Sonder l’insondable….


Selon « l’Express.fr », http://www.lexpress.fr/actualite/societe/les-francais-aiment-moins-les-arabes-les-juifs-et-les-homos_895898.html

Les Français aiment moins les arabes, les juifs et les homos

Par AFP, publié le 30/05/2010 à 12:49

Citation:

« Les préjugés des Français à l’égard des étrangers, des juifs ou des homosexuels ont augmentés depuis l’an dernier: c’est la leçon inquiétante d’un sondage dévoilé à l’occasion d’un colloque à Paris. »

Très inquiétant, en effet……

Mais l’Express a-t-il songé à faire effectuer, dans les mêmes conditions que le sondage évoqué ci-dessus, un autre sondage pour savoir si « les arabes, les juifs, et les homos «  ( singulier rapprochement !!!) aiment plus la France et les Français « depuis l’an dernier » ????

 Ce serait, à l’évidence, un excellent sujet de colloque à…. Villiers-le-Bel, par exemple.

A ce propos, je renouvelle une de mes remarques récurrentes : pourquoi donc, tous ces sondages, et toutes ces élucubrations de sociologues de « Café du Commerce » ignorent-ils systématiquement une minorité qui semble susciter l’indifférence des propagateurs de la pensée unique, celle des Asiatiques, de plus en plus nombreux en France et en Europe ????

Sans doute parceque ces Asiatiques qui bossent en silence, n’ont pas le temps de faire parler d’eux ????

Nique qui ???


Ras_le_bol (cliquez sur ce lien, et allez jusqu’au bout !!!) 

Exprimé par un citoyen excédé de toutes ces insultes. Car dans le cas évoqué, c’est la « liberté » littéraire de l’auteur qui s’exprime, et qui est protégée, bien entendu, au nom du « droit à la création »….

Et puis, pourquoi l’insolence serait-elle devenue un « privilège » réservé à quelques uns ???

La sortie de ce livre dont l’auteur est  Saïd Bouamama, sociologue, docteur en socio-économie, né en 1958. Militant engagé depuis de nombreuses années dans « les luttes de l’immigration pour l’égalité réelle des droits en France » fait des vagues. Il est directeur de recherche à l’IFAR située à Villeneuve-d’Ascq (59).

L’un de ces « zintellectuels » maghrebins que la France héberge et nourrit de son sein….

Martine Aubry élève le débat….


C’est la dernière foucade de mémé Martine qui se hausse comme elle peut,- ses talons hauts n’y suffisant pas -, à la hauteur d’une possible « présidentiable ».

 » Touché, coulé », le PS par le rappel par Sarkozy de l’un des actifs factuels hérités de François Mitterrand,- à savoir l’âge de la retraite ramené de 65 à 60 ans !!!

  » La Martine » ne pouvait pas rester en reste….

La poésie n’étant pas la qualité première des propos publics auxquels la mère « Tap’dur » nous a habitués, voici que devant le Parti Socialiste réuni pour approuver à coups de pieds dans le cul, son projet de « nouveau modèle de développement », elle prononce une tirade qui restera dans l’Histoire :

« J’ai un peu l’impression, quand Nicolas Sarkozy nous donne des leçons de maîtrise budgétaire, c’est un peu Monsieur Madoff qui administre quelques cours de comptabilité », a-t-elle glosé, en référence au gestionnaire de portefeuilles de Wall Street, condamné en 2009 à 150 ans de prison pour une des plus vastes escroqueries de l’histoire.

Voici donc qu’après avoir dénoncé le manque d’élégance du rappel de Sarkozy, elle dérape à son tour dans un rapprochement dont la vulgarité n’aura échappé à personne, parmi ceux qui sont soucieux de conserver au débat démocratique un peu de dignité.

Car le fait de rappeler les erreurs de ses prédécesseurs n’est pas l’apanage du Président actuel. Cela fait partie des « lois du genre » et bien d’autres se sont livrés à cet exercice peu glorieux avant lui….

Quand aux leçons de respect que l’on doit à un Président qui n’est plus « aux affaires », les Socialistes qui ont toujours eu la mémoire courte, devraient se souvenir des manifestations qui ont accompagné, à la sortie de l’Elysée, le Président Giscard d’Estaing battu , sifflé, hué de manière indigne par les partisans de Mitterrand….qui ne les a jamais désavoués.

Il est vrai qu’en 1981, avec l’arrivée de la Gauche au pouvoir, et grâce au « Programme Commun », la France, pour ceux qui s’en souviennent, accédait, enfin, à la « Lumière ».

Mais n’abaissons pas le niveau du débat ….. 

Jamel Debbouze.


Au cours d’une de ses « saillies » humoristiques, pendant le Festival de Cannes où était présenté « Hors-la-Loi »,-le film fort controversé, et considéré par les critiques impartiaux comme un film de médiocre qualité-, Jamel Debbouze, qui n’est jamais à court de plaisanteries d’un goût douteux, a déclaré -sans doute pour tourner en dérision ceux qui pensent que Polanski doit affronter la justice de son pays -,que lui aussi avait été « violé, à 16 ans par Polanski » !!!!

Pour voir la vidéo:

 http://www.eteignezvotreordinateur.com/jamel-debbouze-%c2%abmoi-aussi-je-me-suis-fait-violer-par-polanski-quand-javais-16-ans%c2%bb/

Ou, en cas de difficulté, sur:

http://www.youtube.com/watch?v=w9JL30mLduQ

 L’une des qualités premières d’un humoriste, c’est de savoir faire rire de lui même. C’est peut-être ce qu’a voulu faire Jamel.

Mais c’est tout de même la première fois que l’on voit un comique « troupier » revendiquer  publiquement, le « statut » d’enculé !!!!

Melissa Theuriau n’a pas réagi, jusqu’ici, à cette surpenante » révélation »….Peut-être aurons nous droit à un commentaire sur M6 ????

 En tout cas, les foucades de son humoriste de mari ne semblent pas avoir freiné ses ardeurs !!!! On pourrait même se demander, à la vue de cette superbe photo, si la « mésaventure » de son mari ne lui a pas donné des idées…

 

D’autre part, l’humour, quand il est pratiqué stupidement, peut devenir une arme à double tranchant !!!
Poussant le bouchon un peu plus loin, notre Jamel national se fend de quelques confidences dans l’hebdomadaire Paris Match, sur les circonstances dans lesquelles il a rencontré la femme de sa vie.

 Doit-on prendre ses déclarations au « pied de la lettre » ??? Je laisse le soin à chacun d’en juger :

On apprend, entre autres, dans cet hebdomadaire, que les deux tourtereaux se sont rencontrés sur le tournage d’Astérix, durant lequel l’acteur n’était pas au mieux de son sex-appeal : « On ne sait pas quand on va tomber sur la femme de sa vie. En général, au cas où c’est pour aujourd’hui, on se coiffe, on met de belles chaussures. Moi, quand je l’ai vue sur le tournage d’Astérix, j’étais en Numérobis, avec des spartiates, alors que j’ai des pieds tout tordus ! J’essayais de les enfoncer dans le béton pour ne pas qu’elle voie ça ! ».

 

 

 Pieds blancs ou de couleur, qu’ils soient tordus ou droits, cela n’empêche manifestement pas  Mélissa de « prendre son pied »…..à « bras le corps »!!! Je n’ai pas osé écrire à »bras raccourcis »…..Et pourtant, il en est d’autres qui ne s’en privent pas, et qui ne l’épargent pas quand il s’agit de ce bras qu’il cache derrière son dos quand il est sur scène:

http://www.elleraconte.com/article-jamel-debbouze-rattrape-par-son-passe-a_2840_0_0.html

Quand à Melissa, comme on peut le voir sur cette image parue dans une revue anglaise, elle ne » perd pas l’occasion de prendre son pied ».

Et pourtant, ses assauts de tendresse n’ont pas l’air de tellement exciter son « MonkeyMan » de mari….(http://www.staragora.com/news/jamel-debbouze-traite-de-singe-et-d-infirme-par-un-site-americain-scandale/183375)

Alors, la voici obligée d’utiliser « les grands moyens » pour tenter d’exciter le mâle, dont la « souffrance » se lit sur le visage….

Alors « MonkeyMan », c’est mieux que Polanski ou pas ????

Immigration sans-papiers, mode d’emploi


Dans un précédent billet, j’avais évoqué l’information reçue d’un ami rentrant d’un voyage en Algérie, selon laquelle, les candidats à l »immigration sans-papiers peuvent se procurer, en sous-main, moyennant finance, un dossier complet leur fournissant toutes les informations nécessaires pour entrer illégalement en France, et s’y maintenir avec l’aide d’un réseau de passeurs, d’Associations, d’Avocats spécialisés, et en utilisant toutes les ressources du monde médiatique pour susciter les mouvements de compassion et de soutien indispensables pour échapper à la reconduite aux frontières.

Le Sénégal fait mieux que cela. Un site internet dont l’adresse m’est communiquée par un autre ami, fournit de précieux conseils pour les candidats à l’immigration illégale.

 Il va même jusqu’à expliquer comment on peut échapper aux sanctions prévues par les Lois de la République, quand on vient de régions dans lesquelles la pratique de l’excision fait partie des traditions fortes, et que l’on souhaite perpétuer ces traditions dans le « pays d’accueil »….

Il donne également, une foule d’informations à ceux qui vivent dans l’illégalité, tout en bénéficiant des aides financières et matérielles nécessaires pour survivre en France…..

L’adresse de ce site, accessible à tous est:

 http://www.senegalaisement.com/senegal/immigration_france.php .

On peut y lire notamment des conseils » désinterressés ». Citation :

 » C’est la grande révolution, déjà amorcée en 2009 et qui devrait exploser en 2010. Comme tous les packs, les premiers arrivés seront les mieux servis ! Il s’agit du pack Clit’Cut®, inventé et développé au Mali. En effet :
« en 2001, l’Ofpra* accordait pour la première fois le droit d’asile à un couple de parents maliens qui craignaient pour leur vie après s’être opposés à l’excision de leur fille. Dès lors, en 2006, on comptabilisait 117 demandes de ce type. En 2007, un millier de demandes étaient exaucées. En 2008, environ 2 000 demandes similaires étaient accueillies favorablement pour les seuls Maliens. »
(sources : journal Le Monde, 12/02/2009).
* OFPRA : (Office des Protection des Réfugiés et apatrides

On peut estimer pour 2010 à 5000 familles (soit de 15 à 20 000 personnes) le seuil de tolérance de l’OFPRA et des ambassades avant qu’il ne s’aperçoivent qu’il y a anguille sous roche.

Le Sénégal fait partie de la liste des pays pratiquant notoirement l’excision (particulièrement dans les régions du Boundou et du Fouladou). Vos chances d’obtenir l’asile avec le statut protecteur et rémunérateur de réfugié sont donc totales. Le statut de réfugié est la garantie d’une installation durable en France (ou en Europe) et de conditions matérielles privilégiées.

Dans tous les cas, ne limitez pas seulement votre tentative à la France ou la Belgique. Même si ces deux pays sont les plus accueillants et les plus rémunérateurs, d’autres peuvent s’avérer intéressants. L’éternel Zapatero qui a fait de l’Espagne un paradis est toujours au pouvoir. Berlusconi, malgré quelques unes de ses célèbres tirades a fait de l’Italie également un Eden pour l’émigré sénégalais.

Le mode d’emploi du pack Clit’Cut® n’est cependant pas forcément évident. L’idéal étant bien-sûr de vous rendre en famille en séjour en France ou en Europe et de demander sur place le statut de réfugié clitoridien. Hélas, on le sait, voyager en Europe est devenu très difficile et il est peu probable que l’on vous accorde un visa de tourisme. Si néanmoins tel est le cas, le taux de réussite est de 100%. En effet, une fois sur place le statut de réfugié vous sera forcément accordé. »(fin de citation )

etc….etc….etc…

Incroyablement édifiant, non ???

Je m’interroge sur la légalité de l’existence d’un tel site, qui met à profit l’espace de liberté d’internet, pour inciter à des pratiques illégales….

Le contenu de ce site montre que l’on se trouve en présence d’une vraie organisation, d’une entreprise de détournement de nos Lois, dont beaucoup de Français subodoraient l’existence, mais sur laquelle les « bonnes consciences » qui occupent souvent le devant de la scène dans notre pays, s’appliquent à fermer les yeux.

En marge de la polémique sur le film « Hors-la-Loi »….


Lu cet excellent article dans l’Express.fr, un hebdomadaire qui n’a jamais caché ses sympathies pro-algériennes, – ce qui donne à ce qui suit une « saveur particulière »-, sur un sujet que tous les Pieds-Noirs connaissent depuis toujours, mais que les médias et surtout les « historiens de pacotille » se sont bien gardé d’ébruiter, tant le sentiment de culpabilité et la mauvaise conscience de ces « Pieds-Rouges » sont profonds.

Les « idiots utiles » du FLN

Par Emmanuel Hecht, publié le 21/09/2009 13:53 – mis à jour le 21/09/2009 14:00

http://www.lexpress.fr/culture/livre/algerie-les-annees-pieds-rouges_823725.html

Citation:

« Après l’indépendance, des Français partent bâtir l’Algérie socialiste. Catherine Simon raconte l’engagement de ces « pieds-rouges », qui vira au cauchemar.

L’atmosphère est électrique en Algérie en ce mois de juillet 1962. La France a officiellement reconnu l’indépendance du territoire qui sombre dans l’anarchie.

 Entre les fusillades de l’armée française, les règlements de compte des groupes algériens rivaux, les enlèvements et exécutions d’Européens, les attentats et sabotages de l’OAS, les pieds-noirs embarquent pour une métropole qui ne goûte pas le pataouète.

 Leurs meubles ont envahi les trottoirs, vestiges de cent trente-deux ans de colonisation : l’exode débute par une immense braderie. A la fin de l’été, 700 000 Européens seront partis (4 sur 5).

 Au même moment, quelques milliers de Français – on ignore leur chiffre exact – traversent la Méditerranée en sens inverse. Médecins, chirurgiens, infirmiers, instituteurs, ingénieurs, artistes, ils viennent occuper les postes vacants. Ils font don de leur personne pour participer à l’édification du socialisme dans la nouvelle Algérie. Anticolonialistes, porteurs de valises du FLN, insoumis, déserteurs, ils savourent leur  victoire. Ils ont le sentiment de vivre le grand soir, entre révolution cubaine, guerre d’Espagne et résistance. Ils sont chrétiens de gauche, trotskistes, anciens communistes.

Des journalistes pieds-noirs, entre mépris et dérision, baptisent « pieds-rouges » « cette ahurissante sous-espèce d’oiseaux migrateurs », raconte Catherine Simon dans une enquête remarquable sur cet épisode méconnu de l’histoire franco-algérienne. (1)

La force du récit de la journaliste du Monde repose sur les témoignages.

 L’entreprise relève de l’exploit.

 Jusqu’ici, les pieds-rouges s’étaient tus. Y compris ceux qui, entre-temps, avaient acquis une notoriété : l’ancien patron de TF 1 Hervé Bourges – qui refuse l’appellation – le géopoliticien Gérard Chaliand, l’écrivain Ania Francos, l’avocat Tiennot Grumbach, le photographe Elie Kagan, les cinéastes Marceline Loridan et René Vautier, le parolier Pierre Grosz…

Il est difficile de parler d’un échec, encore moins d’un cauchemar. La réalité fut à mille lieues de l' »illusion lyrique » des premiers jours. Les pieds-rouges découvrent le poids de l’islam, le machisme, le mépris à l’égard des « gaouris » (nom donné aux chrétiens par les Arabes), l’absence de démocratie, les règlements de compte violents, la corruption…

Le désenchantement est à son comble lors du coup d’Etat du colonel Boumediene et du renversement de Ben Bella, le 19 juin 1965. Des pieds-rouges entrent dans la clandestinité, d’autres sont arrêtés et torturés dans les ex-centres de détention de l’armée française ! Et pourtant, les victimes ne parlent pas. Leur culpabilité – françaises, elles doivent assumer les fautes du colonialisme – est trop forte.

 A leur tour elles sont contraintes au départ, sans ménagement. Elles laisseront leurs chimères sur le port d’Alger. Quelques rares entêtés resteront. Jean-Marie Boëglin, qui a abandonné Lyon, le TNP et Roger Planchon au début des années 1960 pour créer le Théâtre national algérien, rentre en France en 1981.

 Il se définit comme un « idiot utile ». Lénine utilisait la formule pour désigner les Européens apologistes du régime soviétique jusqu’à l’aveuglement.

 Une majorité des pieds-rouges – remplacés entre-temps par le « coopérant », figure centrale des relations franco-algériennes – ont recouvré leurs esprits. Leur gueule de bois idéologique s’est dissipée.

 Mais à quel prix ? »

(Fin de citation).

 (1) Par dérision en réponse à ceux qui avaient affublé les Français d’Algérie du qualificatif de « Pieds-Noirs ».
Algérie, les années pieds-rouges, par Catherine Simon, La Découverte, 288 p, 22 €.
 
 A lire ABSOLUMENT !!!( Pour agrandir l’image, cliquez dessus).
  
 
 
Le sujet des « Pieds Rouges » a rarement été abordé.
Le mérite de ce journaliste n’en est que plus digne d’être souligné.
 Il est vrai que beaucoup de ces « révolutionnaires » en peau de lapin sont restés très discrets depuis la fin de leurs illusions. Il n’en demeure pas moins que beaucoup d’entre eux continuent à jouer un rôle influent dans la société française .Discrets sur ce qu’ils font mine de considérer comme des « erreurs de jeunesse », ils continuent à faire partie de ceux qui contribuent, inlassablement, à propager une image négative, et parfois haineuse, de ceux qui n’ont jamais partagé leurs illusions.
Beaucoup d’entre eux ont contribué à l’entreprise de falsification de l’Histoire souvent dénoncée dans ces pages.( is it not Benjamin Stora ???)
C’est en cela qu’il n’est pas inutile de signaler ce chapitre peu glorieux de l’histoire commune de l’Algérie et de la France, en marge de la polémique suscitée par la diffusion du film « Hors-la-Loi » présenté au festival de Cannes…..

Cannes et les Hors-la-Loi…..


J’ai parcouru les nombreux articles commentant les réactions suscitées par la présentation de ce film au Festival de Cannes, ainsi que les commentaires des lecteurs s’exprimant sur internet.

 On voit bien, à travers toutes ces réactions, que les Français sont divisés sur la manière de « recevoir » ce film, et que ces divisions sont extrêmement profondes. La lecture de l’Histoire de cette guerre atroce est devenue difficile, en raison des sensibilités  qui sous-tendent les jugements exprimés, sans parler des « manipulations » idéologiques qui polluent les débats.

En vérité, il y a ceux qui ont vécu « l’avant », le « pendant » et « l’après » de cette guerre civile, et parmi eux, ceux qui ont souffert de l’assassinat sauvage, ou la mort au combat, d’un proche ou d’un ami. Leur sensibilité demeure à fleur de peau, ce qui explique la force, et parfois, la violence de leurs réactions dès qu’ils ont le sentiment que s’exprime un déni de leurs souffrances, en même temps qu’une exaltation des souffrances de l’autre camp.

Il y a ceux qui n’ont rien vécu de tout cela. Ce sont ceux qui en parlent avec le plus de légèreté, en justifiant leurs propos par des considérations philosophiques ou morales, le plus souvent superficielles, auxquels les précédents sont insensibles. Leurs jugements sont sévères, et n’expriment aucune commisération pour ceux dont les souffrances leur sont indifférentes, voire étrangères.

En outre, ils donnent le sentiment de s’abriter derrière cette sévérité parce qu’elle leur donne bonne conscience et qu’elle leur permet de s’affranchir d’un héritage historique qui est aussi le leur…Car faut-il rappeler que ce qui est devenu une guerre, après avoir été une opération de maintien de l’ordre, s’est déroulé sous des Gouvernements socialistes, avant que de Gaulle ne s’empare du pouvoir ????

Il est significatif de constater que dans tous les commentaires qu’a suscitée la polémique consécutive à la sortie du film « Hors-la-Loi » à Cannes, personne n’a eu l’imprudence (le courage ???) de rappeler que les « évènements de Sétif » se sont produits alors que de Gaulle était au pouvoir, et que son Gouvernement comptait un nombre important de ministres communistes, que son Ministre de l’intérieur qui était « à la manoeuvre » était un socialiste, qui non seulement sont restés silencieux devant la violence de la riposte française, et n’ont pas quitté le Gouvernement, mais ont approuvé l’action qui a été menée….

 Nul ne peut nier ce que les Algériens ont enduré pendant cette guerre. Nul ne peut nier, non plus qu’ils ont été les principales victimes des méthodes terroristes des « hors-la-loi » de l’époque….Et que le plus grand nombre de ces victimes algériennes a payé de son sang sa proximité avec des Pieds-Noirs. Car nul ne peut nier non plus les liens très forts qui ont existé parfois entre Algériens et Pieds-Noirs, car tous les Pieds-Noirs n’étaient pas des « exploiteurs » et contrairement aux caricatures popularisées après l’Indépendance de l’Algérie, de fortes amitiés existaient , qui se nouaient dès le plus jeune âge, à l’école, au lycée ou dans le sport…..

La nécessité de faire oeuvre de vérité en ce qui concerne les Algériens, ne justifie donc pas pour autant, la négation, par le silence, de ce que les « Européens » ont dû souffrir de leur côté.

Et en tout état de cause, les « Européens », s’ils ont commis de lourdes erreurs sur le plan historique,  ont payé ces erreurs au prix fort, par un exil à nul autre pareil au cours du siècle écoulé, un exil que dans d’autres contextes ont aurait assimilé à un nettoyage ethnique. 

Un exil à nul autre pareil, car leur accueil en France – il n’est pas un seul Pied-Noir qui ne se souviennent des paroles abjectes d’un Gaston Deferre – n’a fait qu’approfondir la douleur de l’exil…… 

Ceci dit, ce qui « énerve » beaucoup de ces « Européens » encore aujourd’hui, c’est que l’on puisse impunément, sans que voix au chapitre soit accordée à leur point de vue, travestir des faits qui appartiennent désormais à l’Histoire, et que de part et d’autre nous devons assumer.

Ainsi, comment peut-on croire qu’ils puissent accepter que l’on aborde le sujet des exactions commises du côté français, en glissant silencieusement sur les horreurs commises par le FLN.

 Tout le monde sait que des prisonniers ont été passés à la « gégène » par les militaires. Mais qui se pose la question de savoir pourquoi et dans quel contexte ???? Qui s’est interrogé sur la question de savoir comment un jeune appelé de vingt ans peut réagir devant le spectacle d’une famille vivant dans une ferme isolée qu’il trouve par un triste matin de novembre, sous la pluie, dispersée autour de sa maison, avec l’envie de vomir devant des cadavres atrocement mutilés, égorgés,ou éventrés, gisant dans la boue….Certains ont pu « péter les plombs » comme on dit vulgairement aujourd’hui….Car à cette époque, les « cellules d’assistance psychologiques » n’existaient pas, et beaucoup de soldats du contingent ont été durablement marqués par ce qu’ils ont vécu. Les exemples de ce genre abondent. Je ne vais pas les multiplier, ce serait trop facile.

Les Algériens, – certains Algériens- surfant sur la vague qui porte la mode de la « victimisation » , souhaitent être considérés comme des victimes et seulement comme des victimes, espérant faire oublier qu’ils ont été eux aussi, des bourreaux.

Le film « Hors-la-Loi »  ne fait pas exception. Montrer les massacres d’Algériens en 1945, à Sétif, en glissant rapidement sur le fait que ces massacres- ( commis sous le Général de Gaulle aujourd’hui encensé comme le « libérateur de l’Algérie », alors que des Ministres Communistes se trouvaient dans son Gouvernement et sont restés silencieux, ce qui devrait inciter la gauche communiste à plus de réserve sur cette page de notre Histoire…) – ont fait suite au massacre injustifié de centaines d’Européens qui manifestaient pour célébrer, le 8 Mai 1945, la victoire contre les Allemands, a été vécu, une fois de plus comme une sorte de déni, par ceux qui ont manifesté lors de la sortie de ce film.

On peut comprendre le ressentiment de beaucoup d’Algériens à l’égard de la France.

Mais ce que l’on a du mal à comprendre c’est qu’ils aient tout fait pour devenir Français au lendemain de l’indépendance de leur pays pour laquelle ils se sont battus.

Ce que l’on a du mal à comprendre, parce que ça ne cadre pas avec ce légitime ressentiment, c’est que la France offre l’asile, héberge, soigne d’anciens dirigeants du FLN, et même d’anciens combattants, un peu comme si des Officiers du 1er REP avaient trouvé refuge en Algérie….

Ce que l’on a du mal à comprendre, c’est que malgré tout ce ressentiment accumulé, et entretenu par les dirigeants de l’Etat algérien, la jeunesse algérienne n’ait qu’une seule ambition : obtenir un visa pour la France et quitter son pays.

On peut comprendre que des Algériens, devenus français, ne se sentent pas à leur aise dans le pays qui les a accueillis.

 Mais ce que l’on a du mal à comprendre c’est que personne n’oblige personne à devenir Français s’il ne le souhaite pas. D’autant que beaucoup d’Algériens,- ce sont souvent ceux-là qui se manifestent le plus – ont conservé la double nationalité, que la France leur a généreusement concédée . Ce qui leur permet de jouer sur les deux tableaux et de manger aux deux rateliers, selon les circonstances et en fonction de leurs intérêts. 

C’est le cas de ce Bouchareb, dont on peut se demander s’il s’exprime en tant qu’Algérien ou en tant que Français, et dont le film, financé à 59% par les contribuables français ne ferait pas l’objet d’une telle polémique s’il n’était pas aussi ambigu !!!! 

Discrimination positive…


Selon « lemonde.fr » de ce soir,

« Université de Toulon : Laroussi Oueslati révoqué de la fonction publique« 

« Le président suspendu depuis le 19 octobre de l’université de Toulon a été révoqué dans le cadre d’un trafic supposé de diplômes au bénéfice d’étudiants chinois. »

Laroussi Oueslati est un universitaire et homme politique né le 25 septembre 1960 à Carthage (Tunisie). Il est conseiller régional PRG de Provence-Alpes-Côte d’Azur depuis mars 2004 et conseiller municipal à Toulon depuis octobre 2004 après l’avoir déjà été de 1995 à 2001. Il a été vice-président de l’université du Sud-Toulon-Var de 2002 à 2007 et président de février 2007 jusqu’à sa suspension provisoire par le ministre de l’éducation en octobre 2009 suite à des entraves lors d’une enquête administrative sur la délivrance de diplômes à des étudiants étrangers[1]. Il démissionne de ce poste le 6 novembre 2009[2] puis se voit révoqué de la fonction publique le 21 mai 2010[3].( Source Wikipedia ).

Une prudence journalistique qui frise la blague.

 Si ce Président d’Université, jusqu’ici suspendu « dans le cadre d’un trafic supposé de diplômes », a été révoqué, on est tenté de penser que l’on est plus en présence d’un « trafic supposé », mais bien en présence d’un trafic caractérisé !!!

Dans le cas contraire, on se demande qui marche sur la tête.

Stora’s story….


L'historien et sociologue Benjamin Stora à Paris en février 2005.

http://www.lemonde.fr/societe/chat/2010/05/21/france-algerie-est-il-possible-d-ecrire-une-histoire-commune_1360924_3224.html

Débat en direct avec Benjamin Stora, historien spécialiste du Maghreb et auteur de l’ouvrage « La Gangrène et l’Oubli » (La Découverte).

Coucou ??? Le revoila.

« lemonde.fr » et les médias « officiels » continuent  à faire la promotion de celui qui est devenu, avec la complaisance de ceux pour qui l’Histoire est une matière malléable, l’Historien Officiel de la Guerre d’Algérie, de ses origines et de ses conséquences.

 Membre de la confrérie des « historiens de pacotille », il occupe tous les écrans, dès qu’il est question de l’Algérie, et il déverse avec aplomb des certitudes qu’il avait acquises bien avant de devenir » historien »…

Son discours doit être interprété à la lumière de sa volonté d’oeuvrer à la réconciliation entre Français et Algériens, mais il doit être interprété également, à la lumière de son parcours personnel, de son engagement et de ses convictions.

Ce qui m’amène à reposer la question maintes fois soulevée sur ce blog : peut-on être à la fois historien ( ce qui suppose un certain recul par rapport aux évènements analysés ) et militant ( ce qui implique un parti pris, et des « a-priori » qui permettent de mettre en doute l’objectivité des analyses et des jugements).

Pour interpréter, – avec le recul nécessaire  précisément – , les propos, les oeuvres et les interventions médiatisées de Benjamin Stora, comment ne pas se référer à sa biographie ???

Celle que l’on trouvera ci-dessous est attribuée à Guy Dreux, professeur certifié de Sciences Economiques et Sociales au lycée Michelet de Vanves (92), titulaire d’un DEA de sciences politiques sur le retour de l’URSS d’André Gide. C’est donc la biographie d’un « historien » par un historien.

http://www.parutions.com/pages/1-4-96-4004.html

Benjamin Stora appartient à «  une génération qui a aujourd’hui entre 45 et 55 ans. En 1968 et dans les années soixante-dix, ils étaient lycéens ou étudiants. Communistes révolutionnaires, maoïstes, gauchistes… ils étaient « l’avant-garde » d’une Révolution aussi inévitable qu’imminente, qu’il fallait annoncer, préparer et organiser.

Benjamin Stora, historien et spécialiste reconnu du Maghreb, a été de ces militants, de cette génération politique. Il a passé quinze ans de sa vie, entre 1968 et 1986, à militer dans une organisation trotskiste : l’Organisation communiste internationaliste (OCI, devenu Parti communiste internationaliste, PCI, en 1981). Il y fut permanent de 1973 à 1984 et, à ce titre, il fut en contact régulier avec Pierre Lambert (Pierre Boussel de son vrai nom).
Le « lambertisme » est réapparu sur la scène politique française en 2001 lorsque Lionel Jospin, alors Premier ministre et candidat à l’élection présidentielle, a concédé avoir effectivement appartenu à cette organisation jusqu’en….1984.
Depuis, certains, comme Edwy Plenel (Secrets de jeunesse, Gallimard, 2001), ont décidé de s’en expliquer autrement que sur le mode de l’aveu. Benjamin Stora n’avoue donc rien dans ce livre. Il relate son expérience et tente d’expliquer notamment « comment une organisation au vocabulaire et aux pratiques si éloignés des moments libertaires de l’après-1968 a-t-elle pu séduire et retenir dans ses rangs des milliers de jeunes dans les « seventies » «  (p.14)

Comment expliquer en effet un engagement total (Benjamin Stora y consacre tout son temps et finalement sa jeunesse) dans un mouvement à bien des égards sectaire ? Car être à l’OCI, de l’OCI, représente une double rupture avec son temps. Rupture, évidente, avec les valeurs dominantes de la société de consommation et du spectacle qui se développe dans ces années soixante-dix. Mais rupture aussi avec au moins une partie de Mai 68. L’auteur souligne à ce propos : « En fait l’OCI n’avait jamais été une organisation proche du mouvement de mai-juin 68, même si elle avait réussi à capter une partie de l’énergie dégagée en attirant des jeunes comme moi dans ses rangs. Elle fonctionnait, bien au contraire, en se défiant de ce mouvement, combattant sans relâche le « spontanéisme » et ses dérives dangereuses, en particulier le passage au terrorisme (qui a été la tentation de bien des groupes et organisations, y compris à la Ligue communiste jusqu’à sa dissolution en 1973) » (p.228).

C’est donc par son histoire personnelle que Benjamin Stora essaie de répondre à cette question. Issu de la communauté juive de Constantine, il quitte l’Algérie en 1962 en partageant le sentiment de ses parents que c’est là un départ définitif. A son arrivée en France, il évite de parler de son identité de fils d’ouvrier juif d’Algérie. Le vocabulaire du matérialisme historique va alors lui permettre de sortir de ce qu’il considère comme un ghetto. Si « nous sommes tous des Juifs allemands » et si « les frontières, on s’en fout », il est alors permis d’intégrer les grands idéaux, de déplacer les solidarités. La logique étroite des appartenances communautaires fait alors place dans l’esprit de Benjamin Stora à la pensée de la lutte des classes. L’attrait pour ce type de discours politique est donc, dans un premier temps, un « soulagement, une libération », une « sortie du ghetto construit par appartenance communautaire » (p.39).

Son engagement est aussi une période d’acculturation. Les lectures sont nombreuses, à commencer par La Révolution permanente de Trotski. Formidable ouverture sur le monde donc mais dans une langue particulière qui lui fait percevoir le monde et son histoire comme l' »histoire de la lutte des classes » et les événements contemporains comme autant de failles d’un système détesté, en train de mourir. L’amour des livres est vite transformé en fétichisation des textes canoniques. Et l’on ne cesse, pendant ces trente glorieuses, d’actualiser le Programme de transition écrit par Trotski en 1938, dans lequel on peut lire que « Les nouvelles inventions et les nouveaux progrès techniques ne conduisent plus à un accroissement de la richesse matérielle » (cit. p.105). Tous les événements sont compris à travers la même grille d’analyse. Mai 68 n’a été qu’une répétition générale d’une Révolution dont la venue n’est pas douteuse.

Cet engagement est aussi fait du plaisir et de la fierté d’appartenir au cercle des initiés, à la partie consciente et éclairée du prolétariat. Dépenser autant d’énergie à préparer un processus historique aussi inéluctable que la Révolution mondiale pourrait apparaître comme contradictoire. Il n’en est rien puisque « le parti est l’expression historique consciente d’un processus inconscient » selon une formule de Lambert.

Mais la conscience de l' »avant-garde », son omniscience, c’est ce qui permet à l’organisation, au parti, d’avoir toujours raison. Là est bien le nœud de cette histoire. Car cette certitude, quand elle vient à disparaître, emporte tout avec elle.
Et ce n’est pas un hasard si c’est avec la lecture de l’Histoire secrète du parti communiste de Philippe Robrieux que Benjamin Stora éprouve des « doutes vraiment sérieux sur la nature de l’organisation » (p.198) à laquelle il appartenait, tant ce qu’il lit lui semble connu. Voilà l’échec d’une forme d’antistalinisme.
Ce n’est pas un hasard non plus si le premier voyage que Benjamin Stora effectue en Algérie en 1983, l’éloigne un peu plus de son engagement politique. Dans les quelques pages qu’il consacre à ce « retour », une autre histoire apparaît, plus sensible, faite de souvenirs d’enfance. « Mon côté terriblement dans le présent, absolument volontariste, rejetant avec mépris toute forme de sensiblerie (ou ce que je crois être tel) s’est vite fissuré, puis fracassé au contact du réel » (p.218).
La boucle semble bouclée.

 L’année suivante il cesse d’être un permanent de l’OCI. Deux années encore après il quitte avec d’autres membres l’organisation. »

Benjamin Stora – qui n’a pas vécu la Guerre d’Algérie – a donc effectué le parcours de bien de nos « stars » du système médiatique, lui même truffé d’anciens trotskystes, maoistes et autres lambertistes plus ou moins repentis.

 Son parcours est à rapprocher également, de celui de certains autres, qui eux, ont été des « acteurs »de cette guerre atroce et fratricide, et se sont illustrés en tant que « porteurs de valises » ou pourvoyeurs d’armes du FLN…..

Les « initiés » comprendront. 

DSK Show


Excellente prestation de Dominique Strauss Kahn, hier soir sur Antenne 2.

Une analyse lucide, saine, objective de la situation de crise que traverse l’Europe. La question centrale qu’il pose, mais qu’il laisse sans réponse, c’est pourquoi la croissance américaine est-elle repartie après la crise très grave que les Etats Unis ont traversée, et qui avec un taux de 3% peut se permettre de créer à nouveau des emplois et entrevoir une amélioration de son déficit budgétaire ??? Et pourquoi l’Europe ne parvient plus à créer les conditions d’un redémarrage de sa croissance ???

La réponse, il la connaît, mais en bon diplomate soucieux avant tout de séduire, il esquive les réponses qui pourraient nuire à de futurs projets….

La France, l’Europe, ne travaillent plus assez, et ne sont plus capables d’accepter des sacrifices, sans lesquels aucun redressement ne pourra être envisagé.

Les « pays émergents », habitués aux sacrifices,…et qui n’ont pas « d’acquis sociaux à préserver », rattrapent leur retard à grandes enjambées.

Parmi eux, nos créanciers sont étonnés par l’incapacité des nains politiques qui ont le destin de ce continent entre leurs mains, à regarder les réalités en face.

 En deux décades, ces pays dont la vitalité semble inépuisable, seront à notre hauteur. Il font déja » leur marché » parmi les entreprises européennes dotées du meilleur savoir-faire.

 Il serait illusoire de croire qu’ils resteront éternellement des créanciers complaisants…. Et cette fin de siècle  verra le déclin , déja très avancé, d’une Europe divisée et revisitée  par ses vieux démons.

En regardant l’émission, et en appréciant la performance du personnage, je me disais que s’il décidait d’entrer dans la compétion présidentielle de 2012, il faudra de sacrés talons à Ségolène pour se hisser à sa hauteur. Quant à Mémé Aubry, il lui faudra des échasses.

 Et quant à Sarko, des talons hauts, il en porte déja….Il ne pourra pas se hisser encore plus haut !!!

La difficulté, si DSK devait affronter Sarko, sera pour les électeurs, d’identifier les differences qui séparent les deux candidats présumés…..