Qui est Edwy Plenel ???? (Source Wikipedia) :
Fils du vice-recteur de la Martinique Alain Plénel, connu pour ses engagements humanistes et anti-colonialistes, il passe l’essentiel de son enfance dans cette île des Caraïbes, qu’il quitte en 1962. Après une étape en région parisienne, il vit à partir de 1965 en Algérie, termine à Alger sa scolarité et y commence ses études universitaires.
De retour en France et arrivé à Paris en 1970, il rejoint la Ligue communiste révolutionnaire et en 1976 il est journaliste (sous le pseudonyme de Joseph Krasny) dans l’hebdomadaire de la LCR Rouge qui devient quotidien pour une courte période. Après son service militaire, il s’éloigne de la LCR et entre au Monde en 1980. Son livre Secrets de jeunesse (2001) revient sur une jeunesse militante trotskiste qu’il n’a jamais reniée.
Qui soutient Médiapart ???( Source Wikipedia):
Mediapart a reçu pendant sa campagne d’abonnements initiale de nombreux soutiens[4] qui se sont manifestés dans une série de vidéos publiées sur le pré-site (voir entre crochets les interviews de chacun de ces soutiens sur Dailymotion).
De nature diverse, beaucoup viennent de femmes et d’hommes politiques de l’opposition au parcours variés : Noël Mamère[5], de François Bayrou[6], Dominique de Villepin[7] ou François Hollande[8] à Arnaud Montebourg[9], Olivier Duhamel[10] et Catherine Trautmann[11], de Malek Boutih[12] et Khiari Bariza[13] à Daniel Cohn-Bendit[14], José Bové[15] et Olivier Besancenot[16].
Le soutien qui fit le plus de bruit[17] fut celui de Ségolène Royal, l’ancienne candidate à l’élection présidentielle de 2007, qui recommanda l’abonnement[18] à tous les adhérents de son association Désirs d’avenir. Le directeur Edwy Plenel fut accusé de créer, sans l’avouer, un quotidien à son service. Ce fut l’objet de débats nombreux à l’intérieur et à l’extérieur de Mediapart. L’un des arguments les plus utilisés fut la collaboration entre Mediapart et l’agence Internet La Netscouade[19], créée par Benoît Thieulin qui fit partie de l’équipe de campagne de Ségolène Royal. Le débat a repris avec la phase préparatoire du Congrès de Reims du PS[20] . En effet, de nombreux médias[réf. nécessaire] ont vu dans la prise de parole d’Edwy Plenel[21] au cours d’ un événement organisé par Ségolène Royal à la Maison de la Chimie le samedi 28 juin 2008[22] une affiliation du président de Médiapart à la ligne politique de la candidate socialiste. Edwy Plenel a répondu aux critiques ainsi : « Je serai là samedi pour intervenir sur la liberté de la presse, pas pour appeler à voter Ségolène Royal. Je réponds à toutes les invitations pour évoquer ce sujet. Et je répondrai positivement à toutes les autres têtes d’affiche du PS (et des autres partis), si elles me demandaient de venir parler d’indépendance des médias à leurs militants. »[23]. Suite à cette affaire, le Club de Mediapart a longuement polémiqué dans un article signé « Serval » de manière très passionnée concernant le bien-fondé de la candidature « Royal » à l’élection présidentielle de 2007[24]. « Serval » a depuis résilié son abonnement, ne souhaitant pas, selon ses propres termes[réf. nécessaire] « être cantonné au rôle de caution « indépendante » vu qu’il existe, au sein du Club, une zone de non-droits d’expression dès que l’on porte un regard critique sur Ségolène Royal ».
A côté des politiques, on relève des hommes de médias comme Michel Field[25], des syndicalistes comme Jean-Claude Mailly[26], le secrétaire général de la CGT-FO, ou Patrick Pelloux[27], président de l’Association des médecins urgentistes hospitaliers de France (AMUHF) ; mais aussi des avocats (Jean-Pierre Mignard, William Bourdon[28]), des historiens (Jean-Pierre Azéma[29], Gérard Noiriel[30], André Burguière[31], Benjamin Stora[32], Patrick Weil[33]), des chercheurs comme le spécialiste des sciences de l’éducation Philippe Meirieu[34] ou le mathématicien Michel Broué[35], des femmes et hommes de lettres (Jorge Semprún[36], Stéphane Hessel[37], Marie Darrieussecq[38], Thomas Gunzig[39], Jean-Marc Roberts[40], Patrick Rotman[41], …), des artistes de cinéma (Cédric Klapisch[42]) ou de la mode (Muriel Mesguich[43]), des militants associatifs, des étudiants…
Inutile de forcer le trait en mettant en évidence le nombre de personnalités appartenant ou ayant appartenu à l’extrême Gauche.
Les « Pieds Rouges » pullulent dans l’environnement de ce media. Ces mêmes « Pieds Rouges » qui, au lendemain de l’indépendance algérienne, rêvaient de faire de l’Algérie une sorte de Cuba aux portes de l’Europe, qui servirait de base arrière dans leur projet d’exportation de la « Révolution marxiste » en France, puis en Europe.
( Cf. mon article : https://berdepas.wordpress.com/2010/05/25/en-marge-de-la-polemique-sur-hors-la-loi/)
Ben oui !!!
Votre billet ci-dessus prouve que vous êtes un expert sur le sujet.
jf.
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Vraiment ???
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Eh…Mais justement, on n’attend que vous pour nous les retrouver !
jf.
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Qui peut dire s’il n’y en a pas ???? Ce sont des « champions » de « l’entrisme »……C’est comme le ver dans un beau fruit.
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En cette dernière semaine, la 35è de l’année 2010, les révélations sur Woerth-Bettencourt proviennent de « L’Express » et du « Figaro ».
je suis étonné que vous ne nous ayez pas encore déniché de trotskystes dans les rédactions de ces deux journaux….
jf.
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Vous voulez dire par là que ce personnage a été mêlé à tous les coups fourrés de la République ??? C’est bien ce que je laisse entendre.
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Ce qui est amusant dans votre pamphlet ci-dessus, c’est que vous oubliez, comme par hasard, que c’est ce même M. Plenel, alors Rédacteur en Chef du journal le Monde ( votre chouchou…), qui a révéler l’affaire du Rainbow Warrior puis démonté un a un les mensonges d’Etat de MM. Mitterrand, Fabius et Hernu, poussant ce dernier à la…démission.
Nul doute qu’avec un tel passé journalistique, M.Plenel peut ne pas « faire de cadeau à la Droite »…..
jf.
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