Jamel Debbouze.


Au cours d’une de ses « saillies » humoristiques, pendant le Festival de Cannes où était présenté « Hors-la-Loi »,-le film fort controversé, et considéré par les critiques impartiaux comme un film de médiocre qualité-, Jamel Debbouze, qui n’est jamais à court de plaisanteries d’un goût douteux, a déclaré -sans doute pour tourner en dérision ceux qui pensent que Polanski doit affronter la justice de son pays -,que lui aussi avait été « violé, à 16 ans par Polanski » !!!!

Pour voir la vidéo:

 http://www.eteignezvotreordinateur.com/jamel-debbouze-%c2%abmoi-aussi-je-me-suis-fait-violer-par-polanski-quand-javais-16-ans%c2%bb/

Ou, en cas de difficulté, sur:

http://www.youtube.com/watch?v=w9JL30mLduQ

 L’une des qualités premières d’un humoriste, c’est de savoir faire rire de lui même. C’est peut-être ce qu’a voulu faire Jamel.

Mais c’est tout de même la première fois que l’on voit un comique « troupier » revendiquer  publiquement, le « statut » d’enculé !!!!

Melissa Theuriau n’a pas réagi, jusqu’ici, à cette surpenante » révélation »….Peut-être aurons nous droit à un commentaire sur M6 ????

 En tout cas, les foucades de son humoriste de mari ne semblent pas avoir freiné ses ardeurs !!!! On pourrait même se demander, à la vue de cette superbe photo, si la « mésaventure » de son mari ne lui a pas donné des idées…

 

D’autre part, l’humour, quand il est pratiqué stupidement, peut devenir une arme à double tranchant !!!
Poussant le bouchon un peu plus loin, notre Jamel national se fend de quelques confidences dans l’hebdomadaire Paris Match, sur les circonstances dans lesquelles il a rencontré la femme de sa vie.

 Doit-on prendre ses déclarations au « pied de la lettre » ??? Je laisse le soin à chacun d’en juger :

On apprend, entre autres, dans cet hebdomadaire, que les deux tourtereaux se sont rencontrés sur le tournage d’Astérix, durant lequel l’acteur n’était pas au mieux de son sex-appeal : « On ne sait pas quand on va tomber sur la femme de sa vie. En général, au cas où c’est pour aujourd’hui, on se coiffe, on met de belles chaussures. Moi, quand je l’ai vue sur le tournage d’Astérix, j’étais en Numérobis, avec des spartiates, alors que j’ai des pieds tout tordus ! J’essayais de les enfoncer dans le béton pour ne pas qu’elle voie ça ! ».

 

 

 Pieds blancs ou de couleur, qu’ils soient tordus ou droits, cela n’empêche manifestement pas  Mélissa de « prendre son pied »…..à « bras le corps »!!! Je n’ai pas osé écrire à »bras raccourcis »…..Et pourtant, il en est d’autres qui ne s’en privent pas, et qui ne l’épargent pas quand il s’agit de ce bras qu’il cache derrière son dos quand il est sur scène:

http://www.elleraconte.com/article-jamel-debbouze-rattrape-par-son-passe-a_2840_0_0.html

Quand à Melissa, comme on peut le voir sur cette image parue dans une revue anglaise, elle ne » perd pas l’occasion de prendre son pied ».

Et pourtant, ses assauts de tendresse n’ont pas l’air de tellement exciter son « MonkeyMan » de mari….(http://www.staragora.com/news/jamel-debbouze-traite-de-singe-et-d-infirme-par-un-site-americain-scandale/183375)

Alors, la voici obligée d’utiliser « les grands moyens » pour tenter d’exciter le mâle, dont la « souffrance » se lit sur le visage….

Alors « MonkeyMan », c’est mieux que Polanski ou pas ????

En marge de la polémique sur le film « Hors-la-Loi »….


Lu cet excellent article dans l’Express.fr, un hebdomadaire qui n’a jamais caché ses sympathies pro-algériennes, – ce qui donne à ce qui suit une « saveur particulière »-, sur un sujet que tous les Pieds-Noirs connaissent depuis toujours, mais que les médias et surtout les « historiens de pacotille » se sont bien gardé d’ébruiter, tant le sentiment de culpabilité et la mauvaise conscience de ces « Pieds-Rouges » sont profonds.

Les « idiots utiles » du FLN

Par Emmanuel Hecht, publié le 21/09/2009 13:53 – mis à jour le 21/09/2009 14:00

http://www.lexpress.fr/culture/livre/algerie-les-annees-pieds-rouges_823725.html

Citation:

« Après l’indépendance, des Français partent bâtir l’Algérie socialiste. Catherine Simon raconte l’engagement de ces « pieds-rouges », qui vira au cauchemar.

L’atmosphère est électrique en Algérie en ce mois de juillet 1962. La France a officiellement reconnu l’indépendance du territoire qui sombre dans l’anarchie.

 Entre les fusillades de l’armée française, les règlements de compte des groupes algériens rivaux, les enlèvements et exécutions d’Européens, les attentats et sabotages de l’OAS, les pieds-noirs embarquent pour une métropole qui ne goûte pas le pataouète.

 Leurs meubles ont envahi les trottoirs, vestiges de cent trente-deux ans de colonisation : l’exode débute par une immense braderie. A la fin de l’été, 700 000 Européens seront partis (4 sur 5).

 Au même moment, quelques milliers de Français – on ignore leur chiffre exact – traversent la Méditerranée en sens inverse. Médecins, chirurgiens, infirmiers, instituteurs, ingénieurs, artistes, ils viennent occuper les postes vacants. Ils font don de leur personne pour participer à l’édification du socialisme dans la nouvelle Algérie. Anticolonialistes, porteurs de valises du FLN, insoumis, déserteurs, ils savourent leur  victoire. Ils ont le sentiment de vivre le grand soir, entre révolution cubaine, guerre d’Espagne et résistance. Ils sont chrétiens de gauche, trotskistes, anciens communistes.

Des journalistes pieds-noirs, entre mépris et dérision, baptisent « pieds-rouges » « cette ahurissante sous-espèce d’oiseaux migrateurs », raconte Catherine Simon dans une enquête remarquable sur cet épisode méconnu de l’histoire franco-algérienne. (1)

La force du récit de la journaliste du Monde repose sur les témoignages.

 L’entreprise relève de l’exploit.

 Jusqu’ici, les pieds-rouges s’étaient tus. Y compris ceux qui, entre-temps, avaient acquis une notoriété : l’ancien patron de TF 1 Hervé Bourges – qui refuse l’appellation – le géopoliticien Gérard Chaliand, l’écrivain Ania Francos, l’avocat Tiennot Grumbach, le photographe Elie Kagan, les cinéastes Marceline Loridan et René Vautier, le parolier Pierre Grosz…

Il est difficile de parler d’un échec, encore moins d’un cauchemar. La réalité fut à mille lieues de l' »illusion lyrique » des premiers jours. Les pieds-rouges découvrent le poids de l’islam, le machisme, le mépris à l’égard des « gaouris » (nom donné aux chrétiens par les Arabes), l’absence de démocratie, les règlements de compte violents, la corruption…

Le désenchantement est à son comble lors du coup d’Etat du colonel Boumediene et du renversement de Ben Bella, le 19 juin 1965. Des pieds-rouges entrent dans la clandestinité, d’autres sont arrêtés et torturés dans les ex-centres de détention de l’armée française ! Et pourtant, les victimes ne parlent pas. Leur culpabilité – françaises, elles doivent assumer les fautes du colonialisme – est trop forte.

 A leur tour elles sont contraintes au départ, sans ménagement. Elles laisseront leurs chimères sur le port d’Alger. Quelques rares entêtés resteront. Jean-Marie Boëglin, qui a abandonné Lyon, le TNP et Roger Planchon au début des années 1960 pour créer le Théâtre national algérien, rentre en France en 1981.

 Il se définit comme un « idiot utile ». Lénine utilisait la formule pour désigner les Européens apologistes du régime soviétique jusqu’à l’aveuglement.

 Une majorité des pieds-rouges – remplacés entre-temps par le « coopérant », figure centrale des relations franco-algériennes – ont recouvré leurs esprits. Leur gueule de bois idéologique s’est dissipée.

 Mais à quel prix ? »

(Fin de citation).

 (1) Par dérision en réponse à ceux qui avaient affublé les Français d’Algérie du qualificatif de « Pieds-Noirs ».
Algérie, les années pieds-rouges, par Catherine Simon, La Découverte, 288 p, 22 €.
 
 A lire ABSOLUMENT !!!( Pour agrandir l’image, cliquez dessus).
  
 
 
Le sujet des « Pieds Rouges » a rarement été abordé.
Le mérite de ce journaliste n’en est que plus digne d’être souligné.
 Il est vrai que beaucoup de ces « révolutionnaires » en peau de lapin sont restés très discrets depuis la fin de leurs illusions. Il n’en demeure pas moins que beaucoup d’entre eux continuent à jouer un rôle influent dans la société française .Discrets sur ce qu’ils font mine de considérer comme des « erreurs de jeunesse », ils continuent à faire partie de ceux qui contribuent, inlassablement, à propager une image négative, et parfois haineuse, de ceux qui n’ont jamais partagé leurs illusions.
Beaucoup d’entre eux ont contribué à l’entreprise de falsification de l’Histoire souvent dénoncée dans ces pages.( is it not Benjamin Stora ???)
C’est en cela qu’il n’est pas inutile de signaler ce chapitre peu glorieux de l’histoire commune de l’Algérie et de la France, en marge de la polémique suscitée par la diffusion du film « Hors-la-Loi » présenté au festival de Cannes…..

Cannes et les Hors-la-Loi…..


J’ai parcouru les nombreux articles commentant les réactions suscitées par la présentation de ce film au Festival de Cannes, ainsi que les commentaires des lecteurs s’exprimant sur internet.

 On voit bien, à travers toutes ces réactions, que les Français sont divisés sur la manière de « recevoir » ce film, et que ces divisions sont extrêmement profondes. La lecture de l’Histoire de cette guerre atroce est devenue difficile, en raison des sensibilités  qui sous-tendent les jugements exprimés, sans parler des « manipulations » idéologiques qui polluent les débats.

En vérité, il y a ceux qui ont vécu « l’avant », le « pendant » et « l’après » de cette guerre civile, et parmi eux, ceux qui ont souffert de l’assassinat sauvage, ou la mort au combat, d’un proche ou d’un ami. Leur sensibilité demeure à fleur de peau, ce qui explique la force, et parfois, la violence de leurs réactions dès qu’ils ont le sentiment que s’exprime un déni de leurs souffrances, en même temps qu’une exaltation des souffrances de l’autre camp.

Il y a ceux qui n’ont rien vécu de tout cela. Ce sont ceux qui en parlent avec le plus de légèreté, en justifiant leurs propos par des considérations philosophiques ou morales, le plus souvent superficielles, auxquels les précédents sont insensibles. Leurs jugements sont sévères, et n’expriment aucune commisération pour ceux dont les souffrances leur sont indifférentes, voire étrangères.

En outre, ils donnent le sentiment de s’abriter derrière cette sévérité parce qu’elle leur donne bonne conscience et qu’elle leur permet de s’affranchir d’un héritage historique qui est aussi le leur…Car faut-il rappeler que ce qui est devenu une guerre, après avoir été une opération de maintien de l’ordre, s’est déroulé sous des Gouvernements socialistes, avant que de Gaulle ne s’empare du pouvoir ????

Il est significatif de constater que dans tous les commentaires qu’a suscitée la polémique consécutive à la sortie du film « Hors-la-Loi » à Cannes, personne n’a eu l’imprudence (le courage ???) de rappeler que les « évènements de Sétif » se sont produits alors que de Gaulle était au pouvoir, et que son Gouvernement comptait un nombre important de ministres communistes, que son Ministre de l’intérieur qui était « à la manoeuvre » était un socialiste, qui non seulement sont restés silencieux devant la violence de la riposte française, et n’ont pas quitté le Gouvernement, mais ont approuvé l’action qui a été menée….

 Nul ne peut nier ce que les Algériens ont enduré pendant cette guerre. Nul ne peut nier, non plus qu’ils ont été les principales victimes des méthodes terroristes des « hors-la-loi » de l’époque….Et que le plus grand nombre de ces victimes algériennes a payé de son sang sa proximité avec des Pieds-Noirs. Car nul ne peut nier non plus les liens très forts qui ont existé parfois entre Algériens et Pieds-Noirs, car tous les Pieds-Noirs n’étaient pas des « exploiteurs » et contrairement aux caricatures popularisées après l’Indépendance de l’Algérie, de fortes amitiés existaient , qui se nouaient dès le plus jeune âge, à l’école, au lycée ou dans le sport…..

La nécessité de faire oeuvre de vérité en ce qui concerne les Algériens, ne justifie donc pas pour autant, la négation, par le silence, de ce que les « Européens » ont dû souffrir de leur côté.

Et en tout état de cause, les « Européens », s’ils ont commis de lourdes erreurs sur le plan historique,  ont payé ces erreurs au prix fort, par un exil à nul autre pareil au cours du siècle écoulé, un exil que dans d’autres contextes ont aurait assimilé à un nettoyage ethnique. 

Un exil à nul autre pareil, car leur accueil en France – il n’est pas un seul Pied-Noir qui ne se souviennent des paroles abjectes d’un Gaston Deferre – n’a fait qu’approfondir la douleur de l’exil…… 

Ceci dit, ce qui « énerve » beaucoup de ces « Européens » encore aujourd’hui, c’est que l’on puisse impunément, sans que voix au chapitre soit accordée à leur point de vue, travestir des faits qui appartiennent désormais à l’Histoire, et que de part et d’autre nous devons assumer.

Ainsi, comment peut-on croire qu’ils puissent accepter que l’on aborde le sujet des exactions commises du côté français, en glissant silencieusement sur les horreurs commises par le FLN.

 Tout le monde sait que des prisonniers ont été passés à la « gégène » par les militaires. Mais qui se pose la question de savoir pourquoi et dans quel contexte ???? Qui s’est interrogé sur la question de savoir comment un jeune appelé de vingt ans peut réagir devant le spectacle d’une famille vivant dans une ferme isolée qu’il trouve par un triste matin de novembre, sous la pluie, dispersée autour de sa maison, avec l’envie de vomir devant des cadavres atrocement mutilés, égorgés,ou éventrés, gisant dans la boue….Certains ont pu « péter les plombs » comme on dit vulgairement aujourd’hui….Car à cette époque, les « cellules d’assistance psychologiques » n’existaient pas, et beaucoup de soldats du contingent ont été durablement marqués par ce qu’ils ont vécu. Les exemples de ce genre abondent. Je ne vais pas les multiplier, ce serait trop facile.

Les Algériens, – certains Algériens- surfant sur la vague qui porte la mode de la « victimisation » , souhaitent être considérés comme des victimes et seulement comme des victimes, espérant faire oublier qu’ils ont été eux aussi, des bourreaux.

Le film « Hors-la-Loi »  ne fait pas exception. Montrer les massacres d’Algériens en 1945, à Sétif, en glissant rapidement sur le fait que ces massacres- ( commis sous le Général de Gaulle aujourd’hui encensé comme le « libérateur de l’Algérie », alors que des Ministres Communistes se trouvaient dans son Gouvernement et sont restés silencieux, ce qui devrait inciter la gauche communiste à plus de réserve sur cette page de notre Histoire…) – ont fait suite au massacre injustifié de centaines d’Européens qui manifestaient pour célébrer, le 8 Mai 1945, la victoire contre les Allemands, a été vécu, une fois de plus comme une sorte de déni, par ceux qui ont manifesté lors de la sortie de ce film.

On peut comprendre le ressentiment de beaucoup d’Algériens à l’égard de la France.

Mais ce que l’on a du mal à comprendre c’est qu’ils aient tout fait pour devenir Français au lendemain de l’indépendance de leur pays pour laquelle ils se sont battus.

Ce que l’on a du mal à comprendre, parce que ça ne cadre pas avec ce légitime ressentiment, c’est que la France offre l’asile, héberge, soigne d’anciens dirigeants du FLN, et même d’anciens combattants, un peu comme si des Officiers du 1er REP avaient trouvé refuge en Algérie….

Ce que l’on a du mal à comprendre, c’est que malgré tout ce ressentiment accumulé, et entretenu par les dirigeants de l’Etat algérien, la jeunesse algérienne n’ait qu’une seule ambition : obtenir un visa pour la France et quitter son pays.

On peut comprendre que des Algériens, devenus français, ne se sentent pas à leur aise dans le pays qui les a accueillis.

 Mais ce que l’on a du mal à comprendre c’est que personne n’oblige personne à devenir Français s’il ne le souhaite pas. D’autant que beaucoup d’Algériens,- ce sont souvent ceux-là qui se manifestent le plus – ont conservé la double nationalité, que la France leur a généreusement concédée . Ce qui leur permet de jouer sur les deux tableaux et de manger aux deux rateliers, selon les circonstances et en fonction de leurs intérêts. 

C’est le cas de ce Bouchareb, dont on peut se demander s’il s’exprime en tant qu’Algérien ou en tant que Français, et dont le film, financé à 59% par les contribuables français ne ferait pas l’objet d’une telle polémique s’il n’était pas aussi ambigu !!!!