Vérités au-delà des Pyrénées….


 

……. » les inégalités ont augmenté de manière exponentielle, mettant en danger l’inégalité optimale, à partir de laquelle apparaît la menace de la fracture sociale.

Dans le combat entre pouvoir économique et pouvoir politique, l’économie a toujours conservé l’avantage, mais, au cours de cette crise, la soumission de la classe politique a été si flagrante qu’il est aujourd’hui très difficile de la considérer comme un contrepoids favorable à l’intérêt général.

Ajoutez à cela la sanctification légale des puissants et l’obscénité de la finance mondiale qui fait payer ses erreurs aux contribuables tout en répartissant de manière abjecte les bénéfices, et vous comprendrez mieux l’irritation ressentie par les citoyens.

Le gouvernement a perdu toute capacité à entendre le malaise social. L’opposition s’est contentée de la stratégie du « pire c’est, mieux c’est » en pariant sur le pouvoir et non sur les citoyens.

Le bipartisme – spécifique aux pays qui ont les plus grandes inégalités sociales – limite dangereusement la marge de manœuvre des citoyens. Il est donc logique que ces derniers se sentent floués et que l’idée d’une démocratie confisquée se répande….. »

Selon vous, de quel pays s’agit-il ????

On croirait lire un des nombreux diagnostics émis sur la situation française.

Erreur. Il s’agit d’un extrait d’un article paru dans le quotidien « El Pais » en Espagne et reproduit par « Courrier International ».

http://www.courrierinternational.com/article/2011/05/20/une-societe-blessee-une-democratie-en-peine

L’Espagne vient pourtant de connaître une période ininterrompue de deux législatures sous un Gouvernement Socialiste.

Le socialisme n’a pas de remède miracle à proposer à la jeunesse, du moins à celle qui ne demande pas à être infantilisée et assistée, mais qui veut travailler et vivre décemment de son travail.

Ce qui explique sans doute, le désespoir et la colère de la jeunesse espagnole, qui sait désormais, que face à la crise qui n’épargne aucun des pays européens, l’alternance n’est, hélas, pas une réponse satisfaisante.

Dans toute l’Europe, la marmite a commencé à bouillir…et c’est la jeunesse qui allume le feu qui pourrait bien mettre nos démocraties en danger.

DSK, le complot ???


La thèse d’un DSK « victime » d’un complot n’agite pas seulement les milieux proches de la bourgeoisie socialiste française, qui ne parvient pas à se résoudre à la « défaillance » fatale de celui qui, selon toute vraisemblance, était promis à un destin quasi planétaire.

On s’interroge également, dans certains milieux, à l’étranger,- et notamment en Espagne -, où un économiste distingué n’hésite pas à formuler une hypothèse basée sur les positions prises par DSK et par le FMI sur les responsabilités du dollar dans le prolongement de la crise mondiale actuelle.

Antonio Moreno développe sur son blog les thèses du FMI au regard de la situation monétaire internationale, et l’on peut comprendre que ces thèses aient pu sérieusement contrarier certains milieux financiers américains.

Ceux qui pratiquent l’Espagnol pourront en prendre connaissance directement sur son blog à l’adresse:

 http://www.elblogsalmon.com/entorno/que-oculta-la-detencion-de-dominique-strauss-kahn.

Pour les autres, j’en propose ici une traduction non littérale, mais qui permet de comprendre l’argumentation de cet économiste.

« Dans le meilleur style des films de Román Polansky, Dominique Strauss-Kahn a été arrêté à New York et obligé de descendre de l’avion qui le transportait à Berlin où il devait tranquilliser Angela Merkel pour la convaincre que le sauvetage de la Grèce ne serait pas préjudiciable à l’Allemagne, et que l’euro serait maintenu ferme et robuste étant donné la crise actuelle du dollar. Cependant, accusé de viol et d’agression à l’hôtel où il logeait, Strauss-Kahn n’a pas pu se rendre au rendez-vous avec la chancelière et est passé d’une suite à 3.000 dollars la nuit dans un hôtel de Manhattan, à une froide cellule dans une prison d’Harlem où arrivent tous les accusés de délits sexuels.

Qu’est-ce que Strauss-Kahn faisait à New York, si le siège du FMI est à Washington D.C. ? C’est une question qui pour le moment ne semble intéresser personne, ni celle de connaître les plans et réunions secrètes entre la Réserve Fédérale des États-Unis de New York et le directeur du FMI concernant le recyclage de la dette des États-Unis, dette qui hier a atteint son plafond 14,3 billions de dollars, ces deux questions sont ignorées.

Le traitement spécial que devrait avoir cette dette, conformément au plan de DSK, obligeait les États-Unis à déployer un effort énorme et à se départir de son rôle hégémonique dans le système financier international.

Dominique Strauss-Kahn a été la première autorité d’une institution avec siège à Washington D.C. à proposer que le dollar ne soit plus la devise mondiale, et à faire valoir la nécessité de posséder une devise mondiale qui n’appartienne à aucun pays et à récupérer ainsi son rôle dans l’esprit du « Bancor ».

 Pour DSK il était évident que le dollar est le problème qui complique la reprise économique mondiale, c’est une devise en voie d’extinction produite par l’endettement excessif de la première économie de la planète.

Rappelons que la dette publique des États-Unis a commencé à avoir une vertigineuse escalade dans les années 80, et que malgré son ralentissement dans les années 90, a augmenté dramatiquement de 5,7 billions de dollars en janvier 2001 à 10,7 billions de dollars à la fin de 2008 (presque le double), et à 14,3 billions de dollars en avril 2011, quand la dette publique a atteint 98% du P.I.B. du pays.

Les 3,6 billions de dollars ajoutés à la dette nationale des États-Unis depuis fin 2008, est plus du double de la valeur de marché de toute la fabrication du secteur privé en 2009 (1,56 billion dollars), plus de trois fois la valeur de marché des dépenses des professionnels, scientifiques et services techniques de cette année (1,1 billion de dollars), et presque cinq fois le montant dépensé dans des biens non durables (722 mille millions dollars).

 Les seuls intérêts payés sur la dette fédérale dans les premiers six mois du dernier exercice (octobre 2010-avril 2011), s’élèvent à mille millions de dollars, chiffre qui équivaut à plus de 40% de la valeur totale de marché de l’ensemble de la dépense du secteur privé de la construction en 2009 (578.000 millions de dollars).

À ce cauchemar d’une dette incontrôlée, les États-Unis ajoutent celui d’être le plus gros consommateur de pétrole du monde, et avec le brut à une valeur de 95 dollars le baril, sa dépense s’élève à 600.000 millions de dollars annuels et il ne peut y faire face qu’avec du papier dollar.

De là l’importance stratégique des pétrodollars, car s’ils venaient à être supprimés, la banqueroute des États-Unis arriverait bien avant. Une partie de ces possibilités sont analysés dans El origen del caos financiero y del desempleo global, y Del desorden financiero a la quiebra de Estados Unidos. Strauss-Kahn a travaillé à la démonétisation sélective du dollar des États-Unis et son objectif cherchait à faire du dollar une monnaie à usage interne aux États-Unis, abandonné la nouvelle monnaie de réserve à un taux de change très favorable au dollar interne, mais grevant les fourchettes externes du dollar. De cette manière les dettes en dollars déprécieraient, en favorisant les dettes en dollars des citoyens et des corporations américaines.

L’inflation déviée de ceci aiderait à masquer l’amortissement de la dette, et le temps ferait le reste. Le prix pour les États-Unis serait de « partager » l’hégémonie monétaire avec d’autres devises. »

DSK aurait-il rêvé de mettre fin à « l’hégémonie » américaine dans le domaine monétaire mondial ??? Aurait-il « payé » pour avoir commis un tel « crime » ???

D’autres thèses son émises par d’influents économistes tels que le Professeur Michel Chosudowsky , Professeur à la Faculté de Sciences Sociales de l’Université d’Otawa.

Michel Chossudovsky qui a enseigné dans diverses autres universités, a été conseiller économique pour divers gouvernements de pays en voie de développement et a été consultant pour des organisations internationales, dont le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), l’Organisation internationale du travail (OIT) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS). En 1999, il est devenu conseiller de la Transnational Foundation for Peace and Future Research.

Sa thèse est exposée sur le site du Centre de Recherches sur le Globalisation:

http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=24866

Il serait trop long de la développer en détail ici. Mais les lecteurs pourront se reporter à son texte intégral, en consultant le site ci-dessus ( en Anglais).

En deux mots, notre DSK serait tombé dans un piège dressé par la CIA, car il serait devenu « encombrant » par ses prises de position en conflit avec les objectifs de ceux qui « tiennent les ficelles » de la finance internationale….

Je cite:

« Strauss-Kahn is a member of elite groups who meet behind closed doors. He belongs to the Bildeberger.

Categorized a sone of the world’s most influential persons, he is an academic and politician rather than abanker.

In contrast to his predecessors at the IMF, he has no direct affiliation to a banking or financial institution.

But at the same time he is the fall guy.

 His « gaffe »was to confront the Washington-Wall-Street Consensus and push forreforms within the IMF, which challenged America’s overriding role within the organization. »

DSK membre du Bildeberger ??? Pour en savoir plus, jettez un oeil sur cette vidéo:

http://www.dailymotion.com/video/x8bwet_le-groupe-bilderberg-a-la-televisio_news

 Troublant tout cela…..

Mais, mon point de vue n’en est pas ébranlé pour autant.

Quand un homme est investi de lourdes responsabilités, justifiées par son talent personnel, ses compétences, sa dimension politique, il doit vivre chaque instant de sa vie en étant « pénétré »… de sa mission.

Ce qui ne l’autorise pas,- pour autant que l’accusation qui pèse sur lui soit fondée -, à « pénétrer », en les « troussant », les « domestiques », même lorsqu’elles sont noires et sexy !!!

Car même lorsqu’il sort « à poil » de sa douche et même si sa femme de chambre éveille en lui des pulsions malsaines, il doit pouvoir maîtriser ses bas-instincts.

Dans le cas contraire, il n’est pas apte à exercer de hautes responsabilités, et encore moins, d’être le Président de tous les Français. 

Socialisme « haut de gamme ».


« L’affaire » STRAUSS-KAHN, n’en finit pas de passionner l’opinion, à travers les « révélations » qui, à doses homéopathiques, sont déversées par des médias déchaînés, au risque de frôler « l’overdose ».

La grande bourgeoisie socialiste est désarçonnée. Comment, l’un de ses plus brillants spécimens a-t-il pu sombrer dans une telle déchéance ??? Chacun y va de sa petite explication crédibilisée par la plus ou moins grande proximité entretenue avec le sujet principal de ce drame.

Et l’on assiste, en direct, sur nos écrans, aux plus invraisemblables empoignades, entre ceux qui se prétendent ses amis, et qui d’habitude nous toisent du haut de leurs « convictions » et se comportent en donneurs de leçons, tout particulièrement sur un registre qu’ils affectionnent: celui de la MORALE.

L’émission de David Pujadas, hier soir, sur France2, destinée, entre autres, à clarifier un certain nombre d’accusations parues dans la Presse étrangère sur la complaisance des médias français à l’égard des « frasques » du personnel politique, a donné lieu à de violentes altercations, inimaginables dans un contexte ordinaire, entre Laurent Joffrain et l’une des icônes de la « Gauche Morale », l’ancien Ministre de François Mitterrand, Robert Badinter.

Ce dernier, sans doute emporté par son amicale affection pour DSK s’est lancé dans une plaidoirie passionnée pour défendre son ami, au nom de la présomption d’innocence, en omettant de citer, même une seule fois, la « victime » africaine….

Laurent Joffrain, surfant sur les réactions provoquées dans l’opinion « féministe » par cette affaire, a tenté, dans son style inquisiteur habituel, de se présenter comme un défenseur convaincu de la condition féminine bafouée par une société « machiste » dont il ne fait probablement pas partie, « lui ». Avant de se faire « moucher » par une jeune journaliste anglaise, qui, s’appuyant sur les déclarations de Jean Quatremer (citées dans un de mes précédents billets ),un ancien journaliste du Nouvel Observateur, l’a interrogé sur les raisons qui l’avaient incité à refuser de publier un article dans lequel ce dernier évoquait déjà les « fragilités » de DSK au moment où il allait prendre ses hautes fonctions au FMI. 

Puis Manuel Valls, autre invité de cette émission en direct, s’est enflammé pour dénoncer avec violence, les procès qui sont faits à la classe politique, et s’est présenté comme un défenseur convaincu de la morale en politique.

Or c’est précisément sur le plan de la morale que l’affaire Strauss-Kahn apparaît, à tous égards, comme la plus choquante.

En premier lieu, ce qui semble avoir été bafoué dans cette sinistre affaire, – si les 7 chefs d’accusation portés contre DSK se révèlent fondés, ce qui reste à démontrer -c’est un principe dont les socialistes nous rabattent usuellement les oreilles, celui du respect que l’on doit à son prochain, quelle que soit ses origines, sa couleur, et sa condition sociale.

En l’occurrence, s’il s’avère exact qu’un Socialiste, occupant une des fonctions les plus prestigieuses de la planète, le hissant au niveau des « Grands de ce Monde », ait pu tenter d’abuser,- avec ou sans violence-, d’une pauvre femme de ménage africaine, bossant dur pour élever, seule, sa jeune fille de 16 ans, cela dénote la « fragilité » des postures auxquelles ces « donneurs de leçons » patentés nous ont habitués.

 En second lieu, « l’affaire » nous révèle des informations choquantes dans un domaine où les Socialistes ne sont pas avares de critiques vis à vis de l’actuel Président de la République et de ses rapports à « l’argent ».

Or, les péripéties de la procédure en cours nous font découvrir l’ampleur de la fortune du « présumé innocent ».

Car il faut « en avoir » pour trouver en si peu de temps la possibilité de mobiliser un million de dollars pour payer la caution exigée par un juge intraitable, auxquel s’ajoute les cinq millions de dollars qui viendront en garantie du respect des engagements pris par « la défense ».

Il faut « en avoir » aussi pour payer les deux cent mille dollars mensuels nécessaires pour couvrir les frais de surveillance de celui qui restera « emprisonné chez lui ».

Et il faut en avoir sous le pied pour payer la location, « au pied levé, d’un appartement en plein Manhatan.

Toutes ces révélations ont dû profondément déplaire à un autre Socialiste, en la personne de François Hollande, candidat présumé à l’élection présidentielle de 2012.

Car François Hollande, on le sait, « n’aime pas les riches ».

C’est du moins ce qu’il affirmait, il y a déjà quelques temps, s’exposant ainsi à la curiosité de tous ceux qui rapidement, se sont mis en quête d’informations sur sa fortune et ses revenus, dont on a pu constater qu’ils représentaient des montants largement supérieurs au SMIC.

Avec l’ouverture de la campagne pour les « primaires » au Parti Socialiste, il est temps de donner, enfin, la parole au « Socialisme bas-de-gamme », en la personne de Mémé Aubry ou à défaut de Benoît Hamon.

Pour rétablir un équilibre qui semble avoir été perdu, dans la « valse éperdue » dans laquelle Strauss-Kahn a entraîné tout ce beau monde…..

DSKchoteries de journaleux.


Le choc des images vues en direct à télévision, l’invraisemblable ouragan qui ravage avec brutalité l’existence d’un homme qui semblait promis aux plus hautes destinées, provoquent, dans l’opinion, un véritable séisme.

Sur toutes les radios matinales, les commentaires fusent. La plupart s’interrogent sur ce qui a pu se passer dans le crâne d’un personnage dont personne ne conteste ni le talent, ni les grandes qualités intellectuelles.

Mais au fil des débats télévisés, les langues se délient.

Quelques coins du voile qui recouvrait,  jusqu’ici, certains aspects de la personnalité de DSK se soulèvent. Des aspects que le grand public ignorait mais que ses proches connaissaient,…. au point de s’en inquiéter.

 « L’affaire DSK » secoue aujourd’hui les médias français, habituellement très silencieux sur la vie privée des politiques en général, sauf sur celle de Sarkozy dont il faut bien dire qu’il se prêtait aux confidences les plus surprenantes sur sa vie privée dont il faisait un objet d’exhibitionnisme.  ( Safran et Domenach, journaleux chez Mariane ont même fait sensation en publiant un livre sur « Ce que Sarkozy n’aurait jamais dû nous dire » !!!!)

Jean Quatremer, correspondant de Libération à Bruxelles, nous révèle ces jours-ci, qu’il était l’auteur, en 2007, d’un billet sur son blog, évoquant « le point faible » de Dominique Strauss-Kahn avec les femmes, qu’ il décrivait comme « trop pressant (…) et frôlant souvent le harcèlement ».

« A l’époque, je disais tout ce que tout le monde savait de DSK qui risquait de déraper aux Etats-Unis mais personne n’a enquêté, les journalistes américains étaient sidérés », ajoute-t-il, en dénonçant les « tabous » et la « frilosité » de journalistes qui « n’ont pas osé en parler de peur de déplaire » et ont utilisé la « vie privée comme cache-sexe de leur lâcheté ».

« L’affaire DSK » , faisant suite aux silences qui ont accompagné, pendant des années, la double vie de François Mitterrand, montre que les médias français ont sur ce point des « valeurs » à géométrie variable.

On est en droit de s’étonner , par exemple, du silence d’une feuille de chou comme Médiapart, dont le fond de commerce repose sur des « révélations » à sensation: il y avait, sur DSK une abondante matière à « révélations » croustillantes.

Ainsi on apprend, par exemple, dans le fil d’un débat télévisé auquel participait hier soir sur France3, l’incontournable Edwy Plenel, que la plupart des journalistes présents n’ignoraient pas que DSK avait – entre autres – la faiblesse de fréquenter des « clubs échangistes », ce que les Renseignements Généraux n’ignoraient pas non plus, pas plus que la CIA qui dans ce domaine, possède de fins limiers…. 

On comprend mieux alors, les allusions de certains proches de Sarkozy, qui prétendaient avoir des « munitions » en réserve, capables de « détruire » leur cible au cas où la candidature de DSK deviendrait une menace réelle pour Sarkozy…..

Tout cela s’ajoute à notre perplexité devant une affaire « sidérante » ( c’est le terme le plus souvent employé dans les commentaires ). D’autant plus « sidérante » que DSK lui même n’ignorait pas que ces « faiblesses » pouvaient constituer une menace, dans le cadre d’une éventuelle campagne électorale dont la dureté n’épargnera personne…..

Parmi ceux qui ne peuvent se résoudre à accepter la chute vertigineuse de DSK, il y a les éternels obsédés du complot. Selon eux, DSK n’a pu que tomber dans un piège.

A supposer que cette hypothèse, assez invraisemblable, soit fondée, on est en droit de s’interroger sur l’inconscience d’un homme qui se savait menacé par de redoutables adversaires, et qui est tombé dans un « piège » aussi grossier que celui qui lui aurait été tendu dans la suite 2806 du SOFITEL de New-York…..

PS: Après avoir réalisé un film « tiroir-caisse » présenté au Festival de Cannes, sur « l’ascension » de Sarkozy, le même réalisateur sera peut-être inspiré par l’extraordinaire destin de DSK et par sa « descente aux enfers »non moins spectaculaire…..

Car il y a là, matière à écrire le scénario du vrai roman (noir !!!) de la vie de DSK !!!

Avec en prime, une séquence inédite digne de la série des « Experts »de TF1, avec prélèvement d’ADN et analyse de sperme !!!!

Retenue, dignité, etc….


En écoutant les commentaires déconfits des pontes du Parti Socialiste sur le sidérant « accident de parcours » survenu dans le cheminement de DSK vers les sommets de la République, je suis frappé par le martèlement des mots utilisés à la façon d’un bouclier contre la menace d’une exploitation, par la Droite, de la situation « abradabrantesque »dans laquelle se trouve désormais « l’ex- favori des Français » dans les sondages…..

Retenue, dignité, discrétion, respect de la présomption d’innocence, compassion à l’égard de celui qui,- si les accusations portées contre lui sont fondées-, semble avoir une fois de plus « pété un plomb » devant une belle paire de fesses. Tels sont les termes qui reviennent le plus souvent.

Retenue….. comme si le Parti Socialiste avait pris des gants pour pilonner la cible qui l’obsède depuis deux ans et demis.

Pour, avec la complicité d’une Presse soit-disant « acquise à Sarkozy », le traiter comme si son élection avait été illégitime, le dénigrer de façon indigne, en multipliant les coups-bas, en s’attaquant à sa personne, à ses origines, et à sa famille, sous prétexte que le personnage s’y prêtait complaisament.

Le tout avec une sorte de rage qui avait été épargnée, malgré ses frasques, à François Mitterrand, protégé par une cour de « tontonmaniaques »….

Quand au respect de la présomption d’innocence à l’égard de ceux qui, proches du pouvoir, étaient en difficulté judiciaire, les socialistes s’en sont largement dispensés……

On sent bien, à travers tous les commentaires entendus, combien la Gauche est mal à l’aise devant les usages et les pratiques du système judiciaire américain, qui à l’inverse du système français, est plus orienté vers la protection des victimes présumées que vers celles des suspects contre lesquels le « système accusatoire » s’applique quel que soit le statut social de celui qui est poursuivi.

 

Les images d’un DSK menotté, livide, encadré sans ménagement particulier, par deux policiers ont choqué les Elisabeth Guigou, ancienne Ministre de la Justice socialiste ou les Martine Aubry, les Manuel Valls, et bien d’autres. On peut le comprendre. 

Ces images pathétiques vont avoir un terrible impact sur l’opinion française. Un impact que les politologues s’efforcent déjà d’évaluer ….. 

Les commentaires de la Presse internationale sont ravageurs pour l’image de la France, cette France de Gauche qui est toujours à la pointe des défenseurs de la Morale en politique.

Il suffit de parcourir les journaux italiens, espagnols, sans parler de la Presse grecque qui se défoule en commentaires vengeurs sur celui qui symbolise le régime de rigueur d’une sévérité exceptionnelle imposé par le FMI et par l’Europe à ce pays qui avait sombré dans la fraude et l’assistanat généralisé.

Même si on est tenté d’éprouver, vis à vis des faiblesses de cet homme, une certaine indulgence, comment s’attarder sur son sort pathétique en passant sous silence celui de sa « victime » ???

Cette jeune Africaine va devoir, elle aussi, supporter les graves conséquences de cette lamentable affaire.

A ce propos, tenter d’abuser d’une jeune femme de couleur, est-ce bien digne d’un « socialiste » ???

Festival de Kahn à New York….


La stupéfiante nouvelle diffusée ce matin par les médias, les commentaires qu’elle suscite venant de tous les horizons politiques, bouleverse l’opinion.

Les opinions les plus modérées oscillent entre le doute, le respect de la présomption d’innocence, et l’embarras.

L’image de l’homme d’Etat solide, compétent, jouissant du prestige que lui confèrent ses fonctions de Haut Fonctionnaire International s’écroule soudain.

Prêt à copuler en toute circonstance, DSK avait déjà une solide réputation de dragueur.

Et l’on se pose des questions: qui est Dominique Strauss-Kahn??? qui se cache derrière la façade de l’homme respectable ??? Une fine braguette ???, un malade du sexe ???,un personnage imbu de son importance au point de croire que toutes les femmes ne rêvent que de coucher avec lui, et qui pense que son « statut » le met à l’abri de toutes les conséquences de ses incroyables dérapages ????

A supposer que cette affaire de tentative de viol d’une femme de chambre dans un Sofitel New-Yorkais se dégonfle comme une baudruche,- ce que l’on peut souhaiter à l’intéressé, pour qui elle aura des répercussions catastrophiques sur sa vie familiale et personnelle -, il faut s’attendre à ce que d’autres « affaires »du même genre remontent à la surface.

L’épisode de la « romance »avec « la Hongroise » et celui de la journaliste attirée dans une sorte de piège par DSK, et qui a failli connaître un sort comparable à celui auquel la femme de chambre du Sofitel a échappé, et dont on trouve facilement le témoignage sur YouTube, ne manqueront pas d’être évoqués, après avoir été longtemps étouffés.

 

Déjà, la presse internationale prend les devants: le quotidien belge « Le Soir.be » reproduit la vidéo qui relate dans le détail cet « exploit » du « French Lover » le plus titré de la planète.

Les Italiens se gaussent: Berlusconi est, certes, un « chaud lapin », mais lui au moins, il paie pour réaliser ses « fantasmes ». Il ne « viole » pas.

DSK aura plus fait, en un jour, pour le « prestige » de la France dans le Monde, que Sarkozy en deux ans, avec ses « gesticulations » planétaires.

Dans un précédent billet  j’avais évoqué le « cas DSK ».

Je prédisais que compte-tenu du sort qui a été réservé à Sarkozy par ses adversaires et par les médias, pendant la campagne électorale de 2007 et après son élection, il fallait s’attendre au pire pour le traitement de son adversaire.

 Je prétendais que ceux qui s’imaginaient que DSK échapperait aux coups bas, pendant la campagne à venir, se faisaient des illusions.

Si la plainte de cette femme de chambre appelée à passer à la postérité,- un peu comme la belle Monica Lewinsky qui gratifia d’une pipe célèbre un Président des Etats Unis en exercice-, se révèle justifiée, nous ne sommes plus en présence d’un « coup-bas » mais d’un K.O définitif…..

La Porsche  » du proche » risque de se transformer en Corbillard.  

De mal en pisse….


 

http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/05/09/relaxe-pour-l-internaute-qui-avait-brule-et-urine-sur-le-coran_1519028_3224.html

Le parquet de Strasbourg a requis, lundi 11 avril, trois mois de prison avec sursis et mille euros d’amende à l’encontre d’un homme de 30 ans poursuivi pour provocation à la discrimination, après avoir brûlé un exemplaire du Coran et uriné sur le livre. Le tout avait été diffusé sur Internet. Le tribunal correctionnel a rendu son jugement le 9 mai, et le « coupable » a été relaxé.

Ernesto Rojas Abbate, habitant Bischheim (Bas-Rhin), s’était « amusé » dans une émission diffusée par webcam sur le site blog-video.tv le 2 octobre 2010 à faire un avion avec les pages d’un coran, à le projeter sur des verres représentant les tours du World Trade Center, à y mettre le feu, puis à brûler le livre et à uriner dessus « pour éteindre les flammes ».

Il a été poursuivi pour provocation publique à la discrimination nationale, raciale ou religieuse, un délit passible d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende.

La LICRA s’est portée partie civile.

Ainsi, donc, représenter le Christ baignant dans l’urine, c’est une oeuvre d’art, et quiconque s’avise de s’en plaindre est considéré comme un bigot attardé.

Mais gare à qui pisse sur le Coran !!!!

Fort heureusement, il reste encore, en France, quelques juges qui ne sont pas totalement dépourvus….de jugement !!!

Blanc ne laverait donc plus blanc ???


Selon le « figaro.fr » du jour, Laurent Blanc serait sur le point de démissionner de ses fonctions d’entraîneur de l’équipe de France.

http://www.lefigaro.fr/equipe-de-france-de-football/2011/05/07/02016-20110507ARTSPO00397-demission-de-laurent-blanc.php#xtor=RSS-216

Le déferlement hystérique de commentaires, abondamment médiatisés,  provoqué par la pseudo-affaires des quotas, l’a profondément affecté, ce que l’on peut comprendre.

Critiqué durement, même par certains de ses anciens compagnons de la glorieuse équipe des Bleus, qui à cette occasion se sont montrés bien plus inspirés par un souci d’afficher une « solidarité »et une identité de vue fondée sur des critères communautaristes, que par le souci de défendre un camarade emporté dans une tourmente qu’il ne maîtrise plus, Laurent Blanc serait sur le point de « rendre son tablier »….. 

On ne peut que l’approuver.

Cette affaire, venant après le scandale de l’Afrique du Sud, a été ourdie par des apprentis sorciers, paranoïaques et provocateurs vis à vis de ceux qui ne partagent pas leurs conceptions du football et encore moins de la société française.

Leur pseudo-antiracisme s’apparente à un racisme à rebours qui commence à exaspérer bien des Français.

Ce psychodrame va laisser des traces profondes et durables, non seulement dans le monde du football, mais également dans l’opinion.

Sur ce plan, on peut dire que la bande des « post-trotskystes » de Médiapart, sous la conduite d’Edwy Plenel, aura réussi son coup: faire parler de Médiapart, pour remplir son tiroir-caisse.

Ce média en ligne est en train de « doubler » le « quotidien de révérence »de la Gauche bobo, sur son terrain favori, celui des polémiques à sensation concernant la société française, dont ils rêvent de mettre le modèle à bas, quittes à utiliser les pires méthodes, celles qui leur sont inspirées par leur « culture »politique.

La démission de Laurent Blanc qui semble avoir été l’un des objectifs visés par « Médiapart », aurait des conséquences catastrophiques sur l’avenir des « Bleus, et, à quelques mois de rencontres qualificatives en vue de la Coupe d’Europe plongerait le football professionnel français  dans un gouffre » abyssal » ( pour reprendre une expression du Figaro.fr.)

Quel sélectionneur acceptera de prendre la suite de Laurent Blanc, sachant que l’héritage est si lourd que chacun de ses choix en vue de constituer une sélection, sera passé au filtre des commentaires plus ou moins orientés, et plus ou moins inspirés par des considérations ethno-communautaires ???

L’équipe de France risque de devenir, et pour longtemps, non pas un élément rassembleur des Français, mais un révélateur des fractures profondes dont souffre désormais la société française, menacée par un communautarisme agressif, par l’absence de dialogue et par l’intolérance à rebours de ceux qui semblent enfermés définitivement dans une forme d’autisme dangereuse.

Car, il est interdit de débattre, dans une Institution telle que la FFF, du problème posé par des générations entières de jeunes formés à grands frais dans les centres techniques nationaux, dont la double nationalité s’acquiert de façon automatique en raison de leurs origines familiales ( la nationalité marocaine, par exemple, se transmet de père en fils et ne se perd jamais, et aucun marocain ne peut y renoncer ).

 De même, il est interdit de prononcer certains mots, tels que celui de « quotas », que l’on n’hésite pourtant pas à évoquer, et à mettre en oeuvre au mépris de principes fondamentaux de la République, dès lors qu’il s’agit de permettre à certaines catégories de Français de disposer de dispenses leur ouvrant l’accès à Sciences Po ou à l’ENA par la porte de derrière…. !!!

Ces interdictions proclamées par les « belles âmes »se multiplient, et ceux qui ne s’y conforment pas sont passibles de l’insulte suprême qui, de nos jours, a remplacé le qualificatif déshonorant de fasciste utilisé dans le passé pour neutraliser les opinions « déviantes ».

Celui qui est qualifié de « raciste » par les « Tribunaux de la Pensée »devient un pestiféré avec qui il n’est plus possible de débattre de rien !!!

Et une société où il n’est plus possible de débattre est une société qui, peu à peu, cesse d’être une société démocratique.

Sortir de la crise du foot….


 

Une idée m’est venue ce matin en me rasant, et en écoutant dans ma salle de bain, les commentateurs de « la crise des quotas », sur les radios nationales.

Il faut absolument mettre fin au malentendu créé par la phrase imprudente de Laurent Blanc déplorant la sélection préférentielle, dans les centres de formation des jeunes footballeurs, de grands blacks « maouss-costauds », au détriment des « blancs rikiki », désavantagés par leur gabarit.

Alors, pourquoi ne pas inverser la tendance pendant quelques années, en attendant de trouver un équilibre, grâce au métissage en cours de la population française ????

Je suggère, dans un but d’apaisement, que le rééquilibrage se fasse en privilégiant désormais, le recrutement de « grands blonds » costauds et de « petits blacks » intelligents !!!!

C’est une suggestion qui devrait rencontrer l’agrément de tous ceux qui voient de la discrimination et du racisme partout…..Une suggestion qui devrait pouvoir mettre tout le monde d’accord, non ?????

A moins que la « police de la pensée », qui désormais, sanctionne même « l’humour noir », ne s’y oppose…..

Le Bide des Bleus: « Black, Blanc, Beur » c’est Bidon !!!!


Au lendemain de la victoire des « Bleus » en Coupe du Monde, on nous a rabattu les oreilles à propos des vertus d’une équipe exemplaire et symbolisant la fraternité dans « le respect des différences ».

Excellente occasion pour les fanatiques du « métissage »de développer leur propagande naïve et agressive à la fois, en faveur d’une France dont ils rêvent, une sorte de « Brésil à la française »avec une bonne dose d’islamisme vaguement modéré, et qui ferait de notre pays l’un des phares d’un Occident orientalisé….

L’affaire des « taupes » dont on n’a pas fini de mesurer les ravages sur ce qui reste du football français, fait tomber un à un les masques de cette escroquerie d’intellectuels des beaux quartiers aveuglés par des convictions idéologiques qui ne leur permettent même plus de percevoir les réalités du « bide » monumental, en France comme dans la plupart des pays européens, d’un sacro-saint « multiculturalisme » érigé en dogme, et défendu par une légion d’ayatollah, chargés d’exercer une sorte de « police de la pensée ».

Les prises de position des Thuram, Vieira et consorts qui n’ont d’autre objet que celui de déstabiliser leur ancien coéquipier Laurent Blanc, aux quelles répondent en choeur, les Lizzarazu, les Dugarry, et autres Desailly, et les anecdotes qui fusent à cette occasion sur l’ambiance des vestiaires après la victoire des Bleus, entre autres, montrent que l’entente harmonieuse qui régnait au sein de cette équipe n’était que « bidon »…..

A vrai dire, si cette entente de façade a pu tenir jusqu’à la finale fastueuse, c’est parce que René Jacquet a su, avec un mélange de souplesse et d’autorité, éviter tout dérapage et surtout maîtriser les égos les plus capricieux et les plus excessifs.

Les premiers symptômes du mal sournois qui finira par ronger cette sélection apparaissent au lendemain des premiers « exploits » de « l’équipe de Domenech ». Ce dernier avait su, par un discours lénifiant qui ne trompait que les naïfs, jeter un voile de brume sur une réalité qui n’échappait pourtant pas à certains observateurs de la Presse sportive étrangère.

J’ai reproduit, en 2008 sur le blog que je tenais sur le site du Monde, un article paru dans la Presse espagnole, dans un quotidien sportif qui est l’équivalent de l’Equipe en Espagne, et qui était intitulé « Francia: el poder negro ». Traduire: Equipe de France, « le pouvoir noir ».

Mon billet avait été « censuré » par les « modérateurs » du quotidien « de révérence ». Quand à l’article en question, il est trop long pour que je puisse le reproduire ici.

« Por que los franceses son todos negros?
Me refiero a la seleccion francesa, son todos negros, o la mayoria por lo menos y el mejor jugador de la historia de Francia es musulman o sea todo bien es un groso pero pero.. encima el negro Henry  …etc… »

  Cet article montrait clairement que, pour les observateurs étrangers avertis, il y avait belle lurette que Domenech n’avait plus la main sur son équipe ni la  liberté de constituer « sa » sélection, car il devait avant d’annoncer le choix d’un joueur, obtenir l’accord de ceux qu’on appelait alors pompeusement « les cadres » de l’équipe, entendez Thierry Henry, Wiliam Gallas, Lilian Thuram, et Vieira, et un peu plus tard, Anelka auquels s’était joint Ribéry, qui réfutaient certains joueurs sur des critères qui n’étaient pas exclusivement sportifs.

De faiblesses en faiblesses, de concessions en concessions, Domenech a ainsi perdu toute autorité au sein de l’équipe de France. La crise a atteint son apogée en Afrique du Sud avec les conséquences que l’on connaît.

Entretenue par l’inexistence de la Fédération Française de Football, qui a fermé les yeux, paralysée par un tissus de relations de type mafieux, aggravée par l’incompétence de dirigeants plus préoccupés à faire fructifier le pactole financier sur lequel la médiatisation des Bleus l’avait installée, que par la défense et la promotion des valeurs du sport dont l’équipe nationale aurait dû être la vitrine, la crise devait un jour où l’autre exploser.

C’est fait. Il est vraisemblable que la perspective d’élections nationales destinées à renouveler « l’appareil » fédéral a accéléré le processus.

Les « taupes » ont fait le reste.

Mais tous ceux qui, se démasquent en dénonçant, dans une crise d’hystérie collective, le « racisme » du football français auront bien du mal à convaincre les observateurs avertis de la sincérité de leurs gesticulations: il suffit de se référer à la composition des équipes en Ligue 1, et à celle de la séléction nationale pour constater que « la couleur » y est bien plus représentée que le « blanc »…..

La reconstruction du football français sera douloureuse, longue et difficile, car la situation actuelle est explosive: le ras-le-bol a atteint un seuil critique dans les deux camps. 

On est en droit de se demander, vu les réactions provoquées par cet épisode grotesque, si la France ne va pas sous peu se diviser en deux: d’un côté ceux qui sont décidés à se battre pour exercer leur droit à la liberté de pensée et d’expression, et à celui de pouvoir aborder tous les problèmes, y compris ceux qui dérangent les « paranos » du racisme, et de l’autre ceux qui voudraient imposer avec des méthodes dignes des régimes totalitaires, incluant l’intimidation, la délation, la menace, une « pensée unique »et un modèle de société que beaucoup de Français rejettent. 

Ceux qui réclament, à juste titre, que la reconstruction du Football français s’opère dans la transparence, ont raison.

A une seule condition, c’est que la transparence soit la règle pour tous et dans tous les domaines.

Ce qui réservera bien des surprises…..