Rire pour ne pas en pleurer….


…….en paraphrasant Beaumarchais.

Car le feuilleton que nous propose la « camarilla » pitoyable qui « gouverne » aujourd’hui le football français, provoque en nous, un tel malaise que nos sentiments évoluent entre l’envie irrésistible de rire et celle, contenue, d’en pleurer.

Me revient à l’esprit, la phrase de Philippe Muray, cet auteur trop tôt disparu, que j’ai citée dans un précédent billet: « 

 «La ridiculisation du monde tel qu’il va est une discipline encore dans les limbes. Faire rire de cet univers lamentable, dont le chaos s’équilibre entre carnavalisation enragée et criminalisation hargneuse, entre festivisation et persécution, est la seule manière, aujourd’hui, d’être rigoureusement réaliste ».

(Extrait de  Exorcismes spirituels III, Les Belles lettres, 2002. 21 Euros.)
(ISBN: 225144209X)

Nous vivons une époque qui fait la part belle aux émotions superficielles, aux indignations préfabriquées, aux compassions infantiles, à l’irrationalité, au goût pour les « festivités » perverses, aux adorations suspectes pour la « Déesse Fric », aux manifestations d’une pseudo-tolérance poussée jusqu’au laxisme et à l’aveuglement, une époque qui bannit de son vocabulaire usuel le mot « discipline » et encore plus le mot « rigueur », une époque où le terme de « respect » ne s’applique plus qu’à des « égos » surdimensionnés, que dis-je, bouffis par la prétention et l’ignorance, et ….mieux vaut que j’arrête là le fleuve de qualificatifs qui me vient à l’esprit, après avoir vu et entendu pendant ce week-end le torrent de stupidités, d’âneries, de situations grotesques, que la radio et la télévision nous ont servies à propos de l’extravagante aventure des « Bleus ».

Mieux vaut en rire, donc.

Et pour ne rien vous cacher, en voyant, hier, sur plusieurs chaînes de télévision, la scène au cours de laquelle, les « Bleus », constitués en « collectif autogestionnaire » et réunis en « conciliabule » remontaient dans leur autobus, après avoir fait lire – dans une manifestation suprême de courage et de dignité – un communiqué, certainement pas rédigé par l’un des membres de cette bande d’illettrés – j’ai été pris d’un irrésistible fou-rire, histoire d’évacuer ma colère…..

 

Au moment où le bus démarrait, emportant ces grévistes de luxe pour les reconduire dans leur hôtel de luxe, j’ai pu lire, furtivement, l’inscription imprimée sur toute la longueur du car : « Tous ensemble vers un nouveau rêve…. ».

 Oui,  j’ai bien lu,  » Tous ensemble  » !!!!

Et j’ai eu envie de hurler : prions mes frères, oui, prions  « TOUS ENSEMBLE !!! TOUS ENSEMBLE !!! OUI !!! OUI!!! » TOUS ENSEMBLE !!! OUI !!!OUI…… pour le nouveau sélectionneur, car il a vraiment du pain sur la planche.

 

Martine Aubry élève le débat….


C’est la dernière foucade de mémé Martine qui se hausse comme elle peut,- ses talons hauts n’y suffisant pas -, à la hauteur d’une possible « présidentiable ».

 » Touché, coulé », le PS par le rappel par Sarkozy de l’un des actifs factuels hérités de François Mitterrand,- à savoir l’âge de la retraite ramené de 65 à 60 ans !!!

  » La Martine » ne pouvait pas rester en reste….

La poésie n’étant pas la qualité première des propos publics auxquels la mère « Tap’dur » nous a habitués, voici que devant le Parti Socialiste réuni pour approuver à coups de pieds dans le cul, son projet de « nouveau modèle de développement », elle prononce une tirade qui restera dans l’Histoire :

« J’ai un peu l’impression, quand Nicolas Sarkozy nous donne des leçons de maîtrise budgétaire, c’est un peu Monsieur Madoff qui administre quelques cours de comptabilité », a-t-elle glosé, en référence au gestionnaire de portefeuilles de Wall Street, condamné en 2009 à 150 ans de prison pour une des plus vastes escroqueries de l’histoire.

Voici donc qu’après avoir dénoncé le manque d’élégance du rappel de Sarkozy, elle dérape à son tour dans un rapprochement dont la vulgarité n’aura échappé à personne, parmi ceux qui sont soucieux de conserver au débat démocratique un peu de dignité.

Car le fait de rappeler les erreurs de ses prédécesseurs n’est pas l’apanage du Président actuel. Cela fait partie des « lois du genre » et bien d’autres se sont livrés à cet exercice peu glorieux avant lui….

Quand aux leçons de respect que l’on doit à un Président qui n’est plus « aux affaires », les Socialistes qui ont toujours eu la mémoire courte, devraient se souvenir des manifestations qui ont accompagné, à la sortie de l’Elysée, le Président Giscard d’Estaing battu , sifflé, hué de manière indigne par les partisans de Mitterrand….qui ne les a jamais désavoués.

Il est vrai qu’en 1981, avec l’arrivée de la Gauche au pouvoir, et grâce au « Programme Commun », la France, pour ceux qui s’en souviennent, accédait, enfin, à la « Lumière ».

Mais n’abaissons pas le niveau du débat ….. 

Mémé Aubry se trompe de care…


… Et part dans la mauvaise direction.

En effet, Mémé  Aubry vient de frapper un grand coup : la « Société du Care », c’est sa dernière trouvaille !!! La Société du « Care-Monde » a un bel avenir en Europe….

La » Société du Care » c’est quoi ???? Selon la Première Secrétaire du Parti Socialiste, c’est une Société qui reste à inventer…

Ce serait une « Société » dans laquelle « Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil », avec tout le monde –  pour paraphraser Jean Yanne, un authentique humoriste, lui, hélas disparu .

Une Société ou « Chacun » s’occupe de « l’Autre », lui prodigue aide et attention, une Société dans laquelle tout le monde est solidaire de tout le monde, c’est à dire de personne… Une Société bienveillante, compassionnelle, une Société dans laquelle ceux qui courent en tête pour essayer de rester dans la course , s’arrêtent pour attendre ceux qui n’ont plus assez de souffle pour suivre….Une Société dans laquelle « le care » sert de voiture balai qui ramasse les retardataires ce qui leur permet d’arriver avant ceux qui ont fait la course en tête.

Manifestement, Mémé Aubry n’est plus de son époque. Elle ne voit pas que dans l’impitoyable compétition internationale qui se déroule sous nos yeux, celle dans laquelle les européens n’ont plus aucune chance de gagner un Marathon, il n’a plus de place pour ceux qui, trainant la patte, veulent empêcher ceux qui ont encore du souffle, de courir  pour rester dans la course ….

Son projet de Société provoque, à Droite comme à Gauche, une levée de boucliers (qui n’ont rien à voir avec le bouclier fiscal !!!), et surtout un immense scepticisme.

Selon « lemonde.fr » de ce soir:

« Cette « société du bien-être », du « soin » ou du « care » (« soin » en anglais) va devenir le socle de la réflexion de Martine Aubry.  Le « care » est en fait une notion de philosophie anglo-saxonne (David Hume et Adam Smith notamment) qui se centre sur les interactions empathiques, sur le souci de l’autre. L’idée a été modernisée par le mouvement féministe américain des années 1960, devenant une forme de « moralité des femmes », une éthique particulière développée notamment par Carol Gilligan.

Cette figure du féminisme américain postulait une vision proprement féminine de l’éthique et des rapports sociaux, centrée autour de la notion de prendre soin des autres, qu’elle souhaitait enseigner à l’ensemble de la société et aux hommes. Ses travaux ont inspiré ceux de Joan Tronto, une autre universitaire américaine, qui a modernisé la notion dans Un monde vulnérable, pour une politique du care, paru en 1993. Martine Aubry s’inspire visiblement de cet ouvrage lorsqu’elle résume sa vision du « care » comme  un « autre modèle de développement économique, social et durable, mais aussi un autre rapport des individus entre eux ». (Lire « Martine Aubry cherche à redynamiser la pensée sociale progressiste« .)

La première secrétaire du PS utilise cette grille de lecture, déjà employée par Anthony Giddens, l’un des stratèges de Tony Blair, dans une tribune consacrée aux retraites et publiée dans Le Monde du 14 avril. Elle y explique qu’il faut « aller vers une société du soin » : « aucune allocation ne remplace les chaînes de soins, les solidarités familiales et amicales, l’attention du voisinage, l’engagement de la société tout entière. A ce prix, la réhumanisation de notre société prendra tout son sens », estime Martine Aubry.

Cette vision n’est pas partagée par tout le monde. Le journaliste de RTL, Jean-Michel Aphatie, lui décerne ainsi un « prix de nunucherie », fustigeant avec violence un « galimatias de bons sentiments », un « record de banalités et de poncifs au cm² », et estimant que Martine Aubry « se noie dans ces considérations pseudo-philosophiques ». Ailleurs, on note la proximité des idées de la première secrétaire avec les notions « d’ordre juste » ou de « fraternité » agitées par Ségolène Royal depuis sa campagne de 2007. »

 Marcherait-on sur la tête ???

Voici que, après les tombereaux de critiques que les Socialistes français ont adressés au Blairisme,- que les Britanniques ont fini par jeter aux orties-, Mémé Aubry faisant preuve d’une audace intellectuelle  sidérante décide de s’inspirer d’une notion tirée du féminisme… et empruntée à Tony Blair.(lemonde.fr).

Déjà quelques voix s’élèvent au Parti Socialiste, qui compte tout de même quelques individualités qui marchent encore sur leurs pieds, pour contester ce programme ubuesque.

Manuel Valls qui n’est pas décidé à prendre le Care avec Martine, est le premier à lui adresser une volée de bois vert dans un article publié dans « le Monde », dans lequel il fustige cette démarche peu crédible et surtout totalement décalée par rapport au monde dans lequel nous sommes condamnés à vivre.

Selon lui, » loin des miroirs aux alouettes et avec une éthique de vérité, il faut restaurer auprès des Français l’idée d’une autorité politique, non pas répressive et contraignante, mais bien au contraire une autorité émancipatrice capable de donner à chacun, non pas des soins, mais les moyens de se bâtir, en parfaite autonomie et en responsabilité, un présent et un avenir. Cela passera notamment par l’école, par la formation, par la santé, mais aussi par la réforme nécessaire des retraites et des comptes publics. »

Au fond la vraie question à laquelle les candidats à la prochaine élection présidentielle devront répondre est la suivante:

Est-ce qu’à l’issue de la prochaine décennie, la France fera encore partie des nations développées, toujours en course dans la compétition internationale et capable de jouer encore un rôle en Europe, ou est-ce que la France aura résolument choisi de rejoindre le gros du peloton des Pays du Care-Monde ????

 

Grosse fatigue au Parti Socialiste.


Pas de réchauffement climatique en vue au sein du Parti Socialiste.

Jean-Michel Normand, journaliste spécialisé dans les analyses concernant la vie de ce Parti, nous informe d’un » coup de froid » qui s’est abattu sur les « zintellectuels » qui animent le « Laboratoire des idées » mis en oeuvre par Marine Aubry pour rénover la « pensée » de ce Parti qui souffre d’une grosse fatigue.

Selon ce journaliste perspicace, « c’est un coup dur pour le Laboratoire des idées, qui devait être le bras armé de la remise au travail intellectuel du PS sous l’ère Aubry ; Lucile Schmid, sa vice-présidente, a décidé de claquer la porte. Ce haut-fonctionnaire de 47 ans, proche d’Arnaud Montebourg, constate « l’absence d’organisation d’un débouché politique qui aurait permis de traduire en concepts » l’activité de cette structure qui, lancée au printemps, n’a que modérément fait parler d’elle. On se disait que le « Lab », présidé par Christian Paul et chargé par Martine Aubry de jeter les bases d’une nouvelle vision de la société tout en retissant des liens avec le monde intellectuel, travaillait dans la discrétion. « En fait, il n’est parvenu à trouver ni son rythme ni sa place ni à prendre en compte la complexité du réel » assure Mme Schmid. »

L’article que l’on peut consulter à l’adresse:

http://partisocialiste.blog.lemonde.fr/2009/12/20/coup-de-froid-sur-le-laboratoire-des-idees-du-ps/#xtor=RSS-32280322

nous apprend la triste nouvelle en ces termes:

 » La démission de Lucile Schmid pose plusieurs questions. Elle renvoie en premier lieu au statut des intellectuels dans le parti montcress-600.1261344651.jpgsocialiste. Parmi les chercheurs et têtes bien faites qui avaient été convaincues de revenir dans le giron du PS, certains ont fini – bien avant sa vice-présidente – par déserter le Lab faute d’y avoir trouvé quelqu’intérêt. Tous ne sont certes pas dans cet état d’esprit mais peu d’intellos se sont jusqu’alors fait écho d’un bouillonnement idéologique du côté de Solferino. Cette défection, outre qu’elle jette une ombre sur le slogan préféré de Martine Aubry (« j’ai remis le PS au travail ») pose aussi une nouvelle fois les limites du discours sur les valeurs. Enfin, si le Laboratoire des idées du PS tarde à démontrer son utilité, n’est-ce pas précisément parce que le vrai laboratoire des idées, ce seront les primaires ouvertes ? Cette thèse, très en cour, n’est pas celle de Lucile Schmid. « Pour éviter que lors des primaires les questions de personnes prennent le pas sur les clivages politiques, il faut bâtir un corpus politique partagé par tous ; or, c’est cette mission que le Laboratoire des idées devrait être capable remplir » souligne-t-elle. »

Au Parti Socialiste, même les « zintellectuels sont fatigués »!!!

Et les plus fins limiers en matière de recherche d’un substitut à notre « modèle libéral », n’ont rien trouvé !!!!

Après tant d’années consacrées à la recherche du « nouveau modèle de Société », qui devait bouleverser notre perception de ce que devrait être la France de demain, on pouvait croire que nos « laborantains » étaient vaccinés !!!!

Et bien non !!! Voilà que par ces temps épidémiques, la machine se grippe !!! Et quand le P.S. s’enrhume, , c’est la France entière qui tousse….

Code de la route…


http://partisocialiste.blog.lemonde.fr/2009/09/27/depassement-du-ps-mode-demploi/ 

Dans « leMonde.fr » du jour:

Dépassement du PS, mode d’emploi.

« hue-et-ses-copains-600.1254079679.jpgL’ardente nécessité de « dépasser le PS » est devenu un leitmotiv, presque une tarte à la crème. Pas une prise de parole sans qu’il n’en soit question. »

 Evidemment. Tant que mémé Aubry n’aura pas tranché entre ceux qui sont pour un dépassement sur la droite (contraire au code de la route vers les Présidentielles) et un dépassement sur la Gauche ( le seul qui permettrait de ne pas se couper des « masses populaires » ), on attendra la prochaine « pelle à tarte » pour « partager la tarte à la crème »…

Le probléme c’est que certains sont déja passés à table, sans attendre le signal de mémé Aubry.

Dérapages incontrôlés….


Le dérapage de Brice Hortefeux à l’université d’été de l’UMP LEMONDE.FR | 10.09.09 | 17h02 • Mis à jour le 10.09.09 | 22h14.

http://www.lemonde.fr/politique/article/2009/09/10/le-derapage-de-brice-hortefeux-a-l-universite-d-ete-de-l-ump_1238744_823448.html#ens_id=1238747

Lemonde.fr publie une vidéo censée montrer le Ministre de l’Intérieur, prononçant une phrase considérée par le quotidien du soir comme un propos inacceptable, alors que dans le même article, la personne à qui s’adresse ce propos affirme qu’à aucun moment elle n’a ressenti le phrase du Ministre comme une marque d’irrespect.

Sur cette vidéo que s’est procurée Le Monde, le ministre de l’intérieur, Brice Hortefeux, pose pour la photo en compagnie d’un jeune militant, samedi 5 septembre, lors de l’université d’été de l’UMP à Seignosse, dans les Landes. « Il ne correspond pas du tout au prototype », plaisante M. Hortefeux en référence à l’origine arabe du jeune homme, avant d’ajouter : « Il en faut toujours un. Quand il y en a un, ça va. C’est quand il y en a beaucoup qu’il y a des problèmes. »

En effet, selon « Lemonde.fr » « Le militant UMP qui apparaît sur cette vidéo, interrogé par Le Monde.fr, refuse d’y voir un dérapage et défend le ministre de l’intérieur : « Ça a été entièrement sorti du contexte. Mon secrétaire départemental blaguait avec le ministre parce qu’il parle auvergnat et c’est de là que c’est parti. » Visiblement énervé d’apparaître ainsi sur ces images, il affirme : « C’est honteux. Je suis arabe mais il m’a tout à fait respecté, ce n’était pas du tout mal placé. Et je ne considère pas que c’est un dérapage. »

Ce genre de procédé journalistique, à rapprocher de celui qui a consisté, ces jours-ci, à exploiter le « témoignage » (spontané ? ) d’une femme qui aurait reconnu avoir été « sélectionnée » pour figurer sur une estrade au côté du Président Sarkozy en raison de sa petite taille, montre le degré de régression dans lequel cette profession s’enfonce peu à peu pour essayer d’accrocher l’audience des « gogos » pour ce qui concerne la Presse télévisée, et pour maintenir une clientèle qui se détourne de plus en plus d’une Presse écrite qui barbote dans le caniveau.

Alors que dans le même temps, d’abondants article pourraient alimenter la chronique de la vie politique française en traitant de sujets infiniment plus préoccupants. Même si la Presse y a fait allusion, le livre qui vient de sortir a assez peu excité la verve de nos éditorialistes….

      

Ce livre qui relate, entre autres, les conditions dans lesquelles Mme Aubry a été élue à la tête du Parti Socialiste, aurait pu inspirer quelque plume talent-tueuse, sur le thème de « Halmahinedjad, Karzaï¨, Bongo, Aubry: même combat« .

 Ou comment « bourrer les urnes » et « déraper » dans des méthodes dignes des Républiques bananières les plus décriées par « Le Monde », et qu’au PS (le Parti de la morale vertueuse) on n’ hésite pas à mettre en oeuvre dans la lutte pour la conquête du Pouvoir…..

Inquiétant non ?.. de la part de gens qui aspirent à gouverner la France… un jour…..

On peut lire quelques extraits de cet ouvrage croustillant sur:

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/politique/20090909.OBS0525/
holdups_arnaques_et_trahisons_le_livre_qui_embarrasse_m.html

Vide à Gauche….


Le comique italien Beppe Grillo brigue les primaires du Parti démocrate « pour combler un vide à gauche »LE MONDE | 14.07.09 | 15h57  •  Mis à jour le 14.07.09 | 15h57.

Le comique Beppe Grillo se verrait bien à la tête du Parti démocrate (PD, centre gauche), le principal parti d’opposition au président du conseil, Silvio Berlusconi. C’est pourquoi, lundi 13 juillet, il s’est présenté, en tenue de vacancier, à la permanence d’Arzachena, en Sardaigne, pour y déposer sa demande d’inscription et payer sa cotisation.

Le comique italien Beppe Grillo, le 15 mars 2008 à Rome.

En France, pour combler le même vide,  on attend, d’un moment à l’autre, la candidature aux primaires du Parti Socialiste, de Djamel DEBBOUZE…

Et ça ne fait même pas sourire Martine Aubry !!!