Les tags, considérés par l’intelligentsia gauchisante,- dont Jack Lang fut une figure de proue- , comme une forme moderne et populaire d’expression artistique, se mutiplient en France.
Après avoir « décoré » les murailles pouilleuses de certains quartiers, puis des trains entiers de wagons du RER ou de la SNCF, ces propagateurs d’un art nouveau s’attaquent désormais, aux cimetières et aux lieux de Culte marchant ainsi sur les pas glorieux des peintres célèbres que furent Picasso, Braque, et bien d’autres auteurs de fresques admirables.
On ne compte plus les inscriptions que l’on peut voir défiler sur les murs de banlieues parisiennes, à la fenêtre du train qui conduit vers les quartiers dits « sensibles »: « nique ta mère », nique la Police », » nique » tout ce qui bouge…..Les « chro »-« niqueurs » du monde artistique « populaire » ont de quoi se livrer à des études approfondies sur le raffinement des modes d’expression de ces nouvelles générations d’esthètes.
Ainsi, la Cathédrale de Clermont-Ferrand, après bien d’autres lieux de culte, avait été honorée en Novembre dernier par ces « artistes » dont les oeuvres sont rarement signées, ce qui empêche les médias d’en rendre compte.
http://indignations.org/profanations/
Afin de rétablir un « équilibre » dans le traitement des lieux de Culte, la mosquée de Castres vient de « bénéficier » du même « traitement ». Des représentations stylisées de symbôles peu glorieux, des grafitis haineux, décorent désormais la façade de ce « monument », dont le moins qu’on puisse dire, c’est que leur esthétisme a révolté les amateurs d’art locaux.
Bien entendu, ce mode d’expression artistique n’est inspiré par aucun courant de pensée politique (!).
Certains voudraient y voir l’expression de l’athéisme et celle d’un rejet de toute représentation religieuse. D’autres y voient une manifestation de laïcité hystérique.
On voit bien, pourtant, sans être un expert en art moderne, que l’on est, chez les représentants de cette nouvelle école, en présence du « degré zéro » de l’intelligence, et que si nos sociologues pouvaient se pencher sérieusement sur cette question, en procédant à des tests grandeur nature sur quelques échantillons de ces artistes, on serait surpris de constater que la majorité d’entre eux est dotée d’un Q.I. de moule.