologie intolérante et antidémocratique dans les démocraties libérales de l’Occident, puis ils osent nous criminaliser quand nous nous y opposons!
Mais comment ne pas critiquer l’islam? Nos politiciens peuvent-ils vraiment protéger l’islam en tant que religion, le mettant ainsi hors de la portée de la loi?
Quand des homosexuels sont pendus à des grues, est-ce l’islam politique en action ou l’islam religion?
Quand des femmes adultères sont enterrées jusqu’aux épaules puis lapidées à mort, est-ce l’islam politique ou l’islam religion?
Quand les musulmans qui veulent quitter l’islam sont condamnés à mort, est-ce l’islam politique ou l’islam religion?
Quand des femmes et des filles sont tuées par des maris, des pères et des oncles pour préserver l’honneur familial, est-ce l’islam politique ou l’islam religion?
S’il s’agit de l’islam politique, il faut dénoncer sa cruauté et sa barbarie, Si c’est l’islam religion, comment peut-on ne pas dénoncer également?
Ce qui est mal et ce qui est barbare est barbare et ne peut être soustrait à la critique en s’abritant sous le mot « religion ».
En criminisant la liberté d’expression, nos dirigeants socialistes montrent leur ambition dictatoriale. La liberté d’expression est la marque d’une société libre.
La supprimer est un acte totalitaire d’autant plus grave que cette liberté est notre seul moyen de défense dans l’opposition pacifique à l’idéologie totalitaire islamique étrangère.
J’espère que vous saisissez l’ironie de la situation. Pour protéger et promouvoir une idéologie totalitaire étrangère, nos gouvernants sont prêts à utiliser des méthodes totalitaires domestiques pour nous empêcher de défendre notre démocratie et notre liberté.
L’Occident se conforme à la Convention européenne des droits de l’homme. Mais pas l’islam. Ils ont plutôt signé la Déclaration du Caire sur les droits de l’homme en islam.
Et ils ont une réserve très importante : en cas de conflit entre la charria et les droits de l’homme, devinez ce qui l’emporte? Tout à fait! La charria prévaut sur les droits de l’homme.
C’est comme si un signataire de la Convention de Genève assassinait et torturait des prisonniers de guerre mais qu’il échapperait à un procès pour crimes de guerre parce que « ça fait partie de sa religion ».
Quand nos politiciens prétendent que l’islam est une religion de paix et laissent les musulmans imposer leurs lois chez nous à l’Union européenne et à l’ONU, alors nos politiciens trahissent leur pays et trahissent leur peuple. C’est un acte de haute trahison.
« Peut-on commettre un acte de trahison en période de paix? » se demandent certains. Mais sommes-nous vraiment en paix?
Nous ne nous considérons pas comme étant en guerre avec l’islam, mais l’islam se considère, lui-même comme étant en guerre contre nous.
Et cette guerre nous sommes en train de la perdre. Sur les plans du territoire, de la démographie, de la politique et de la démocratie.
En effet, cette guerre est une agression sur deux fronts. D’un côté l’islam radical, de l’autre la trahison de la gauche.
On impose à nos enfants de célébrer le multiculturalisme et l’islam, sans leur dire la vraie histoire de l’islam violent et expansionnistes.
Par contre, on leur raconte que leur propre histoire, leur religion, leur culture, leurs traditions, leur existence même, est juste une litanie d’impérialisme, de racisme, de meurtres et d’esclavage.
C’est l’une des techniques psychologiques efficaces dont le but est de rendre l’adversaire sans défense, ou, pour citer Alexandre Soljenitsyne, « afin de détruire un peuple, il faut d’abord détruire ses racines ».
Un gouvernement qui fait subir cela à son propre peuple, à ses propres enfants, est un gouvernement qui, manifestement, mérite d’être renversé.
Quelqu’un peut-il vraiment argumenter en disant qu’un gouvernement qui flatte l’envahisseur étranger, tout en arrachant les défenses psychologiques et légales de ses propres citoyens, est un gouvernement qui ne serait pas coupable de haute trahison?
Maintenant, nous arrivons à une partie plus réjouissante de ce monologue déprimant, parce que dans ce moment de la bataille, nous avançons. Lentement, il est vrai, mais constamment, et je pense que personne ne pourra nous arrêter.
Geert Wilders en Hollande, René Stadtkewitz en Allemagne, dont la popularité soudaine a obligé Angela Merkel à faire une virage à 180 degrés et dénoncer le multiculturalisme.
Les Démocrates Suédois, Heinz-Christian Strache en Autriche, le Parti du Peuple Suisse, et en Angleterre où nous prévoyons un mouvement politique qui reprendra le flambeau de l’English Defense League et qui grandit rapidement.
Et cette croissance ne peut que s’accélérer. De plus en plus de gens ont pris conscience de la nature de l’islam et de la profondeur de la trahison des gouvernements de gauche, et plus important, dans la mesure où les gens perdent leur crainte d’être traités de racistes – cette étiquette ayant été spécialement inventée pour nous retirer toute résistance contre un envahisseur racialement désigné et qui utilise le thème racial comme arme contre nous.
En fait, regardons de près cette étiquette « raciste » maintenant. Ce n’est pas raciste de défendre notre pays contre une menace évidente et grandissante.
Ce n’est pas raciste de défendre notre culture, notre héritage et nos traditions.
Ce n’est pas raciste de s’efforcer d’assurer un avenir démocratique à nos enfants et à nos petits-enfants.
Si vous choisissez de ne pas défendre votre culture, votre pays et un avenir démocratique pour vos enfants, alors vous pouvez vous tapoter l’épaule dans les cocktails au champagne des « non racistes » socialistes à Islington.
Vous pouvez adorer les idoles « anti-racistes » des autres autant que vous adorez les vôtres, mais cela n’enlève en rien de ce que j’ai dit de vous : des traîtres.
Vous êtes un traître à votre patrie, un traître à votre culture, et une traître envers vos enfants à naître.
Et de plus vous êtes un vrai raciste, un raciste génocidaire. Dans une génération à peine, les jeunes Européens de souche vont devenir une minorité ethnique dans leur propre pays, si l’immigration de masse et la démographie galopante des musulmans continuent à ce rythme.
On peut appeler cela poliment une immigration de remplacement. Plus crûment, cela s’appelle un génocide non sanglant.
L’ONU est très clair sur ce point. La définition d’un génocide est la suivante, je cite :
« Article 2 : Dans la présente convention, le terme génocide signifie tout acte commis avec l’intention de détruire, totalement ou en partie, un groupe national, racial ou religieux ».
Nous avons été trahis.
L’un des plus tristes aspects de cette trahison est l’effet produit sur nos vétérans, sur tous ceux qui ont combattu pour leur pays et qui sont encore une vivante mémoire.
L’ancien pilote de Spitfires, Alex Henshaw, est décédé il y a trois ans. Il était parfaitement conscient de la trahison politique de son pays. Il a dit :
« Je ressens une profonde tristesse en pensant aux hommes jeunes que j’ai connus et qui ont donné leur vie pour une cause à laquelle ils croyaient. Je me dis souvent, si ces hommes jeunes revenaient maintenant et marchaient dans leurs villages, leurs villes, et voyaient ce qu’il nous advient, ils se diraient : nous avons été trahis ».
Oui, Mr Henshaw, vous avez été tous trahis, et vous tous, gauchistes, socialistes et verts, vous allez devoir reconnaître ce que vous avez fait.
Allez donc faire un tour dans vos villes, vos villages, et regardez les centaines de milliers de tombes, comme un testament du sacrifice ultime fait par des hommes jeunes, afin que vous puissiez vivre, aujourd’hui, en toute liberté dans une démocratie.
Vous allez devoir apprendre que ce n’est pas une simple trahison, mais une triple trahison :
• La trahison de tous nos parents qui ont combattu pour notre liberté,
• La trahison de ma génération, que vous menacez d’emprisonner lorsque nous défendons l’héritage de notre liberté, et
• La trahison de nos enfants à naître, qui, sauf si nous n’arrêtons pas les tendances, immédiatement, vont hériter d’un pays ravagé par des haines tribales et religieuses, ce qui entraînera, inévitablement, une gigantesque guerre multiculturelle à échelle continentale qui fera ressembler le conflit yougoslave à une légère escarmouche.
Et, bien sûr, c’est la trahison totale de la liberté et de la démocratie.
En effet, la liberté et la démocratie ne sont pas apparues magiquement. Elles ont évolué sur 2500 ans, enracinées dans l’héritage Gréco Romain et Judéo Chrétien, et elles été défendues dans le sang et le sacrifice.
La démocratie et la liberté ne sont des possessions personnelles dont les socialistes pourraient disposer à leur gré, sans notre accord, au profit des descendants de guerriers du désert vivant encore comme au 7ème siècle, et qui jugent notre attachement à la démocratie comme une simple faiblesse à utiliser contre nous.
Je ne blâme pas l’islam. Les islamistes font exactement ce qui est prescrit dans leur livre.
Mais je blâme nos politiciens. Il y a deux camps dans cette guerre de civilisation, et nos politiciens sont dans le camp de l’ennemi.
Alors, je leur dis :
Vous avez les leviers du pouvoir en ce moment, mais nous effectuons une ascension irrésistible. Pensez-vous sérieusement que vous pourrez continuer à faire tout ce que vous avez fait subir à votre propre peuple, sans des répercussions futures? ?
Vous pouvez encore arrêter tout cela, si vous le choisissez, tout simplement, en mettant l’intérêt de votre peuple avant celui de l’islam.
Mais vous ne le ferez pas, n’est-ce pas? Alors, vous nous mettez dans une mauvaise posture. Si nous ne faisons rien, nous devons accepter que nos enfants devront vivre un jour sous le joug des lois de la charria.
Et si nous faisons quelque chose, alors ce sera, par définition, une révolution. Mais ce n’est pas nous qui l’avons voulue. C’est vous. La plupart d’entre nous étions satisfaits de tondre notre pelouse, d’aller au travail et de payer nos impôts.
Vous avez fait de nous des révolutionnaires. Votre comportement montre que vous avez plus peur de l’islam que de nous, mais laissez-moi vous dire ceci, à vous tous, menteurs et traîtres carriéristes socialistes :
Vous détenez le pouvoir maintenant, mais dans une décennie nous détiendrons le pouvoir et nous vous demanderons des comptes. Nous vous traînerons devant un tribunal du style Nuremberg où vous serez jugés pour haute trahison, où vous serez jugés pour crimes contre l’humanité, et pour la première fois depuis longtemps, nous serons vos juges !!! »

Existe-t-il, en France, un politicien de droite, même la plus « extrême », capable de soutenir un tel discours, et d’en assumer les conclusions devant l’opinion française ??? J’en doute. Et pourtant….Nombreux sont les Français de coeur qui, malgré quelques réserves, pourraient adhérer à un tel discours.

Et pour clouer le bec aux « intelligents » qui vitupèrent dès qu’un Zemmour ou un Houellebecq se mèlent de dénoncer la dérive inquiétante de notre pays, sachez que l’Algérie s’interroge, elle aussi, par la voix de ses meilleurs écrivains, sur son destin, face à la montée d’un Islam totalitaire qui d’ores et déjà exprime, sans ambiguité, ses menaces à l’adresse de la société civile algérienne:

http://www.algerie-focus.com/blog/2015/08/anticipation-en-2084-lalgerie-deviendra-labistan-selon-un-ecrivain-algerien/

Amalgames, et islamophobies…..


AudibleSous le prétexte d’interdire les « amalgames », nouveau substantif utilisé comme bouclier, par les « islamistes », pour « clouer le bec » de ceux qui refusent d’accepter le mythe d’un « islam modéré », sous prétexte qu’il y aurait des « musulmans modérés », – ce que personne ne conteste -, il faudrait feindre d’ignorer des actes ignobles, qui témoignent d’une « sous-culture » de barbares. Et accepter , sans broncher, la perspective d’une islamisation, même partielle de la France ????

Car il suffit d’une minorité de fanatiques, – dont la mort est une voie d’accès à un « paradis » devenu une sorte de « Terre Promise » pour ceux qui donneront leur vie pour que vienne le règne d’Allah -, pour faire basculer une société fragilisée, et qui doute d’elle-même, traversée par des courants contradictoires, une société où le relativisme, et le déclin des valeurs aveugle ceux qui ont pour mission d’éclairer le peuple.

On m’accusera d’amalgame, sans doute.

Mais l’accusation d’amalgame n’est pas une invention nouvelle. C’est un concept dont se sont abondamment servi les régimes totalitaires, qui ne tolèrent aucune « déviation » de la pensée….

On veut nous imposer l’idée que l’Islam est une religion comme les autres et que notre « laïcité » parviendra à la dissoudre pacifiquement dans notre société. Comme si le conflit avec l’Islam ne concernait que notre société occidentale. Il suffit d’étaler une carte du monde et d’entourer en rouge, tous les points du globe où existent de conflits meurtriers pour constater que partout l’Islam en est la cause : l’Islam s’oppose à l’Hindouisme, au Bouddhisme, au Confucianisme, en Inde, en Chine,en Malaisie, en Indonésie, …et j’en passe.

Pire encore, et plus près de nous, comme je l’ai évoqué dans un récent billet, l’Islam est en guerre avec elle-même, car le combat entre Sunnites et Chiites, quasi millénaire, ne fait que recommencer au Moyen Orient….

Pourtant…. Bien avant nous, des esprits éclairés ont osé défier l’idée que l’on tente de nous imposer, selon laquelle l’Islam serait parfaitement compatible avec nos moeurs et notre culture. En voici quelques échantillons:

Ibn Warraq
« Attention aux amalgames ! » entend-on ressasser sur tous les tons dans les milieux bien pensants de toute origine et de toute confession… A écouter ces belles âmes, l’islamisme ne serait qu’une dérive qui n’aurait « rien à voir », mais alors, on vous l’assure, rien de rien, avec « le véritable islam », lequel serait, en son tréfonds, une idyllique religion de paix, de fraternité et de tolérance… Pourtant, n’est-il pas curieux que ce ne soit qu’à propos de cette religion que l’on juge bon d’ajouter l’adjectif « modéré » pour tenter d’accréditer l’idée qu’à côté « d’une petite minorité » de quelques excités fanatiques, « assurément non représentatifs », « l’immense majorité » du milliard de musulmans dans le monde « d’ailleurs divisés en rites divers et variés », serait composé de « paisibles citoyens » qui penseraient « leur spiritualité » et pratiqueraient « leur foi » avec la même sérénité que « tous les autres croyants » ? La vérité, braves gens, est quelque peu différente : s’il existe, bel et bien, et Allah merci ! des « musulmans modérés », nos frères en humanité, l’islam en tant que tel n’est pas une religion modérée : il suffit de lire le Coran, truffé de menaces et d’imprécations en tout genre, pour s’en convaincre!
• Ibn Warraq,  Le vrai visage de l’islam, aux éditions Kyrollos, 2004, p.171, M.Alcader.
• Ibn Warraq serait né en Inde dans une famille musulmane. Il aurait grandi et aurait été éduqué au Pakistan. Ibn Warraq est un pseudonyme, qui fait référence au penseur et philosophe Warraq (Ibn Warraq, c’est-à-dire fils d’al-Warraq, philosophe ayant vécu au IXe siècle, laïc et universaliste).

Abdelwahab Meddeb:
L’islamisme est, certes, la maladie de l’islam, mais les germes sont dans le texte lui-même.
Abdelwahab Meddeb, 23 septembre 2006, paru Libération.

Ernest Renan:
L’islamisme ne peut exister que comme religion officielle; quand on le réduira à l’état de religion libre et individuelle, il périra. L’islamisme n’est pas seulement une religion d’État, comme l’a été le catholicisme en France, sous Louis XIV, comme il l’est encore en Espagne, c’est la religion excluant l’État… Là est la guerre éternelle, la guerre qui ne cessera que quand le dernier fils d’Ismaël sera mort de misère ou aura été relégué par la terreur au fond du désert. L’Islam est la plus complète négation de l’Europe; l’Islam est le fanatisme, comme l’Espagne du temps de Philippe II et l’Italie du temps de Pie V l’ont à peine connu; L’Islam est le dédain de la science, la suppression de la société civile; c’est l’épouvantable simplicité de l’esprit sémitique, rétrécissant le cerveau humain, le fermant à toute idée délicate, à tout sentiment fin, à tout recherche rationnelle, pour le mettre en face d’une éternelle tautologie : Dieu est Dieu…
• De la part des peuples sémitiques dans l’histoire de la civilisation: discours d’ouverture du cours de langues hébraïque, chaldaïque et syriaque, au Collège de France, Ernest Renan, éd. M. Lévy frères, 1862, p. 27-28

Alexis de Tocqueville :
J’ai beaucoup étudié le Coran à cause surtout de notre position vis-à-vis des populations musulmanes en Algérie et dans tout l’Orient. Je vous avoue que je suis sorti de cette étude avec la conviction qu’il y avait eu dans le monde, à tout prendre, peu de religions aussi funestes aux hommes que celle de Mahomet. Elle est, à mon sens, la principale cause de la décadence aujourd’hui si visible du monde musulman et quoique moins absurde que le polythéisme antique, ses tendances sociales et politiques étant, à mon avis, infiniment plus à redouter, je la regarde relativement au paganisme lui-même comme une décadence plutôt que comme un progrès.
• Alexis de Tocqueville, 22 octobre 1843, dans Œuvres, papiers et correspondances d’Alexis de Tocqueville, paru chez Gallimard, 1962, t.2, p.25, Jean-Paul Mayer.

Chateaubriand (1768-1848):

« Tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet »

André Malraux :

« C’est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l’islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine. Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles. A l’origine de la révolution marxiste, on croyait pouvoir endiguer le courant par des solutions partielles. Ni le christianisme, ni les organisations patronales ou ouvrières n’ont trouvé la réponse. De même aujourd’hui, le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l’islam. En théorie, la solution paraît d’ailleurs extrêmement difficile. Peut-être serait-elle possible en pratique si, pour nous borner à l’aspect français de la question, celle-ci était pensée et appliquée par un véritable homme d’Etat. Les données actuelles du problème portent à croire que des formes variées de dictature musulmane vont s’établir successivement à travers le monde arabe. Quand je dis « musulmane », je pense moins aux structures religieuses qu’aux structures temporelles découlant de la doctrine de Mahomet. Dès maintenant, le sultan du Maroc est dépassé et Bourguiba ne conservera le pouvoir qu’en devenant une sorte de dictateur. Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l’islam, si elles avaient été appliquées à temps… Actuellement, il est trop tard ! Les « misérables » ont d’ailleurs peu à perdre. Ils préféreront conserver leur misère à l’intérieur d’une communauté musulmane. Leur sort sans doute restera inchangé. Nous avons d’eux une conception trop occidentale. Aux bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter, ils préféreront l’avenir de leur race. L’Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce processus. Tout ce que nous pouvons faire, c’est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d’en retarder l’évolution. »
• André Malraux, 3 juin 1956, dans Dossier : Un siècle religieux

Et plus près de nous, à lire cette citation d’un philosophe musulman contemporain, lucide, objective et cruelle à l’égard des déviations de l’Islam : un vrai cri de colère.

« Cher monde musulman, je suis un de tes fils éloignés qui te regarde du dehors et de loin – de ce pays de France où tant de tes enfants vivent aujourd’hui. Je te regarde avec mes yeux sévères de philosophe nourri depuis son enfance par le taçawwuf (soufisme) et par la pensée occidentale. Je te regarde donc à partir de ma position de barzakh, d’isthme entre les deux mers de l’Orient et de l’Occident !

Et qu’est-ce que je vois ? Qu’est-ce que je vois mieux que d’autres, sans doute parce que justement je te regarde de loin, avec le recul de la distance ? Je te vois, toi, dans un état de misère et de souffrance qui me rend infiniment triste, mais qui rend encore plus sévère mon jugement de philosophe ! Car je te vois en train d’enfanter un monstre qui prétend se nommer Etat islamique et auquel certains préfèrent donner un nom de démon : Daesh. Mais le pire est que je te vois te perdre – perdre ton temps et ton honneur – dans le refus de reconnaître que ce monstre est né de toi, de tes errances, de tes contradictions, de ton écartèlement entre passé et présent, de ton incapacité trop durable à trouver ta place dans la civilisation humaine.

Que dis-tu en effet face à ce monstre ? Tu cries : « Ce n’est pas moi ! », « Ce n’est pas l’islam ! » Tu refuses que les crimes de ce monstre soient commis en ton nom (#NotInMyName). Tu t’insurges que le monstre usurpe ton identité, et bien sûr tu as raison de le faire. Il est indispensable qu’à la face du monde tu proclames ainsi, haut et fort, que l’islam dénonce la barbarie. Mais c’est tout à fait insuffisant ! Car tu te réfugies dans le réflexe de l’autodéfense sans assumer aussi et surtout la responsabilité de l’autocritique. Tu te contentes de t’indigner alors que ce moment aurait été une occasion historique de te remettre en question ! Et tu accuses au lieu de prendre ta propre responsabilité : « Arrêtez, vous, les Occidentaux, et vous, tous les ennemis de l’islam, de nous associer à ce monstre ! Le terrorisme, ce n’est pas l’islam, le vrai islam, le bon islam qui ne veut pas dire la guerre mais la paix ! »

(http://www.marianne.net/Lettre-ouverte-au-monde-musulman_a241765.html)

J’aurais pu allonger ma liste de citations émanant d’esprits que l’on ne peut accuser, ni de stupidité, ni de xénophobie pathologique. Ce sont tout simplement des intelligences qui se sont penchées sérieusement sur le contenu du Coran, sur les interprétations diverses et contradictoires de son message, et qui ont étudié les sociétés musulmanes, dans leurs moeurs, leurs modes de vie, leur Histoire et leurs traditions.

Leur jugement a une toute autre valeur que celui de nos censeurs contemporains, dont on peut suspecter l’aveuglement, et parfois l’indépendance de jugement, tant ils subissent, avec mollesse, la pression de courants idéologiques divers dont les ficelles sont tirées depuis le Golfe Persique….

Alors, au nom d’une liberté d’expression pour laquelle des millions de Français sont descendus dans la rue, rien ne nous empêchera de continuer à dénoncer ici une évidence qui finira bien par avoir raison du « déni de réalité » de ceux dont la responsabilité est, hélas, de nous éclairer.

Pythies ou Cassandres ???


Il est de bon ton d’ironiser sur ceux qui, contre vents et marées, persistent à tirer la sonnette d’alarme: l’immigration a atteint, en France comme dans de nombreux pays européens, un seuil, au-delà duquel l’intégration des nouveaux arrivants est devenue un leurre.

En Europe, les manifestations se multiplient: dans les pays nordiques, en Allemagne, en Autriche, en Hongrie, les opposants à une immigration devenue incontrôlable n’hésitent plus à descendre dans les rues.

http://www.atlantico.fr/decryptage/manifestations-anti-islamisation-en-allemagne-pourquoi-europe-ferait-bien-en-preoccuper-claude-sicard-1940222.html

En France, le renoncement à une politique cohérente dans ce domaine, une politique qui, sans tomber dans l’ excès d’une fermeture totale des frontières, restreindrait le nombre d’immigrés accueillis chaque année à nos capacités d’accueil et d’intégration dans des conditions d’efficacité et d’humanité acceptables, la proportion d’immigrés de religion musulmane refusant d’accepter de se plier à nos usages de vie en commun, provoque une inquiétude qui imperceptiblement, se transforme en rejet des immigrés, dont certains, il faut bien l’admettre, font pourtant de réels efforts d’intégration.

L’idée du « grand remplacement » s’est subjectivement installée sur certaines parties du territoire national, où l’absence de réelle politique d’intégration de nouveaux arrivants a provoqué une surconcentration de populations exogènes aux moeurs ( polygamie ), aux coutumes ( port du voile, excision ), et aux traditions incompatibles avec les nôtres ( hallal, ramadan, etc…).

Alloc FamilialesDevant l’entrée d’une Caisse d’Allocations Familiales de Seine Saint Denis…

Ceux dont les voix s’élèvent pour dénoncer de dangereuses dérives pour la cohésion nationale, sont ostracisés par ceux qui s’expriment au nom d’une « bien-pensance », dont le prêchi-prêcha suscite la colère de ceux qui vivent dans des environnements devenus hostiles, où la cohabitation est devenue quasi impossible, et qui peu à peu désertent certaines zones d’habitation, accentuant ainsi le phénomène de « ghettoisation » des nouveaux arrivants. Les Français dans leur large majorité souhaitent  plus de discrétion religieuse dans l’espace public ou l’entreprise, alors qu’une majorité de musulmans demandent l’inverse. Cela contribue à alimenter les tensions.

Les réactions suscitées par le dernier livre de Zemmour sont significatives : le succès d’édition du livre contraste avec la critique qui, refusant de débattre sur le fond , a tenté de déplacer le centre du débat, en concentrant ses attaques sur des sujets périphériques afin de « noyer le poisson ». Un nombre croissant de Français perçoivent les thèses de Zemmour sur le sujet de l’immigration comme fondées, et rejettent les propos lénifiants de ceux qui tentent de minimiser les risques de plus en plus évidents de ruptures au sein de notre société.

La paranoïa des éditorialistes enfermés dans un déni de réalité qui leur ôte toute crédibilité n’aura aucun effet sur l’opinion. Il y a désormais, en France, ceux qui sont prêts à renoncer au combat idéologique avec l’Islam, et ceux qui ne cèderont pas à l’intimidation ou à la terreur….

 Ce ne sont pas des discours creux, un tantinet hypocrites, émanant le plus souvent de gens vivant dans les « beaux quartiers », loin des réalités quotidiennes des Français qui souffrent, qui éteindront les feux qui couvent ici et là, dont les spécialistes les plus lucides et les plus honnêtes donnent le signal d’alerte. Car, qu’on se le dise: notre République ne fait plus peur aux djihadistes.

Dans un entretien donné au Point par l’un de nos meilleurs analystes de ces questions difficiles, Gilles Kepel tire la sonnette d’alarme:

« Il faut appeler un chat un chat. Il existe un danger réel de radicalisation et il faut être capable de le penser sans être lénifiant ni catastrophiste. Aujourd’hui en France, un certain nombre de mouvements islamistes, qui prônent la rupture en valeurs avec la société française, fournissent potentiellement des disciples ou des soldats à Daesh. Ceux qui affirment que tout ça, ce sont juste des « fantasmes islamophobes » et ceux qui, à l’inverse, pensent que « tous les musulmans sont comme ça » se trompent également. L’islam de France couvre un spectre très large. À l’une des extrémités, des populations originaires d’Afrique du Nord ou d’ailleurs se mêlent à la société française comme l’ont fait la plupart des immigrations précédentes, et contribuent à la transformer en produisant de la compétence et du savoir. Et de l’autre côté, il y a une logique de destruction de cette société qui s’exaspère aujourd’hui avec ce phénomène ahurissant des conversions sur YouTube de Bécassines de Quimper qui partent pour l’aéroport d’Istanbul comme celles d’hier partaient pour la gare Montparnasse ! »

(On trouvera l’intégralité de cet entretien sur : http://www.lepoint.fr/editos-du-point/sebastien-le-fol/gilles-kepel-l-europe-est-centrale-dans-la-strategie-de-daesh-05-01-2015-1893972_1913.php )

C’est exactement ce que disent ceux dont on essaie de couvrir la voix.

L’irruption de Daech dans le contexte moyen-oriental ne fait qu’aggraver les risques de ruptures que perçoivent fort bien les spécialistes, mais que l’on tente de masquer à coup de dénégations ou de silences qui ne trompent plus grand monde. Il suffirait d’un grave attentat pour qu’au grand jour apparaissent les lignes de fracture dans une société inquiète.

On peut lire, dans le même article:

« …Au contraire, l’Europe est centrale dans la stratégie de Daesh. Souri explique qu’il faut créer des enclaves et des foyers de tension – sur le modèle de Sarcelles lors des manifs cet été – qui aboutiront à des guerres civiles que l’islam gagnera avant de conquérir l’humanité. Il table sur le fait que les sociétés occidentales vont surréagir, et que le développement de l’islamophobie ralliera les musulmans de base aux groupes radicaux. »

D’autres spécialistes tiennent le même discours : http://www.atlantico.fr/decryptage/pourquoi-declenchement-guerre-civile-en-europe-rien-vue-esprit-mais-releve-bien-implacable-projet-applique-etat-islamique-alain-1918874.html

Prétendre que la France sera épargnée par les dangers à venir est un leurre.

Nous n’en sommes certes pas, à l’éventualité évoquée par Houellebecq dans son Roman « Soumission ». Mais il est clair, désormais, dans les analyses de tous les spécialistes de ces questions, que l’objectif de la mouvance islamique est bel est bien de s’emparer du pouvoir en Europe, et que cela l’entraînera à commettre des actes de terrorisme destinés à provoquer une rupture entre les communautés, selon la démarche trop vite oubliée du FLN en Algérie qui, depuis a été « théorisée » par les « penseurs » du djihadisme.

Il sera alors trop tard pour philosopher sur les Cassandres qui ne sont peut-être, aujourd’hui que la version moderne des Pythies de l’Antiquité.

Post Scriptum:

D’après Wikipédia:

– « Dans la religion grecque antique, la Pythie (en grec ancien Πυθία), également appelée Pythonisse, est l’oracle du temple d’Apollon à Delphes. »

– « Dans la mythologie grecque, Cassandra (en grec ancien Κασσάνδρα / Kassándra) est la fille de Priam (roi de Troie) et d’Hécube. Elle porte parfois le nom d’Alexandra en tant que sœur de Pâris-Alexandre. Elle reçoit d’Apollon le don de prédire l’avenir mais, comme elle se refuse à lui, il décrète que ces prédictions ne seront pas crues, même de sa famille. »

Propagande.


 DjihadLes Français ne doivent pas se laisser berner.

La propagande officielle, relayée par les médias, tente de détourner l’attention de l’opinion publique en focalisant les informations qui nous parviennent,- au compte goutte -, de Syrie et d’Irak, sur deux points qui ne doivent pas nous aveugler.

Saisissant l’occasion de l’égorgement  atroce d’un jeune américain par des djihadistes affichant ouvertement leur nationalité française, les « faiseurs d’opinion » exploitent les sentiments de dégoût, et de colère et des Français qui découvrent avec stupéfaction, que des jeunes Français, fraîchement convertis à l’Islam ont pris les armes  aux côtés de ceux qui ne font pas mystère de vouloir détruire notre civilisation, et dont les menaces visent, sans ambiguïté, la France.

Certes, cette découverte de la capacité de subversion de l’Islam auprès de la jeunesse de notre pays, est à la fois inquiétante et révoltante. Sur toutes les antennes, on nous explique que ces jeunes, issus de toutes les catégories sociales, sont les « victimes » des « Imams »qui opèrent avec une redoutable efficacité, sur internet.

Les jeunes égorgeurs sont issus de familles catholiques, plus ou moins pratiquantes, de milieux modeste mais pas forcément défavorisées: ils ne vivaient pas dans le « ghetto » des banlieues.

Il devient donc évident que l’action souterraine d’un Islam de combat ne s’exerce pas qu’auprès de la jeunesse révoltée de nos banlieues : elle vise toutes les couches de notre société fragilisée par la perte de repères identitaires.

Que des Français choisissent « l’autre camp », pour combattre la France, au nom d’un fanatisme autant religieux qu’idéologique, cela n’est pas nouveau.

Pendant la guerre d’Algérie, il y eut des Français aveuglés et fanatisés par leurs « convictions » et leur engagement idéologique de « Communistes »: n’ont-ils pas pris les armes contre les soldats français ??? De jeunes Officiers (Communistes) de l’Armée française n’ont-ils pas déserté en livrant à ceux qui combattaient la France un armement précieux pour l’ennemi du moment  ???

 Sans parler des Français qui se sont rendus complices de terroristes, en leur procurant argent, et cachettes pour se dissimuler….et sans parler de ceux qui sont allés jusqu’à poser des bombes destinées à tuer des civils innocents.

N’oublions jamais que ces traîtres-là ont été célébrés comme des « héros » dans notre pays, par de « belles-âmes », – toujours les mêmes -, au nom d’une certaine idée de la France….

Mais tout cela doit être ramené à de justes proportions. Il s’agit de cas marginaux, d’une proportion « epsilonesque » de la jeunesse française. L’existence de ces cas nous révolte certes, mais elle ne doit pas masquer le fait que ceux qui aujourd’hui quittent la France pour passer dans « l’autre camp », sont en  grande majorité des « bi-nationaux » : c’est « le ver dans le fruit » que nous dénonçons sans relâche sur ce blog.

La « propagande » officielle en focalisant la colère du peuple français sur ces deux égorgeurs « devenus » musulmans, cherche à détourner notre attention de l’immense majorité de ceux qui sont partis combattre, qui sont des musulmans »de souche », « non fraîchement convertis », dont le nombre s’accroît de manière spectaculaire, de semaines en semaines, sans que les pouvoirs publics aient trouvé la parade à ces « évasions »…..

Car bien évidemment, il ne faut pas que les musulmans de France se sentent « stigmatisés….

De la même manière, les pouvoirs publics semblent vouloir orienter l’attention de l’opinion vers « Internet » qui serait à l’origine de l’endoctrinement de cette jeunesse dévoyée. Certes, sous-estimer l’importance de ce média dans la diffusion de messages subversifs s’adressant à notre jeunesse, serait une erreur. Il est clair que la surveillance du web doit être renforcée.

Mais, en focalisant notre attention sur Internet, on tente de nous détourner d’un autre sujet de préoccupation: il est clair que la multiplication des mosquées, en France, dont un nombre croissant est passé silencieusement sous contrôle « salafiste », est le principal vecteur d’endoctrinement de ces « jeunes ». On est passé un peu vite sur le fait que le moment du changement de comportement , et d’habitudes vestimentaires de nos deux égorgeurs correspond à la fréquentation de la mosquée voisine…..

Ne nous laissons pas aveugler par des méthodes qui ne sont pas nouvelles, dés lors que la France est confrontée à un « ennemi de l’intérieur « qui compte sur la terreur pour déstabiliser une opinion en état de choc.

Le moment est venu de renoncer aux dénis de réalités, mais aussi, de refuser de se laisser aveugler et enfumer.

La barbarie du Canard.


Le Canard enchaîné ne pouvait pas laisser passer une telle occasion de cancaner. Non !!! Que dis-je, de ricaner !!!

J’en connais qui risquent de goûter du Canard jusqu’au réveillon de Noël. Espérons néanmoins que « la trêve des confiseurs » leur sera clémente. Mais jusque là, rien ne leur sera épargné !!!

Il est certain que Hollande doit-être, à cette heure, dans ses petits souliers….

Ce qui me paraît encore plus certain, c’est que le petit François Fillon aura eu le temps, d’ici là, de réfléchir à la liste de Jouyets qu’il enverra au Père Noël… A moins que , d’ici là, le Père Fouettard, furieux, ne décide de le priver de Jouyets, car nul ne sait comment cette « affaire » de déjeuner amical, – qui m’a fait irrésistiblement penser au « Diner de Cons » – se terminera.

Car au sein de l’UMP, la « rumeur court déjà : François Fillon ( doit-on dire François Fillon ou François Félon, désormais ???), est-il totalement innocent dans la tentative de couler Sarkozy ??? Cette histoire de paiement des pénalités dûes au dépassement des dépenses de campagne, qui démarre, au plan judiciaire, juste quelques jours après « le déjeuner », laisse planer un doute….

CanardPlus sérieusement, on peut affirmer que la procédure judiciaire dont Fillon menace Jouyet, risque d’éclabousser pas mal de monde, non seulement à l’Elysée, mais au sein de l’UMP.

Tout cela laissera des traces, et l’on sait que dans pareil climat le doute n’épargnera pas celui qui derrière sa silhouette de petit Notaire de province ambitieux mais pas téméraire, cache un taiseux qui remâche ses colères et ses rancunes en silence, un caractère ombrageux dont on surprend parfois le regard sournois de celui qui attend l’heure de la vengeance.

On dit parfois que « la vengeance est un plat qui se mange froid ». Etait elle au menu du « déjeuner de cons » chez « Le Doyen », à deux pas de l’Elysée ???

La « Bobocratie » n’aime pas Zemmour !!!


ZemmourCela vous étonne ??? Pas moi.

Alors que je viens de terminer la lecture du « pavé » de plus de 500 pages qu’il a jeté dans le marigot, je comprends mieux l’agressivité, la violence même, de ceux que Zemmour a dû affronter sur de nombreuses chaînes de télévision, dans une sorte de procès « à la stalinienne », où des procureurs à deux balles utilisent tous les artifices de la dialectique marxiste, et les mots les plus violents et les plus blessants, pour tenter de le déstabiliser et de lui faire faire « amende honorable ».

Car les « zintellectuels » de la « bien-pensance » ne font pas le détail quand il s’attaquent à celui qui ose piétiner les idées reçues, que dis-je , assénées depuis tant d’années par ceux qui, du haut de leur magistère intellectuel se sont arrogé le droit de dire ce que l’on a le droit de dire ou de penser. Dans ce monde là, on ne discute qu’avec les gens qui partagent ses idées.

On ne supporte donc pas que l’on puisse s’écarter de « la ligne » devenue « la norme » en matière d’analyse et d’expression politique. On ne débat pas avec celui qui s’en écarte. On cogne.

Et s’il le faut on utilise tout l’arsenal des méthodes éprouvées dans l’univers « totalitaire »: on extrait une citation à partir de laquelle on procède à des extrapolations, à des « manipulations » destinées à discréditer l’ensemble du livre que, manifestement, on n’a même pas lu dans son entier.

Mais peu importe. Le but est d’empêcher que le livre soit lu, afin que les idées « rances » qu’il véhicule ne se diffusent pas.

Car dans ce monde là, on ne lit et n’encourage à lire que les livres qui respectent la norme de la « pensée » autorisée. Car ces « zintellectuels » redoutent ceux qui, dans la petite musique qui est la leur, viennent introduire les quelques bémols qui nuisent au succès de leur « mélodie », la seule autorisée…

Le passage du livre qui a donné lieu au plus grand nombre de contestations horrifiées est celui où Zemmour critique les jugements, devenus « vérités historiques », de l’Américain Praxton historien de l’occupation,qui a longuement analysé, dans un ouvrage célèbre, le rôle de Vichy dans l’extermination de Juifs français.

Les critiques du livre laissent entendre que Zemmour-  le Juif Pied-Noir – aurait tenté de réhabiliter Pétain auquel il attribue un rôle de protecteur des juifs de France, au détriment des juifs étrangers vivant en France. J’ai lu et relu ce passage – qui dans un livre de 544 pages n’occupe que les pages 87 à 93 – et je n’ai trouvé aucun argument tendant, de manière manifeste, à « réhabiliter » le Gouvernement de Vichy.

Par contre j’y ai trouvé de nombreux arguments s’inscrivant en opposition aux thèses radicales de l’Historien américain dont la doxa de l’après-guerre a fait une sorte d’icône dont on ne devrait apprécier les travaux qu’avec une déférence absolue.

Il est clair qu’en concentrant le tir de barrage sur ces quelques pages, on a tenté de discréditer la totalité des thèses de ce livre, ne serait-ce que parce qu’il dénonce les méthodes dialectiques utilisées par une « élite » intellectuelle « soixante-huitarde » dans son combat contre les structures traditionnelles de la société: « dérision, déconstruction, destruction » appliquée à la famille, à la nation, au travail, à l’Etat, à l’école, en s’appuyant sur les thèses de quelques « gourous » en Sciences humaines devenus, avec la complicité des médias, les « maîtres à penser » de notre époque.

En concentrant le débat sur cette douloureuse question, on met de son côté tous ceux qui, à des titres divers ont eu à souffrir de cette période tragique de notre Histoire. Mais en même temps, on esquive tout débat sur les nombreuses questions soulevées par ce livre, et qui bousculent pas mal d’idées reçues et finalement assimilées comme des vérités par une opinion soumise au matraquage permanent du discours convenu, qualifié aujourd’hui de « politiquement correct ».

Dans les confrontations aux quelles j’ai pu assister, il était évident que ce qui semble avoir ulcéré les apôtres de la « bien-pensance », c’est le succès rencontré par le livre, dans un public qui, depuis longtemps attendait que s’exprime, enfin, une voix qui traduise ses frustrations, ses colères, et ses révoltes.

Le peuple de la « majorité silencieuse » a trouvé en Eric Zemmour, un interprète qu’il ne trouvait pas, jusqu’ici, dans le microcosme politique.

Personnellement, même si j’ai quelques reproches mineurs à formuler à son auteur, j’ai apprécié la lecture de ce livre écrit dans un style alerte, facile à lire, un livre qui a fait resurgir de ma mémoire de vieil homme des évènements, des faits, des déclarations, des dates que j’avais oubliées et que l’auteur a su faire revivre en les contextualisant, grâce à une étonnante érudition historique, une culture politique et littéraire peu communes à notre époque, de même que grâce à une capacité d’analyse des phénomènes économiques qui, en exhumant, à partir de circonstances oubliées, les renoncements, les lâchetés, les escroqueries intellectuelles qui ont marqué les années écoulées, explique le processus de déclin de notre pays.

Cette lecture m’a entraîné dans une rétrospective qui couvre un large spectre de mes souvenirs d’observateur engagé de la vie politique de mon pays.

Sa démonstration, Zemmour l’appuie sur l’analyse d’une foule de livres, de documents, de films, d’émissions télévisées, de chansons, qui font partie de nos souvenirs, et qui, selon lui, sont révélateurs de l’évolution de la société française, et marquent les étapes du processus de délitement des valeurs sur lesquelles reposait la cohésion nationale.

Pour ma part, j’ai trouvé quelques chapitres du livre inutilement longs, de même que je n’ai pas toujours apprécié les « redondances » de certains passages où Zemmour semble exprimer , sur les femmes en particulier, des a-priori discutables qui semblent inspirés par des fantasmes assez courants dans l’opinion.

Mais dans l’ensemble, les observations sont justes et correspondent au ressenti de chacun d’entre nous. Ainsi, et à titre d’exemple, comment ne pas avoir observé dans l’expression cinématographique, ou dans la publicité, la tendance nouvelle à mettre en avant des hommes stupides, indécis, ou efféminés face à des femmes fortes, avisées, dégourdies, libérées….La « féminisation » de l’homme dans la représentation qu’en donne certains médias, au cinéma notamment, n’échappera à personne.

Tout au long de cette lecture, j’ai admiré le « sens de la formule » qui fait mouche, les raccourcis suggestifs, la précision du trait lorsqu’il s’agit de caractériser la mièvrerie, l’infantilisme de certaines thèses chez les partisans du discours « officiel » sur l’immigration, du « prêchi-prêcha » sur la « tolérance » sans frein, de ceux qui n’ont pas encore compris que «  »l’Islam » a tout compris et a acquis une vraie expertise dans l’exploitation des « faiblesses » de nos Démocraties.

Ce livre mérite donc son succès, n’en déplaise aux commentateurs et faiseurs d’opinion…

Un succès qui est le désaveu cinglant d’une véritable propagande tendant à promouvoir une société où la virilité est assimilée au machisme,  où le métissage est érigé en inéluctable nécessité, où toute culture venant d’ailleurs est sublimée au détriment de la nôtre dont nous devrions presque avoir honte. Une société dont le salut ne se trouve que dans l’acceptation d’une immigration sans limites , une société dont ceux qui refusent d’accepter ces pseudo-évidences ne méritent que d’être traités de « xénophobes », racistes ou « homophobes », des qualificatifs devenus injures suprêmes qui justifient que ceux qui en sont affligés – « stigmatisés », en quelque sorte -, soient rejetés aux marges d’un peuple silencieux, mais de plus en plus lassé du conformisme hypocrite de la « bien-pensance ».

Contrairement à ce que les commentateurs ont exprimé à travers les médias, ce livre ne sonne pas à mes yeux, l’heure d’un déclin inéluctable, mais bien plutôt l’heure d’un réveil populaire, d’un retour au bon sens, et d’un refus, surgi des profondeurs de notre pays, de se laisser anesthésier par les idées fumeuses de ceux qui, ne parvenant pas à trouver leur juste place dans une société que la mondialisation a transformée en un espace de compétition, tentent d’en saper les fondements en vue de s’emparer de l’opinion, avant de s’emparer d’un pouvoir. Un pouvoir dont, d’ailleurs, ils ne savent que faire dès lors qu’il est entre leurs mains….

« Puisque « le peuple » n’accepte pas nos idées, il ne nous reste plus qu’à « changer le peuple ». C’est du moins ce qu’ils pensent. L’idée n’est pas nouvelle. Berthold Brecht, en pleine période du « communisme triomphant » ne proclamait-il pas :

« J’apprends que le gouvernement estime que le peuple à ‘trahi la confiance du régime’ et ‘devra travailler dur pour regagner la confiance des autorités. A ce stade, ne serait-il plus simple de dissoudre le peuple et d’en élire un autre? »

Mais le peuple français est un vieux peuple, qui a traversé tant d’épreuves, qui, riche de sa longue histoire ne se laisse pas dissoudre aussi facilement que nos « zélites » le souhaiteraient. De plus, il est doté d’un solide « bon sens », qui finit toujours par avoir le dernier mot.

Le succès du livre de Zemmour serait plutôt, à mes yeux, une source d’espoir pour ceux qui ne croient pas que le progrés d’une civilisation nécessite la négation, voire l’abolition des valeurs et des traditions héritées de son passé.

Ce succès serait plutôt le signe annonciateur d’un réveil des forces vives de la République lui-même annonciateur d’un renouveau.

Patience et détermination: telles sont les vertus nécessaires à ceux qui, avec obstination, refusent de céder au « chant des sirènes » d’un progressisme « mondain » devenu, lui, synonyme de décadence…..

Ne lâchons rien !!!

« Faut pas rêver »….


-Je regardais, hier soir, sur la Trois, l’émission « Faut pas rêver ». En fait, une émission conçue pour « faire rêver » à des destinations lointaines, à la découverte de paysage nouveaux et inattendus, à une confrontation avec des civilisations primitives, et, quand l’émission est bonne, à une réflexion sur la vie de ces peuples si éloignés de nous.

Le programme de la soirée nous transportait en Namibie: un désert immense, qui ne ressemble en rien au Sahara dont je cultive la nostalgie.

Un désert où vivent encore des grands fauves, des éléphants, et toutes sortes d’animaux, aujourd’hui disparus du Sahara qui en fut autrefois abondamment peuplé, comme le montrent les nombreuses illustrations rupestres qui y subsistent encore. Mais aussi un désert où vivent des peuplades demeurées au stade primitif, dont l’isolement leur a permis de conserver des moeurs, des coutumes, des croyances, des traditions qui leur viennent, sans doute, de la préhistoire.

Le présentateur, un « zozo », une sorte de ravi fraîchement « sorti de la crêche », en était tout ému d’émerveillement et se penchait, avec une naïveté touchante sur ces hommes, ces femmes et ces enfants qui luttaient pour préserver leur « patrimoine culturel ». « Ils défendent la terre de leurs ancêtres », honorés et célébrés dans un cérémonial au folklore coloré, et « luttaient vaillamment contre les incursions d’une civilisation qui n’est pas la leur » ( mais qui est la nôtre ), et qui voulait leur imposer la construction d’un barrage destiné à leur apporter l’électricité, ce qu’ils n’avaient pas l’air de considérer comme un réel progrès.

J’ai failli me laisser envahir par la même émotion, tant étaient pathétiques ces Namibiens, dans leur volonté de rester fidèles à eux-mêmes.

Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que j’éprouve ce sentiment étrange, en regardant des reportages sur telles tribus indiennes d’Amazonie, ou telles peuplades de Papouasie, prêtes à livrer le même combat contre ce qui leur est présenté comme un saut décisif de civilisation par des prophètes en qui ils ne voient que des porteurs d’idées maléfiques et annonciatrices de menaces mortelles pour ce qu’elles sont.

Ont ressurgi de ma mémoire des lectures anciennes, dont celle de « Tristes Tropiques » de Levi-Strauss. Un ouvrage dans lequel l’ethnologue prend quelques distances avec « l’exotisme », afin de saisir une réalité humaine et de s’interroger sur le concept de civilisation.

Je me précipite vers ma bibliothèque pour feuilleter ce livre aux pages jaunies, afin de rafraîchir ma mémoire….

Vers la fin de l’ouvrage, il prend la civilisation occidentale pour objet, la compare sans indulgence aux cultures dites plus « primitives », et montre que tout progrès technologique engendre une perte sur un autre plan. La civilisation occidentale apparaît, dans cet ouvrage, comme une option parmi d’autres offertes à l’humanité, et tend à nous démontrer que toutes les civilisations se valent.

Du coup, je me dis que la nôtre vaut bien celle des autres, et qu’elle mérite tout autant que d’autres d’être défendue.

Car je réalise, alors, à quel point les Civilisations sont mortelles, lorsqu’elles ne savent plus se défendre contre des agressions qui leur sont le plus souvent présentées comme destinées à les « libérer » des entraves dont elles ont hérité, avec le temps.

Levi-Strauss nous enseigne que : « La civilisation mondiale ne saurait être autre chose que la coalition de cultures, préservant chacune son originalité. »Race et histoire (1952), Claude Lévi-Strauss, éd. Folio, coll. Essais, 1989. p. 77.

Je m’interroge : est-ce un crime que de vouloir défendre l’originalité de la civilisation à laquelle on appartient ???

Pourquoi tant de haine, et de mépris, aujourd’hui, à l’égard de ceux qui s’efforcent de lutter contre des courants de pensée qui considèrent comme le summum de l’intelligence et de l’ouverture d’esprit, l’attitude qui consiste à vouloir ouvrir largement ses portes à d’autres cultures, à enfouir ses usages et ses traditions, en les « refoulant », afin de faire place nette pour que d’autres s’y installent, un peu comme le coucou qui vient pondre dans le nid des autres oiseaux ???

Pourquoi sommes-nous sommés d’accepter comme une sorte de fatalité historique, le déclin de ce que nous sommes ???

Me reviennent à l’esprit les critiques véhémentes contre ce qu’avec mépris, de beaux esprits appellent le « Zemmourisme », et je songe aux attaques que subissent, au nom de « l’intelligence » et du « progrès », les « crétins » qui s’accrochent à l’héritage historique et culturel qu’ils ont reçu, au nom duquel tant de leurs ancêtres se sont battus.

En traitant d’opinions « rances »  les opinions de ceux qui refusent d’accepter ce qu’on leur présente comme « l’inévitable » , je songe au beurre rance dont s’enduisent les peuples de Namibie, pour se protéger contre les piqûres des « nuisibles » qui les entourent…..

Sommes-nous condamnés à devenir, un jour, un sujet de réflexion pour les ethnologues du futur, qui se pencheront, avec étonnement et peut-être, chez certains, une pointe d’émotion, sur ce que fut « notre Civilisation » ???

J’en étais là, dans mes réflexions, lorsque dans mon parcours quotidien à travers la presse, je tombe sur un article du Figaro, où l’écrivain contemporain que j’admire le plus s’exprime sur un sujet proche de celui de mon billet :

http://www.lefigaro.fr/vox/histoire/2014/10/31/31005-20141031ARTFIG00283-une-catastrophe-historique-la-fin-de-l-empire-romain.php

Toutes le Civilisations sont mortelles. Jean d’Ormesson nous le rappelle fort opportunément et avec talent.

Pourquoi y aurait-il quelque chose de « nauséabond » dans le fait d’en avoir conscience, de le proclamer, et d’en refuser, en la combattant, la fatalité ????

Annexes : http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2014/10/31/31003-20141031ARTFIG00311-surestimation-du-nombre-de-musulmans-en-france-le-decryptage-de-michele-tribalat.php

http://www.lesoir.be/693700/article/actualite/belgique/2014-10-29/belges-surestiment-fortement-nombre-musulmans-en-belgique

L’omni présence de Musulmans issus d’une immigration de moins en moins maîtrisée est ressentie dans de très nombreux pays, où elle est vécue comme une menace pour la culture occidentale, malgré les efforts de ceux qui dans tous ces pays s’efforcent d’en minimiser la portée.

Panique dans le marigot….


CrocosLa classe politique, à gauche comme à droite, semble se préparer au pire.

Les commentaires des uns et des autres, entendus dans les « talk-shows »  ou dans les débats télévisés traduisent une forme de désarroi devant la quasi certitude de voir le Front National parvenir, une fois de plus, au second tour de l’élection Présidentielle, avec même une chance de l’emporter au deuxième tour, en profitant de la déroute des Socialistes au pouvoir, et de l’inaptitude de la Droite à s’organiser en une opposition crédible, porteuse d’un projet alternatif et novateur susceptible d’entraîner l’adhésion des Français écoeurés, excédés, déprimés, désespérés.

Comment peut-il en être autrement ??? L’atmosphère de décomposition qui envahit le Parti Socialiste, les combats de « chapeaux à plumes » qui divisent l’UMP, le retour propulsé par des médias complices d’un Bayrou qui, élu Maire de Pau par la grâce des Juppéistes de l’UMP cherche à faire oublier sa trahison à des électeurs qui, eux, n’ont rien oublié, un Bayrou qui rêve de fréquenter à nouveau, et après tant d’échecs, les allées du pouvoir, grâce à la grossière manipulation des médias cherchant faire de Juppé celui qui sortira la France de l’ornière où Hollande l’a fourvoyée, le retour courageux, mais laborieux et problématique d’un Sarkozy auquel rien ne sera épargné par ceux qui sont survoltés par la trouille de le voir revenir « aux affaires », tout cela, c’est du pain béni pour Marine Le Pen.

Comment peut-il en être autrement, alors que les nuages sombres s’accumulent sur l’horizon d’un pays déboussolé, quand le peuple découvre chaque matin , dans l’actualité, l’invraisemblable inconscience d’un personnel politique infantilisé par la fascination qu’exerce sur lui, le « pouvoir médiatique ».

Comment peut-on prendre au sérieux une génération politique qui se complaît dans « l’auto-contemplation », une génération marquée par une prolifération d’egos surdimensionnés, qui ne sait plus quoi faire pour tenter d’exister dans un univers de « people » si bien décrit et caricaturé par le regretté Philippe Muray ???

Des exemples ???

Pas plus tard que ce matin, l’hebdomadaire « Le Point » nous apprend (Je cite) que « sept élus de gauche ou de droite – Bernard Accoyer, Samia Ghali, Jean-Luc Romero, Julien Dray, Geoffroy Didier, Thierry Mariani et Dominique Bussereau – ont participé à l’émission programmée par la chîne D8 début 2015, dévoilée mardi par Le Parisien. Pendant une journée, affublés de perruque, faux nez et menton postiche, ils ont vécu incognito la vie de « Monsieur et Madame Tout-le-Monde » (titre provisoire de l’émission) : celle d’un urgentiste, d’un professeur mais aussi d’un handicapé en fauteuil roulant !!!(Fin de citation).

Ont-ils perdu tout sens de la dignité que l’on est en droit d’attendre des élus de la République ??? La réponse des Français est cinglante. Le même hebdomadaire consulte ces Français dans un sondage: « Approuvez-vous les politiques qui participent à une émission de télé réalité » ??? sur 16673 Votants, leur réponse est : 7% Oui 93% Non !!!
Comme si le vaudeville républicain dont la Star incontestée aura été le Président de la République lui-même, avait besoin de cela !!! Comme si La France n’attendait pas autre chose de ses représentants que ces démonstrations d’immaturité politique !!!

D’autres exemples ???

Du côté des « Corps intermédiaires »– dont on a abondamment accusé Sarkozy de trop les « ignorer » -, cela ne va pas mieux !!! Selon « lepoint.fr », « Les travaux de rénovation de l’appartement de fonction de Thierry Lepaon, numéro un de la CGT, en banlieue parisienne ont coûté 120 000 euros à la centrale, selon Le Canard enchaîné. Selon l’hebdomadaire satirique daté de mercredi, les travaux pour cet appartement de 120 mètres carrés ont coûté 130 000 euros à la CGT, mais le devis initial était encore plus élevé (150 000 euros). Le numéro un de la CGT aurait renoncé à quelques dépenses comme l’installation d’un home cinéma ou d’une cave à vins, selon l’hebdomadaire. »

Lepaon,…encore un à qui il ne manque plus qu’un « chapeau à plumes » !!!

Quand on sait que la CGT, comme la plupart des organisations syndicales, ne survit que grâce aux deniers de l’Etat, les cotisations des adhérents ( 7% des salariés dans le secteur privé ), ne suffisent pas à assurer son train de vie, quand on sait de quelle gabegie se nourrissent une bande d’apparatchiks « gestionnaires » de châteaux et de résidences de luxe pour syndicalistes en vacances, comment ne pas être indignés par de tels comportements en période de crise ???

J’aurais pu allonger la liste des exemples de la déchéance d’une représentation nationale arrivée en bout de course. Mais je laisse ce soin à ceux dont c’est le gagne-pain: le « Canard enchaîné », ou « Médiapart » qui se nourrissent de chair fraîche, en puisant dans le marigot.

Une nombre croissant de nos concitoyens ne se reconnaissent plus dans ceux qui sont censés les représenter, de même que dans la grille de lecture du climat politique actuel que nous proposent les médias.

La France sait désormais que ses politiciens de tous bords l’ont régulièrement trompée depuis quarante ans.

Ecrasés sous la charge d’un Etat incapable de réduire son train de vie, les Français sont désormais convaincus d’être dirigés par une clique d’incompétents, égoïstes et vaniteux. Ils ont compris qu’ils vivaient depuis trop longtemps à crédit et que la générosité de « l’Etat Providence », c’était au détriment des générations futures.

Un simple coup d’oeil sur la Presse étrangère, grâce à internet, permet de mesurer l’étendue du discrédit d’un pays au bord de la déchéance. Et surtout de prendre la mesure de l’inquiétude que suscite ce pays qui refuse de regarder le monde en face, et qui risque d’entraîner toute l’Europe dans sa chute….

Alors, quelques médias complices, en perdition eux aussi, qui ne survivent que grâce à l’Etat, tentent de persuader les Français que ceux  qui croient encore aux valeurs traditionnelles, à l’éthique et au sens de l’honneur, aux leçons tirées de l’expérience, et à celles de l’Histoire sont les survivants d’une « France rance » .

Cette France qui lit les livres interdits par la pression médiatique serait donc la France du passé?…

Je n’y crois pas un seul instant!  je pense, au contraire, que les Médias et les « zintellectuels, sociologues et politologues redondants et bavards que nous infligent les médias sont les représentants d’une France moisie, – je n’ose pas dire d’une France en état de décomposition » – une France idéologiquement égarée, qui cherche désespérément à survivre à la défaite idéologique du socialisme collectiviste, en utilisant l’arme préférée des « trotskystes », celle de  l’anathème.

Car, qu’on se le dise. Nous vivons, depuis plus d’un demi-siècle, dans une sorte de « socialisme mou », hérité du « Conseil National de la Resistance »qui, sous de Gaulle, légiférait sous la menace des milices communistes. Nous subissons l’escroquerie intellectuelle de ceux qui veulent nous convaincre que la crise dont nous serions les victimes est celle du « libéralisme »: or, lorsque près de 57% de la richesse produite par la Nation est absorbée, confisquée, par l’Etat, on peut affirmer que la France, c’est tout le contraire d’un Etat « libéral ».

De plus, ce « socialisme mou » est moribond. Et « la Droite » française n’a jamais eu le courage de le remettre en question: terrorisée par une Gauche hargneuse, accusatrice et culpabilisante, elle a géré complaisamment ce « socialisme mou » ….

En outre, les armes utilisées pour domestiquer l’opinion, et entretenir le mythe de l’Etat Providence  ne fonctionnent plus: elles obligent des journaleux sans talent à recourir à des réactions excessives qui poussent de plus en plus de Français à réagir à l’inverse…

Les Mauriac, les Aron, les Camus, les Lazareff, les jean-François Revel, les Dumayet, n’ont pas eu d’héritiers dignes d’eux. Leurs successeurs ne sont que des « plumitifs » engagés, muselés, ficellés par une police de la pensée « soixantehuitarde », invisible, mais partout présente dans la Presse.

Le succès phénoménal du livre de Zemmour, « Le suicide Français », en est un témoignage cuisant. C’est un des nombreux signaux de la révolte de ceux qui ne sont plus dupes, et ils sont de plus en plus nombreux. Charles Consigny, dans « lepoint.fr », publie un article  intéressant, dans lequel il explique la montée du « Lepenisme »et la « droitisation » de l’opinion française par la « trahison des élites ». Je le cite:

« Comment s’étonner que 15 000 exemplaires soient vendus tous les jours du Suicide français ? Comment s’offusquer de voir Marine Le Pen progresser comme inexorablement dans le coeur des gens ? Comment oser brocarder tel ou tel propos d’Alain Finkielkraut quand, avec un courage remarquable, il s’affranchit de sa caste pour dire la réalité qu’il voit ? Quelle hypocrisie faut-il pour dire que Sarkozy, c’est Pétain, comme l’a fait sans susciter une quelconque réaction « indignée » le gourou des indignés professionnels, Alain Badiou ? Ce qui fait « monter le Front national », ce ne sont certainement pas Zemmour, Finkielkraut ou Sarkozy : ce qui crée l’immense colère qui a gagné les Français, c’est le sentiment qu’ils ont à juste titre d’avoir été trahis par des gens qui, en fait d’oeuvrer à la grandeur de la France, ne songent qu’à nourrir leur plus basse vanité… » (Fin de citation)

Je reviendrai, dans les prochains jours, sur « Le Suicide français », dès que j’aurai terminé la lecture de ce « pavé » de plus de 500 pages, jeté dans le marigot politicien, et qui provoque un début de panique chez les grenouilles de la classe politique.

Car sur ce livre, il y a, en effet, beaucoup à dire.

Têtes de l’Art….


Anal        Reproduction de l’image illustrant un « Tweet » sur le Net. (Il s’agit probablement d’un « artiste engagé »)…

La création artistique a besoin de « liberté ». Mais toutes les « Têtes de Lard » ne sont pas forcément de grands artistes !!!

Les Artistes, les vrais, sont, certes libres d’exprimer leur « talent » en choisissant les formes d’expression qui correspondent le mieux à leur « sensibilité ».
Mais, » la liberté des uns finissant où commence celle des autres », ils ne sont pas libres d’imposer « aux autres » des oeuvres conçues pour provoquer la société, en les exposant dans les lieux les plus prestigieux de la Capitale.
Sous Mitterrand nous avions eu droit à la défiguration de la Place du Palais Royal, à Paris, avec les fameuses « colonnes de Buren » dont les touristes se demandent encore aujourd’hui, ce qu’elles font là, si ce n’est pour rappeler les rayures bleu et blanc des tentes qui ornent les fenêtres du Ministère de la Culture.
L’artiste américain Mac Carthy vient de renoncer à exposer, en pleine place Vendôme une « sculpture » gonflable en forme de « sex-toy »censée représenter un sapin de Noël….
Fort opportunément, il a compris que la Place Vendôme n’était pas le lieu le plus approprié pour exposer cette représentation incongrue qui témoigne d’une inspiration d’un goût douteux. Sans doute s’est-il lancé à la recherche d’une salle d’exposition « à la dimension de son oeuvre »….
L’Artiste a, sans conteste, le droit d’exprimer ses fantasmes les plus audacieux, dans son atelier, et à la rigueur dans des expositions qui s’adressent, en général, à un public « averti », mais la rue appartient à tous les citoyens, y compris à ceux qui ne se sentent pas obligés de partager les « fantasmes » de l’Artiste.
C’est là que se situe la limite de « l’exercice ». Et c’est ce qui explique ce rejet brutal, par ceux qui refusent même de s’interroger, pour savoir si ce « plug anal », c’est « de l’Art, ou du cochon »…..
L’exploit artistique de l’artiste américain Mac Carthy, a  provoqué des réactions qui expriment bien la diversité des « sensibilités artistiques » des Parisiens.
Cette « grande oeuvre » ( par sa taille ), aura au moins eu le mérite d’inspirer de nombreux autres « artistes » sur la Toile, dont une représentation originale de notre Président, « en Majesté », dans toute sa normalité, dans les Jardins de son Palais….Les « talents » ne manquent pas sur le Net.
A méditer par une Gauche qui ne sait pas quoi faire pour tenter d’exister, et pour heurter les Français dans leurs convictions en les provocant : car elle considère qu’elle a le monopole du privilège de représenter la « Modernité », le « Progrès », et d’être le porte-drapeau de l’intelligentsia  des « Bobos »germano-pratains, dont le rayonnement culturel ne dépasse pas les quelques rues qui entourent le Café de Flore….Elle considère, en outre, que tous ceux qui ne partagent pas ce que, pompeusement, elle appelle « ses valeurs » sont des crétins !!!