Faux-culs, faucons….


Sanglot

https://youtu.be/44vzMNG2fZc

Les observateurs, s’interrogent. Sommes-nous en train d’assister, à la fin de « la Fin de l’Histoire »???. Sommes-nous en train de vivre un retournement majeur de l’opinion ??? Sommes-nous en train d’assister à une prise de conscience de la société insouciante, festive, libertaire, celle de la « jouissance sans entraves » que nous ont léguée les « révolutionnaires de Mai 1968. Une Société soudain sidérée devant la gravité des dangers qui la menacent…

Je n’en suis pas sûr. Malgré quelques symptômes tels qu’une prise de conscience identitaire soudaine, répondant à une menace qui s’en prend à « ce que nous sommes ». Des symptômes qui se traduisent, entre autres, par une propension à hurler les premiers couplets de la Marseillaise, un peu partout, dans les stades, sur les lieux où se sont déroulés des évènements tragiques, traduisant le réel besoin qui s’exprime dans la jeunesse, de retrouver un semblant d’Unité Nationale….

Ce qui me paraît certain, c’est que ceux qui étaient prêts à « brader » notre identité, à accepter de remettre en question les valeurs qui fondent notre civilisation, notre culture, nos traditions, au nom d’un « vivre ensemble » fantasmé, en fermant les yeux sur tout ce qui pouvait remettre en question leurs certitudes naïves, tous ceux-là sont ébranlés, soudain, par la brutalité des faits.

Car « les faits sont têtus »!!! (Je crois que l’on peut attribuer cette maxime à un certain Michel Rocard…)

A force d’auto-critique, de repentance, « justifiées » par notre « culpabilité post-coloniale », incitant l’homme occidental »à de lourds « sanglots » en raison de ses turpitudes supposées, nous avons perdu le sens de la mesure des dangers qui menacent une civilisation: la nôtre, dont la richesse comparée à celle du monde qui l’entoure suscite des convoitises de la part de ceux qui, profitant de notre « culture de l’excuse » justifient l’horreur et la haine qui les inspire par une sorte de légitimité victimaire, qui se nourrit de notre propre contrition….

On a soudain le sentiment de l’effondrement de tout le bloc de valeurs qui nous sont assénées par ceux dont les « convictions »obscurcissent les esprits:  le culte de la différence, du métissage, de la mixité, associé à une sorte d’altruisme dévoyé au point de valoriser « l’Autre » au détriment de nous-mêmes, comme si nous devions absolument nous rabaisser afin que l’autre ne se sente pas inférieur, a envahi nos sociétés, jusque dans son système éducatif….

Et tout aussi soudainement, une époque s’achève.

La Gauche française est contrainte à un de ces « retournements de veste » dont elle a le secret.

J’ai connu l’époque où un certain François Mitterrand proclamait que « l’Algérie c’est la France », l’époque où il envoyait l’Armée française combattre « les rebelles »et faisait guillotiner les auteurs d’attentats terroristes en Algérie, ce qui n’a jamais empêché nos socialistes de faire comme s’ils étaient, depuis toujours, à la pointe de « l’anti-colonialisme ».

Tous ceux qui dans les années 50 dénonçaient le « colonialisme » de l’Occident, en omettant d’évoquer la politique coloniale de l’Union Soviétique et vouaient un culte au Stalinisme et aux « lendemains qui chantent » du catéchisme marxiste, et leurs héritiers, sont les mêmes à nous jouer la mélodie du « vivre ensemble », avec le même aplomb …sauf que leur crédibilité en a pris un coup …..

La Gauche des « faucons » d’aujourd’hui tente de faire oublier qu’elle raillait, il n’y a pas si longtemps, la « politique sécuritaire » défendue par la Droite. Tout comme elle raillait ceux qui s’inquiétaient des angoisses identitaires des Français, Tout comme elle jugeait « irresponsable » de toucher une seule ligne du traité de Schengen : la « libre circulation » qui faisait partie des totems sacrés de l’Europe est en train de voler en éclats à la demande pressante de notre « sinistre de l’Intérieur ». L’éventualité d’un retrait de la nationalité française aux bi-nationaux impliqués dans des actes de terrorisme ou ayant choisi de combattre contre la France était considérée, il y a encore peu de temps, comme une hérésie, « contraire à nos valeurs », etc….

Déchoir

Tous ceux qui applaudissaient à ces balivernes en ont le souffle coupé !!!

La négation de l’autorité, la sacralisation de « l’interdit d’interdire », les fanatiques du « ni Dieu, ni maître », de la haine de ce que nous sommes, du rejet des traditions, le mépris envers ceux qui attachaient à la Marseillaise la valeur symbolique de l’attachement à la Nation, sont en train de sombrer. Balayés par un peuple qui dans ses profondeurs a compris que l’on s’attaquait là au socle de ce qui fait de nous des Français attachés à leur Patrie.

L’univers mental fait d’un mélange d’angélisme, de foi aveugle dans un progressisme dont nul n’est plus capable de nous dire où il nous mène, est en train de se dissoudre, emporté par la nécessité de regarder le monde en face et de l’affronter tel qu’il est et non pas tel que nous l’aurions rêvé.

J’admire l’extraordinaire capacité des Socialistes français à retourner leur veste et à changer de coquille à la manière des homards….

Plus à droite que la Gauche française, tu meurs aujourd’hui.

Même Marine Lepen en a le bec cloué. Quand à la Droite républicaine, elle se sent dépouillée de ses idées, de ses velléités de ponte d’un programme, puisqu’elle n’est déjà plus dans l’opposition: baillonnée par la mise en demeure d’adhérer à l’Union Nationale avec ceux qui ont tout fait pour diviser le pays !!!

Nous vivons une époque curieusement intéressante, si ses perspectives n’étaient tragiques….

Vivre ensemble….


AimerLe « vivre ensemble » est une expression récente, apparue avec la « novlangue »et son cortège de mots « tabous ».

Il y a ceux qui sont « sanctifiés » par le clergé de la bien-pensance, et ceux qui sont « diabolisés », car ils véhiculent des « idées coupables » et « contraires » aux « valeurs » qui appartiennent au « bric à brac » de principes, et de préjugés que la Gauche s’est fabriqués au fil du temps. Des mots qui sont menacés de disparaître de nos dictionnaires. Car, on l’a bien compris, désormais, pour « tuer l’idée », il faut « tuer le mot » qui la véhicule…

Les « idées » de Gauche, elles, sont défendues avec une âpreté sectaire et agressive par une pseudo-intelligentsia. Elles ont fini par déteindre sur celles de la Droite républicaine »au point d’avoir rendu son message politique si ambigu, qu’elle a incité un nombre croissant de sympathisants de la Droite à se rapprocher du Front National…

Un « rapprochement » qui n’est pas sans ambiguïtés, à son tour, car si beaucoup de ces « transfuges »partagent certaines prises de position du Front National, notamment sur les problèmes de société, ils sont loin d’en partager sa doctrine économique, considérée comme incompatible avec un environnement mondial qu’elle semble ignorer.

C’est cette problématique qui rend hasardeuses toutes les tentatives de prévisions quant à celui,- ou celle -, qui sortira vainqueur de l’élection présidentielle de 2017.

Quel qu’en soit le résultat, cette élection aura des conséquences profondes sur l’avenir de la société française, qui n’en déplaise à certains, se « droitise » à vive allure….

Notre société, traversée par de profonds courants antagonistes, entretenus,  notamment, par « le défi migratoire » et par une présence que nul ne songe plus à occulter,- après avoir trop longtemps tenté de la minimiser -, de « communautés »exogènes issues de plusieurs décennies d’une immigration dont on continue à sous-estimer dangereusement l’influence qu’elle aura sur la vie politique future du pays.

Mais pas seulement dans la vie politique: car contrairement au discours naïvement généreux de certains – et parmi ceux-ci, rares sont ceux qui vivent au contact quotidien avec les « nouveaux venus » – c’est l’homogénéité de la société française qui est menacée…

S’il est exact d’affirmer que la France n’est plus un pays de race blanche et de culture judéo-chrétienne, – ce qui a sans doute échappé à cette pauvre Nadine Morano -, peu de gens mesurent aujourd’hui les menaces qui pèsent sur notre paix sociale, et qui vont s’aggraver avec l’arrivée inévitable de nouvelles couches d’immigrants venus du Proche-Orient, qui vont aggraver l’hétérogénéité de la société française.

Les « généreux », partisans d’un accueil sans limite de populations qui fuient autant la misère et la mauvaise gouvernance de pays « libérés » de la Colonisation, que l’insécurité et l’absence de perspectives d’avenir, ignorent tout d’un monde arabe, qu’ils voient, à travers la littérature « orientaliste », comme un espace uniforme d’exotisme,- façon « Mille et Une Nuits »-, mais qui transporte dans son maigre bagage, sa culture, ses tabous, ses préjugés et bien d’autres spécificités inspirées par de dangereuses exégèses du Coran, qui ne tarderont pas à devenir problématiques, au pays de « Droits de l’Homme »…

 Ecoutez la voix de Jacques Julliard, un intellectuel de la Gauche réaliste : « Mon pari est que les musulmans français choisiront le statut français et pas le statut islamique »… Douce illusion, mais dont les conséquences seront tragiques.

Les progrès de notre civilisation européenne, qui sont le fruit d’une longue et douloureuse histoire, nous ont permis de bannir les dangers de guerre civile. La République a réussi à devenir un ciment efficace entre ses citoyens, et nous a permis jusqu’ici, du moins, à échapper aux risque d’un communautarisme étranger à notre culture.

Il n’en est pas de même pour les peuples qui arrivent massivement en Europe et dont une partie choisira de s’établir en France.

Ces peuples ont été habitués, depuis toujours, à vivre au sein de communautés tribales, religieuses, ethniques, structurées qui leur confèrent des identités spécifiques, s’opposant parfois les unes aux autres dans des conflits sanglants, et souvent contraintes à « vivre ensemble » par la main de fer de dictateurs, ceux-là mêmes dont la disparition a permis l’émergence de l’Etat Islamique…..

Chacun conçoit le représentant d’une communauté autre que la sienne comme un ennemi potentiel, non comme un concitoyen. Le « surmoi qui obligerait à vivre fraternellement avec les Autres ne s’est pas construit, et nous ne sommes coupables en rien de ce ratage proche-oriental ».( Causeur).

La doxa actuelle, répandue par la Gauche française consiste à mettre sur le dos de l’Occident, les malheurs de l’Orient et nous condamne, depuis des décennies à nous auto-flageller, secoués par l’immense « sanglot de l’homme blanc »…

L’attitude accusatrice et culpabilisatrice des « immigrationistes » dispense ces derniers de s’interroger sur ce que les nouveaux arrivants transportent dans leurs bagages.

Or, ce qui pèse le plus lourd dans leurs bagages, c’est ce communautarisme qui est à l’origine des guerres sanglantes que se livrent, en Syrie, en Irak, au Yemen, et dans tout le Proche-Orient, des communautés ethniques, ou religieuses, qui ont renoncé à vivre paisiblement ensemble, depuis des lustres….

Nul doute que ces « spécificités » ne tarderont pas à s’exprimer et à s’ajouter aux difficultés que rencontre la France, dans la réalisation du rêve enfantin que constitue « le vivre-ensemble »….

Personne n’a relayé, ni entendu l’avertissement de l’archevêque  de Mossoul (Irak), Mgr Amel Shimoun Nona, s’adressant aux Occidentaux : nos prétendues valeurs ne sont pas les leurs…

Il faut avoir vécu, ou voyagé dans ces pays arabes pour savoir à quel point, les moeurs, les traditions et même la culture sont différents. Il faut savoir que lorsqu’un Algérien s’adresse à un Syrien, il lui est difficile de se faire comprendre car, paradoxalement, ils ne parlent pas tout à fait la même langue….alors que chacun d’eux est convaincu de parler arabe, la langue du Coran.

Les « lendemains qui chantent », et l’hymne au « vivre ensemble »n’ont pas fini de nous réserver des surprises !!!!

Les exemples du Liban, du Kosovo, de la Tchétchénie, parmi beaucoup d’autres, sont là pour nous inciter à la vigilance et à nous préparer à des jours difficiles.

Zemmour, Houellebecq, avec ou Sansal ???


BoualemBoualem Sansal est un écrivain algérien,  romancier et essayiste, censuré dans son pays d’origine à cause de ses positions très critiques envers le pouvoir en place. Il vit néanmoins toujours en Algérie, considérant que son pays a besoin de la présence des artistes pour ouvrir la voie à la paix et à la démocratie.

Boualem Sansal fait partie des écrivains algériens dont j’ai toujours suivi le travail d’écriture, et ce, depuis de nombreuses années. C’est un écrivain courageux, – ils ne sont pas légion à l’époque où, partout, le « politiquement correct » envahit l’édition -,et ses prises de positions lui ont valu d’être limogé du poste de Haut Fonctionnaire au Ministère de l’Industrie algérien.

Ce diplômé de l’Ecole Nationale Polytechnique d’Alger, titulaire d’un Doctorat en économie, s’est consacré depuis à l’écriture et on lui doit une oeuvre abondante, et de nombreux ouvrages, interdits de publication en Algérie, ont été sanctionnés par des Prix Littéraires, en France et en Europe.(1)

Le dernier ouvrage que j’ai lu de lui m’avait passionné. J’y retrouvais l’expression de sentiments, des révoltes que j’avais moi-même éprouvés, de l’autre côté de la barrière qui s’était dressée entre nous, depuis que la terreur dressait nos deux communautés l’une contre l’autre…. « Rue Darwin », pour lequel il avait reçu le Prix du Roman Arabe, est l’histoire d’une famille prise dans la guerre d’Algérie. Dans ce livre, le personnage de Yaz est, en fait, une projection de Boualem Sansal lui-même. A noter que la rue Darwin, à deux pas de chez moi, dans un quartier populaire, est une rue où l’auteur a vécu dans son enfance, tout près de la maison où a vécu la famille d’Albert Camus.

Boualem Sansal

Ce petit rappel destiné à « situer » Boualem Sansal, l’un des meilleurs écrivains algériens de langue française de sa génération, permet de mesurer l’impact qu’aura le brûlot qu’il vient de publier, et dont je doute qu’il reçoive un accueil chaleureux des médias français.

Car dans ce livre, il développe exactement la même thèse que celle qu’on défendue  Zemmour et Houellebecq : selon lui, l’Europe, tétanisée par la peur, ligotée par ses propres « valeurs », passera sous contrôle islamique autour de 2084 !!!

Je n’ai pas encore lu cet ouvrage, qui vient de sortir et que je vais tenter de me procurer. Mais d’ores et déjà, on trouve, dans la Presse algérienne, les premières réactions qu’il suscite. Je vous en laisse juge:

http://www.elwatan.com/culture/nouveau-roman-de-boualem-sansal-l-islamisme-prendra-le-pouvoir-en-europe-en-2084-20-08-2015-301903_113.php

Je cite:

« La mondialisation va conduire l’islamisme au pouvoir dans une cinquantaine d’années, notamment en Europe, prédit l’écrivain algérien Boualem Sansal qui publie 2084, un roman terrifiant inspiré du chef-d’œuvre de George Orwell 1984.
Orwell a fait une très bonne prédiction et on y est toujours», observe dans un entretien à l’AFP l’écrivain de 66 ans qui réside dans la petite ville côtière de Boumerdès, à une cinquantaine de kilomètres à l’est d’Alger.
Selon lui, «les trois totalitarismes imaginés par Orwell (l’Océania, l’Eurasia et l’Estasia) se confondent aujourd’hui dans un seul système totalitaire qu’on peut appeler la mondialisation».
«Nous sommes gouvernés par Wall Street», résume Boualem Sansal. Mais «ce système totalitaire qui a écrasé toutes les cultures sur son chemin a rencontré quelque chose de totalement inattendu : la résurrection de l’islam», analyse l’écrivain qui se dit «non croyant».
«Dans mon analyse, c’est le totalitarisme islamique qui va l’emporter parce qu’il s’appuie sur une divinité et une jeunesse qui n’a pas peur de la mort, alors que la mondialisation s’appuie sur l’argent, le confort, des choses futiles et périssables», juge le créateur de Abi (Père), le «Big Brother» islamique, délégué de «Yölah» sur Terre.
Si 2084, un roman écrit en français qui sort jeudi en France chez Gallimard, est une œuvre de pure invention, Boualem Sansal estime que «la dynamique de la mondialisation musulmane se met en place». « Le terrain à observer est l’Europe ».
Après le monde arabe et l’Afrique, l’islamisme se propage aussi en Occident avec une présence physique de plus en plus visible de barbus, de femmes voilées et de commerces halal», décrit-il. L’écrivain Michel Houellebecq, souligne-t-il, a «fait» la même analyse dans son roman Soumission, où il imagine la France de 2022 gouvernée par un parti musulman.
«Les Européens se trompent»
Dans 2084, Sansal imagine un pays, l’Abistan, soumis à la cruelle loi divine d’un dieu qu’on prie neuf fois par jour et où les principales activités sont d’interminables pèlerinages et le spectacle de châtiments publics. «La peur de Dieu sera plus forte que celle des armes» et «les gens pourront vivre de peu. Ils auront juste besoin de mosquées pour prier, par conviction ou par peur», résume l’écrivain, dont les propos rappellent le projet mis en œuvre par le groupe djihadiste Etat islamique en Irak et en Syrie.
Pour l’auteur du Serment des barbares, les Européens «se trompent sur l’islamisme comme ils se sont trompés sur le communisme» et sous-estiment la menace. Notamment à cause de l’autocensure sur la montée de l’islamisme, qui «tue le débat» alors que «le débat c’est comme une plante : si on ne l’arrose pas par la contradiction il disparaît».
M. Sansal laisse cependant poindre une note d’espoir en soulignant que «tous les systèmes totalitaires s’effondrent». «Après le règne de l’islamisme, il y aura une nouvelle mondialisation mais je ne sais pas sous quelle forme», présume-t-il. Imaginant le sort de son propre pays en 2084, il reste sombre. «Je ne sais même pas si l’Algérie existera en 2084 sous la forme d’un pays moderne relativement administré» car «la fin du pétrole va la conduire dans une situation indescriptible».
L’écrivain, honni tant par les islamistes que par le régime, juge par ailleurs «terrifiant» le flux des migrants algériens vers l’Europe et l’Amérique du Nord. «L’émigration est un vrai drame. Elle touche les riches, les hyper-diplômés.
Quand elle atteint un certain seuil en volume, cela veut dire que le pays ne peut être sauvé». Boualem Sansal est jusqu’à présent resté en Algérie, où cet économiste a mené une longue carrière de fonctionnaire, en se souvenant que son pays «était très agréable à vivre» lorsqu’il avait lui-même «entre 20 et 30 ans». «Après, je n’ai jamais ressenti un besoin suffisamment fort pour me dire : ‘‘Je fais mes valises, je m’en vais’’. J’ai toujours eu la possibilité de voyager. Je peux émigrer à n’importe quel moment». AFP

On ne peut rester indifférent ou traiter par le mépris la thèse d’un Boualem Sansal. Certes, ceux qui ont déchaîné leurs critiques, parfois très en dessous de la ceinture, contre le succès « nauséabond » et « rance » des oeuvres récentes de Zemmour et de Houellebecq, vont être alertés.

Mais ce livre est écrit par un Arabe, un Musulman algérien. Il échappe aux soupçons de parti pris plus ou moins raciste dont on a accusé les deux auteurs français. Le « Padamalgam » va probablement être appelé en renfort….

Il sera intéressant de suivre l’accueil que lui réservera la critique française, particulièrement partisane, dont les minables petites lâchetés se cachent derrière des pseudo-sentiments « humanistes », et qui déteste les oeuvres qui vont à l’encontre de la doxa médiatique actuelle….

 (1).- Distinctions reçues par l’oeuvre de Boualem Sansal.

prix du premier roman
prix Tropiques
prix Michel-Dard
grand prix RTL-Lire
grand prix de la francophonie
prix Nessim-Habif
prix Louis-Guilloux
prix Édouard-Glissant
prix de la paix des libraires allemands
prix du Roman arabe
chevalier des Arts et des Lettres (2012), Grand prix de la francophonie de l’Académie française (2013), Grand prix du roman de la Société des Gens de Lettres (2008), Médaille d’Or de la Renaissance française (2014),

Docteur Honoris Causa de l’Ecole normale supérieure de Lyon (2013)

Racisme, ou « islamolucidité » ???


SilenceJ’éprouve, depuis le début de l’existence de ce blog, un malin plaisir en diffusant des textes, des images, ou des informations que l’on ne trouvera pas facilement dans les médias français.

J’y mets, parfois une pointe d’ironie mordante et provocatrice.

Ainsi, vous ne lirez, n’entendrez, ne verrez dans aucun média l’information selon laquelle deux yatchs de la famille royale saoudienne croisent actuellement au large de la Libye pour participer au sauvetage en mer d’immigrants en perdition.

Vous ne lirez jamais l’information selon laquelle la famille royale du Qatar a décidé de « sacrifier » l’une des plus hautes tour de Doha, pour y accueillir des immigrés fuyant des pays arabes déchirés par des guerres civiles….

Vous ne lirez jamais une enquête journalistique sérieuse sur l’origine des ressources qui permettent à des migrants qui vivent chez eux avec deux dollars par jour, de payer des sommes pouvant aller jusqu’à 15.000 dollars à des passeurs, pour traverser la Méditerranée sur des rafiots destinés à la casse….

Pas plus que vous ne lirez, un jour, l’information incongrue selon laquelle, plusieurs membres de notre Gouvernement socialiste ont décidé, à titre personnel, d’exprimer leur solidarité et leur compassion, en accueillant, chez eux, une famille de migrants recueillie sous les ponts de Paris, ou que le Président luxembourgeois de la Commission Européenne a décidé d’ouvrir les portes du Luxembourg, jusqu’ici largement ouvertes aux « évadés fiscaux », aux « Chrétiens d’Orient »en quête d’asile…..

J’ai diffusé, il y a quelques jours, sous le titre volontairement provocateur de « Je suis raciste », ( https://berdepas.wordpress.com/2015/08/03/je-suis-raciste/ ) une vidéo dans laquelle s’exprime une voix étouffée par les médias, autant en Angleterre qu’en Europe et qui dans un réquisitoire argumenté, contre ceux qui sont prêts à brader nos identités nationales, au nom d’une soit-disant fatalité, en vertu de laquelle nous devrions accepter l’islamisation rampante de l’Europe, sans réagir, sans même avoir le droit de dénoncer la lâcheté de ceux qui s’emploient à favoriser cette mutation et qui seraient les seuls représentants du « Parti du Bien ».

Je récidive, en publiant ci-après, le texte intégral, dans une traduction française autorisée, d’une intervention de Paul Weston,   représentant de l’International Free Press Society en Angleterre. Cette intervention n’a fait l’objet,- et l’on comprend pourquoi -, d’aucun écho dans les médias institutionnels.

On trouvera la version originale, – en Anglais -, de ce texte sous : http://www.pointsdereperes.com/articles/nous-vous-demanderons-des-comptes

Paul Weston a prononcé ce vibrant discours à Amsterdam (Hollande) à l’occasion d’une manifestation en soutien au député hollandais Geert Wilders ( « Extrême Droite » ) pour la liberté d’expression.

Dans ce discours percutant, Paul Weston aborde des sujets brûlants : la clairvoyance de Wiston Churchill à propos de l’islam, la démission de nos politiciens actuels, la nature de Mahomet et de l’islam, la criminalisation de la liberté d’expression, la déclaration « version islamique » des droits de l’homme, l’invasion de l’Occident par l’islam, la fausse étiquette de « raciste » attribuée à ceux qui veulent défendre les valeurs-piliers de l’Occident, l’abandon et la trahison du peuple par ses « élites », l’abandon, de facto, de la démocratie en Occident…

Mais il évoque comme une source d’espoir, le réveil de plus en plus important, dans la plupart des pays, de la population de souche en Occident, à propos de la nature véritable du péril islamique, et du désir qui s’ensuit de travailler concrètement à la préservation des valeurs humanistes de l’Occident.

Ce discours il l’a intitulé « Nous vous demanderons des comptes » « We will hold you to Account ».

« Bonjour, mon nom est Paul Weston et je représente l’international Free Press Society en Angleterre.
Je suis ici aujourd’hui parce que nos élites libérales ont trahi nos pays pour l’islam.
Il y a 42 ans, le politicien britannique Enoch Powell a prononcé son célèbre discours des « rivières de sang » dans lequel il déclarait que la « fonction suprême de l’homme d’État est de parer aux fléaux évitables.
Eh bien, nos policitiens d’aujourd’hui font exactement le contraire : ils promeuvent activement un fléau évitable.

Winston Churchill.
 Il y a quatre-vingts ans, un homme, Winston Churchill a été très clair sur la prévention d’un mal manifeste et actuel, « Herr Hitler et les nazis ».
Mais Churchill était la voix solitaire qui crie contre la vague d’apaisement, et un carnage qui aurait pu être évité, a eu lieu avec une intensité redoublée.
L’Europe se retrouve aujourd’hui dans une situation similaire. L’islam croît sur les plans démographique, territorial et militant tout en étant présenté comme une « religion de paix » par des politiciens lâches et carriéristes de type que ceux qui ont cru apaiser Hitler.
Islam : une religion de sang et de guerre
Pour Winston Churchill, l’islam n’était pas une religion de paix. Il l’a décrite comme une religion de sang et de guerre.
Toute personne ayant une connaissance de la fondation et de l’histoire de l’expansion islamique sait que c’est la vérité.
Mahomet était un seigneur de guerre. Et il excellait. Il a vaincu militairement et converti la plupart des tribus païennes et chrétiennes de la péninsule arabique.
Après sa mort, l’islam s’est rapidement répandu par l’épée, il a vaincu d’anciennes civilisations et envahi des continents.
L’islam veut dominer le monde
Aujourd’hui, l’islam est en Europe, il est en Occident, et il exige ce qu’il a toujours exigé : la domination islamique totale.
Et si nous voulons résister, il utilisera la terreur contre nous.
Nos politiciens traîtres continuent pourtant de parler d’une « religion de paix », et ils nous disent que si nous refusons cette notion fantasmatique et ridicule et choisissons plutôt de croire Churchill qui disait que l’islam est une religion de sang et de guerre, nous serons jetés en prison.
Bien sûr, l’islam n’est pas une religion de paix. Son fondateur est un guerrier, et le plus grand honneur accordé à un musulman est la promesse de hordes de houris parfumées et de rapports sexuels éternels dans l’Au-delà qui ne se méritent pas des actes de bon samaritain mais en mourant en martyr en combattant pour répandre l’islam impérialiste.

Islam signifie littéralement soumission.

Quel genre de religion se donne le nom de soumission?
L’islam divise le monde en deux sphères : la Maison de l’islam (soumission) et la Maison de la guerre. Quel genre de religion se définit par la conquête militaire?
Pourtant, nos dirigeants nous disent que nous ne pouvons pas critiquer l’islam parce que c’est une religion, pendant que l’Organisation de la Conférence Islamique s’efforce, avec la connivence des Nations Unies, de rendre illégale toute critique de l’islam.
Mais l’islam est beaucoup plus qu’une religion. Il s’agit d’un cadre politique, social, juridique et structurel qui domine totalement la vie d’un dévot musulman, et souhaite incidemment dominer aussi la vie de tous les dévots non musulmans.
L’islam est profondément intolérant et profondément antidémocratique. Il ne croit pas aux lois édictées par les hommes dans une démocratie, préférant se conformer à la parole absolue d’Allah telle qu’elle a été interprétée au 7e siècle par un analphabète du désert.
Nos politiciens ont importé cette idéologie intolérante et antidémocratique dans les démocraties libérales de l’Occident, puis ils osent nous criminaliser quand nous nous y opposons!
Mais comment ne pas critiquer l’islam? Nos politiciens peuvent-ils vraiment protéger l’islam en tant que religion, le mettant ainsi hors de la portée de la loi?
Quand des homosexuels sont pendus à des grues, est-ce l’islam politique en action ou l’islam religion?
Quand des femmes adultères sont enterrées jusqu’aux épaules puis lapidées à mort, est-ce l’islam politique ou l’islam religion?
Quand les musulmans qui veulent quitter l’islam sont condamnés à mort, est-ce l’islam politique ou l’islam religion?
Quand des femmes et des filles sont tuées par des maris, des pères et des oncles pour préserver l’honneur familial, est-ce l’islam politique ou l’islam religion?
S’il s’agit de l’islam politique, il faut dénoncer sa cruauté et sa barbarie, Si c’est l’islam religion, comment peut-on ne pas dénoncer également?
Ce qui est mal et ce qui est barbare est barbare et ne peut être soustrait à la critique en s’abritant sous le mot « religion ».
En criminisant la liberté d’expression, nos dirigeants socialistes montrent leur ambition dictatoriale. La liberté d’expression est la marque d’une société libre.
La supprimer est un acte totalitaire d’autant plus grave que cette liberté est notre seul moyen de défense dans l’opposition pacifique à l’idéologie totalitaire islamique étrangère.
J’espère que vous saisissez l’ironie de la situation. Pour protéger et promouvoir une idéologie totalitaire étrangère, nos gouvernants sont prêts à utiliser des méthodes totalitaires domestiques pour nous empêcher de défendre notre démocratie et notre liberté.
L’Occident se conforme à la Convention européenne des droits de l’homme. Mais pas l’islam. Ils ont plutôt signé la Déclaration du Caire sur les droits de l’homme en islam.
Et ils ont une réserve très importante : en cas de conflit entre la charria et les droits de l’homme, devinez ce qui l’emporte? Tout à fait! La charria prévaut sur les droits de l’homme.
C’est comme si un signataire de la Convention de Genève assassinait et torturait des prisonniers de guerre mais qu’il échapperait à un procès pour crimes de guerre parce que « ça fait partie de sa religion ».
Quand nos politiciens prétendent que l’islam est une religion de paix et laissent les musulmans imposer leurs lois chez nous à l’Union européenne et à l’ONU, alors nos politiciens trahissent leur pays et trahissent leur peuple. C’est un acte de haute trahison.
« Peut-on commettre un acte de trahison en période de paix? » se demandent certains. Mais sommes-nous vraiment en paix?
Nous ne nous considérons pas comme étant en guerre avec l’islam, mais l’islam se considère, lui-même comme étant en guerre contre nous.
Et cette guerre nous sommes en train de la perdre. Sur les plans du territoire, de la démographie, de la politique et de la démocratie.
En effet, cette guerre est une agression sur deux fronts. D’un côté l’islam radical, de l’autre la trahison de la gauche.
On impose à nos enfants de célébrer le multiculturalisme et l’islam, sans leur dire la vraie histoire de l’islam violent et expansionnistes.
Par contre, on leur raconte que leur propre histoire, leur religion, leur culture, leurs traditions, leur existence même, est juste une litanie d’impérialisme, de racisme, de meurtres et d’esclavage.
C’est l’une des techniques psychologiques efficaces dont le but est de rendre l’adversaire sans défense, ou, pour citer Alexandre Soljenitsyne, « afin de détruire un peuple, il faut d’abord détruire ses racines ».
Un gouvernement qui fait subir cela à son propre peuple, à ses propres enfants, est un gouvernement qui, manifestement, mérite d’être renversé.
Quelqu’un peut-il vraiment argumenter en disant qu’un gouvernement qui flatte l’envahisseur étranger, tout en arrachant les défenses psychologiques et légales de ses propres citoyens, est un gouvernement qui ne serait pas coupable de haute trahison?
Maintenant, nous arrivons à une partie plus réjouissante de ce monologue déprimant, parce que dans ce moment de la bataille, nous avançons. Lentement, il est vrai, mais constamment, et je pense que personne ne pourra nous arrêter.
Geert Wilders en Hollande, René Stadtkewitz en Allemagne, dont la popularité soudaine a obligé Angela Merkel à faire une virage à 180 degrés et dénoncer le multiculturalisme.
Les Démocrates Suédois, Heinz-Christian Strache en Autriche, le Parti du Peuple Suisse, et en Angleterre où nous prévoyons un mouvement politique qui reprendra le flambeau de l’English Defense League et qui grandit rapidement.
Et cette croissance ne peut que s’accélérer. De plus en plus de gens ont pris conscience de la nature de l’islam et de la profondeur de la trahison des gouvernements de gauche, et plus important, dans la mesure où les gens perdent leur crainte d’être traités de racistes – cette étiquette ayant été spécialement inventée pour nous retirer toute résistance contre un envahisseur racialement désigné et qui utilise le thème racial comme arme contre nous.
En fait, regardons de près cette étiquette « raciste » maintenant. Ce n’est pas raciste de défendre notre pays contre une menace évidente et grandissante.
Ce n’est pas raciste de défendre notre culture, notre héritage et nos traditions.
Ce n’est pas raciste de s’efforcer d’assurer un avenir démocratique à nos enfants et à nos petits-enfants.
Si vous choisissez de ne pas défendre votre culture, votre pays et un avenir démocratique pour vos enfants, alors vous pouvez vous tapoter l’épaule dans les cocktails au champagne des « non racistes » socialistes à Islington.
Vous pouvez adorer les idoles « anti-racistes » des autres autant que vous adorez les vôtres, mais cela n’enlève en rien de ce que j’ai dit de vous : des traîtres.
Vous êtes un traître à votre patrie, un traître à votre culture, et une traître envers vos enfants à naître.
Et de plus vous êtes un vrai raciste, un raciste génocidaire. Dans une génération à peine, les jeunes Européens de souche vont devenir une minorité ethnique dans leur propre pays, si l’immigration de masse et la démographie galopante des musulmans continuent à ce rythme.
On peut appeler cela poliment une immigration de remplacement. Plus crûment, cela s’appelle un génocide non sanglant.
L’ONU est très clair sur ce point. La définition d’un génocide est la suivante, je cite :
« Article 2 : Dans la présente convention, le terme génocide signifie tout acte commis avec l’intention de détruire, totalement ou en partie, un groupe national, racial ou religieux ».
Nous avons été trahis.
L’un des plus tristes aspects de cette trahison est l’effet produit sur nos vétérans, sur tous ceux qui ont combattu pour leur pays et qui sont encore une vivante mémoire.
L’ancien pilote de Spitfires, Alex Henshaw, est décédé il y a trois ans. Il était parfaitement conscient de la trahison politique de son pays. Il a dit :
« Je ressens une profonde tristesse en pensant aux hommes jeunes que j’ai connus et qui ont donné leur vie pour une cause à laquelle ils croyaient. Je me dis souvent, si ces hommes jeunes revenaient maintenant et marchaient dans leurs villages, leurs villes, et voyaient ce qu’il nous advient, ils se diraient : nous avons été trahis ».
Oui, Mr Henshaw, vous avez été tous trahis, et vous tous, gauchistes, socialistes et verts, vous allez devoir reconnaître ce que vous avez fait.
Allez donc faire un tour dans vos villes, vos villages, et regardez les centaines de milliers de tombes, comme un testament du sacrifice ultime fait par des hommes jeunes, afin que vous puissiez vivre, aujourd’hui, en toute liberté dans une démocratie.
Vous allez devoir apprendre que ce n’est pas une simple trahison, mais une triple trahison :
• La trahison de tous nos parents qui ont combattu pour notre liberté,
• La trahison de ma génération, que vous menacez d’emprisonner lorsque nous défendons l’héritage de notre liberté, et
• La trahison de nos enfants à naître, qui, sauf si nous n’arrêtons pas les tendances, immédiatement, vont hériter d’un pays ravagé par des haines tribales et religieuses, ce qui entraînera, inévitablement, une gigantesque guerre multiculturelle à échelle continentale qui fera ressembler le conflit yougoslave à une légère escarmouche.
Et, bien sûr, c’est la trahison totale de la liberté et de la démocratie.
En effet, la liberté et la démocratie ne sont pas apparues magiquement. Elles ont évolué sur 2500 ans, enracinées dans l’héritage Gréco Romain et Judéo Chrétien, et elles été défendues dans le sang et le sacrifice.
La démocratie et la liberté ne sont des possessions personnelles dont les socialistes pourraient disposer à leur gré, sans notre accord, au profit des descendants de guerriers du désert vivant encore comme au 7ème siècle, et qui jugent notre attachement à la démocratie comme une simple faiblesse à utiliser contre nous.
Je ne blâme pas l’islam. Les islamistes font exactement ce qui est prescrit dans leur livre.
Mais je blâme nos politiciens. Il y a deux camps dans cette guerre de civilisation, et nos politiciens sont dans le camp de l’ennemi.
Alors, je leur dis :
Vous avez les leviers du pouvoir en ce moment, mais nous effectuons une ascension irrésistible. Pensez-vous sérieusement que vous pourrez continuer à faire tout ce que vous avez fait subir à votre propre peuple, sans des répercussions futures? ?
Vous pouvez encore arrêter tout cela, si vous le choisissez, tout simplement, en mettant l’intérêt de votre peuple avant celui de l’islam.
Mais vous ne le ferez pas, n’est-ce pas? Alors, vous nous mettez dans une mauvaise posture. Si nous ne faisons rien, nous devons accepter que nos enfants devront vivre un jour sous le joug des lois de la charria.
Et si nous faisons quelque chose, alors ce sera, par définition, une révolution. Mais ce n’est pas nous qui l’avons voulue. C’est vous. La plupart d’entre nous étions satisfaits de tondre notre pelouse, d’aller au travail et de payer nos impôts.
Vous avez fait de nous des révolutionnaires. Votre comportement montre que vous avez plus peur de l’islam que de nous, mais laissez-moi vous dire ceci, à vous tous, menteurs et traîtres carriéristes socialistes :
Vous détenez le pouvoir maintenant, mais dans une décennie nous détiendrons le pouvoir et nous vous demanderons des comptes. Nous vous traînerons devant un tribunal du style Nuremberg où vous serez jugés pour haute trahison, où vous serez jugés pour crimes contre l’humanité, et pour la première fois depuis longtemps, nous serons vos juges !!! »

Existe-t-il, en France, un politicien de droite, même la plus « extrême », capable de soutenir un tel discours, et d’en assumer les conclusions devant l’opinion française ??? J’en doute. Et pourtant….Nombreux sont les Français de coeur qui, malgré quelques réserves, pourraient adhérer à un tel discours.

Et pour clouer le bec aux « intelligents » qui vitupèrent dès qu’un Zemmour ou un Houellebecq se mèlent de dénoncer la dérive inquiétante de notre pays, sachez que l’Algérie s’interroge, elle aussi, par la voix de ses meilleurs écrivains, sur son destin, face à la montée d’un Islam totalitaire qui d’ores et déjà exprime, sans ambiguité, ses menaces à l’adresse de la société civile algérienne:

http://www.algerie-focus.com/blog/2015/08/anticipation-en-2084-lalgerie-deviendra-labistan-selon-un-ecrivain-algerien/

Islamolubies….


Vous avez eu à choisir entre la guerre et le déshonneur ; vous avez choisi le déshonneur, vous aurez la guerre. (Winston Churchill, 1938, à Londres, Chambre des communes, dans The Official Report, House of Commons (5th Series), Hansard, 13 May 1940, vol. 360, c. 1502 : Au Premier Ministre alors en exercice Neville Chamberlain, à propos des Accords de Munich.)

Prenez les armes, et montrez votre valeur, soyez prêts au combat ; car il vaut mieux pour nous périr en combattant que d’affronter le spectacle de l’outrage fait à notre nation et à notre autel. ( Winston Churchill, 19 mai 1940, à Londres, studio de la BBC, dans The Churchill center.).

« « « « `

« Les Républicains » ont tenté, hier, d’aborder, calmement, dans un débat interne destiné à alimenter leur réflexion sur un projet de gouvernement futur, la question de l’Islam.

Une fois de plus, c’est un échec. Un de plus….

La Droite a toujours reculé devant les gesticulations de ceux qui ne veulent surtout pas que l’on traite le sujet de l’Islam, qui est, avec le chômage de masse, l’un des deux grands défis aux quels la France est confrontée.

L’argumentaire du Parti des angélistes est toujours le même.  « L’Islam n’est pas un sujet ». « Et encore moins un problème ». « Les Musulmans sont des Français comme les autres ». « L’islamisme conquérant ne concerne pas la France qui n’abrite que des « musulmans modérés »qui n’aspirent qu’à vivre en paix, dans le respect des Lois de la République »……

IslamC’est avec ce type de discours que l’on a endormi les Français au cours des trente dernières années.

Les politiciens de tous bords, terrorisés à l’idée d’être accusés « d’islamophobie » , n’abordent plus le sujet de l’Islam qu’avec des pincettes.

La Gauche qui sous l’influence de ses « penseurs », à l’image de « Terra Nova » (1), n’a vu, jusqu’ici, l’immigration musulmane que comme une nouvelle clientèle électorale censée, selon ses « penseurs », se substituer progressivement à un prolétariat évanescent, et comme un contre-poids au Catholicisme, qui chez beaucoup, à gauche, constitue un frein, sinon un obstacle aux réformes de société dont elle rêve depuis toujours et qui sont guidées par l’idée d’abattre, une fois pour toute , une bourgeoisie dont elle rêve pourtant d’occuper la place, et d’en éradiquer toutes les traditions.

L’arme dont la Gauche a su se servir, c’est « la diabolisation » de tous ceux qui osaient évoquer les « sujets qui fâchent ».

Avec la complicité de certains médias, elle a soutenu, pendant des années que l’immigration était un phénomène inévitable, quand il n’est pas justifié par la « réparation légitime » que nous devons aux peuples autrefois colonisés et qu’en tout état de cause ce phénomène est surévalué par une Droite censée exploiter « les peurs », en dénonçant les menaces qui pèsent sur la cohésion de la société française, à des fins démagogiques et « nauséabondes »….

Enfermée dans un déni de réalités qui l’éloigne de plus en plus de la perception concrète, et quotidienne que le peuple a acquise des dangers qui pèsent désormais sur notre sécurité, confrontée à la montée du djihadisme, partout dans le monde, aux avancées fulgurantes d’un Etat Islamique que l’on se refuse d’affronter directement sur son terrain, et à une poussée migratoire sans précédent dont on ne sait plus jusqu’où elle ira, une poussée à la quelle l’Europe est incapable d’apporter une réponse cohérente et coordonnée, notre classe politique donne le sentiment d’être désormais dépassée par une situation qui échappe à toute rationalité.

Pour se rassurer,   notre classe politique continue à cultiver ses vieilles lubies, dont celle du mythe de l’émergence supposée d’un « Islam de France », et à porter aux nues quelques imams dont le discours est jugé « islamo-compatible » avec les Lois de la République, feignant d’ignorer qu’une fraction des Musulmans de France s’est placée sous la coupe d’un « Salafisme » inspiré et financé par les monarchies du Proche-Orient.

Elle continue, souvent contre la volonté de ses électeurs, à tolérer, un peu partout, la construction de mosquées, dont le financement reste le plus souvent opaque, et qui sont autant de tribunes pour des imams venus « d’ailleurs », délivrer le message d’un salafisme sournois.

Un Salafisme dont la poussée inquiète pourtant les pays du Maghreb et particulièrement l’Algérie qui redoute un retour des années de cendres, car les Algériens ont de la mémoire, et savent que le terrorisme est une arme redoutable qui n’a pas peur du sang….

Ceux qui entretiennent l’idée de l’émergence possible, en France, d’un Islam compatible avec nos valeurs démocratiques sont, soit des crétins, soit de dangereux affabulateurs. Car qui peut encore ignorer aujourd’hui que tous les pays islamiques, sans exception, ont des régimes autoritaires, dictatoriaux, à parti unique dominé par le tribalisme et les clans, oppressifs et tyranniques.

Seul le Liban était une démocratie, grâce à une faible majorité de chrétiens. On sait ce qu’il en est advenu…Et on attend de voir comment la Tunisie pourra échapper à cette fatalité….

A lire . Absolument !!!

Chaos

http://www.elwatan.com/edito/le-devoir-de-memoire-23-03-2015-290544_171.php

http://www.elwatan.com/actualite/yemen-alger-dement-la-presence-de-djihadistes-algeriens-17-04-2015-292586_109.php

http://www.algerie-focus.com/blog/2013/10/revue-de-presse-que-faire-des-mecreants-et-des-deserteurs-la-doctrine-daqmi/

(1).- http://www.tnova.fr/sites/default/files/Rapport%20Terra%20Nova%20Strat%C3%A9gie%20%C3%A9lectorale.pdf

Trotsky trotte encore…


Trotsky

… dans les allées du Pouvoir.

On ne peut pas comprendre ce qui mine la République, de l’intérieur, sans ouvrir les yeux sur ce phénomène discret, sournois, actif et redoutablement efficace qu’est la présence trotskyste dans tous les rouages de l’Etat.

Ce n’est pas la première fois que j’évoque ce sujet que l’on aurait tort de considérer avec légèreté, comme s’il s’agissait d’un pur fantasme, une sorte d’obsession maladive de quelques maniaques de l’occultisme en politique.

Il y a déjà quelques années, je l’évoquais déjà dans un article, sur ce blog, qui m’avait valu une avalanche de commentaires et de mails de toutes opinions, les plus nombreux et les plus virulents émanant de Communistes ou d’anciens staliniens exprimant leur haine de ces trotskystes considérés comme des traîtres à leur cause.

Ce n’est pas pour rien que Staline poursuivit Trotsky de sa haine personnelle, jusqu’à la mort de ce concurrent redoutable qu’il fit assassiner au fin fond de l’Amérique latine !!!!

https://berdepas.wordpress.com/2010/07/18/trotski-nest-pas-mort-il-bouge-encore/

Dans cet article, très documenté, je levais un coin de voile sur les activités de ce qui est bien plus qu’un « groupuscule », présent dans toutes les allées du pouvoir républicain….

Le pouvoir ne se conçoit pas sans la maîtrise de réseaux discrets. Les réseaux maçonniques font les « marronniers » de la Presse hebdomadaire qui régulièrement, publie des articles dont les « révélations » sont destinées à exciter la curiosité du lecteur, et plus souvent encore, à l’enfumer…

Mais il est rare qu’un hebdomadaire de grande diffusion consacre à un sujet considéré à plus ou moins juste titre comme un sujet « sulfureux », un article aussi complet que celui que publie « Le Point » de cette semaine, et qui montre que les « trotskystes », aujourd’hui, sont partout, dans les allées du pouvoir, dans les médias, dans le show-business, et notamment dans les lieux où ils peuvent avoir une influence sur l’opinion.

http://www.lepoint.fr/politique/dray-jospin-cambadelis-leurs-annees-trotski-14-05-2015-1928400_20.php

Cet article mérite d’être lu, car, c’est en grande partie à ces anciens militants, – dont quelques noms célèbres, mais méconnus du grand public, nous sont « révélés » par « Le Point » -, que nous devons la substance de ce qui est devenu, chez nous, le « prêt-à-penser » contemporain.

racism-trotsky

Certes, chez la plupart d’entre eux, l’ardeur révolutionnaire a laissé sa place à un désir de conquête des « bonnes places » dans la République, celles où, précisément, on peut jouir de tous les bienfaits de cette « société bourgeoise » qu’on a rêvé, dans sa jeunesse, d’abattre par la révolution silencieuse…

Mais ils sont là. Parmi les « zélites » de la République… Ils se reconnaissent, se soutiennent, et sont, – pour la plupart d’entre eux -, restés idéologiquement fidèles à leur jeunesse romantique.

Le Parti Communiste recrute traditionnellement dans la clientèle des ouvriers, alors que le Trotskysme s’adresse plutôt aux « zintellectuels » dont il se sert, comme des « idiots utiles », pour faire passer son message.

On a pu dire que la France était traversée ( coupée en deux ???) par deux courants d’idées opposés : le  » trotskisme culturel « , qui, avec le « péguysme », son opposé, aurait contribué à structurer la vie démocratique française.

On ne peut pas comprendre certains discours, certaines postures, certaines réactions des médias, certains blocages, certaines haines qui de temps à autres parcourent, comme un frisson, une République sortie des « Lumières » pour mieux aveugler le peuple, ce peuple dont elle craint les éclairs subits de lucidité, et que l’on tente de maintenir à un certain niveau d’ignorance, pour mieux le « gouverner ».

PS: Pour ceux de mes lecteurs qui en auront la curiosité, ou qui souhaitent en savoir plus sur le personnage « romantico-révolutionnaire » de Trotski, et qui seraient intéressés par la présence, les objectifs et l’action des trotskistes en France, je recommande l’écoute ou la lecture du texte de la remarquable communication de l’Historien  et Politologue André Lazar, devant l’Académie des Sciences Morales et Politiques, au cours d’une séance présidée par l’Historien Leroy-Ladurie.

http://www.canalacademie.com/ida125-Trotsky-les-Trotskistes-et-la.html

Passionnant !!!!

Quand la réalité rejoint les « fantasmes »…


Je faisais référence, il y a quelques jours, dans un billet intitulé « Angoisses », à plusieurs ouvrages dus à « la plume » de différents auteurs, appartenant à des nationalités et des milieux intellectuels divers, ouvrages ignorés quand ils n’étaient pas « massacrés » par la critique « bien-pensante », et qui, s’appuyant sur une profonde connaissance de l’Islam, sur de longues études, sur une expérience et un vécu personnels dans des pays musulmans, évoquaient, de manière prémonitoire, la perspective, devenue réalité aujourd’hui, d’un affrontement, inévitable selon ces auteurs, avec au moins une partie du monde islamique.

Dans mon énumération,- bien incomplète -, j’ai omis le livre d’un auteur de langue anglaise, inspiré par une vie passée dans des pays musulmans, sur toute la planète, et nourri par l’observation factuelle des comportements de l’Islam selon les situations dans les quelles il se trouve, tantôt minoritaire, tantôt dominateur, vis à vis des autres religions.

Sur ce qu’il affirme chacun peut avoir une opinion, mais nul doute que l’observation des situations connues du grand public semblent lui donner raison…

Hélas, ce livre n’existe qu’en langue anglaise. On peut se le procurer sur Amazone où il est en vente sous le titre : Slavery, Terrorism and Islam Paperback – December 15, 2010 

Islam and slavery

Voici la notice de l’éditeur qui accompagne cet ouvrage, reprise sur « Amazone ».http://www.amazon.co.uk/Slavery-Terrorism-Islam-Peter-Hammond/dp/1612154980.

« For over 23 years, Dr. Peter Hammond, Director and Founder of Frontline Fellowsihp, has pioneered missionary outreaches into the war zones of Mozambique, Angola and Sudan. He is the author of Faith Under Fire in Sudan, Holocaust in Rwanda, In the Killing Fields of Mozambique, Putting Feet to Your Faith, The Greatest Century of Missions, Biblical Principles for Africa, The Discipleship Handbook, and Character Assassins. –This text refers to an out of print or unavailable edition of this title.
This book was more informative than I thought it would be. Liberals won’t like this book because it delivers cold hard facts. It was well researched. I’ve recommended this book to everyone at church. It sweeps the dirt off of all the lies about Slavery, Terrorism, And The ISLAMIC FAITH and their twisted, distorted, and warped beliefs.
This is a fascinating, well illustrated and thoroughly documented response to the relentless anti-Christian propaganda that has been generated by Muslin and Marxist groups and by Hollywood film makers.

 » As Karl Marx declared: “The first battlefield is the re-writing of History!” “Peter knows first hand the nature of the enemy the West is facing and exposes it brilliantly in this book on Islam. He begins by documenting the close relationship between Islam and slavery and then chapter by chapter reveals the terrible cost of thirteen centuries of Islamic invasion, conquest and brutalisation.

 » This is a book that every Christian should read and pass along to friends; and one that every home-schooling family should require as part of their children’s curriculum.” Dr. Brian M. Abshire “Dr. Peter Hammond cuts through layers of misinformation and uncovers astonishing historical facts and details long buried by Islamic revisionists.

You’ll find out their real agenda for tomorrow by discovering what they actually did yesterday – plus a field-tested plan of how to win Muslims to Christ.” Rev. Bill Bathman “For the sake of this generation, and coming ones, someone had to do what Dr. Peter Hammond has just done; setting the record straight on the different role players in the slave trade.” Rev. Fano Sibisi “Slavery, Terrorism & Islam, is must reading to all those who want to find out the roots of the Terrorism that is threatening global security.” Rev. Jeffreys Kayanga.

Ceux qui lisent l’anglais en comprendront le sens. Les autres pourront en obtenir une traduction approximative, mais correcte sur Google.

On peut résumer les analyses de l’auteur et en synthétiser les conclusions de la façon suivante:

« L’Islam n’est pas une religion, ni un culte. Dans sa forme, c’est un mode de vie complet. L’Islam a des composantes religieuses, légales, politiques, économiques, sociales et militaires. C’est en cela qu’il est assimilable à un système totalitaire.

La composante religieuse sert à masquer toutes les autres.

L’islamisation d’un pays débute lorsqu’il y a suffisamment de musulmans à l’intérieur du pays pour commencer à revendiquer des « accommodements » religieux.
Lorsque les sociétés ouvertes à la « diversité culturelle », à la rectitude politique et à la tolérance consentent aux demandes d’accommodements religieux provenant des communautés musulmanes, les autres composantes s’infiltrent progressivement.

Voici comment ça fonctionne:

1) Aussi longtemps que la population musulmane demeure autour ou inférieure à 2%, peu importe le pays, elle sera perçue comme étant une minorité pacifique, et non comme une menace par les autres citoyens.
C’est le cas présentement:
Australie — musulmans 2.25 %
Espagne — musulmans 2.3 %
États-Unis — musulmans 2 %
Italie — musulmans 2.6 %

2) Entre 2% à 5%, le prosélytisme (la conversion) des autres minorités ethniques et des groupes marginaux commence par le recrutement des détenus dans les prisons et des jeunes marginaux faisant partie des gangs de rues.
C’est le cas notamment au:
Allemagne — musulmans 5%
Canada — musulmans 3 %
Danemark — musulmans 4.1%
Norvège — musulmans 3%
Royaume Uni — musulmans 4.6%

3) Lorsqu’ils atteignent 5%, les musulmans exercent déjà une influence excessive en proportion de leur pourcentage de la population.
Ils feront alors de la pression pour l’introduction de produits alimentaires « halals », (propres selon les standards islamiques) assurant ainsi l’embauche de musulmans dans leur préparation.
Ils augmenteront leur pression sur les chaînes alimentaires pour que celles-ci mettent ces produits en rayons, les menaçant de représailles allant jusqu’à la faillite s’ils ne se soumettent pas à leurs demandes. C’est ce qui se passe en:
Pays Bas — musulmans 5.5%
Suède — musulmans 4.9%
Suisse — musulmans 5.7%
Pays Bas — musulmans 5.5%
Trinidad & Tobago — musulmans 7%
Rendus à ce stade, les musulmans s’infiltreront graduellement dans toutes les sphères d’influence et travailleront afin que les gouvernements en place leur permettent de se « gouverner » eux- mêmes (à l’intérieur de leurs enclaves « ghettos ») selon les lois de la sharia, (loi coranique); le but ultime des Islamistes étant d’établir la sharia dans tous les pays du monde.

4) Quand le nombre de musulmans approche 10% de la population, ils accroissent le non-respect des lois allant jusqu’à les défier ouvertement afin de revendiquer des conditions de vie propres à leur culture et à leurs croyances. À Paris, nous voyons régulièrement des manifestations de ce genre dans les quartiers à forte densité musulmane.
Toute action perçue comme étant anti -musulmane se traduit par desmanifestations de foules et des menaces, comme à Amsterdam, lorsque l’on s’oppose violemment aux bandes dessinées de Mahomet et des films sur l’Islam.
De telles tensions se produisent à tous les jours, principalement dans les enclaves musulmanes en:
Chine — musulmans 10 %
France — musulmans 9.6%
Guyane — musulmans 7%
Israël — musulmans 16 %
Philippines — musulmans 10%
Thaïlande — musulmans 10%

5) Lorsqu’ils atteignent 20% de la population, les pays d’accueils connaissent des manifestations de violence déclenchées la plupart du temps pour des peccadilles, la formation de milices djihadistes, des tueries, des profanations de cimetieres, des incendies d’églises chrétiennes et de synagogues juives comme en:
Indes — musulmans 20 %
Kenya — musulmans 33 %
Russie — musulmans 19 %

6) À 40%, les nations expérimentent les massacres sporadiques, les attaques terroristes à répétition, et la guérilla militaire sans répit comme c’est le cas présentement en :
Tchad — musulmans 50%
Éthiopie — musulmans 50% « . (Fin de citation)

On pourrait y ajouter également, aujourd’hui, l’Irak, la Syrie, la Libye, le Mali, le Nigeria, et demain d’autres pays qui seront concernés par la poussée mondiale d’une religion devenue instrument d’une « conquête » aux ambitions illimitées.

Il est bien évident qu’un tel livre ne bénéficiera d’aucune publicité, ni d’aucun soutien médiatique, ce qui contribuera à en entretenir le caractère confidentiel.

Chacun peut en penser ce qui lui semblera le plus conforme avec ce qu’il observe, dans les circonstances actuelles.

Mais je ne résiste pas à la tentation d’enfreindre les interdits proclamés par une « police de la pensée » qui deviendra de plus en plus vigilante, en le faisant connaître, avant que des Lois en gestation ne nous privent des dernières libertés d’expression que nous ouvre l’espace d’internet.

Car demain, il ne sera même plus possible d’évoquer l’imposture derrière laquelle se profile un Islam exclusif, intolérant, comme celui qui règne désormais sur le Kosovo, que l’on nous présentait, il y a encore quelques années, comme un modèle d’Islam paisible , grâce auquel ce pays d’où étaient originaires les Serbes est devenu un enfer pour les non-musulmans. J’avais évoqué cette imposture dans un article dont l’actualité est toujours aussi brulante dans ce pays, même si nos médias, complices de toutes les impostures, entretiennent le silence autour de ce qui s’y passe.

https://berdepas.wordpress.com/2009/05/28/kosovo-limposture/

Le Kosovo, n’en déplaise aux « belles âmes », a dépassé le stade des fantasmes si souvent évoqués lorsque l’on aborde le sujet de « l’Islamisation »….

 

Un Monde d’hypocrisie.


Le MondeLe Monde de ce soir « célèbre », si l’on peut dire !!!- l’anniversaire de l’entrée de Pol Poth dans Phnom Penh, dans des terme surprenants.

http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/video/2015/04/15/il-y-a-quarante-ans-les-khmers-rouges-entraient-dans-phnom-penh_4616117_3216.html

Les jeunes générations ignorent sans doute, – car tout est fait pour qu’elles n’en sachent rien – que ce jour-là, Le Monde se réjouissait de cette victoire d’un Communisme qui à cette époque, jouissait encore d’un prestige, qui depuis que les masques sont tombés, s’est bien délabré….

On connaît la suite de cette « victoire » du communisme, pour le pauvre peuple cambodgien….

J’avais dénoncé dans un billet précédent la duplicité d’un Quotidien qui tente de passer pour un journal de référence, un modèle d’objectivité, et de probité intellectuelle, un média donneur de leçons d’éthique et prompt à célébrer des valeurs qui ne furent pas toujours les siennes…

https://berdepas.wordpress.com/2011/06/28/la-vie-est-belle-le-monde-est-beau/

Un ancien Ministre de la quatrième République, – Edgar Faure – connu pour ses bons mots, et pour ses prises de positions fluctuantes, avait coutume de dire que « ce ne sont pas les girouettes qui changent. C’est le vent qui tourne »….

Or, le vent de l’Histoire souffle parfois de manière imprévisible….

Les jeunes générations n’auront pas connu, – et c’est heureux pour elles -, l’époque ou le marxisme et le communisme régnaient sur « la pensée » française. Il faut avoir connu l’époque de la « dictature des idées » pour comprendre comment on devient un réactionnaire impénitent….

La « France algérienne ».


Au lendemain des « Accords d’Evian », un humoriste en vogue(1) à l’époque, lança à l’adresse des « gaullistes », et dans l’indifférence générale :  » Vous n’avez pas voulu de l’Algérie française, alors vous aurez la France algérienne !!! »…. Et dans la même tirade il balançait , avec l’accent savoureux des Algériens s’exprimant en Français « …Et nous ferons des Champs Elysées, la plus belle Casbah du monde !!!!…..

Nous n’en sommes pas encore là, certes. Mais on peut se demander si nous n’en avons pas pris le chemin….

Le quotidien algérien de langue française  » El-Watan » publie, ces jours-ci, un article dont il est certain qu’il ne sera pas relayé par la Presse française, terrorisée, comme à l’accoutumée, à l’idée d’émettre une information politiquement incorrecte.

Cet article rend compte d’un livre qui vient de sortir, et qui fait déjà pas mal de bruit en Algérie.

affiche-du-livre_2602854On y apprend, semble-t-il, pas mal de choses sur  les relations troubles, les connivences, qui se sont tissées entre les deux pays au fil des années, et qui sont masquées, du côté algérien par un discours revanchard et anti-français, et du côté français par une pseudo-repentance qui fait partie du « fonds de commerce »de la Gauche et tout particulièrement des Socialistes français, qui ont tant à se reprocher au cours de l’histoire coloniale et surtout depuis le début de la guerre d’indépendance, à une époque où Mitterrand, alors Ministre de l’Intérieur déclarait que « l’Algérie, c’est la France et rien ne pourrait séparer les deux pays »…..

On sait que, depuis son Indépendance, l’Algérie n’a cessé d’être gouvernée par une oligarchie qui s’est emparée, non seulement du pouvoir, mais surtout de ses richesses avec une rapacité qui n’a rien à envier à celle de certains gros colons de l’époque antérieure. A telle enseigne que l’on a coutume de dire que l’Algérie est un pays riche où la misère n’offre aucune autre perspective à sa jeunesse que celle d’émigrer…en France !!!

On apprend dans ce livre, comment et où s’investissent les richesses accumulées par une classe politique algérienne corrompue.

On y découvre que l’Algérie n’a rien à envier au Qatar. Dans une France déliquescente, prête à se vendre « par appartements », les « zélites » algériennes investissent dans les « beaux-quartiers » de Paris, au lieu de contribuer au développement de leur pays, qui pourtant en aurait bien besoin….

On lira, sous l’adresse ci-dessous, l’article que El-Watan consacre à ce sujet brûlant en Algérie, mais que les médias français ignoreront superbement….

http://www.elwatan.com//actualite/paris-alger-une-histoire-passionnelle-un-livre-revelation-qui-sortira-demain-en-france-11-04-2015-292128_109.php

On y découvrira la liste d’une brochette de « dignitaires » algériens qui, indifférents à nos pulsions de « repentance », semblent avoir choisi les bords de la Seine de préférence à ceux de la Méditerranée, et l’on s’étonnera de leur attirance pour les résidence « haut-de-gamme », situées dans les « beaux-quartiers » de Paris.

On y découvrira également que si les Pieds-Noirs ne sont plus chez eux, en Algérie, «Lorsque les responsables algériens prennent l’avion pour Paris, ils rentrent chez eux…»

Mais qui saurait reprocher l’attirance de ceux qui nous ont combattu, à l’égard d’une « France ouverte »qui se laisse peu à peu submerger par ce que nos « zinzins » appellent « la diversité » ???

Et qui, en France, aurait le courage de dénoncer ces « facilités » offertes à ces Algériens, sans aucune contrepartie ???

A moins que des contreparties existent, mais soient protégées par une opacité entretenue….

(1) .- Il s’agit de Philippe Clair dans un sketch des années 60, qui , dans le contexte « politiquement correct » de notre époque ne pourrait plus être diffusé aujourd’hui….

Najat et la « berbéritude »….


BelkacemS’il est une femme, au demeurant Ministre de la République, en charge, de surcroît, de l’Education Nationale, qui devrait comprendre, mieux que quiconque, l’attachement de beaucoup de Français à leur « identité », à leurs traditions et à leur héritage culturel, c’est bien Madame Vallaud, pour les uns, et Belkacem, pour les autres.

A ceux qui en doutent, et chez qui les manifestations de « repli » identitaire de certains Français provoquent des réactions  de mépris dédaigneux, je dédie ce petit morceau d’anthologie : Madame Najat-Belkacem y manifeste son attachement à la culture berbère dont elle est issue, et à sa double nationalité . Consultez cette intéressante vidéo:

youtube.com/watch_popup?v=wdh1kUra4TE&feature=youtu.be

 Quand on entend ce « cri du coeur » de Madame la Ministre de l’Education Nationale, proclamant sa fidélité à ses origines, à sa culture et à la langue berbère qu’elle semble maîtriser parfaitement (mieux que le Grec ou le Latin probablement…), on comprend d’autant moins son acharnement à vouloir « détricoter » l’héritage identitaire et culturel des Français auquel elle semble s’être attelée avec une détermination sournoise et une obstination surprenante.

Elle rêve sans doute d’atteindre un jour les sommets de l’Etat, – in’Chalah – tout en se prévalant de sa « double culture » et nantie de sa double nationalité….

C’est à cela qu’on mesure à quel point ce pays, de renoncements en démissions, a perdu le contrôle de son destin en remettant « les clés du Royaume » dont il a hérité après 2.000 ans d’Histoire et de sacrifices humains, à des Français d’adoption, qui ne sont pas comme on voudrait nous le faire croire, tout à fait des « Français comme les autres »…..

Car il y a encore des Français, des « beaufs » ( disent-ils ), qu’ils soient de souche ou venus d’ailleurs, qui aiment leur pays, qui n’ont qu’un seul passeport, une seule identité, et qui sont viscéralement attachés à sa culture à ses traditions .

Ces Français-là sont prêts à défendre leur « singularité », le couteau entre les dents….