ça tangue sur le « pédalo »….


« C’est au pied du mur que l’on voit le maçon », disait ma Grand mère….

Pour Hollande, ça ne va pas tarder. Les premières épreuves se dessinent, au fil des jours, et avant même qu’il n’ait escaladé les marches du Palais de l’Elysée….

Les premières occasions vont lui être données de montrer qu’il n’est ni le « Grand Méchant Flou », ni le « Grand Méchant Mou »….

Alors que la « poule » qui va faire son entrée à l’Elysée a commencé à « faire le ménage », en éjectant Julien Dray de la petite fête organisée au PC de François, pour avoir organisé, lui aussi, une petite fête pour son anniversaire à laquelle était convié le couple DSK, va-t-il devoir « sanctionner » Manuel Valls, pour avoir, le soir même de l’élection de Hollande, rendu une visite discrète au même DSK, autour duquel les « mouches » du PS semblent tourner, comme autour d’une merde ????

En effet selon l’Express, qui n’est pas suspect d’antipathie pour la Gauche:

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/la-discrete-rencontre-de-valls-et-dsk_1113092.html

Au soir du premier tour de l’élection présidentielle, Manuel Valls, directeur de la communication de François Hollande, a souhaité saluer Dominique Strauss Kahn. En toute discrétion. 

« Manuel Valls est un ami fidèle, mais il préfère que cela reste… discret. Rares sont ceux qui savent que, le 22 avril, au soir du premier tour, après un passage au QG et un autre rue de Solferino, le directeur de communication du candidat François Hollande a fait un détour, avant de rentrer chez lui, pour aller saluer Dominique Strauss-Kahn. « 

Dans la « même veine », on s’interrogera sur la capacité de Flamby à respecter ses engagements vertueux…. En effet, n’a-t-il pas déclaré à plusieurs reprises au cours de sa campagne, son attachement à une « République irréprochable » ???

L’occasion ne va pas tarder à se présenter, pour lui, de montrer sa « fermeté » et sa fidélité aux grands principes dont il nous a « bourré le mou » au cours de sa longue anaphore, ponctuée de « MOI Président… ».

 En effet, pressenti pour succéder à François Fillon, Jean-Marc Ayrault pourrait bien être rattrapé par une affaire datant de 1997, pour laquelle il avait été condamné à six mois de prison avec sursis. 

« Je n’aurai pas autour de moi à l’Élysée des personnes jugées et condamnées ». C’est ce que déclarait François Hollande, dans une interview au JDD datée du 14 avril, au cours de laquelle il affirmait son intransigeance  concernant une République qu’il souhaite « irréprochable ». 

Voilà qui pourrait cependant ne pas arranger les affaires de Jean-Marc Ayrault, fortement pressenti pour le poste de Premier ministre