Lu dans « Valeurs actuelles » du 5 Novembre 2009, cette information qui vient à point nommé, dans le débat sur « l’identité Nationale ».
On y apprend ceci (je cite):
« Pour s’être prononcée en faveur de l’interdiction de la burqa, Elisabeth Badinter a fait l’objet d’une lettre ouverte, intitulée « Elisabeth, va t’faire intégrer », signée Houria Bouteldja, sur le site des Indigènes de la République, proche de l’extrême gauche.
Daté du 16 Septembre, avant le lancement du débat sur l’identité nationale, le texte fait, depuis – pour le dénoncer – un vrai buzz sur Internet.
« La France ne sera plus jamais comme dans les films de Fernandel, est-il notamment écrit. Notre simple existence, doublée d’un poids démographique relatif ( 1 pour 6 )africanise, arabise, berbérise, créolise, islamise, noirise la fille ainée de l’Eglise, jadis blanche et immaculée aussi sûrement que le sac et le ressac des flots polissent (…) les blocs de granit aux prétentions d’éternité. »(1)
Une opinion fort répandue au sein de la population immigrée en Europe : témoin cette femme Marocaine en consultation chez un gynécologue espagnol qui, selon un article paru dans « Las Provincias », dénonce (!!!) les attentats à la bombe des terroristes de Madrid qu’elle considère comme des absurdités. « Ce n’est pas avec les bombes de ces imbéciles que nous parviendrons à nos fins. C’est nous, les femmes, avec notre ventre qui réaliserons la « Reconquista »…..
Cette Houria Bouteldja – dont le sens de la formule poétique est inimitable – est l’auteure d’un mot célèbre pour qualifier les « Français de souche ». Des « sous-chiens »qu’elle méprise au dernier degré.
Cette apostrophe devrait faire réflechir quelques « beaux esprits », d’autant qu’elle s’adresse à une intellectuelle respectable et respectée qu’on ne peut soupçonner d’alimenter des opinions racistes ou xénophobes.
Elle devrait inciter quelques uns de ces « beaux esprits » à réflechir sur la question de savoir où sont les racistes et les xénophobes…..
Houria Bouteldja ne saurait mieux dire pour montrer qu’il y a au sein de la population immigrée, des gens qui ne cachent pas leurs sentiments, pas plus que leurs objectifs.
Animés par une haine inextinguible du pays qui les a accueillis, refusant toute perspective d’intégration et encore moins d’assimilation, ces gens représentent une véritable menace pour « l’identité nationale ».
Ils agissent comme une « cinquième colonne », infiltrent les associations, influencent certains milieux politiques et poluent tous les débats sur l’immigration, car ils légitiment les positions les plus extrêmes de ceux qui sont de moins en moins convaincus du fait que cette immigration là n’est pas « une richesse pour la France », mais plutôt un boulet qu’elle se condamne à trainer derrière elle pour des générations.
Les propos contenus dans la lettre ouverte à Elisabeth Badinter sont à rapprocher d’une citation parue dans le Monde de ce jour, dans un article intitulé « Aux racines de l’identité française »,dans lequel l’Historienne Anne-Marie Thiesse déclare: « « C’est quand il se sent menacé qu’un groupe éprouve la nécessité de radicaliser sa différence par rapport aux autres, explique-t-elle. Ce n’est pas un hasard si l’expression « identité nationale » est apparue dans les années 1980, quand la France perdait son leadership et se sentait, du coup, plus vulnérable. »
Ce ne sont pas des invectives comparables à celles de Houria Bouteldja qui calmeront les craintes éprouvées par un nombre croissant de Français, face à l’envahissement de tous les domaines de la vie publique par les problèmes posés par une population immigrée non assimilable.
(1) Pour les amateurs de précision voici la citation complète du passage de cette lettre ouverte évoquée plus haut:
« Mais, heureusement, l’inverse est vrai également. Aussi douloureux que cela puisse être ressenti par les écorchés du drapeau et les thuriféraires d’une France éternelle et gauloise : NOUS TRANSFORMONS LA FRANCE. En d’autres termes, elle aussi, S’INTEGRE à nous. Certes en y mettant le temps, mais nul besoin d’une conspiration fomentée par les masses arabo-négro-berbères, ni d’un quelconque complot ourdi par des cellules dormantes de barbus-le-couteau-entre-les-dents. La France ne sera plus jamais comme dans les films de Fernandel. Notre simple existence, doublée d’un poids démographique relatif (1 pour 6) africanise, arabise, berbérise, créolise, islamise, noirise, la fille aînée de l’église, jadis blanche et immaculée, aussi sûrement que le sac et le ressac des flots polissent et repolissent les blocs de granit aux prétentions d’éternité. »
Pour avoir une idée plus complète des vues de Houria Bouteldja sur l’identité française, rendez-vous sur:
Vous serez édifiés.
Cela me rappelle un slogan en vogue au lendemain de l’indépendance algérienne:
Vous n’avez pas voulu de « l’Algérie française », vous aurez dans quelques années « la France algérienne », suite à un discours célèbre de BOUMEDIENNE.!!!!
Les commentaires N°4 et 5 volent vraiment très haut…..
Chassez le naturel…..
jf.
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C’est ben vrai !!!!Cracher à ce point dans la soupe de ceux qui vous ont offert l’hospitalité, c’est effectivement de la haine à l’état pur.
De la haine hallal, QUOI !!!
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bande de haineux
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Vous n’avez qu’à le lui demander…
jf.
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Je suis sûr qu’Elisabeth Badinter partagera votre point de vue.
Quand au terme de « souchien » ou de sous-chien » utilisé par cette intellectuelle maghrebine, il faut être stupide pour ne pas voir, ou faire semblant de ne pas comprendre qu’il est utilisé, dans l’intention de blesser par le mépris ceux qui lui ont offert l’hospitalité.
Son discours est clair:vous m’avez accueillie, mais un jour prochain vous ne serez plus chez vous. Vous devrez manger ma cuisine, et me servir à table, et me dire merci si vous pouvez encore sortir de chez vous sans vous faire plumer….
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Comme d’habitude, pour étayer vos thèses, vous n’hésitez pas à tordre le cou à la vérité:
Polémique liée à l’utilisation du terme « souchien »
Invitée régulière de l’émission de télévision Ce soir (ou jamais !) diffusée sur France 3, elle fait usage dans une émission de juin 2007 du néologisme « souchien » pour désigner les « Français de souche », les « blancs » :
« On met toujours la focale sur les quartiers populaires […] en déficit de connaissance, de conscience politique, il faut les éduquer, etc. et on occulte complètement le reste de la société et ses privilèges […] et moi, j’ai envie de dire : c’est le reste de la société qu’il faut éduquer, […] c’est le reste de la société occidentale… enfin de ce qu’on appelle, nous, les « souchiens » — parce qu’il faut bien leur donner un nom —, les « blancs », à qui il faut inculquer l’histoire de l’esclavage, de la colonisation… […] la question de l’identité nationale, elle doit être partagée par tout le monde et c’est là qu’il y a un déficit de connaissances. »
L’hebdomadaire Marianne réagit à cette déclaration dans un article intitulé « Une petite leçon de racisme ». L’hebdomadaire français Marianne du 28 juin 2007 l’écrit « sous-chiens ». Houria Bouteldja réfute ces accusations estimant désigner « de façon humoristique d’hypothétiques Français de souche ».
Quand près d’un an plus tard, le ministre Brice Hortefeux revient sur l’idée qu’elle « traite les Français de sous-chiens », assurant qu’il ne laissera pas prononcer de tels mots sans réagir, un communiqué des Indigènes de la République réaffirme qu’il s’agit d’accusations mensongères.
Allez, bob week-end.
jf.
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