Tags et grafitis…


Les tags, considérés par l’intelligentsia gauchisante,- dont Jack Lang fut une figure de proue- , comme une forme moderne et populaire d’expression artistique, se mutiplient en France.

Après avoir « décoré » les murailles pouilleuses de certains quartiers, puis des trains entiers de wagons du RER ou de la SNCF, ces propagateurs d’un art nouveau s’attaquent désormais, aux cimetières et aux lieux de Culte marchant ainsi sur les pas glorieux des peintres célèbres que furent Picasso, Braque, et bien d’autres auteurs de fresques admirables.

Art décoratif Urbain

On ne compte plus les inscriptions que l’on peut voir défiler sur les murs de banlieues parisiennes, à la fenêtre du train qui  conduit vers les quartiers dits « sensibles »: « nique ta mère », nique la Police », » nique » tout ce qui bouge…..Les « chro »-« niqueurs » du monde artistique « populaire » ont de quoi se livrer à des études approfondies sur le raffinement des modes d’expression de ces nouvelles générations d’esthètes.

Ainsi, la Cathédrale de Clermont-Ferrand, après bien d’autres lieux de culte, avait été honorée en Novembre dernier par ces « artistes » dont les oeuvres sont rarement signées, ce qui empêche les médias d’en rendre compte.

http://indignations.org/profanations/

Afin de rétablir un « équilibre » dans le traitement des lieux de Culte, la mosquée de Castres vient de « bénéficier » du même « traitement ». Des représentations stylisées de symbôles peu glorieux, des grafitis haineux, décorent désormais la façade de ce « monument », dont le moins qu’on puisse dire, c’est que leur esthétisme a révolté les amateurs d’art locaux.

Bien entendu, ce mode d’expression artistique n’est inspiré par aucun courant de pensée politique (!).

Certains voudraient y voir l’expression de l’athéisme et celle d’un rejet de toute représentation religieuse. D’autres y voient une manifestation de laïcité hystérique.

On voit bien, pourtant, sans être un expert en art moderne, que l’on est, chez les représentants de cette nouvelle école, en présence du « degré zéro » de l’intelligence, et que si nos sociologues pouvaient se pencher sérieusement sur cette question, en procédant à des tests grandeur nature sur quelques échantillons de ces artistes, on serait surpris de constater que la majorité d’entre eux est dotée d’un Q.I. de moule.

Femmes voilées….


Il m’a été quelques fois stupidement reproché de ne pas consacrer suffisamment de place aux prises de positions de ceux qui pratiquent (en silence ) un « Islam modéré ».

J’ai pourtant consacré de nombreux billets reprenant des citations d’auteurs musulmans tels que Malek Chebel, Tahar Bendjelloul, Boualem Sansal, et bien d’autres encore.

J’ai souvent mis en évidence les propos de journalistes, -il se trouve que la plupart sont des femmes-, qui avec courage dénonçaient l’emprise sournoise d’un « islam conquérant », qui bénéficie, en Europe, de la « tolérance » , que dis-je, de la complaisance, des « belles âmes » qui s’efforcent, avec de moins en moins de succès, à imposer  l’ analyse « politiquement correcte » d’un phénomène qui, recèle de graves dangers pour l’équilibre, la stabilité, et j’ose l’écrire, l’identité de la nation républicaine.

L’auteure que je cite ici, appartient à une grande et vieille famille algéroise que j’ai personnellement connue

Lorsque le soir tombait autrefois sur Alger et que l’on circulait en direction du centre-ville, sur la « route moutonnière », une forte odeur d’huile d’olive flottait dans l’air. Cela voulait dire que l’on passait tout près des usines Tamzali.

Ce billet est consacré à la reproduction du point de vue de Wassyla Tamzali.

Cette femme qui a consacré une large part de son activité d’intellectuelle algérienne à la défense de la condition féminine, expose avec clareté, et un certain courage, la menace que fait peser sur notre société de « tolérance » la pression exercée sur les femmes, afin qu’elles entrent dans le moule dans lequel l’Islam politique cherche à les enfermer.

 Née en 1941, Wassyla Tamzali a été avocate à Alger puis directrice des droits des femmes à l’Unesco. Elle milite dans le mouvement féministe maghrébin. Elle a publié, en 2007, chez Gallimard, Une éducation algérienne. Là elle publie Une femme en colère – Lettre d’Alger aux Européens désabusés (Gallimard 150 p., 9,50 euros).

Q: Dans « Une femme en colère », vous vous demandez si le féminisme laïc a rempli son rôle historique.

R: Depuis plus d’un siècle des penseurs, des intellectuels, des féministes tentent de montrer que, sans renier l’islam, on peut arriver à des attitudes différentes de celles qui ont cours. Un constat de mon livre, c’est que ce travail n’a pas eu de prise sur l’intérieur même du problème. D’où mon intérêt pour l’apparition en force de ces femmes qui se battent en restant dans le giron de la religion, et ma question : « Le féminisme laïc a-t-il fait son temps ? » Mais c’est une figure de style.

Je suis, et je reste, ancrée dans une culture universaliste. Le féminisme maghrébin auquel j’appartiens a été porté par les mouvements de décolonisation avec la participation massive des femmes, et, quels que soient les résultats, ces mouvements parlaient de liberté et d’égalité.

Q: Vous êtes pessimiste sur la situation des femmes aujourd’hui. Croyez-vous vraiment que les avancées sociales soient de simples réaménagements du système patriarcal ?
R:
Si les réformes sociales sont la seule solution, oui. Que penser du travail si les femmes sont de plus en plus obligées de se voiler pour aller travailler ? La culture du harem a pris possession de la rue, ce n’est pas la modernité qui est entrée dans les maisons ! Prenons l’éducation, qui est la panacée des réformateurs. A travers l’éducation religieuse dans les écoles on enfonce dans la tête des petits que la domination des femmes est voulue par Dieu.

Notre tradition méditerranéenne n’a peut-être pas inventé la domination des femmes, mais le système familial le plus efficace pour la maintenir vivante assurément. Les Etats modernes post-coloniaux ne nous ont pas libérées de la « République des cousins », pour reprendre Germaine Tillion. Même le texte coranique n’est pas arrivé à bout de la morale sexuelle méditerranéenne. Le Prophète de l’islam avait pourtant ouvert une brèche dans la domination masculine séculaire. L’homme et la femme, créés en même temps, sont chassés du paradis pour une faute commune : « Vous continuerez à vous battre jusqu’à la fin des temps. » Ça n’a pas duré longtemps, avec le temps les exégètes ont rétabli l’idée d’une femme diabolique et dangereuse, d’où l’idée de l’enfermer.

Aujourd’hui nous sommes confrontés à un vaste chantier d’endoctrinement sur l’infériorité des femmes mené par des savants, par l’école, les télévisions par satellite, les cassettes audio, les prêches des mosquées, les milliers d’imams autodidactes, et des stars médiatiques. Alors quand, ici, à Paris, on me parle de liberté et de choix de se voiler, je souris.

La question de l’égalité est une question éthique ; elle doit être abordée sur le plan des principes et pas par des réformes sociales. D’où la nécessité de la laïcité, elle seule peut renverser les rapports d’oppression dont souffrent les femmes et les hommes dans les sociétés musulmanes ; seule la laïcité peut conduire à l’émergence d’une conscience moderne musulmane.

Q: La manière dont ce débat est posé en France fait, selon vous, que les féministes elles-mêmes ne mettent plus l’égalité au centre de leurs préoccupations.

R: Certaines féministes, dont les discours confortent les antiféministes. Elles rejoignent une frange de l’intelligentsia de gauche qui pense qu’on ne peut plus changer le monde et qu’il faut l’accepter comme il est. Aujourd’hui on veut dialoguer avec tout le monde, on balaye toutes les difficultés et on cache la poussière sous le tapis pour avoir la paix. On ne veut pas aborder les questions de fond. On semble tout accepter dans un mouvement de fraternité retrouvée mais, en réalité, c’est pour mieux contrôler la planète.

Notre époque est celle du dérapage contrôlé. Ce sont les femmes qui payent, et les féministes que l’on envoie au casse-pipe se battre contre des bouts de chiffon. Le voile, la burqa sont des leurres sur lesquels nous nous épuisons. Nous sommes réduites à des combats ridicules, alors que le fond est grave. Qui s’intéresse au fond des choses ?

Q: Qu’avez-vous envie de dire aux filles, qui, en France, revendiquent le port du voile ?
R:
Qu’elles sont tombées dans un piège. Certaines se sont voilées par jeu, par provocation, mais aussi par rébellion contre l’ordre dominant, trouvant là une définition de la liberté. J’ai envie de leur dire qu’on ne peut pas exprimer sa liberté en se jetant pieds et poings liés dans une culture dont l’objectif est la domination des femmes.

Les mouvements des années 1970 ont été le rejet de toute identification. Aujourd’hui, on ne se lève que pour revendiquer son identité et, en général, une identité de victime ; exemple, les Indigènes de la République, les prostituées… Face à quoi on nous demande d’abandonner l’idée que l’histoire va dans le sens de l’émancipation des femmes et de l’égalité pour tous.

Nous serions des ringardes, et les femmes voilées représenteraient le futur né des couches de la liberté, et de la décolonisation. Elles aident à la démocratie réelle et nous entretenons des conflits de culture entre les peuples !

Q: Vous êtes également critique à l’égard de l’islam modéré.
R:
L’islam modéré est un concept politique. Il concerne les appareils politiques, il relève de la tactique politicienne et ne m’est d’aucune aide, je dirais même qu’il est dangereux. Ce qui m’intéresse, c’est de m’interroger avec ceux qui partagent mon histoire, mes inquiétudes comme mes espoirs, sur ce qui fait peur aujourd’hui dans l’islam. Et d’abord en parler avec les musulmans.

Ils sont nombreux à rejeter l’islamisme sous toutes ses formes. Je voudrais leur dire qu’au lieu de voir dans le débat sur la burqa les signes du racisme, ils devraient dire qu’ils refusent la burqa et que c’est abject de vouloir mettre les femmes dans cette posture. Une grande manifestation dans ce sens aurait changé la face du problème, dont la clé est entre les mains des musulmans silencieux, et de leur courage de dire ce qu’ils pensent. Ces musulmans existent, ils sont très nombreux, mais pour l’heure leur musique est ténue, faible, elle n’intéresse pas les médias.

Q :Comment expliquez-vous qu’au Maroc, en Algérie, en Tunisie, des femmes intellectuelles décident de se voiler ?

R :On évoque plusieurs raisons, et j’en vois plusieurs, comme la recherche d’une honorabilité, une bonne conduite, l’affichage de sa soumission pour attirer les hommes, etc. Mais je veux dire ici que l’explication religieuse ne me convainc pas, j’ai vécu l’islam dans ma famille où les femmes et les hommes pratiquaient leur religion sans avoir besoin de tous ces signes. Je crois plutôt que la raison principale est que le voile est vécu comme un rempart contre la violence sexiste, symbolique ou exprimée.

Il y a des écoles et des universités, des lieux, en Algérie, où l’on ne peut plus être dévoilée. En arabe algérien on dit qu’une femme dévoilée est nue, ce qui en dit long. C’est un rempart illusoire ; dans mon livre je montre l’escalade de la violence dans les rues arabes où il y a de plus en plus de femmes voilées.

Vous dites que même où l’islamisme politique n’a pas triomphé, l’islamisation des moeurs est en train de gagner.

Oui. Désormais, l’islamisation des moeurs triomphe, elle s’étend sous la bonne garde de la violence islamique qui n’est qu’endormie. Je ne me fais pas d’illusion. Mais je suis une irréductible optimiste. Les « bonnes musulmanes » qui se battent dans le giron de la religion sont la preuve que le phénomène d’oppression ne peut durer éternellement. Et aussi parce que de notre côté, nous, féministes laïques, nous sommes toujours mobilisées, avec les hommes et les femmes de nos pays qui ont, malgré tout, le goût de la liberté.

Propos recueillis par Josyane Savigneau
Source: Wassyla Tamzali : « Désormais, l’islamisation des moeurs triomphe »
LE MONDE | 11.12.09 | 14h01  •  Mis à jour le 11.12.09 | 14h01

Pour ceux qui ne savent pas qui est Wassyla Tamzali, cette notice les éclairera.

Wassyla Tamzali a vingt ans en 1962, au moment de l’indépendance de l’Algérie. Elle est issue d’une famille de notables, riches propriétaires de pressoirs commerçant l’huile avec l’étranger. Ses ancêtres paternels viennent de l’empire Ottoman. Sa mère est espagnole. Sa jeunesse ne lui a laissé que des souvenirs de bonheur et de soleil. La guerre, l’indépendance, puis la réforme agraire et la nationalisation des propriétés familiales vont tout changer. Tout bascule en 1957, le jour où son père est assassiné par une toute jeune recrue du FLN. Le livre s’ouvre sur ce drame et se ferme à l’issue de l’enquête de toute une vie sur le ‘pourquoi‘ de ce meurtre. Pour l’auteur, l’assassinat du fils aîné d’une famille qui, bien qu’algérienne, dominait la ville, habitait une ferme coloniale et vivait ‘à la française‘ ne pouvait avoir qu’une signification : la revanche des tribus. La mère de Wassyla décide malgré tout de rester à Alger plutôt que de choisir l’exil. L’auteur s’enthousiasme alors pour la construction de l’Algérie nouvelle, fréquente le petit monde en ébullition de la Cinémathèque d’Alger, participe aux élans de la révolution, avant de céder devant les désillusions du socialisme réel et la répression et de choisir l’exil à Paris, où elle rejoint l’Unesco. Pendant vingt ans, l’auteur y mène de nombreux combats pour les droits des femmes, dont elle devient une porte-parole estimée.


ADOPTEZ UN « AFGHAN » !!!


Humour Canadien.

Ceci est la traduction de la réponse que le ministre canadien de la Défense a adressé à une bonne âme qui se plaignait à lui du sort réservé aux « combattants » afghans, prisonniers dans les centres de détention en Afghanistan.

Ce document qui circule sur le net depuis déjà quelques temps, m’a irrésistiblement fait penser aux images, vues à la télévision, de ces femmes qui, lors de l’affaire de l’expulsion des Afghans de Calais, s’interposaient entre la Police et les occupants de ce bidonville, embrassant maternellement (???), le visage plein de larmes, ces pauvres victimes qui s’accrochaient à elles dans un adieu déchirant…


> National Defence Headquarters
> MGen George R. Pearkes Bldg, 15 NT
> 101  Colonel By Drive
> Ottawa , ON K1A 0K2
>
> Canada
>
> Chère citoyenne inquiète,
>
> Merci pour votre récente lettre exprimant votre profonde préoccupation concernant le sort des terroristes d’Al Qaida capturés par les forces canadiennes, transférés ensuite au gouvernement afghan et à présent détenus par leurs officiels dans les centres nationaux de regroupement des prisonniers en Afghanistan.
>
> Notre administration prend ce sujet très au sérieux et votre message est reçu fort et clair ici à Ottawa.
>
> Vous serez heureuse d’apprendre, grâce au souci de citoyens comme vous-mêmes, que nous créons un nouveau département au sein de la Défense nationale, qui sera nommé P.L.A.R.T. , soit « programme des libéraux qui assument  la responsabilité pour des tueurs ».
>
> En accord avec les lignes directrices de ce nouveau programme, nous avons décidé d’élargir un terroriste et de le placer sous votre surveillance personnelle.
>
> Votre détenu particulier a été sélectionné et sera convoyé sous escorte lourdement armée jusqu’à votre domicile à Toronto dès lundi prochain.
>
> Ali Mohammed Ahmed bin Mahmud  (vous pouvez l’appeler simplement Ahmed) sera pris en charge selon les normes que vous avez personnellement exigées dans votre lettre de réclamation.
>
> Il sera vraisemblablement nécessaire que vous fassiez appel à des assistants.  Nous mènerons des inspections hebdomadaires afin de nous assurer qu’Ahmed bénéficie bien de soins et de toutes les attentions que vous recommandez avec autant de fermeté dans votre lettre.
>
> Malgré le fait qu’Ahmed soit un sociopathe extrêmement violent, nous espérons que votre sensibilité à ce que vous décrivez comme son « problème comportemental » vous aidera à surmonter ses troubles du caractère.
>
> Vous avez peut-être raison quand vous décrivez ces problèmes comme de simples différences culturelles.
>
> Nous comprenons que vous avez l’intention de lui fournir conseils et éducation à domicile.
>
> Votre terroriste adopté est redoutablement efficace dans les disciplines de close-combat et peut mettre fin à une vie avec des objets simples, tels que un crayon ou un coupe-ongle.
>
> Nous vous conseillons de ne pas lui demander de faire une démonstration lors d’une prochaine séance de votre groupe de yoga.
>
> Il est également expert en explosifs et peut en fabriquer à partir de produits ménagers. Peut-être vaut-il mieux que vous les gardiez donc sous clef, à moins que vous considériez (selon l’opinion que vous exprimiez) que cela puisse l’offenser.
>
> Ahmed ne souhaitera pas entretenir de relations avec vous ou vos filles (excepté sexuellement), dans la mesure où il considère que les femmes sont une espèce de marchandise sous-humaine.
>
> C’est un sujet particulièrement sensible pour lui et il est connu pour manifester des réactions violentes envers les femmes qui ne se soumettent pas aux critères d’habillement qu’il recommandera comme plus particulièrement adaptés.
>
> Je suis persuadé qu’avec le temps, vous viendrez à apprécier l’anonymat qu’offre la burkha. Rappelez-vous que cela fait partie du « respect des croyances religieuses », ainsi que vous l’écriviez dans votre lettre.
>
> Merci encore pour votre souci.  Nous apprécions vraiment que des concitoyens comme vous nous indiquent comment bien faire notre travail et nous occuper de nos congénères.
>
> Prenez bien soin d’Ahmed  et souvenez-vous que nous vous observons.
>
> Bonne chance et que Dieu vous bénisse,
>
> Cordialement,
> Gordon O’Connor
>
> Ministre de la Défense nationale.

Qui veut adopter Boumédienne, « citoyen franco-algérien » récemment rapatrié en France, en provenance de Guantanamo ???

Les candidatures sont à adresser à Mr Eric Besson, Ministre de l’Immigration et de l’Identité Nationale.

Citations de Prophètes….


Certes, « nul n’est prophète en son pays »! Mais, pour certains, il n’est pas interdit d’être prophète… ailleurs !!!

Devinettes.

Qui a dit:

« Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire ».

Qui a dit:

« The mosques are our barracks, the domes our helmets, the minarets our bayonets and the faithful our soldiers… »

Traduction:

« Les mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques,  les  minarets sont nos baïonnettes,  et les croyants nos soldats. »

Réponses:

La première citation prophétique est tirée d’un discours fleuve prononcé en Mars 1974 à l’Assemblée Générale de l’ONU, par Houari Boumédiene, alors chef de l’Etat Algérien.

Voici un autre passage du même discours prononcé à l’ONU pour mieux comprendre l’objectif de l’expansionnisme démographique anti-occidental :

« Aucun nombre de bombes atomiques ne pourra endiguer le raz de marée constitué par les millions d’êtres humains qui partiront un jour de la partie méridionale et pauvre du monde, pour faire irruption dans les espaces relativement ouverts du riche hémisphère septentrional, en quête de survie. » Président Boumediene, mars 1974.

La seconde citation émane de l’actuel Chef du Gouvernement Turc, Tercyyp Erdogan. Elle est tirée d’un poème qu’il avait récité en public, à l’époque où l’Armée toute puissante, en Turquie, veillait jalousement au respect de la laïcité. Cela lui avait valu de purger une peine de prison, pour incitation à la haine religieuse.

Prémonitoire ???

Scandaleux.


« Opération vérité » sur les primes de l’équipe de France de football

LE MONDE | 07.12.09 | 09h12  •  Mis à jour le 07.12.09 | 09h24

http://www.lemonde.fr/sport/article/2009/12/07/m-domenech-a-touche-826-222-euros-pour-la-qualification-au-mondial_1277135_3242.html

Extrait de l’article du Monde ci-dessus:

« Le voile est levé sur ce grand Meccano, en corrigeant les chiffres mentionnés dans la presse. Chaque match de qualification donne lieu à un minimum garanti de 10 000 euros par joueur convoqué, quel que soit le résultat de la rencontre. A cette part invariable s’ajoute un complément de prime – un intéressement à la qualification – compris entre 100 000 et 240 000 euros selon le nombre de sélections du joueur. Un autre barème s’applique en match amical : la prime est unique mais varie suivant le classement FIFA de l’adversaire et l’issue de la rencontre (18 000 euros en cas de victoire contre une équipe classée parmi les 10 premiers mondiaux, 9 000 euros pour un match nul).

A cela s’ajoutent des revenus sponsoring consistants. Une partie des droits marketing de l’équipe de France est, en effet, reversée aux joueurs et au sélectionneur en contrepartie de l’utilisation de leur image. En la matière, Raymond Domenech jouit du même traitement que les joueurs alors que ses trois adjoints ont un tiers de part chacun. En revanche, au sujet des primes, les adjoints sont logés à la même enseigne que les joueurs alors que le sélectionneur bénéficie d’une double part en vertu d’un usage déjà en cours lors du Mondial 1998.

Au total, Raymond Domenech a empoché 826 222 euros (un chiffre proche de celui donné par France-Football). Un joueur qui aurait participé à tous les matches aurait gagné 563 111 euros, donc beaucoup plus que ce que le journal avait publié. »

Cette « prime » perçue par Raymond Domenech, s’ajoute, bien entendu, à un salaire mensuel de 50.000 Euros.

A une époque où les salaires des dirigeants de grandes entreprises font scandale, on comprend la discrétion qui entourait jusqu’ici, les rémunérations de l’entraineur et des joueurs de cette équipe, si contestable dans sa composition, et si contestée quand à ses résultats….


On comprend que l’entraineur n’ait pas du tout envie de démissionner, et s’accroche à son poste nonobstant la pluie de critiques qui accompagne chaque sortie des « bleus »….

J’ajoute qu’il serait intéressant de connaître les émoluments de la « camarilla » qui dirige  la Fédération Française de Football….

Il y a beaucoup trop d’argent qui circule dans le Foot.

Identité Française (encore).


Intéressant, le débat, ce matin, sur iTélé, entre le Journaleux  Laurent BAZIN et Max GALLO, Académicien, Historien, ancien membre du Parti Communiste, devenu Ministre de Mitterrand et aujourd’hui, Sarkoziste convaincu.

J’aurais pu ironiser sur bien des propos de ce débat. Mais passons. Et soyons sérieux car la question le mérite.

Je partage pleinement l’opinion de Max GALLO.

Le « débat » sur l’identité nationale n’est pas « nauséabond » comme le dit le petit fox-terrier du PS, en la personne de l’inéffable HAMON.

Il n’est pas non plus, « inopportun », même si son ouverture a malheureusement coïncidé  avec le réferendum Suisse sur les Minarets.

Il n’est même pas « dangereux », à condition que l’on reste sur le terrain du débat.

En Démocratie, il n’y a pas de débats « nauséabonds », pas plus que de débats « inopportuns », car le débat devrait être permanent, surtout sur sur les questions qui concernent l’essence de la Démocratie.

Ce qui est malsain, c’est l’hypocrisie, la manipulation des informations, le mensonge, les non-dits, les refus de montrer la réalité telle que la vivent les citoyens.

Ce qui remonte à la surface de ce débat, ce sont les problèmes occultés pendant trop longtemps par la chape de plomb qui recouvre depuis plusieurs décades les problèmes liés à une immigration non assimilable, parceque non maîtrisée.

Ce sont les tonnes de mensonges , dont certains se sont fait une spécialité, sur le chiffre des immigrés vivant dans ce pays, et pis encore le chiffre de ceux qui y vivent dans l’irrégularité. Le refus, de connaître statistiquement, l’origine des différents courants d’immigration, comme si les Français ne se doutaient pas d’une réalité qui explose aujourd’hui.

C’est le refus d’affirmer, haut et fort, que certes, la France est une terre d’asile, et son peuplement résulte des strates successives d’immigration qui en font un élément central de son « identité », mais que ces courants successifs se sont « fondus dans la masse », et qu’aucun d’entre eux n’a cherché à renier l’héritage historique qu’il reçoit en devenant Français.

Alors, certes, les Arabes ne sont pas des Gaulois !!! On le savait depuis longtemps.

Mais les Espagnols ne se sont jamais revendiqués comme des Ibères et les Italiens comme des Romains et les Polonais comme des Slaves.

Ces populations qui au fil du temps sont venues enrichir la France de leur culture, de leur savoirs-faire, de leur ardeur au travail, ont dû elles aussi, surmonter des réticences, vaincre des préjugés,et parfois même endurer l’injustice. Mais leur patience, et surtout, leur volonté affirmée de devenir des Français, avec tout ce que cela comporte, était plus forte.

Je ne connais pas dans l’Histoire des immigrés qui ont fait ce pays de propos de haine comparables à ceux que l’on a pu lire, entendre sur des chaînes de télévision nationale quand une Houria Bouteldja*, par exemple, s’exprime sur la France et les Français.Propos relayés par un nombre incalculable de sites sur internet, dont l’inspiration anti-française est  réellement « nauséabonde » pour reprendre un langage de fox-terrier.

Et ces propos sont, hélas, « tolérés »,-  car la France souffre d’une « tolérance sans borne »- , et  ils sont repris en coeur par tout ceux qui n’aiment ce pays que pour les avantages qu’ils trouvent à y vivre.

Ce qui remonte à la surface de ce débat, c’est la force des convictions de ceux qui ne se posent aucune question sur leur identité française, le raz-le -bol de ceux qui en ont assez d’entendre gémir des « victimes de la discrimination », alors qu’ils font tout pour se singulariser et pour éviter de se confondre avec ces Français ( sous-chiens ou souchiens, comme vous le voudrez ) dont ils refusent de partager les valeurs, et encore moins les moeurs et les coutumes. Et qui ne ratent pas une occasion, soit de salir sa mémoire, soit de cracher sur ses symboles.

Il y a un terme qui devrait se répandre dans le vocabulaire médiatique: c’est « l’autostigmatisation » dont les illustrations foisonnent dans certains quartiers. Casquettes à l’envers, baskets de grande marque, survêtement « Lacoste » tombé d’un camion, oreillettes  saturées de rapp, et bien entendu, pour les filles, le foulard et la burqa provocateurs….

Quand on veut éviter d’être montré du doigt, on évite d’adopter des accoutrements « exotiques ».

Pour avoir un échantillon de « haine ordinaire » envers la France et les Français, promenez votre souris sur le lien ci-après:

* http://www.indigenes-republique.fr/article.php3?id_article=700&var_recherche=Lettre+ouverte+%E0+Elisabeth+Badinter

Boycott.


Dans « lemonde.fr » de ce soir:

Le réalisateur Fatih Akin boycotte la Suisse

LEMONDE.FR avec AFP | 03.12.09 | 19h05  •  Mis à jour le 03.12.09 | 19h34

Triste nouvelle pour les Helvètes !!! La Suisse ne s’en remettra pas !!!!
C’est qui ce Fatih Akin ??? Il a réalisé quoi  ????

3ème Guerre Mondiale à la télé !!!


Ils l’on dit !!!

Alors…. »Aux Armes Citoyens »!!! Formez vos Bataillons !!! Marchons, marchons….. etc.


Et surtout,… « qu’un Sang Impur ( celui des moutons égorgés dans nos caniveaux pour le Ramadan ??? ), Abreuve Nos Sillons !!!!!!

Poil au Menton.

Sarkozigue !!!


Sans « autosatisfaction », Sarkozy fait l’éloge de sa politique

LEMONDE.FR | 01.12.09 | 15h00  •  Mis à jour le 01.12.09 | 18h16

« Près de quatorze mois après le début de la crise financière, Nicolas Sarkozy s’est félicité, dans un discours consacré mardi 1er décembre à son plan de relance, des résultats obtenus ces derniers mois. A l’heure où se multiplient les signes de reprise, le président a dressé à la Seyne-sur-Mer (Var) un bilan particulièrement élogieux de sa politique, malgré la persistance du chômage et le creusement des déficits publics. »

« Le Monde » n’a pas raté l’occasion d’ironiser sur le discours prononcé par l’Hyper-Président, et sur l’éloge qu’il fait de sa propre politique.

Nicolas Sarkozy lors de son discours à La Seyne-sur-Mer, le 1er décembre.

Qu’y a-t-il d’étonnant dans tout cela ???

« Le Monde » est ,- une fois n’est pas coutume -, dans son rôle.

Quand au Président !!! Mettez-vous à sa place!!!

S’il ne fait pas lui-même son éloge, qui le fera pour lui ???

Chacun sait, désormais, qu’il est obligé de tout faire. Et s’il ne se mêle pas de tout faire,…ça ne marche pas !!!!

Ce n’est pas de « l’autosatisfaction » !!! Je vous le dis comme je le pense, c’est de l’autoreconnaissance du travail accompli.

Sacré zigue, ce mec !!!

Minarez-vous bien !!!


Suggestion à nos amis Suisses, pour sortir de « l’impasse du Minaret » :

Cette solution mettrait fin à une polémique ravageuse pour l’image de la Suisse. Elle apaiserait toutes les craintes de ceux qui redoutent que les minarets recouvrent, tels des champignons à l’automne, la verte campagne de ce sympathique petit pays.