Allez les Bleus !!!


CopaComment échapper au commentaire de ce match ???

Il fait la Une de tous les journaux, toutes les émissions, à la Radio, à la Télé, en parlent. Chacun y va de son pronostic: stars du show business, hommes politiques, de Droite comme de Gauche, humoristes, et bien entendu, sportifs et ancien footballeurs.

Un « France-Allemagne », ça n’est jamais un match comme les autres.

Quel que soit le contexte de la compétition, c’est un match qui véhicule une extraordinaire charge affective alimentée par les vicissitudes de l’Histoire commune des deux Pays dont les peuples ont acquis, à force de souffrances infligées aux uns par les autres, une extraordinaire maturité. La maturité des vieux peuples, raffinés, cultivés, capables de s’élever au dessus des autres parce que capables de maîtriser les haines ancestrales, au point de passer en moins d’un demi-siècle de l’état d’ennemis héréditaires, à celui d’une amitié fraternelle sans laquelle l’Europe n’aurait aucun destin.

Une amitié fraternelle qui n’exclue pas les désaccords, les oppositions, les conflits, comme il en existe au sein des familles les plus unies. Ce soir, à 18 heures, les deux pays entreront en opposition.

Une opposition entre deux équipes, héritières chacune, d’un passé, d’une histoire dont l’épisode de Séville marque encore les mémoires, un épisode où l’Allemagne a retrouvé dans l’imaginaire populaire, l’image de brutalité sauvage que ce peuple traîne derrière son Histoire.

Pour avoir vécu cet épisode à la télévision, j’ai conservé, de ce match, un sentiment de colère et de frustration. Colère contre le gardien de but Schumacher pour son geste, dont on dit qu’il l’a regretté par la suite, et que l’on accuse d’avoir été sous l’emprise d’un dopage ce soir-là. Frustration en raison de la « défaillance » de l’arbitre qui aurait dû sanctionner ce geste par un carton rouge et un penalty. On dit que l’arbitre ayant « re-visionné » le match a reconnu son erreur.

Mais on ne « refait pas l’Histoire ». Chaque génération a la charge d’écrire sa propre page.

Il ne faut pas que le match de ce soir prenne l’allure d’une revanche. Il faut que ce soit l’affrontement entre deux équipes qui ont chacune des arguments sportifs à faire valoir.

Je crois qu’une partie du match se jouera, comme toujours dans les grandes compétitions, « dans la tête » des joueurs de chaque équipe.

Du côté de l’équipe d’Allemagne, – et c’est probablement ce qui fait sa force – les « états d’âme » n’existent pas. Les Allemands entrent toujours sur le terrain convaincus qu’ils gagneront le match. C’est vrai sur un terrain de Football, et c’est aussi vrai sur celui de la compétition internationale….

Du côté de l’équipe de France, j’espère qu’avec le talent que chacun lui reconnaît, Deschamps aura su insuffler à cette équipe sympathique, ce qui manque aux Français, en général, c’est à dire « la culture de la gagne ».

Car il serait temps que la France et les Français se débarrassent enfin du « syndrome de Poulidor », c’est-à-dire du sentiment que nous sommes condamnés à être de »glorieux mais éternels perdants » !!!

Et ça, ça n’est pas gagné !!! Il suffit de se reporter à certains articles de Presse, tendant à faire de notre défaite de Séville une glorieuse page de l’Histoire de notre football. A titre d’exemple: http://www.lepoint.fr/coupe-du-monde-2014/coupe-du-monde-2014-france-allemagne-1982-la-merveilleuse-defaite-02-07-2014-1842618_2167.php

Alors, pour le match de ce soir ??? Que le meilleur gagne, dans le meilleur esprit, c’est-à-dire sans rancune et sans esprit de revanche, mais pour la beauté de ce sport que j’ai longtemps pratiqué et que j’aime, quitte à passer aux yeux de quelques « bobos », pour un « beauf » ou pour un « blaireau »…

Bien entendu, je souhaite très sincèrement que la France soit meilleure que l’Allemagne. Ce sera difficile, mais elle le peut !!!!

Récupérations….


Hollande footballeur

Au lendemain de leur victoire inespérée devant l’Ukraine qui « leur avait marché dessus » quelques jours avant, les joueurs, ainsi que le « staff » de l’équipe de France vont prendre un repos bien mérité, afin de « récupérer »après tant d’efforts, de « pression » et de stress.

Mais les « acteurs » de cet exploit sportif,- qui doit être apprécié à sa juste valeur -, ne sont pas les seuls à être préoccupés de « récupération »….

Dès le lendemain de cette victoire, on a vu le monde politique s’agiter autour des métaphores auxquelles cet évènement purement sportif pouvait se prêter.

Il y a, bien sûr, les « zozos » habituels, qui ont déjà oublié les épisodes précédents, et ne pouvaient pas rater l’occasion de nous resservir les vertus réchauffées d’une France « Black, Blanc, Beur », la seule, selon eux qui puisse symboliser « la France qui gagne », ignorant la conclusion pleine de bon sens que Didier Deschamps tirait de cette victoire: la « gagne, c’est dans la tête que ça se passe ».

C’est bien ce que je prétends depuis toujours: la couleur de peau n’a rien à voir dans les qualités d’une équipe de football. Il suffit de regarder du côté de l’Espagne, sans doute la meilleure équipe d’Europe, composée d’Espagnols de petit gabarit et jouant un football intelligent et efficace…..

Seuls comptent, le talent, et les qualités morales.

Mais la palme, dans le domaine de la « récupération » revient à notre « Grand Président » qui  n’a pas manqué le coche, dans ce domaine !!!!

Avec le sens de l’opportunité qui le caractérise, il s’est empressé, à l’issue du match contre l’Ukraine, de manier la parabole, pour tenter d’en tirer avantage en multipliant parrallèles et analogies avec la situation dans laquelle il a conduit le pays .

La France gagne, a-t-il dit en substance, « quand elle est dirigée par un vrai entraîneur, et que son équipe est soudée, unie sous son autorité vers un même objectif ».

En écoutant, l’auteur d’un « Moi Président »qui restera dans les anales de la politique française, on a envie de rire.

On a surtout envie de se dire que, pour l’heure, l’entraîneur de « l’équipe France » n’est pas à la hauteur !!!

La France est faible en défense, car elle prend l’eau de toutes parts, son milieu de terrain a du mal à trouver sa place et son rythme, quand à son attaque, elle ne marque plus de buts. La France recule dans tous les classements : endettement, déficits budgétaires, déficit commercial, croissance, chômage, la France de Hollande recule sur tous les terrains.

Et il lui faudra attendre encore trois ans et demi, avant de pouvoir changer d’entraîneur….A moins d’un sursaut inespéré des joueurs ????

Mais qui peut encore y croire ???

PS. Consulter, le site suivant:

http://lecolonel.net/francois-hollande-recoit-le-prix-du-pire-politicien-au-monde-par-un-media-americain/

Tout était Footu, sauf l’Honneur !!!


ane-rire

Pour être tout à fait honnête, ce billet n’est pas celui que j’avais en tête d’écrire avant le match d’hier soir.

Car comme de très nombreux Français, je ne croyais plus cette « équipe » de « branquignols » capable de se dépasser pour atteindre un objectif qui ferait rêver n’importe quel pratiquant de ce beau sport : participer avec l’élite du Football mondial, à une Coupe du Monde, au Brésil, le pays où le Football est roi.

Car tout laissait penser qu’il n’y avait pas grand chose à en espérer : j’avais le sentiment que rien n’avait de prise sur ces mules du sport.

 Ni les critiques justifiées qui ont poursuivi cette équipe fantôme, ni les encouragements venus de tous les horizons du pays, de ceux qui croient que les « bourricots grimpent aux arbres » !!!

« Sur le papier », nous avons l’une des meilleures équipes du monde. C’est eux qui le disent…

Mais sur le terrain, nous n’avions qu’une équipe sans relief, qui ne faisait plus trembler, même les adversaires les plus modestes.

Alors les commentateurs sportifs s’interrogaient.

Pourquoi la « mayonnaise » de cette équipe ne prend-elle pas ???

Pourquoi ces joueurs qui opèrent dans les plus grands clubs européens, ceux qui constituent le gratin du football de la planète, ces joueurs habitués à des rencontres de haut niveau, à affronter des défis aux enjeux décisifs, dans les compétitions européennes, étaient-ils incapables d’échapper au ridicule face à des équipes composées d’obscurs, mais courageux footballeurs ???

Pourquoi étaient-ils été incapables de battre des équipes modestes, mais  qui étaient capables d’aller jusqu’au bout de leurs forces pour vaincre ???

Pour moi l’explication était évidente.

La Fédération française de Football est composée d’une « camarilla » d’ anciens profs d’éducation physique à la retraite, qui vit sur ce fromage opulent, qui brasse des sommes fabuleuses provenant de la « générosité » de sponsorts, et de celles, extravagantes, provenant des droits de retransmissions télévisées, que justifiait plus ou moins, jusqu’ici, l’engouement populaire que suscite ce beau sport.

 Dans le panier de crabes qui se dispute les retombées de ce pactole, en termes de voyages planétaires, de réceptions dans les meilleurs hôtels, de participation à des Assemblées, à des « boards » qui manipulent des sommes colossales, où les soupçons de vénalité et de corruption sont monnaie courante, quelques « pseudo-humanistes »défenseurs démagogues de « valeurs universelles », des dirigeants influents, aux convictions douteuses, font la Loi, et imposent leur conception du sport de haut niveau à la piétaille de ceux qui vivent des miettes de ses retombées financières….

A leurs yeux, la sélection nationale ne doit pas être la sélection des meilleurs joueurs issus du championnat national, et, parmi ces joueurs, de ceux qui sont exemplaires par leur état d’esprit et par leur comportement sportif.

Peu importait, jusqu’ici pour « l’équipe nationale », la fierté de porter le maillot bleu que des générations de grands joueurs ont porté avant eux et que des générations porteront après eux, et pour qui l’appartenance à l’équipe de France est la consécration d’une ambition, le couronnement d’une carrière.

Pour les dirigeants du Football français, ce qui était primordial c’était que la sélection nationale soit, avant tout, « à l’image de la France ».

Elle doit être le reflet de la « diversité » française: elle doit se concevoir dans le respect de la doxa ambiante qui place au dessus de toutes valeurs celles d’un attachement à une société »multiethnique » qui a sombré dans un « multiculturalisme » de confusion, qui lui fait perdre les repaires de sa propre culture .

Il faut bien admettre que sur ce point, c’était une réussite !!! L’équipe de France de Football est bien à l’image de la France actuelle. Hélas …..

Une France qui ne sait plus tellement quelles sont ses valeurs tant elle se donne du mal pour assimiler celles qui sont « venues d’ailleurs », une France qui doute de son identité tant celle-ci est sommée de se fondre dans celle des « nouveaux arrivants », une France qui n’a plus de vrai projet rassembleur, ni d’ambition collective tant elle est rongée par les égoïsmes catégoriels et le culte du « chacun pour soi »…..

Cohabitaient au sein de cette « équipe fantôme », des joueurs de talent, modestes et besogneux, et des gloires capricieuses, artificiellement fabriquées par des médias propagateurs de la doxa évoquée ci-dessus, qui vivent sur l’illusion entretenue que pour être forte, la France doit être nécessairement « Black, Blanc, Beur »…..

Or, pour « faire une équipe », il faut, avant tout, créer les conditions d’une homogénéité, d’une entente solidaire et fraternelle entre des joueurs qui ont la même ambition : faire triompher les couleurs du maillot qu’ils portent.

Cela suppose des valeurs partagées, un niveau d’éducation comparable, voire un « niveau culturel » compatible, pour entretenir les conditions d’une bonne communication entre joueurs.

Et ceci n’est pas une question de couleur de peau. Car comme l’a dit, fort Justement Didier Deschamps à ses joueurs, après le match, dans les vestaires, « cela se passe dans la tête ».

Il est évident que dans cette « équipe de France » cohabitent des personnalités qui n’ont rien en commun « dans leur tête ».

Les incidents de Krysna, de même que de nombreuses enquêtes journalistiques ont mis en évidence des incompatibilités entre des joueurs issus de la « diversité », élevés dans des « banlieues sensibles », et les autres joueurs « trop bien élevés » pour mériter le respect de leurs « partenaires ».

Ces incompatibilités ont généré des conflits qui rendaient impossible la recherche d’une unité, et de cette homogénéité de comportements qui doit caractériser une véritable « équipe ».

Facteur aggravant de cette absence d’homogénéité, le statut de « stars  » de certains joueurs qui gagnent dans leur club, des fortunes à côté desquelles les gains de ceux qui jouent dans des équipes françaises sont considérés par les « stars »du « bling-bling » comme peu valorisants.

Ce climat, mal perçu de l’extérieur, sauf de ceux qui sont familiers de ce milieu très fermé, a été longtemps couvert par le silence enveloppé dans la langue de bois des sélectionneurs qui considéraient à plus ou moins juste titre, que leur rôle était de « protéger les joueurs ».

Mais Didier Deschamps est un sélectionneur hors norme, après avoir été un grand joueur, de ceux qui ne baissent jamais les bras. Il n’a pas renoncé à transmettre sa « rage de vaincre »à ce que tout le monde considérait comme une « bande de mules » du foot.

Il a pris le risque de renouveler près de la moitié de l’équipe qui jouait hier soir. Il a probablement su trouver les mots pour exciter l’orgueil de ces enfants gâtés et probablement immatures, et susciter un réveil auquel plus personne ne croyait, à part quelques professionnels de l’optimisme .

Pour cela, il lui a fallu passer outre l’influence des dirigeants de la Fédération Français de Football évoquée plus haut, mais aussi, celle des « agents » des joueurs, dont certains abusent de leur influence pour exercer des pressions inopportunes, ainsi que celle des « sponsorts » qui « possèdent » certains joueurs sous contrat et qui influent sur leur sélection dans l’équipe nationale car celle-ci leur offre une « visibilité » qui rejaillit sur les marques qu’ils représentent.

Mais Deschamps a du caractère et il a su résister à toutes les pressions.

Hier soir, l’équipe de France qu’il a choisie a montré les qualités techniques qu’on lui connaissait et que personne ne lui a jamais contestée.

Mais elle a surtout montré des qualités morales, une volonté de gagner, une combativité, un engagement physique exceptionnels : ce , précisément, qui lui manquait jusqu’ici et qui nourrissait le « désamour » croissant de ses supporters.

Une large part du résultat, exceptionnel d’hier soir, revient donc à Didier Deschamps qui a su remettre ce groupe en ordre de marche, et lui redonner l’ambition d’une reconquête du statut de « grande Nation du Football » que la France a honoré dans un passé récent.

La tâche n’est pas insurmontable. En 1994, le Football français était au fond du trou. En 1998, la France devenait Championne du Monde.

Certes la route est longue, et cette Coupe du Monde sera férocement disputée, au Brésil. Ce que l’on attend de l’équipe de France, c’est qu’elle honore les couleurs qu’elle porte, et même si elle ne remporte pas cette coupe, qu’elle fasse « bonne figure » dans cette rude compétition.

Football et Racaille….


Foot

Je viens de terminer la lecture d’un ouvrage paru il y a quelques mois dont seule la Presse sportive, et deux ou trois hebdomadaires ont rendu (discrètement ) compte, et pour cause, il s’intitule »Racaille Football Club ».( de Daliel Riolo, aux Editions Hugo & Cie ).

L’auteur est journaliste. Il anime depuis 2006 l’émission « After-Foot » sur RMC. Spécialiste du foot, il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur ce sport: « Secrets de Coache »s, « Histoire du Paris-Saint Germain », et « Luis Contre-attaque ».

Un ouvrage que tous les amateurs de foot devraient lire pour comprendre ce qui se passe dans le milieu du football, et pour avoir la réponse à des questions que se posent tous ceux qui suivent, avec une passion de plus en plus tiède, les « exploits »de l’équipe de France, ou le Championnat de Ligue 1, qui ressemble de moins en moins à un « Championnat de France ».

On y découvre l’emprise de la « culture des banlieues » devant laquelle tant de « zozos » se pâment, et les dégâts qu’elle provoque, avec la pénétration de l’Islam, dans les milieux du sport, et tout particulièrement dans celui du football, et ce malgré le dévouement acharné de quelques éducateurs qui se battent pour tenter de préserver les valeurs fondamentales du sport: le sens du respect de l’adversaire, celui de la solidarité entre membres d’une même équipe, le goût de l’effort collectif, et « l’amour » du maillot que l’on porte.

Vous vous étonnez de l’obstination avec laquelle l’ancien sélectionneur Domenech concevait la composition de la sélection nationale, en y maintenant des joueurs qui manifestement n’avaient pas leur place dans cette équipe ???

Alors, lisez ce livre.

Vous y apprendrez les dessous du fonctionnement de la Fédération Française de Football, composée dans ses instances dirigeantes d’anciens enseignants en éducation physique à la retraite, tous plus ou moins socialistes ou Francs-Maçons, imbibés d’idéologie pseudo-« humaniste », ardents défenseurs du multiculturalisme se fondant abusivement sur les succès de l’équipe « Black-Blanc-Beur » qui en 1998 avait remporté la Coupe du Monde, et considérant que l’équipe de France devait être composée, non pas des meilleurs joueurs français, mais de joueurs représentatifs de ce multiculturalisme, dont ces mêmes joueurs, par ailleurs, se moquent.

Des dirigeants dépassés par l’ampleur des problèmes générés par l’avalanche de fric qui se déverse sur ce sport populaire, et par ceux nés de la proportion croissante de joueurs issus de l’immigration africaine ou maghrebine, qui introduisent jusque dans les vestiaires des stades transformés en mosquées, des comportements inspirés par une bigoterie coranique sans rapport avec l’éthique sportive.

Vous y découvrirez les relations curieuses qu’entretenaient le Président Escalettes, – complètement dépassé par les responsabilités qui lui incombaient -, avec un Raymond Domenech, l’anarcho-mondialiste qui derrière ses oeuillères ne voyait rien (ou faisait semblant de ne rien voir) de ce qui se tramait dans les vestiaires où une bande de « sauvageons de banlieues » faisait régner la Loi en vigueur dans ce petit monde, avec un « chef de bande », des « sous-chefs » et leurs « petits-blancs » devenus les souffre-douleurs méprisés de ces voyous, dont ils ne connaissent pas les codes, et ne partagent pas les  valeurs ni la même éducation.

Vous y découvrirez l’obstination imbécile avec laquelle le « staff technique » de la Fédération orientait, pendant des années, la formation des joueurs et donc leur sélection future, en considérant que le Football moderne devait s’appuyer sur des grands costauds, pas forcément intelligents, même limités sur le plan technique, ce qui désignait d’office des joueurs de couleur, au détriment des « petits-blancs », plus rapides, plus techniques, capables de faire preuve d’intelligence de jeu.

On sait jusqu’où cette obstination a mené la sélection française, passée du « black-blanc-beur » au « black-black-black », qui était devenue la risée de toute l’Europe, humiliée par une équipe d’Espagne qui représentait l’antithèse de cette « option », composée de joueurs de pure souche espagnole, de petite taille, extrêmement rapides, techniques et intelligents….

Vous voulez connaître les vrais dessous du « désastre de Knysna« , les rapports entre « les petits caïds » de l’équipe et le sélectionneur témoin impavide de leurs comportements ignobles, vous vous interrogez sur les raisons pour lesquelles un Benzema, – qui, lorsqu’il était encore à l’OL, déclarait sans complexe, je cite: «  J’ai choisi l’équipe de France pour le côté sportif, mais mon coeur, mon sang, sont algériens », alors qu’il est un excellent marqueur de buts quand il joue au Real de Madrid -, ne marque jamais quand il joue sous le maillot de l’équipe de France, fait toujours partie de la sélection nationale ??? Vous trouverez dans ce livre toutes les explications, les déclarations de son « entourage », qui éclairent ce mystère.

Vous voulez savoir comment Laurent Blanc, parti avec l’intention de purifier le climat de cette sélection a été « roulé dans la farine » par la Fédération, qui a réussi à lui imposer le retour des « révoltés de Knysna », après qu’il eût été affaibli par une cabale née des « indiscrétions » d’un membre du staff technique, dont je tairai le nom pour ne pas être taxé de « xénophobie », indiscrétions lui attribuant des propos « incorrects politiquement » sur la proportion de joueurs blacks à intégrer dans cette équipe fantôme ???

Vous voulez tout savoir sur la manière dont la « culture bling-bling » des banlieues valorise les réussites sportives de certains joueurs qui se traduisent par de folles rémunérations, un train de vie époustouflant, des vacances dans les grands hôtels de Miami ou de Las Vegas, les soirées en boîte où coule le champagne à 4.000 Euros la bouteille, les putes ou les mannequins que l’on se passe d’un joueur à l’autre, etc….???

Vous voulez tout savoir sur la pénétration de l’Islam dans les milieux du foot, sur la fascination qu’exerce la réussite et la fortune des Anelka ou des Ribery, fraîchement convertis, sur les jeunes joueurs issus des banlieues ??? Vous voulez savoir comment la nourriture et le comportement « hallal » s’imposent dans les clubs ???

Alors lisez ce livre.

Je suis certain qu’en le refermant, même si vous aimez, comme moi, ce sport magnifique, vous ne regarderez plus jamais un match de foot à la télé, avec les mêmes yeux qu’avant.

En tout cas, je n’ai, pour ma part, plus aucune illusion sur la capacité du football français de « remonter la pente ».

Deschamps, malgré son expérience et un palmarès indiscutables n’a aucune chance de réussir dans ce monde pourri par des moeurs qui n’ont rien à voir avec celles que ceux qui ont pratiqué ce sport dans le passé ont connues.

Le football français continuera à survivre, et à exister par soubresauts grâce à des injections massives de milliards d’euros permettant le recrutement dans les meilleures équipes françaises, de joueurs étrangers, véritables mercenaires au service du Qatar ou de quelques oligarques russes, en attendant l’arrivée des milliardaires chinois ou indiens: les joueurs français qui resteront en France n’occuperont plus dans les nouvelles équipes, que la place qu’il méritent le plus souvent,…. sur le banc des remplaçants.

Mais les meilleurs de nos joueurs, après avoir été formés dans les excellentes écoles qui subsistent dans certains clubs, iront exprimer leurs qualités à l’étranger, en Angleterre de préférence, en Allemagne, en Espagne ou en Italie….échappant ainsi à une fiscalité française devenue « confiscatoire » !!!!

Ainsi, les « deux France », celle des immigrants, et celle de ceux qui émigrent se croiseront dans les aéroports : c’est déjà le cas avec nos meilleurs ingénieurs, le meilleur de notre jeunesse qui a compris qu’il n’y a plus grand chose à faire dans cette France-là.

L’Espagne au zénith !!!


 

Les « Bleus », – ceux de la « Squadra Azura » -, n’ont pas pu résister longtemps.

Si contre la France, la « Roja » a pu donner l’impression de jouer en dessous de sa valeur, elle a su donner, hier soir, à l’occasion de cette belle finale, toute la mesure de son talent.

Les performances de cette équipe sont uniques dans l’Histoire du Football. Elles devraient inciter les entraîneurs et les futurs sélectionneurs à la réflexion, et à une remise en question des valeurs, et des critères sur lesquels les futures sélections devront être bâties.

Le monde a changé, et le football avec lui.

« La mode », n’est plus aux grands gabarits, dotés d’une « masse musculaire » destinée à impressionner et à imposer à l’adversaire une combat physique, ce qui a prévalu, au cours des années écoulées en équipe de France.

Elle n’est plus, non plus, aux joueurs qui se prennent pour le nombril du monde et qui placent leur orgueil personnel au-dessus de la fierté de porter le maillot national, aux  » athlètes pousseurs de balle » sans intelligence, sans éducation, sans discipline, sans valeurs, sans envie de vaincre.

Les joueurs de notre équipe nationale, à l’ego boursoufflé, devraient méditer sur le geste d’une suprême élégance de Torrès, offrant à son partenaire Mata qui venait d’entrer sur le terrain, un but en or, qu’il aurait pu marquer ce but lui même et devenir le meilleur buteur de la compétition.

Un exemple achevé de générosité, d’esprit d’équipe et de solidarité.

Les médias devraient également réfléchir à tout cela, avant de monter trop rapidement au pinacle, des joueurs qui ne le méritent pas…. 

Les petits gabarits, maîtrisant parfaitement les gestes techniques élémentaires, et en particulier celui qui consiste à faire une passe qui arrive dans les pieds du partenaire démarqué et non dans ceux de l’adversaire, les joueurs doués d’intelligence, de finesse, et sachant, balle au pied, effectuer la meilleure lecture instantanée du jeu, les joueurs capables de créativité et de discipline ont infiniment plus d’avenir que les grands athlètes, trop lents, au jeu simpliste, et incapables de « passer la vitesse supérieure »dès que l’équipe adverse donne des signes de faiblesse.

Les Messi, Iniesta, Xavi, Villa, et d’autres sont là pour nous le démontrer….

Les Espagnols nous en ont donné hier, une magistrale démonstration, devant une équipe italienne qui, bien qu’affaiblie, n’a pas démérité.

Espérons que le prochain sélectionneur de l’équipe de France saura en tirer quelques leçons…. 

Sans panache…


 

C’était prévisible. Les « Bleus » sortent par la petite porte et rentrent « à la maison », sans panache. Sur la base de leurs prestations au cours des matches de poule, ils ne méritaient pas d’aller plus loin.

L’équipe de France est à l’image d’une certaine  France: aveuglée par l’autosatisfaction, et enfermée dans un déni obstiné de la réalité. 

Certes la réputation, les performances passées, les talents reconnus de certains de ses joueurs sont incontestables, mais ils ne suffisent plus pour vaincre. Car pour vaincre, au football comme ailleurs, il faut se battre.

Un football de salon, sans mordant, inefficace » (El Mundo).  » Manque de motivation évident de l’équipe française » (El Pais). Voilà comment la Presse espagnole juge « les Bleus »….

En effet, ce qui manque aux Français, c’est le goût de l’effort, l’envie de réussir, la combativité. Rien dans le ventre. On sentait que, face aux Espagnols, les Français n’avaient rien dans le ventre. Or cette équipe d’Espagne n’était que la pâle copie de ce qu’elle est habituellement: elle était « prenable », comme disent les journalistes sportifs. Elle n’a pas eu besoin de forcer son talent pour mettre à genoux une équipe fantôme…

Mais, ce qui n’a pas pris, c’est « la mayonnaise » de cette équipe.

Il faut se résoudre à accepter la dure réalité: avec cette génération de joueurs,enfants gâtés des médias, pourris par le « fric », la France ne fait plus partie du dernier carré des grandes nations du football.

Et il faut cesser de monter au pinacle des joueurs aux « egos » surdimensionnés, qui se prennent pour des divas et qui ne méritent pas l’aura dont ils sont entourés.  

Peut-être assiste-t-on au « crépuscule des Dieux »du stade, et en tout cas, à celui des « Bleus »….

Blanc 1, Médiapart 0.


Equipe de France « espoirs »….

 L’offensive de Médiapart contre la Fédération Française de Football, et à travers elle, contre le sélectionneur Laurent Blanc, a fait long feu. 

 La question qui était soulevée au cours de la fameuse réunion organisée à la Direction Technique Nationale était celle des « binationaux », c’est à dire, celle des « jeunes » africains ou maghrébins appartenant à des pays « dont on ne perd jamais la nationalité » , -j’ai déjà abordé ce sujet dans un billet précédent (1 )-, et qui une fois formés à grands frais en France, choisissent de faire profiter leur « pays d’origine » de leur talent.

Le seul fait de soulever cette question a été considéré par ceux qui alimentent la « paranoïa » anti-raciste ambiante comme une preuve de « racisme »pur. 

Au nom de « l’esprit universaliste de la République française » certains jugent qu’il « a toujours été dans notre tradition de former des joueurs pour d’autres pays. Cela participe au rayonnement de notre école de formation. »

Médiapart a focalisé l’objet de cette discussion sur les aspects évoqués ci-dessus.

Or l’analyse « non-orientée » du contenu de cette discussion montre que le véritable objet des échanges contestés concernait le style de  jeu et le profil des joueurs qui lui aussi, suscite la polémique. « On ne veut pas éliminer les étrangers, pas du tout, a dit Laurent Blanc selon Mediapart, mais faire en sorte que les pôles espoirs ou les pôles de la DTN testent sur des critères mieux définis pour pouvoir attirer d’autres personnes, parce que si on a toujours les mêmes critères, y aura toujours les mêmes personnes. […] On a l’impression qu’on forme vraiment le même prototype de joueurs : grands, costauds, puissants. Qu’est-ce qu’il y a actuellement comme grands, costauds, puissants ? Les Blacks. Et c’est comme ça. C’est un fait actuel. » Et Mombaerts d’enchaîner : « Laurent, le phénomène que tu évoques, c’est tellement ancré chez nous que les petits gabarits blancs qui sont dans les pôles espoirs, les clubs pros me les laissent sur les bras. Ils ne les prennent pas, même si c’est des bons joueurs ! »

Depuis, le sélectionneur a reconnu qu’il avait fait preuve de maladresse : « Que certains termes employés au cours d’une réunion de travail, sur un sujet sensible et à bâtons rompus puissent prêter à équivoque, sortis de leur contexte, je l’admets, et si, pour ce qui me concerne, j’ai heurté certaines sensibilités, je m’en excuse. » Il a abondamment expliqué que son analyse procédait « de critères footballistiques et pas ethniques » : on a, selon lui, « trop privilégié l’aspect physique dans la détection et pas suffisamment la technique, le dribble. […] Je veux des joueurs différents dans le jeu, pas au niveau de la couleur de la peau ».

Mais dans le contexte paranoïaque entretenu par certains médias, qui servent de chambre d’écho à des officines dont le fond de commerce repose sur l’exploitation d’un climat délétère autour des questions ethniques aux quelles notre société est de plus en plus confrontée, le fait même de soulever certaines interrogations donne lieu à des réactions outragées et souvent disproportionnées.

Les exemples fournis par certaines équipes, – on pense au FC Barcelone, et à la sélection espagnole, mais pas seulement – incitent à s’interroger sur l’évolution récente du football moderne.

On vient d’en avoir deux illustrations à l’occasion des dernières sorties de l’équipe de France.

Que ce soit en match de qualification pour l’Euro 2012, contre la Biélorussie, ou en match amical contre l’Ukraine, le constat est troublant.

L’équipe de France, avec ses « grands dadais » athlétiques, trop lents, développant un jeu « téléphoné », ennuyeux, sans imagination, sans conviction, sans percussion, est rapidement mise en difficulté par des équipes ou des joueurs de taille moyenne,-quand ils ne sont pas de petite taille-, pratiquant un football « technique »,  imprévisible, fait de rapidité, de finesse, d’invention permanente.

Et chacun peut constater que ceux qui sont susceptibles d’apporter un « supplément d’âme » à cette équipe de France, ce sont de nouveaux sélectionnés, des  Cabaye, des Gameiro, des Valbuena, des Martin, dont le profil se rapproche de ceux des équipes italiennes, portugaises, ou espagnoles: petits gabarits, capables de jouer en « passant la vitesse supérieure », en inventant des situations de jeu inattendues, en prenant des initiatives imprévisibles, et….en marquant des buts, ce dont nos attaquants habituels, « style Hoaro », sont incapables, même devant des équipes considérées comme « inférieures ».

Alors ???

Plutôt que d’aborder le problème sous l’angle des « quotas » de joueurs en fonction de leur couleur, ou de leur origine, ne faut-il pas comme Laurent Blanc voulait manifestement le suggérer au cours de cette réunion – (qui n’aurait pas eu un tel retentissement si une « taupe » n’avait fourni à Médiapart une nouvelle occasion de s’illustrer)- revoir le « dosage » entre des joueurs athlétiques certes, mais tactiquement « limités », et des joueurs de moindre gabarit mais plus créatifs, plus rapides, et plus « percutants » contre les défenses adverses ????

Les résultats à venir apporteront vraisemblablement, la réponse à cette question.

(1)https://berdepas.wordpress.com/wp-admin/post.php post=6968&action=edit

Sortir de la crise du foot….


 

Une idée m’est venue ce matin en me rasant, et en écoutant dans ma salle de bain, les commentateurs de « la crise des quotas », sur les radios nationales.

Il faut absolument mettre fin au malentendu créé par la phrase imprudente de Laurent Blanc déplorant la sélection préférentielle, dans les centres de formation des jeunes footballeurs, de grands blacks « maouss-costauds », au détriment des « blancs rikiki », désavantagés par leur gabarit.

Alors, pourquoi ne pas inverser la tendance pendant quelques années, en attendant de trouver un équilibre, grâce au métissage en cours de la population française ????

Je suggère, dans un but d’apaisement, que le rééquilibrage se fasse en privilégiant désormais, le recrutement de « grands blonds » costauds et de « petits blacks » intelligents !!!!

C’est une suggestion qui devrait rencontrer l’agrément de tous ceux qui voient de la discrimination et du racisme partout…..Une suggestion qui devrait pouvoir mettre tout le monde d’accord, non ?????

A moins que la « police de la pensée », qui désormais, sanctionne même « l’humour noir », ne s’y oppose…..

Le Bide des Bleus: « Black, Blanc, Beur » c’est Bidon !!!!


Au lendemain de la victoire des « Bleus » en Coupe du Monde, on nous a rabattu les oreilles à propos des vertus d’une équipe exemplaire et symbolisant la fraternité dans « le respect des différences ».

Excellente occasion pour les fanatiques du « métissage »de développer leur propagande naïve et agressive à la fois, en faveur d’une France dont ils rêvent, une sorte de « Brésil à la française »avec une bonne dose d’islamisme vaguement modéré, et qui ferait de notre pays l’un des phares d’un Occident orientalisé….

L’affaire des « taupes » dont on n’a pas fini de mesurer les ravages sur ce qui reste du football français, fait tomber un à un les masques de cette escroquerie d’intellectuels des beaux quartiers aveuglés par des convictions idéologiques qui ne leur permettent même plus de percevoir les réalités du « bide » monumental, en France comme dans la plupart des pays européens, d’un sacro-saint « multiculturalisme » érigé en dogme, et défendu par une légion d’ayatollah, chargés d’exercer une sorte de « police de la pensée ».

Les prises de position des Thuram, Vieira et consorts qui n’ont d’autre objet que celui de déstabiliser leur ancien coéquipier Laurent Blanc, aux quelles répondent en choeur, les Lizzarazu, les Dugarry, et autres Desailly, et les anecdotes qui fusent à cette occasion sur l’ambiance des vestiaires après la victoire des Bleus, entre autres, montrent que l’entente harmonieuse qui régnait au sein de cette équipe n’était que « bidon »…..

A vrai dire, si cette entente de façade a pu tenir jusqu’à la finale fastueuse, c’est parce que René Jacquet a su, avec un mélange de souplesse et d’autorité, éviter tout dérapage et surtout maîtriser les égos les plus capricieux et les plus excessifs.

Les premiers symptômes du mal sournois qui finira par ronger cette sélection apparaissent au lendemain des premiers « exploits » de « l’équipe de Domenech ». Ce dernier avait su, par un discours lénifiant qui ne trompait que les naïfs, jeter un voile de brume sur une réalité qui n’échappait pourtant pas à certains observateurs de la Presse sportive étrangère.

J’ai reproduit, en 2008 sur le blog que je tenais sur le site du Monde, un article paru dans la Presse espagnole, dans un quotidien sportif qui est l’équivalent de l’Equipe en Espagne, et qui était intitulé « Francia: el poder negro ». Traduire: Equipe de France, « le pouvoir noir ».

Mon billet avait été « censuré » par les « modérateurs » du quotidien « de révérence ». Quand à l’article en question, il est trop long pour que je puisse le reproduire ici.

« Por que los franceses son todos negros?
Me refiero a la seleccion francesa, son todos negros, o la mayoria por lo menos y el mejor jugador de la historia de Francia es musulman o sea todo bien es un groso pero pero.. encima el negro Henry  …etc… »

  Cet article montrait clairement que, pour les observateurs étrangers avertis, il y avait belle lurette que Domenech n’avait plus la main sur son équipe ni la  liberté de constituer « sa » sélection, car il devait avant d’annoncer le choix d’un joueur, obtenir l’accord de ceux qu’on appelait alors pompeusement « les cadres » de l’équipe, entendez Thierry Henry, Wiliam Gallas, Lilian Thuram, et Vieira, et un peu plus tard, Anelka auquels s’était joint Ribéry, qui réfutaient certains joueurs sur des critères qui n’étaient pas exclusivement sportifs.

De faiblesses en faiblesses, de concessions en concessions, Domenech a ainsi perdu toute autorité au sein de l’équipe de France. La crise a atteint son apogée en Afrique du Sud avec les conséquences que l’on connaît.

Entretenue par l’inexistence de la Fédération Française de Football, qui a fermé les yeux, paralysée par un tissus de relations de type mafieux, aggravée par l’incompétence de dirigeants plus préoccupés à faire fructifier le pactole financier sur lequel la médiatisation des Bleus l’avait installée, que par la défense et la promotion des valeurs du sport dont l’équipe nationale aurait dû être la vitrine, la crise devait un jour où l’autre exploser.

C’est fait. Il est vraisemblable que la perspective d’élections nationales destinées à renouveler « l’appareil » fédéral a accéléré le processus.

Les « taupes » ont fait le reste.

Mais tous ceux qui, se démasquent en dénonçant, dans une crise d’hystérie collective, le « racisme » du football français auront bien du mal à convaincre les observateurs avertis de la sincérité de leurs gesticulations: il suffit de se référer à la composition des équipes en Ligue 1, et à celle de la séléction nationale pour constater que « la couleur » y est bien plus représentée que le « blanc »…..

La reconstruction du football français sera douloureuse, longue et difficile, car la situation actuelle est explosive: le ras-le-bol a atteint un seuil critique dans les deux camps. 

On est en droit de se demander, vu les réactions provoquées par cet épisode grotesque, si la France ne va pas sous peu se diviser en deux: d’un côté ceux qui sont décidés à se battre pour exercer leur droit à la liberté de pensée et d’expression, et à celui de pouvoir aborder tous les problèmes, y compris ceux qui dérangent les « paranos » du racisme, et de l’autre ceux qui voudraient imposer avec des méthodes dignes des régimes totalitaires, incluant l’intimidation, la délation, la menace, une « pensée unique »et un modèle de société que beaucoup de Français rejettent. 

Ceux qui réclament, à juste titre, que la reconstruction du Football français s’opère dans la transparence, ont raison.

A une seule condition, c’est que la transparence soit la règle pour tous et dans tous les domaines.

Ce qui réservera bien des surprises….. 

 

Blanc ne lavera plus blanc….


19h12FFF – Blanc: « Si j’ai heurté certaines sensibilités, je m’en excuse »(source TF1.fr).

 Le sélectionneur de l’équipe de France Laurent Blanc a « admis » que certains de ses propos lors de la réunion du 8 novembre 2010 révélés par Mediapart « puissent prêter à équivoque » et déclare que s’il a « heurté certaines sensibilités », il s’en « excuse », samedi dans un communiqué.

Le communiqué de Laurent Blanc:

« Je ne retire rien aux propos que j’ai tenus hier.
Que certains termes employés au cours d’une réunion de travail, sur un sujet sensible et à bâtons rompus, puissent prêter à équivoque, sortis de leur contexte, je l’admets et si, pour ce qui me concerne, j’ai heurté certaines sensibilités, je m’en excuse.
Mais être soupçonné de racisme ou de xénophobie, moi qui suis contre toute forme de discrimination, je ne le supporte pas.
Il faut être de mauvaise fois pour ne pas voir que le débat auquel j’ai participé n’avait évidemment pas pour objectif de « diminuer le nombre de noirs et d’arabes dans le football français » comme voulait le laisser entendre le titre outrancier de l’article, mais uniquement d’envisager le futur du football français et donc d’aborder, par voie de conséquence, le lourd et délicat problème des joueurs à double nationalité ainsi que les modalités de détection/sélection pour un nouveau projet de jeu.
Que cela ait des incidences, à moyen ou long terme, sur les différents profils de joueurs en préformation ou en formation, c’est l’évidence, mais il n’y a là aucun lien, strictement aucun, avec une préférence ou un rejet de telle ou telle nationalité.
Mon seul souci est d’avoir de bons joueurs pour une bonne équipe de France, qu’ils soient petits ou grands, quels que soient leur lieu de naissance ou leurs ascendances. C’est assez facile à comprendre sauf, apparemment, pour ceux qui, pour des motifs qui m’échappent, mais avec des procédés douteux, mélangent tout et font un mal considérable, et pas seulement au football français. » 

Est-ce en raison de ses propos que Blanc a « heurté certaines sensibilités » ????
Ou est-ce tout simplement parcequ’il est « Blanc »????
Car le temps approche où il lui faudra, au nom de « l’éternelle repentance », s’excuser d’être « Blanc »!!!!