Archives mensuelles : janvier 2011
Philosophes auto-proclamés.
Il faut se méfier de l’arrogance des « philosophes » auto-proclamés.
Autrefois, on enseignait la Morale en classe terminale de Philosophie.
Mais chez les « nouveaux philosophes » la Morale ne fait pas toujours bon ménage avec la Philosophie.
Barbara Spinelli, journaliste au quotidien italien « La Republica », inflige à Bernard Henry-Lévy qui se mêle de tout avec un culôt qui enchante la « médiacratie », une cinglante leçon de morale, à propos de la décision de l’ex-Président du Brésil, Lulla, de ne pas extrader en Italie le pseudo- révolutionnaire anarchiste Battisti, afin qu’il réponde de ses crimes devant la Justice italienne.
Dans un article reproduit par « Courrier International », elle brosse un portrait cruel, mais hélas ressemblant, d’une certaine « intelligentsia » française, ivre d’auto-suffisance et convaincue de détenir une parcelle de légitimité intellectuelle héritée de la Révolution Française et de ses ambitions universalistes.
» Pour ceux qui le soutiennent, Battisti n’est pas même un terroriste. Bernard-Henri Lévy le qualifie d' »ancien enragé devenu écrivain ». Les « enragés » avaient été, au temps de la Révolution française, les plus extrémistes. Philippe Sollers le baptise « héros révolutionnaire ». Le seul fait d’être devenu écrivain le transfigure, l’absout, fait de lui un « intello », comme si ce titre suffisait à le hisser au niveau d’un Zola et de ceux qui, entre 1895 et 1906, prirent la défense du capitaine Dreyfus. Le fait est – si ce sont bien, ici, les faits qui comptent – que Cesare Battisti n’est pas seulement un « intello ». Il fut un criminel de droit commun jusqu’à ce que, par commodité, il prenne le masque du révolutionnaire en adhérant aux PAC (Prolétaires armés pour le communisme). Il a été condamné par contumace pour avoir tué trois hommes et participé à un quatrième meurtre en 1978 et 1979, et il fuit pour échapper à la prison. Ces intellectuels français se voient en héritiers des dreyfusards et même des moralistes français des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles. Mais les moralistes ne faisaient pas la morale. Ils décrivaient la nature retorse des hommes – à commencer par la leur – avec une ironie impitoyable. Je pense à Montaigne, à La Rochefoucauld, à Pascal, à Vauvenargues, à Chamfort. Leurs prétendus héritiers eurent eux aussi ce regard impitoyable et anticonformiste quand ils fustigèrent leurs propres convictions communistes.
Certes, ces « nouveaux philosophes » ont compris Soljenitsyne bien avant les Italiens ou les Allemands. Mais, dès qu’ils manient le concept de révolutionnaire ou d’intellectuel, ils sont affligés d’un strabisme étrange, leur acuité s’émousse. Le fait d’avoir guillotiné un roi leur donne un motif d’orgueil immuable, les rend prétendument supérieurs à tout Européen. Même l’universalisme, dont les Français se font volontiers les chantres, les rend aveugles à leurs propres limites. Leur contribution à l’Union européenne est un mélange d’universalisme décoratif et de nationalisme effectif. Certains principes sont sacralisés à tel point qu’ils se sont ossifiés et en sont morts, comme ces étoiles qui pour nous continuent à briller bien qu’elles soient mortes depuis longtemps. De nombreuses polémiques intellectuelles agitent les Français les uns contre les autres, mais ils ne s’adressent ni à l’Europe, ni au monde, vis-à-vis desquels leur ignorance est souvent abyssale, une ignorance militante.
Les intellectuels français cultivent leur ignorance du fonctionnement de la justice italienne, de son indépendance, bien plus solide qu’en France, oublient la lutte que les magistrats mènent contre la mafia, contre la corruption, contre une politique réduite à des intérêts privés. Bernard-Henri Lévy nous invite à « tourner la page des années de plomb », du moins à les penser « sans passion, avec équité et en évitant la terrible logique du bouc émissaire ». C’est une rengaine que les Italiens connaissent bien : mieux vaut tourner les pages du fascisme, des massacres, de l’opération « Mains propres », de l’assassinat des juges Falcone et Borsellino ainsi que de leurs escortes héroïques. Mais on tourne les pages en se remémorant et en faisant justice (la clémence vient après les verdicts), faute de quoi elles restent là et propagent leur infection mortelle. Ou bien on tourne la page et on oublie, comme le font les imbéciles ou les petits soldats de l’Ignorance, deux catégories si proches.
Même Jésus avait du mal avec les imbéciles. Il admettait : « Les boiteux, je les ai guéris, les aveugles aussi. Mais, pour les imbéciles, je n’ai rien pu faire. »
Nous n’avons pas besoin de l’ignorance militante et ahurie qui vient d’ailleurs : nous en avons largement notre dose chez nous. L’amalgame qu’on a fait entre terrorisme, mafia, corruption et mépris de la magistrature n’est pas une page obsolète qu’il s’agit de tourner. C’est le présent dans lequel nous sommes embourbés. Toutes ces choses, les Français ne les comprennent pas. Ils ont beau avoir fait la révolution et appeler chaque homme par le même nom – citoyen –, l’esprit de caste est tenace. Si vous êtes un intellectuel, vous jouissez d’une immunité particulière, même si vous avez tué votre femme, comme le philosophe Louis Althusser. Tocqueville, déjà, trouvait intolérable le flirt tellement français entre hommes politiques et gens de lettres. Considérer les terroristes d’hier comme des vaincus, comme les perdants de l’Histoire, relève de l’abstraction littéraire la plus ignominieuse, peut-être. Le vaincu est celui qui sort battu d’un conflit dans lequel il a été un combattant régulier, un guérillero ou un véritable enragé. On lui doit le respect : un nouvel ordre va se reconstruire, où il aura sa place. Les années de plomb n’ont pas été une guerre civile. Elles ont été une histoire criminelle, comme l’a été une grande partie de l’histoire italienne. »( Fin de citation).
Cela s’apparente à une belle volée de bois vert !!!!
Je me suis élevé, dans le passé, sur ce blog, contre l’indulgence complaisante dont bénéficiait, en France, César Battesti, auprès de la Gauche et de certains de ses « intellectuels » emblématiques. Cet homme qui a du sang sur les mains a passé sa vie à se dérober devant la Justice de son pays, aux motifs que cette Justice serait celle d’un système politique qu’il conteste et qu’il combat.
Il faut sans doute moins de courage à ce genre de « révolutionnaires à deux balles » pour « exécuter » un homme, que pour affronter ses Juges. Une lâcheté d’autant plus méprisable qu’ils « luttent » pour l’émergence de régimes politiques dans lesquels les opposants méritent au mieux, douze balles au peloton d’exécution…..
PS: à lire également, dans la même veine, l’article de Pierre Assouline sur son blog:
http://passouline.blog.lemonde.fr/2005/11/25/2005_11_cesare_battisti/
Islam d’Europe.
Si même « Le Monde » l’écrit, ça ne peut qu’être vrai !!!!
L’islam et les musulmans ne s’intègrent pas dans les sociétés française et allemande .
Les opinions publiques dans ces deux pays en sont en tout cas convaincues si on en croit un sondage Ifop* réalisé en décembre pour Le Monde et publié ce mardi par le quotidien.
Ainsi 68% des Français et 75% des Allemands estiment que les musulmans ne sont pas bien intégrés dans leur société. Ils ne sont « pas du tout intégrés« , pour 20% des Français et des Allemands, « plutôt pas intégrés » pour 48% des Français et 55% des Allemands. En revanche, 4% des Français et des Allemands répondent que les musulmans sont « tout à fait » intégrés, « plutôt intégrés » selon 28% des Français et 21% des Allemands, soit un total de « oui » de 32% en France et 25% en Allemagne.
Pour justifier cette absence d’intégration des musulmans, 61% des Français et 67% des Allemands mettent en avant « leur refus » de le faire puis « les trop fortes différences culturelles » (40% Français et 34% Allemands), avant le phénomène de ghettos ou les difficultés économiques.
C’est ce que nous ne cessons de dénoncer sur ce blog!!!
Par ailleurs, pour environ 40% des Français et des Allemands, l’islam représente « plutôt une menace« .
En France, 42% des personnes interrogées considèrent les musulmans « plutôt comme une menace« , elles sont 22% à les voir comme « un facteur d’enrichissement culturel » et pour 38%, ils ne sont « ni l’un ni l’autre« .
En Allemagne, 40% des sondés répondent que l’islam est une « menace« , 24% que cette religion est un « enrichissement culturel« . Elle n’est « ni l’un ni l’autre » pour 36% des personnes interrogées.
« Malgré une histoire coloniale différente, une immigration différente et des modes d’intégration différents, il est frappant de relever que le constat, dur et massif, est le même dans les deux pays, souligne dans Le Monde Jérôme Fourquet, de l’Ifop. On passe en outre d’un lien entre immigration et sécurité ou immigration et chômage au lien entre islam et menace identitaire ».
C‘est une preuve supplémentaire, s’il en était nécessaire, de la stupidité d’un des discours favoris de la « bien-pensance », sur la nécessité d’une » repentance » destinée à apaiser les nouvelles générations de musulmans….
*Ce sondage a été réalisé via un questionnaire auto administré en ligne, du 7 au 9 décembre en France, du 3 au 8 décembre en Allemagne, auprès d’échantillons de 809 personnes en France et 801 en Allemagne, représentatifs de la population de 18 ans et plus.
Les résultats de ce sondage ne sont surprenants que pour ceux qui refusent de regarder la réalité en face.
Pour en avoir un aperçu, il suffit de se reporter aux commentaires des lecteurs du Monde, à la suite de cet article. La plupart d’entre ceux qui sont « surpris », et de ceux qui contestent les résultats de ce sondage, en font une analyse non seulement partiale, mais partielle comme si la véritable information n’était pas la révélation de la convergence des opinions exprimées entre la France et l’Allemagne.
J’ajoute que si le même sondage était effectué à l’échelle européenne, les résultats seraient identiques, sinon pire pour ceux qui sont enfermés dans des certitudes qui s’effritent au fil du temps.
Car, en vérité, l’échec d’une certaine conception de « l’intégration » des musulmans en Europe, se généralise.
Le constat est le même partout: les musulmans ne s’intègrent pas car une majorité d’entre eux refusent de s’intégrer, et entendent vivre, non seulement leur foi, mais aussi leurs moeurs et leurs traditions sans tenir compte des nôtres.
Ils sont « chez eux », et nous n’avons qu’à nous résigner à les accepter ainsi.
Pour certains d’entre eux, cela se manifeste par une propension à la provocation, dont le port du voile, celui de la burqa, ou les prières dans les rues ne sont que les exemples les plus visibles.
Et l’on comprend, bien évidemment, le désarroi et l’inquiétude des musulmans qui souhaitent vivre leur religion discrètement et paisiblement, sans parler de ceux qui ont choisi la laïcité comme mode de vie.
Il me semble que peu à peu, une prise de conscience se développe dans toute l’Europe, – que les « islamophiles » mettront naïvement sur le compte de « la poussée de l’extrême-droite », elle même résultant de « la crise » – car les Européens perçoivent la menace explicite que constitue l’adhésion silencieuse de nombreux musulmans aux thèses fondamentalistes.
L’arbre du musulman « modéré », – même s’il pousse encore ici ou là -, ne cache plus la forêt de ceux qui considèrent « la modération » comme un renoncement.
Références….
Le Socialiste Laurent Gbagbo, ex-membre de l’Internationale, caresse le rêve de s’inscrire dans la continuité des « Chefs d’Etat » qui ont permis à l’Afrique « d’entrer dans l’Histoire »… à reculons.
Qui ne se souvient des Amine Dada, des Mobutu, des Bokassa et j’en passe, qui se sont illustrés parmi ceux dont la gloire est celle d’avoir ruiné leurs pays, et d’avoir régné par la force en imposant à ces peuples malheureux des régimes despotiques, s’appuyant sur des forces armées disproportionnées avec les risques encourus par ces pays, et en exploitant jusqu’à la corde, les rivalités ancestrales, raciales, tribales, ou religieuses des africains.
Le tout en se faisant passer aux yeux des imbéciles, pour ceux qui ont débarrassé leur pays des derniers vestiges de la colonisation.
Pour assurer sa défense, au cas où un dérapage tragique se produirait dans cette Côte d’Ivoire, qui fut longtemps un ilôt de prospérité et de paix dans une Afrique de l’Ouest secouée par les convulsions qui se sont succédées après la décolonisation, Mr Gbagbo a choisi deux avocats français de renommée internationale, dont il n’est pas sans intérêt de rappeler le « pedigree »….
Pathétiques…..
Ces deux personnages dont on se demande ce qu’ils sont venus faire dans cette pétaudière, si ce n’est courir derrière un dernier « cachet » avant que leur client ne sombre dans un délire dont on peut craindre le pire pour ce sympathique pays, promènent depuis quelques jours, leur silhouette pathétique, dans les allées d’un Pouvoir en instance de décomposition.
Experts en matière de navigation dans les eaux troubles d’un anti-colonialisme qui a fait leur fortune, ils cumulent, à eux deux, plus de références qu’il n’en faut pour inspirer défiance et inquiétude à l’égard de leurs intentions.
Roland Dumas, est un personnage singulier de l’Histoire récente de la Gauche française la plus vénale et la plus corrompue.
Il fut président du Conseil constitutionnel de 1995 à 2000, après avoir occupé, sous le règne de Mitterrand, diverses fonctions ministérielles, dont le ministère des Relations extérieures de 1984 à 1986 et le ministère des Affaires étrangères de 1988 à 1993.
Son nom est mêlé à de nombreuses affaires controversées, dans l’histoire récente de la République. L’ Affaire des frégates de Taïwan, et l’ Affaire Elf qui ont longtemps défrayé la chronique.
Homme de Gauche, fidèle de François Mitterrand, Roland Dumas s’illustre dans le soutien de Dieudonné en compagnie de nombreuses personnalités d’extrême droite (Bruno Gollnish, Jany Le Pen, Alain Soral) ( Source Wikipedia).
Son nom est apparu également dans l’Affaire de la succession Giacometti, à propos de détournements de succession dont il se serait rendu complice et qui lui ont valu une condamnation – définitive, la Cour de Cassation ayant rejeté son pourvoi le 17 mai 2007- à douze mois d’emprisonnement et 150.000 Francs d’amende.
Quand à Me Vergès, son parcours est tout aussi intéressant.
Jacques Vergès est un avocat franco–algérien, né d’un père réunionnais et d’une mère vietnamienne). Il s’est rendu célèbre pour ses engagements anticolonialistes, pour son passé d’ancien résistant, et pour avoir défendu des personnes ayant commis des crimes particulièrement graves, dont « l’illustre » auteur de crimes contre l’humanité, Klaus Barbie, à l’occasion de son procès à Lyon en 1987.
Sensibilisé très tôt à la politique, à l’âge de douze ans, il participe avec son frère à un grand défilé du Front populaire .Il obtient son bac à seize ans et sa première année de droit l’année suivante. Il quitte la Réunion à 17 ans et demi pour s’engager dans la Résistance en 1942 puis passe en Angleterre, où il s’engage dans les Forces françaises libres le 22 janvier 1943.
Arrivé à Paris, Jacques Vergès adhère en 1945 au Parti communiste français, contre l’avis duquel il est élu en 1950, à Prague, membre du bureau du Congrès de l’Union internationale des étudiants. En 1952, il devient secrétaire du mouvement, toujours contre l’avis de son parti. Il reste sur place jusqu’en 1954. Il y obtient sa deuxième année de droit.
Dans les années 1950, il fait connaissance avec les futurs chefs khmers rouges Saloth Sar (plus connu ensuite sous le nom de Pol Pot) et Khieu Samphan, dont il admet avoir « participé, dans un certain sens, à la politisation ».( Source Wikipedia).
Le jeune avocat anticolonialiste décide alors, avec l’aval du Parti Communiste, de partir « s’occuper » d’affaires en Algérie.
Il milite alors pour le FLN et défend leurs combattants, dont l’emblématique Djamila Bouhired, qui avait été capturée par les paras français, jugée et condamnée à mort pour attentats à la bombe en Algérie notamment au milk bar (5 morts – 60 blessés beaucoup de civils), sa cliente devient pour quelques années son épouse et ils ont 2 enfants.
À l’indépendance de l’Algérie en 1962, Jacques Vergès s’installe à Alger et devient le chef de cabinet du ministre des Affaires étrangères. Il rencontre Mao Tsé-Tsoung en mars 1963 et se rallie très rapidement aux thèses maoïstes. Il est alors destitué de ses fonctions et doit rentrer à Paris.
Au mois de septembre, il crée une nouvelle revue, Révolution, qui est alors le premier journal maoïste publié en France. En 1965, la destitution du président Ben Bella permet à Jacques Vergès de rentrer en Algérie. Il met fin alors à la revue Révolution. Il est avocat jusqu’en 1970 à Alger.
Depuis, il n’a jamais raté une occasion de cracher sa haine de la France.
Comme on peut ainsi le constater, ces deux avocats qui se sont spécialisés dans la défense de personnages sulfureux ne contribueront pas à redorer le blason de Gbagbo.
Mais le « pathétique n’épargne pas la cohorte des démocrates du Parti Socialiste Français. A constater « de visu » sur:
http://www.lexpress.fr/diaporama/diapo-photo/actualite/politique/ces-socialistes-francais-qui-soutiennent-gbagbo_948867.html
Un « socialiste » c’est quoi, aujourd’hui ????
Personne ne saura en quoi consiste notre « identité nationale », puisque ce concept n’ a pu émerger du débat maladroitement engagé, sous l’impulsion par le Ministre « ad hoc » !!!!
Mais qui sait, aujourd’hui,qui incarne l’identité du « socialisme » à la française ????
– Est-ce Mémé Bouboule Aubry, l’idéologue des 35 heures, du travailler moins pour gagner plus dans une France « bisounours » ???
– Est-ce Mme Royal, la madone des plateaux de télévision, qui n’a pas été jusqu’ici, en mesure d’expliquer aux Français ce qu’est « l’ordre juste », mais qui a fait du « Charente-Poitou » un modèle et une référence, face à la « mondialisation » ???
– Est-ce Mr Strauss-Kahn, le social-libéral rondouillard que le monde entier nous envie, et qui ne craint pas, lui non plus, d’affronter « les Grands », malgré sa petite taille ???
– Est-ce Mr Valls, le « socialiste ténébreux », pris soudain de l’envie de nous faire valser et rêver, en même temps, de la fin des 35 heures ???
– Est-ce Mr Montebourg, le « séducteur au verbe de foire » devenu, depuis peu, adepte d’un « socialisme coopératif » et vaguement autogestionnaire ???
-Est-ce Mr Moscovici, à la barbe aussi incertaine que les idées, dont on ne sait ce qu’il vient faire dans cette galère, si ce n’est préparer, à toutes fins utiles, le lit de DSK ???
– Est-ce Mr Hamon, le Pape « Benoît » d’un égalitarisme utopique, icône de la Gauche pure et dure ???
– Est-ce Mr Emmanuelli qui en adepte d’un socialisme démocratique un brin totalitaire, vole au secours d’un Gbagbo atteint par les vertiges du Pouvoir absolu ????
– Est-ce Mr Mélenchon, « adulé »(!) par les journalistes, qui se dit toujours socialiste, mais ne rate pas une occasion de cracher dans la soupe de ceux qui en ont fait un sénateur, et dont le rêve serait « Qu’ils s’en aillent Tous !!! », afin de demeurer seul détenteur de la Vérité et protecteur de la Justice ???
Je passe sur tous les autres, plus ou moins signifiants, qui se situent « à gauche de la Gauche socialiste » mais qui plastronnent toujours sur nos écrans grâce à la complaisance des médias, boursouflés de certitudes, aveuglés par leurs « convictions » et dont la « vision » ne dépasse pas l’horizon du village dont ils sont parfois les Maires ???
Qui peut nous expliquer ce qu’est le « socialisme français » en 2011 ???
Les Coptes se fâchent….
L’ attaque contre une église chrétienne à Alexandrie, pendant le déroulement de la messe, a fait des dizaines de victimes. Elle a conduit des centaines de chrétiens à se regrouper dans la rue pour manifester leur colère. Des incidents ont éclaté entre chrétiens et musulmans dans la journée. Des milliers de coptes ont assisté aux obsèques des victimes, qui se sont déroulées sous haute tension, et ont donné lieu à des affrontements avec les forces de Police égyptiennes.
Plusieurs voitures ont été incendiées. La police est intervenue à coups de gaz lacrymogènes pour disperser la foule tandis que des ambulances arrivaient sur les lieux. Une mosquée voisine a été endommagée et huit musulmans blessés. Dans la journée de samedi, les heurts se sont encore intensifiés.
La colère des chrétiens monte, un peu partout, en terre d’Islam. Au nom de leur statut de « dhimmis », ils demandent la protection à laquelle ils estiment avoir droit.
En Afrique et particulièrement au Nigeria, les affrontements se multiplient et les violences font de plus en plus de victimes.
Jusqu’ici, tout cela se déroulait dans l’indifférence générale. Mais on sent bien que la coupe est pleine, et que parmi les musulmans « de bon sens » on prend conscience des conséquences que les humiliations et les agressions de chrétiens risquent de se retourner, bientôt, contre eux en Europe.
C’est sans doute ce qui explique que cette fois, le silence s’est rompu. En France, le Conseil Français du Culte Musulman a pris position pour déplorer et pour condamner les attentats anti-chrétiens.
Même le MRAP, dont la sensibilité ne s’exprime généralement qu’à sens unique, s’est fendu d’un communiqué condamnant l’attentat contre les Coptes égyptiens.
Le Pape lui même, s’est enfin décidé à donner de la voix…..
Il était temps.
On attend de savoir quelle sera la position des « islamophiles », en France et en Europe…..
London’s islamic Universities….
Si France 2 le dit, c’est que c’est vrai !!!!
|