Sous la « gouvernance » du Président américain qui a été, après Kennedy, le plus adulé en Europe, les Etats Unis se dirigent, lentement mais sûrement vers la faillite.
La dette américaine atteint des sommets historiques et le monde entier se demande si les États-Unis pourront un jour la rembourser.
De même, on se demande pendant combien de temps encore, Chinois, Japonais et Coréens, ainsique les Pays du Golfe, continueront à financer le déficit abyssal du Budget américain.
Car les Etats Unis sont, désormais, à la merci des asiatiques et des pays du Golfe, devenus leur principaux créanciers.
Assisterons-nous bientôt à « l’EFFONDREMENT DE L’EMPIRE AMÉRICAIN », pour reprendre le titre d’un ouvrage paru il quelques années, et qui avait scandalisé ceux pour qui l’Amérique représente un modèle de société indépassable ???
Sous la Présidence d’Obama, le taux de chômage atteint les 9,7 % ! 54 % des jeunes de moins de 25 ans sont au chômage, alors que dans son programme électoral Obama promettait de prendre ce problème à bras-le-corps !
Le coût des programmes sociaux, dénoncé par l’opposition républicaine, est devenu insupportable, dans un pays considéré jusqu’ici comme « La Mecque » du libéralisme économique.
Leçon à retenir: le socialisme, revu et corrigé par Obama, est un échec.
Et peu à peu, les Américains découvrent qu’ Obama, « le grand sorcier », est impuissant devant les difficultés économiques traversées par son pays, et un « vendeur de rêves »de plus, de rêves qui se terminent toujours par le même cauchemar.
Les États-Unis risquent donc, à terme, de rejoindre l’Espagne, le Portugal, l’Irlande, la Grèce, l’Islande, et pourquoi pas la France ???
Mais l’échec d’Obama ne se limite pas au domaine de l’économie.
Présenté par les « zozos », au lendemain de son élection comme le futur champion des causes humanitaires, il n’échappe pas au soupçon d’impuissance face aux problèmes dont il a hérité de ses prédécesseurs.
Guantanamo n’est toujours pas fermée, contrairement aux promesses de soirs d’élection.
Le conflit israélien n’a toujours pas d’issue prévisible, sans parler de la guerre en Afghanistan dont Obama devra assumer l’échec.
Les Etats Unis ont renoncé à jouer un rôle déterminant dans le conflit Lybien, de même qu’il sont aux « abonnés absents » en Syrie.
Et pourtant, les « augures » ivres d’Obamania nous prédisaient que les origines, et la couleur d’Obama feraient de lui l’ami de tous les peuples « opprimés » par l’Occident, et renverseraient tous les préjugés entretenus par le racisme latent des Occidentaux….
Car la faillite d’Obama est en train de devenir la faillite des Occidentaux, notre faillite.
Quand aux Européens, ils savent désormais, qu’ils ne peuvent plus compter sur l’aide américaine pour s’en sortir.
« Dis Papa, c’est encore loin l’Amérique ???? Non. Mais tais-toi et rame !!!. »
Eh oui….
Vous avez l’air surpris de me trouver lucide….
Et pourquoi donc ???? ….
Cette attitude ne serait réservée qu’à vous même et ceux qui pensent comme vous ???
Il me semble que mes billets, que vous ne lisez pas assez consciencieusement, prouvent que je ne suis pas un adepte de la « pensée unique », qu’elle soit de gauche ou de droite !
jf.
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Il vous arrive donc d’être lucide, et d’échapper vous aussi, au « consensus » ambiant ????
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La preuve que non !
jf.
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Vous n’étiez donc pas un « Obamaniaque » ???
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Vous avez raison avec votre question posée dans votre titre ci-dessus…
Voici ce que moi-même j’écrivais le 6 novembre 2008:
SOS: La campagne de M. Obama inspire les conseillers de M. Sarkozy
Je ne pensais pas que ça irait si vite.
Mais en fait les petites mains de M. Sarkozy sont déjà à l’oeuvre en Amérique depuis plusieurs semaines !
Pierre Giacometti, ancien directeur d’Ipsos devenu conseiller politique de Nicolas Sarkozy, revient d’une semaine d’immersion dans l’équipe de campagne de Barack Obama : « embedded » pour le compte du président français, qui réfléchit à la refonte stratégique de l’UMP et… à sa future campagne présidentielle.
Sans attendre le résultat du scrutin du 4 novembre, l’équipe de communicants recrutés par M. Sarkozy pour préparer les échéances de 2012 s’est déjà inspirée du travail du candidat démocrate sur la Toile pour tenter de construire, à l’échelle de l’UMP, un réseau communautaire, un « site conçu comme un média politique global ».
« Obama, c’est l’entertainment » en politique, analyse Christophe Lambert, communicant, membre de la cellule stratégique de l’UMP. « Il applique les lois du cinéma à la politique. Un bon acteur, une bonne histoire, un bon récit. Obama, c’est la cohérence entre le héros et un scénario. C’est une superproduction politique, l’histoire d’un héros qui incarne la promesse d’une Amérique nouvelle. Il a compris, comme Nicolas Sarkozy, qu’il fallait faire de la politique un spectacle. »
« C’est le seul événement politique planétaire, analyse M. Bettan. Quatre jours de spectacle regardés par le monde entier ; 75 000 personnes qui déferlent sur la ville. L’équipe d’Obama ne laisse rien au hasard. Même lorsque le spectateur croit à la spontanéité, même lorsque ce sont de simples citoyens qui interviennent, tout a été préparé en amont par les équipes d’Obama. »
« En France, déplore M. Bettan, la législation interdit toute publicité. Il nous faut inventer de nouvelles fenêtres. On peut, par exemple, réfléchir à l’utilisation de spots sur Internet. »
Les communicants parlent désormais de la « marque » d’un candidat, la « marque Obama », la « marque Sarkozy ».
Et le 3 novembre précédent, j’avais également écrit ceci:
$ O $ B $ A $ M $ A $
OBAMA et ses millions me gonflent.
Les télés françaises me gonflent avec leurs « envoyés spéciaux » aux quatre coins des USA et leurs journaux « en direct » de New York depuis déjà deux jours.
Les reportages des télés françaises dans les communautés noires, chez les latinos, chez les prédicateurs, dans la campagne profonde ……me gonflent.
@ +
jf.
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L’Amérique d’Obama n’y échappera pas, si elle ne trouve pas les compromis nécessaires entre l’aumentation des impôts et la baisse des dépenses de l’Etat…
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D’après les petites chroniques de la presse, cela fait quelques mois que nous étions dans le collimateur des agences de notations, juste derrière la Grèce, l’Italie, l’Espagne et le Portugal. L’ordre n’était pas exactement celui-là, mais nous y étions. Avant l’Amérique d’Obama.
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