Au 200.000 ème visiteur de mon blog, je dédie cette divagation sur un thème « branché », fatal au malheureux TRON, victime d’un « coup de pied de l’âne » aussi comique qu’inattendu.
Paroles de Georges Brassens:
Auprès de mon arbre
Je vivais heureux
J’aurais jamais dû
M’éloigner d’ mon arbre
Auprès de mon arbre
Je vivais heureux
J’aurais jamais dû
Le quitter des yeux
Le surnom d’infâme
Me va comme un gant
D’avecques ma femme
J’ai foutu le camp
Parc’ que depuis tant d’années
C’était pas un’ sinécure
De lui voir tout l’temps le nez
Couplet dédié à Georges TRON.
Ils l’ont scié. Pour avoir -c’est ce qu’on lui reproche – voulu « prendre le pied » d’une demoiselle, qui n’a pas supporté que l’on prenne son pied pour un « pied de grue » : ça lui fera les pieds !!!
Ah !!! Si TRON avait été un poète !!!! Il eût pu « prendre son pied » autrement : caresser « l’alexandrin » et ses douze pieds, c’est le pied !!!
A l’attention de Georges TRON , des « reflexologues »,… et autres « podophiles » de son espèce, voici, en forme de « pied de nez » de quoi méditer sur le thème du « pied »:
Avoir bon pied, bon œil.
Se lever du bon pied.
Avoir un pied dans la tombe.
Savoir retomber sur ses pieds.
Mettre les pieds dans le plat.
Couper l’herbe sous le pied.
Attendre de pied ferme.
Avoir les pieds sur terre.
Lutter pied à pied.
Remplacer au pied levé.
Etre au pied du mur.
Un pied à terre
Vivre sur un grand pied.
Etre sur le pied de guerre.
Bête comme ses pieds.
Prendre au pied de la lettre.
Se mettre sur le même pied que…
Avoir le pied marin.
Et j’en passe ….