Un rapport de la Cour des Comptes « épingle » les dockers et les grutiers de Marseille. A lire sous:

http://www.lefigaro.fr/assets/pdf/rapport%20Cour%20des%20Comptes-port%20de%20Marseille.pdf

On y apprend que ces champions de « la lutte des classes » perçoivent des salaires qui feraient rêver un agrégé de l’Université, de l’ordre de 4.500 Euros par mois pour 12 heures de travail effectif par semaine.

Les « anciens » se souviennent de la faillite de l’exploitation du Paquebot France, à l’époque où son port d’attache était systématiquement bloqué par des grêves à la tête des quelles s’illustrait déjà la CGT. Nos chantiers navals ont été également détruits par les grèves à répétition qui ont fait fuir les commandes des armateurs vers la Corée ou Taïwan…

Les mêmes comportements suicidaires se poursuivent aujourd’hui qui font que le port de Marseille est condamné à une régression implacable, au profit de Barcelone, de Valence. Quand au port du Havre qui connaît les mêmes difficultés il régresse également au profit de Rotterdam et d’Amsterdam.

Il faut parcourir le rapport de la Cour des Comptes pour mesurer à quel point un syndicalisme imbécile participe au déclin de l’économie française et à la désindustrialisation du pays, avec comme seul but, la préservation de privilèges d’un autre âge…..

 On en apprend de belles !!!

L’Express publie le blog de Renaud Revel qui rapporte un vif échange intervenu entre Pierre Lescure, ex-patron (de Gauche ) de Canal+ et L’ex-animateur d’émissions de télé-réalité Delarue, récemment compromis dans une affaire de trafics de cocaïne, et qui a entrepris un parcours de repentance, en quête de réhabilitation.

http://blogs.lexpress.fr/media/2011/02/04/quand-delarue-et-lescure-se-dechirent-sur-fond-de-souvenirs-cocaines/

Je cite Renaud Revel: 

« Si cet échange est, il faut en convenir, assez anecdotique, il nous replonge néanmoins dans une époque que Pierre Lescure à tort d’exhumer de la sorte. L’anecdote qu’il rapporte est incomplète.  Ne jamais remuer le passé, quand celui-ci peut se révéler encombrant…

Car, au milieu des années 90, la brigade des stupéfiants s’est en effet longuement penchée sur la vie interne de Canal+.  On savait que les parkings souterrains de la chaîne cryptée étaient un lieu de consommation de «coke» très fréquentée par le tout-venant: cadres dirigeants et animateurs.

On savait aussi que, dans l’euphorie d’une chaîne en pleine explosion, la  cocaïne et autres produits vitaminés avaient remplacé pour beaucoup la caféine ou le Guronsan. Si bien qu’un matin, la presse révéla que la Brigade des stupéfiants avait entre les mains une longue liste de personnalités du tout-Paris des médias et du show-biz, mêlées à de la consommation à grande échelle de cocaïne. Une liste où figurait, en bonne place, non pas deux, mais une dizaine de figures connues de la chaîne cryptée.

Cette affaire fit grand bruit dans les milieux de la télé.

Mais étrangement, pas une poursuite ne fut engagée, les gardes à vue ne débouchèrent sur aucune mise en examen, si bien que ce dossier à charge s’évapora comme une mince couche de neige blanche balayée par un petit courant d’air fortuit.

Il fut seulement question à l’époque de quelques interventions au plus haut niveau de l’Etat, de quelques coups fils bien ciblés, pour calmer le zèle des pandores… Seul reste aujourd’hui le nom de Delarue« .( Fin de citation ).

On savait que Canal + était un repaire de soixante-huitards attardés, ce qui donne à cette chaîne sa « couleur » si particulière, son petit côté ironiquement, voire joyeusement contestataire vis a vis du Pouvoir.

On ignorait, même si on pouvait s’en douter un peu, qu’elle était un repaire de consommateurs ( et seulement consommateurs ???) de drogue.

 Cela illustre le fait que, ce qui « nourrit » le trafic de cocaïne, et le silence médiatique qui entoure le plus souvent les interventions de la Police dans ce domaine c’est l’usage important qui est fait, notamment dans certains milieux « bobo-gauchos » du show business parisiens, de cette drogue dangereuse, car la cocaïne est un alcaloïde extrait de la coca. Psychotrope, elle est un puissant stimulant du système nerveux central, dont la consommation est lourdement addictive. Delarue en a fait la douloureuse expérience.

Ces milieux qui manient beaucoup d’argent peuvent se permettre, sans avoir à « casser une banque » ou agresser une vieille dame pour lui prendre son sac, et sans avoir à se prostituer, de consacrer de grosses sommes pour le plaisir (?) de se « défoncer ».

Cela explique sans doute partiellement les difficultés des services de Police dans leur lutte pour tenter d’éradiquer les réseaux qui, sans scrupules, contribuent au pourrissement de notre société et particulièrement d’une partie de sa jeunesse.

Lentement, tranquillement, insidieusement, l’Islam fait sa propagande, avec la complicité et l’aide des chaînes nationales de Télévision, – en l’occurrence France 2 – qui distillent leur discours narcotique, destiné à endormir la vigilance de ceux qui ne sont pas prêts à accepter l’islamisation de la société française, discours destiné à combler les « zozos angélistes » et autres « islamophiles » qui adorent le thé à la menthe et le couscous, et sont prêts à renoncer à une tranche de jambon de Bayonne pour un authentique kebab hallal…

Petit échantillon, qui date un peu, mais qui montre que le processus est en marche depuis pal mal de temps…: 

http://www.youtube.com/watch?v=okya0DaBcos

Celui qui s’exprime a déjà fait un pas dans la bonne direction: il a choisi de porter la barbe. Il ne lui manquera plus qu’à enfiler une djellaba pour être parfaitement intégré….Mais, il ne faut pas brûler les étapes !!!!