Déclaration des anciens Présidents de la Société des Rédacteurs du « quotidien de référence »:
« Nous considérons que l’heure n’est pas aux manœuvres et aux arrangements de circonstance. L’avenir du Monde ne saurait être manipulé en fonction d’intérêts politiques ou économiques étrangers à l’indépendance et à la liberté de la presse. Le Monde doit rester le lieu d’exercice des libertés, liberté de penser, d’enquêter et d’écrire. Il n’est pas à asservir. Le Monde est un « bien commun » qui doit être défendu. Les médecins, fort peu désintéressés, qui se penchent à son chevet depuis trop longtemps, sans du reste le guérir, devraient se résoudre à lui laisser vivre sa vie. »
Dommage…
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Encore perdu……
Perdriel vient de retirer son offre….(celle qui avait la préférence de Sarko….)
Les loups ne se mangeront donc pas entre eux, malgré votre prophétie hasardeuse…
jf.
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