Ségolène Royal se joint aux salariés manifestant contre le dépôt de bilan de la CAMIF: »C’est insupportable, les salariés se retrouvent sur le carreau à cause de patrons qui gagnent des centaines de milliers d’euros. »
Il m’avait semblé comprendre que la CAMIF était une Coopérative dont l’objet était de permettre à des fonctionnaires, – essentiellement des enseignants – d’avoir accès, à des prix « compétitifs », à des fournitures d’équipement ménager.
Les clients n’étaient donc pas des clients ordinaires, mais des Sociétaires souscripteurs de parts sociales.
En général, les coopératives sont dirigées par un Conseil d’Administration élu en Asemblée Générale par les sociétaires, et qui nomme les Directeurs. Les dirigeants de cette centrale d’achats coopérative étaient, donc nommés par ceux qui ont élé élus « démocratiquement » par les Sociétaires.
Les manifestants vus à la télévision étaient porteurs de pancartes mentionnant « DIRIGEANTS RIPOUX »!!!
Comment les Sociétaires, appartenant majoritairement à la Fonction Publique , ont-ils pu conserver à la tête de cet organisme des « dirigeants ripoux » gagnant des centaines de milliers d’Euros. « ????
On voit mal à quel titre l’Etat devrait intervenir pour « sauver » la CAMIF !!! Et si l’Etat intervenait, combien de « CAMIF » devrait il aider en France ???
Ce serait plutôt la Région Charente-Poitou à la quelle appartient la CAMIF, qui devrait règler l’addition, non ???
Je kiff
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@Jacques: question de point de vue.Et de toute évidence nous n’aurons jamais la même approche de ce genre de problème !!!
Au moment où Sarko a été élu, il ne pouvait pas prévoir la violence de la crise financière qui s’est abattue sur le monde et sur l’Europe, qui allait agraver la situation de couches sociales les plus fragiles. Mais dans un contexte normal, je continue à penser que prélever plus de 50% des revenus au titre de l’impôt pour « gaver » un Etat « glouton », cela devient « confiscatoire »et tue le dynamisme économique de ceux qui créent des richesses. En outre, il s’agissait de rapprocher le degré de pression fiscale français de celui des autres européens.
Ceci dit, il aurait été plus habile de la part de Sarkozy, d’expliquer que ces mesures fiscales, conçues pour une période de croissance de l’économie, ne pouvaient plus s’appliquer en temps de crise, et qu’il était contraint d’en suspendre l’application jusqu’à « retrour à meilleure fortune » pour le pays. Même les libéraux comme moi l’auraient compris.
Sans doute a-t-il pensé que revenir sur ses décisions c’était satisfaire ses adversaires poltiques, ce qui explique peut-être son blocage.
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Sauf que tout ce qui a été dit à l’époque par Ségolène et les autres, que vous contestiez très vertement, notamment sur mon bloc-notes à l’époque, c’est révélé absolument juste, démontré au fil des années, au point justement que M. Sarkozy a été contraint de faire machine arrière.
jf.
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Ce n’est pas parceque le « promoteur » du « paquet fiscal » a mis fin à ce dispositif que les « conneries » qui ont été dites sur ce sujet, notamment par Ségolène, qu’elles s’effacent de facto.
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« comme sur « le paquet fiscal », il y a tellement de coonneries qui ont été dites, qu’il fallait bien que Ségolène en rajoute. »
Amusant de relire ce commentaire de votre part du 2 novembre 2008 maintenant que le « paquet fiscal » a fait long feu par la seule volonté de son….promoteur !
jf.
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Thanks for your comments !!!
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« Alors avant d’insulter à tort et à travers, revoyez donc votre copie, tocard! »
En voilà un beau morceau d’anthologie…
Merci Môssieur Josh…..
jf.
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@ Jacques
« Sont au capital de « Camif SA » ..les « 3 Suisses » et « Cofidis », ce dernier à hauteur de 66%. » FAUX!
Selon le point : « Jeudi, Pierre Jullien, le président de cette filiale détenue à 34 % par Camif SA et à 66 % par le fonds américain Osiris Partners depuis décembre 2007 »
(http://www.lepoint.fr/actualites-economie/2008-10-27/la-camif-particuliers-en-liquidation-sa-maison-mere-en-redresseme/916/0/286230)
Ce serait plutôt « Participation de COFIDIS à hauteur de 66% au capital de C2C », C2C est un établissement de credit appartenant à la CAMIF SA, il ne s’agit en rien d’une participation directe de COFIDIS!!
Alors avant d’insulter à tort et à travers, revoyez donc votre copie, tocard!
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Ben voyons !
jf.
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Bofff! Sur l’aide au Banques comme sur « le paquet fiscal », il y a tellement de coonneries qui ont été dites, qu’il fallait bien que Ségolène en rajoute.
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A toutes fins utiles, je vous rappelle que c’est l’Etat lui-même qui vient d’annoncer un » plan de sauvetage des entreprises ».
C’est exactement dans ce cadre que les salariés se sont manifestés et que Mme Royal est intervenue.
Ce que vous feignez de ne pas comprendre, juste pour vous permettre d’ironiser sur elle.
En revanche, vous ignorez peut-être qu’elle est aussi intervenue sur l’aide aux banques et que deux Députés UMP lui ont publiquement donné raison.
Bon dimanche.
jf.
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A toutes fins utiles, je vous le rappelle : l’Etat, en l’occurence, c’est vous, et s’il faut payer chaque fois qu’un énarque perd les pédales, il va falloir casser votre tire-lire.
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« Pour moi, l’Etat n’a rien à faire dans cette galère. »
Et pourquoi donc l’Etat n’irait-il pas dans cette « galère » alors qu’il se précipite bien dans des tas d’autres comme Gondrange, Sandouville et j’en passe ?????. Sachant, de plus, que c’est un ENARQUE qui est entièrement responsable
« du gâchis et des coups de barre dans tous les sens donnés, ces dernières années, par une direction “qui ne pensait qu’émoluments et carrière” au détriment de l’esprit coopératif. »
jf.
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Petit rappel: Camif SA ne détient que 34% dans Camif Particuliers.
CV du président de Camif particuliers, Pierre Jullien
Ancien élève de Normale Sup.
Diplômé de Sciences PO
Enarque.
A particpé à la réorganisation d’Havas.
A préparé la fusion Usinor Sacilor donnant naissance à Arcelor.
Il a tout d’un enseignant ce monsieur, n’est-ce pas …!!!
jf.
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Extrait d’un article paru dans lemonde.fr ( votre Bible, n’est-ce pas ???), qui ne vous a certainement pas échappé:
http://www.lemonde.fr/la-crise-financiere/article/2008/11/01/camif-la-fin-d-un-monde-enseignant_1113553_1101386.html
« Il suffit de les lancer. Ils rivalisent de mots, d’anecdotes, d’images. S’ils pouvaient faire un livre, ils assurent qu’ils le feraient. Pour qu’on n’oublie rien de ce que fut la Camif. Son ambition. Sa différence. « Aujourd’hui se tourne une page importante de l’histoire du mouvement ouvrier », affirme Jacky Bara, délégué départemental de FO-CGT.
Au début, bien sûr, tous le racontent, était Edmond Proust, instituteur valeureux, socialiste et franc-maçon qui, après avoir fondé avant la guerre la MAIF (Mutuelle d’assurance des instituteurs de France) et s’être illustré dans la Résistance, décide de créer une coopérative d’achat dans un double but : alimenter un fonds de solidarité pour les mutualistes ayant des accidents avec de non-assurés (l’assurance, alors, n’était pas obligatoire) et permettre aux instituteurs d’équiper, à prix raisonnables, leur maison.
On est en 1947 et ce sont donc des enseignants qui prennent conjointement les rênes de la MAIF et de la Camif. Leur président, Edmond Proust, est bénévole, comme les administrateurs, également instituteurs ; les premiers bureaux sont installés au rez-de-chaussée de sa maison, le premier entrepôt dans le jardin.
Les valeurs cardinales ? Entraide et solidarité, éthique et défiance à l’égard du capitalisme. Michel Vivier y ajoute volontiers « laïcité ». N’a-t-il pas dû produire, pour être embauché à la Camif en 1972, « l’ensemble de ses bulletins scolaires de la maternelle à l’université », prouvant qu’il avait effectué l’intégralité de son parcours au sein de l’école publique ?
Jacky Bara, instituteur marié à une employée de la Camif, éclaire ce lien fondateur entre les instituteurs et la Camif : « C’était comme un package, dit-il. En rentrant à l’école normale, on s’assurait à la MAIF, on adhérait à la MGEN (Mutuelle générale de l’Education nationale), on militait au SNI (Syndicat national des instituteurs) et on s’équipait Camif. »
Il suffisait d’acheter une part sociale et le numéro d’adhérent à la MAIF tenait lieu de sésame pour acheter au magasin ou commander par correspondance un produit. A la fin de l’année, si les résultats le permettaient, était restituée une ristourne liée aux achats.
Voilà pour les bases. « Les fondamentaux ! », corrige une salariée. Elle n’a pas l’impression que le changement de ses statuts, la multiplication de ses magasins, « les dérives, incohérences, errements d’une hiérarchie aux antipodes de l’esprit Proust », et saisie de « folie des grandeurs », le souffle d’origine ait été perdu. « Nous sommes restés une coopérative, la solidarité est donc un mot essentiel, tant entre salariés qu’avec les sociétaires », dit un vendeur.
« Salaires, vacances, horaires, cadre de vie… La Camif a longtemps été en avance, affirme un technicien. On était à 37 h 45 quand les autres étaient à 39 heures, aujourd’hui c’est 34 heures ; et il fut un temps où le plus haut salaire ne dépassait pas de 4 fois et demi le plus bas ! » Aujourd’hui, regrette-t-il, les petits salaires sont bloqués et l’échelle va de 1 à 30 !
On venait à la Camif pour un bien-être et des valeurs, affirme une directrice artistique du catalogue. Le bien-être venait de la cordialité des relations de travail, une sorte de douceur, de camaraderie, « même avec les fournisseurs. » Et les valeurs ? « Contrairement à beaucoup de magasins, on n’était pas là pour entuber le client. On le guidait, le conseillait, il pouvait acheter les yeux fermés ; et au moindre souci, nous avions le meilleur des services après-vente. La totale satisfaction du sociétaire nous importait plus que tout. »
C’est ce sur quoi insiste Nadine Pelletier, entrée à 20 ans, en 1977, à la Camif, et passionnée – « oui, passionnée ! » – par son travail. « Vendeuse à la Camif, c’était un super-métier ! J’ai vendu du textile, puis des jouets, des bijoux dans un rayon joaillerie exceptionnel, de la maroquinerie, du linge de maison, des cadeaux ; et puis des produits de beauté, car la Camif a eu sa propre marque ! J’ai fait des animations par pays, tenu des salons ; et quand nous nous sommes repliés, j’ai vendu du mobilier, après une formation « siège » dans nos laboratoires, un stage « bois » chez les fournisseurs. Fabuleux ! » Pourquoi si fabuleux ? « Parce qu’on représentait une maison à part ! Parce qu’il n’était pas question de décevoir les sociétaires ! »
Ah, les sociétaires ! Obsession du salarié Camif qui n’arrive toujours pas à dire « clients ». Même depuis l’ouverture des magasins au grand public, sur laquelle, disent-ils, il aurait fallu davantage communiquer. « Vous n’imaginez pas leur soutien, leur attachement viscéral à la coopérative ! »
Des enseignants, principalement. Consommateurs avertis, exigeants, formidablement fidèles. Ils passaient commande en écrivant : « Ma chère Camif ! » Ils payaient souvent cash, refusant des facilités de paiement, sachant que cela arrangeait la trésorerie. « Quand ils ont eu vent de problèmes, et même après que notre président avait prédit en juillet notre mort, il en est qui se sont précipités pour faire des achats pour nous affirmer un soutien. Comme un acte militant. »
C’est que la Camif leur servait de comité d’entreprise et de lien social. L’été, sur la route des vacances, nombreux étaient ces enseignants qui, traversant la France en camping-car ou caravane, s’arrêtaient dans l’immense magasin de Chauray, à quelques kilomètres de Niort. Des sanitaires avaient été aménagés sur le parking pour permettre une halte de plusieurs jours.
Petite-fille d’un instituteur du Nord dont l’épouse « achetait tout sur catalogue », à la Camif, Claire Salomon, chef de produit, est toujours bouleversée par cette relation si forte avec la clientèle. « Quand on leur a lancé un appel, à la fin des années 1990, à cause de premières difficultés, ils ont aussi répondu avec des chèques de 10, 100, 1 000 euros. Voilà qui impose respect et rigueur. » Même fidélité, souligne-t-elle, de la part de certains fournisseurs qui, confiants dans l’éthique de la Camif, ont suivi, jusqu’au moment ultime, ses engagements et qui risquent de perdre beaucoup. « J’en suis malade ! »
Ils le sont tous. Ecoeurés du gâchis et des coups de barre dans tous les sens donnés, ces dernières années, par une direction « qui ne pensait qu’émoluments et carrière » au détriment de l’esprit coopératif. Critiques sur le « mépris » ou le brouillage du message à l’adresse du sociétariat traditionnel sans attirer le grand public. Stupéfaits du cynisme visant à organiser foires et réunions prospectives à quelques heures du dépôt de bilan.
« Sabotage », pensaient certains en voyant s’éloigner dans la nuit le siège de la Camif. Oui, sabotage, reprend Jean-Pierre Proust, petit-fils du fondateur, prêt, avec l’aide de quelques élus locaux, « à tenter de relancer quelque chose », au service du milieu enseignant. Et en revenant « aux grandes valeurs d’Edmond ».
Annick Cojean
Pour moi, l’Etat n’a rien à faire dans cette galère.
Je suggère que les Syndicats de Charente Poitou, de toute mouvance et particulièrement les syndicats d’enseignants se cotisent pour sauver ce petit chef d’oeuvre d’économie solidaire et sociale….
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CV du président actuel du Conseil d’Administration de Camif SA:
Biographie de Louis Mallet
– Agé de 59 ans, Louis Mallet occupait depuis un an les fonctions de Vice-Président Délégué de la CAMIF.
– Docteur d’Etat des Sciences Economiques, il a été Conseiller Technique au cabinet d’Alain Savary, Ministre de l’Education Nationale entre 1981 et 1984, où il était chargé de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle.
– De 1985 à 1988, il a été Directeur de l’emploi à la DRH de Rhône-Poulenc.
– En 1992, il a été nommé Directeur de recherche au CNRS à l’Université des Sciences Sociales de Toulouse puis a dirigé le LIRHE, Laboratoire Interdisciplinaire de Recherche sur les Ressources Humaines et l’Emploi de 1994 à 1998.
– De 1998 à 2004, Louis Mallet a rejoint la Région Midi-Pyrénées en tant que Directeur Général Adjoint, chargé du pôle Emploi-Formation.
– Spécialiste de l’emploi et de la formation, Louis Mallet a publié, en tant que chercheur, de nombreux ouvrages et articles sur ces questions.
Il a tout d’un enseigant ce monsieur, n’est-ce pas… !!!
Je ne connais pas beaucoup d’enseignant qui puissent devenir Directeur chez Rhône Poulenc…
jf.
jf.
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@Jacques: c’est-y pas beau, ça ???
Relevé sur le site de la CAMIF:
Des valeurs coopératives pour une entreprise responsable
L’humanisme – La solidaritÉ – La dÉmocratie – L’intÉrÊt collectif
Des valeurs coopératives pour une entreprise responsable
L’humanisme
La solidarité
La démocratie
L’intérêt collectif
La CAMIF et le développement durable
Depuis plus de 60 ans, la CAMIF, coopérative de consommateurs, liée à son origine à la mutualité et au syndicalisme enseignant, privilégie une éthique commerciale au service de l’homme et de son environnement. La réflexion est au coeur même de son identité et la citoyenneté, dans tous les aspects de la consommation, est un axe fédérateur de son positionnement.
De par ses liens avec les autres « piliers » de l’économie sociale, la coopérative a construit sa démarche en s’appuyant d’abord sur ses valeurs : humanisme, solidarité, démocratie et intérêt collectif. Sa finalité était de développer toujours plus de services, d’offres et de prestations pour répondre aux attentes de ses utilisateurs – consommateurs.
La vente à distance a été sa première activité, d’autres se sont ajoutées au fil du temps, dans le même esprit et avec la même exigence. Aujourd’hui, elle exprime son engagement dans toutes les facettes de son action et dans trois principales directions, projets fondamentaux du développement durable : la qualité sociale, l’environnement, la solidarité.
C’est ce qu’on appelle le « Socialisme réèl « ????
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Et alors ??? ça ne vous « interpelle »pas de lire qu’un organisme appartenant au « secteur de l’économie sociale » soit amenée pour se remettre à flot, à faire appel au secteur capitaliste ???
On peut être un excellent prof. et ne pas voir arriver la « révolution internet », croire que le progrès technologique s’arrêtera après le « Minitel », et persister dans des méthodes de gestion qui flirtent avec le copinage et le paternalisme qui font que des familles entières sont sur le tapis….
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Si vous ne savez pas lire Wikipédia, ça devient grave !!!!
« 2003. Des difficultés financières amènent la CAMIF à se recapitaliser, avec l’appui de la MAIF, de la MGEN et de la CASDEN BP. Un partenariat industriel avec 3 SUISSES International est noué. Les magasins de Lille et Toulouse deviennent ouverts à tous. Le Savour Club est revendu. Création de Romactis, société reprenant les activités du Club CAMIF.
2004. Mise en œuvre du processus juridique et financier de l’accord CAMIF/3 SUISSES International, avec le soutien de la MAIF, de la MGEN et de CASDEN BP. Vente de Magnet CAMIF. Participation de COFIDIS à hauteur de 66% au capital de C2C. Création de CAMIF Particuliers, dédiée aux personnes physiques. Fermeture du magasin de Coquelles dans le centre commercial Cité Europe près de Calais. »
jf.
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@Jacques:
Doit-on poursuivre les dirigeants de la CAMIF pour informations mensongères sur ce qu’est le « Groupe CAMIF »,car apparement le site internet de la CAMIF, semble contredire vos affirmations sur le statut juridique de cet organisme.
Constatez par vous même !!!
http://www.camif.coop/
Quant aux activités de la CAMIF et à l’évolution de son « tour de table » et de son Capital, vous semblez mieux renseigné que WIKIPEDIA:
http://fr.wikipedia.org/wiki/CAMIF
L’historique de la vie de cet organisme donne un apperçu de ce que peut être la gestion d’une boîte dirigée selon des méthodes qui n’ont rien à voir avec celle d’une entreprise « privée ». On peut être un bon enseignant et demeurer un mauvais gestionnaire.
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ET puis comme vous ne voulez jamlais vous renseigner, je vous propose encore ceci:
« CAMIF : LES MESURES IMMEDIATES DE LA REGION
Jeudi 30 Octobre – 11:34
La Région soutient les salariés licenciés et le bassin d’emplois niortais
Pour répondre en urgence aux besoins importants du bassin Niortais après le dépôt de bilan de la Camif, la Région met en place des mesures nécessaires immédiatement :
pour les salariés licenciés de la Camif qui souhaitent se réorienter professionnellement et s’engager dans une formation qualifiante de longue durée assurant la continuité de leur vie professionnelle, la Région met à leur disposition le Contrat régional de sécurisation des parcours professionnels. Ce contrat permet de garantir 90 % du salaire net pendant dix-huit mois pour l’ensemble des salariés victimes d’un licenciement économique sur le bassin niortais (Camif et sous-traitants) ;
pour soutenir les porteurs de projets créateurs d’emplois nécessaires à la revitalisation du bassin d’emplois niortais, la Région demande la création d’une société de capital risque où l’Etat intégrerait des moyens de l’ordre de 10 millions d’euros. Les collectivités territoriales pourraient être associées à cette société ;
pour soutenir les entreprises touchées par la liquidation de la Camif et éviter de nouvelles fermetures, la Région va mettre en place un Fonds régional d’assurance-crédit. »
Bonne lecture….
jf.
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Je ne sais pas si je suis un « puits de science » mais vous, vous êts bel et bien un puit d’IGNORANCE !
Je vous avais laissé une porte de sortie en ne vous parlant que de « Camif Particuliers » et non pas de la « maison mère ».
Alors vous, fort de vos certitudes, vous avez sauté à pied joint pour essayer de convaincre que c’est vous qui avez raison.
Alors parlons donc maintenant de la « maison mère » !
Depuis 2004, la Camif « maison mère » s’apelle la CAMIF…SA.
A vous, l’ancien « banquier », je ne ferais pas l’injure d’expliquer ce que SA veut dire…
Mais pour vos « nombreux » lecteurs et commentateurs je précise que SA veut dire Société Anonyme. C’est à dire que ça n’a plus rien à voir avec ce que vous avez décrit dans votre billet et votre réponse ci-dessus !
Sont au capital de « Camif SA » ..les « 3 Suisses » et « Cofidis », ce dernier à hauteur de 66%. On y trouve également le Fonds « Osiris Partners » depuis 2007.
Alors,
1) les salariés de « Camif Particuliers » ont bel et bien raison de dénoncer des « patrons ripoux ».
2) Mme Royal est dans son bon droit lorsqu’elle dénonce des » patrons qui gagnent des centaines de milliers d’euros. »
3) Cofidis, actionnaire majoritaire de Camif SA, étant une entreprise de CREDIT, c’est donc à juste titre que la Présidente de Poitou-Charentes réclame l’intervention de l’Etat dans le cadre du plan actuel concocté vis à vis de la crise !
Oui, Cher Berdepas, vous devenez de plus en plus décevant!
C’est d’autant plus dommage que vous savez aussi nous proposer des billets très intréressants comme récemment
la mémoire, les fonds souverains ou les lois du marché.
Mais lorsque vous vous laissez aller à vos penchants naturels de simple démagogie contre la « gauche », prise dans son ensemble, ou contre Mme Royal en particulier, vous frisez tout simplement le ridicule.
A propos de la Camif, au lieu de nous ressassez vos certitudes erronées, le fait que le Tribunal ait eu à se prononcer aurait du vous mettre la puce à l’oreille avant de nous livrer votre argumentation anachronique.
Cher Berdepas, vous avez le droit, inaliénable, de critiquer la gauche en général et Mme Royal en particulier.
Mais si vous voulez garder un semblant de crédibilité, renseignez-vous avant de proférer vos anathèmes.
Ce n’est pourtant pas la première fois que je me permets de vous le conseiller.
Souvenez-vous, sur votre ancien Bloc-Notes du « Monde.fr » (excusez-mloi de retourner le couteau dans la plaie…) je vous avais déjà pris en flagrant délit d’ignorance à propos de l’Ambassadeur de France en Espagne. Vous souteniez, à tort, qu’il s’agissait d’une « éminence » socialiste », trois ans, au moins, après le départ de celle-ci de l’ambassade à Madrid.
Vous, qui n’arrêtez pas de nous donner des leçons de patriotisme;
Vous, qui vivez en Espagne;
Vous conviendrez qu’il peut paraître plus que surprenant que vous ne connaissiez même pas le nom de l’Ambassadeur de France dans le Pays dans lequel vous vivez!
En conclusion, votre billet et votre commentaire ci-dessus, relatifs à la Camif, sont totalement grotesques. Ressaisissez-vous, je vous en prie.
jf.
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Ah bon !!! Vous êtes un puits de science !!
Mais cela ne change rien sur le fond. La « CAMIF Particuliers » étant une filiale de de la « CAMIF maison mère », ma remarque reste valable. La maison mère est bien gérée par des « Fonctionnaires » qui sont ses Sociétaires ???? Qui élisent un Conseil d’Administration ??? Qui nomme des dirigeants ??? qui sont censés contrôler leurs filiales dont ils nomment également les dirigeants ???? etc…
La suite du raisonnement reste valable.
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C’est la Camif Particuliers qui a été placée en liquidation.
Mais pas la Camif « maison mère ».
Renseignez-vous donc avant d’écrire des balivernes.
A la Camif Particuliers il n’y avait pas des sociétaires mais des clients (dont moi qui n’ai jamais été instituteur) et donc pas d’assemblées générales !
Cette branche était gérée comme une société normale avec des dirigeants qui eux ne sont pas mis à la rue, d’où les pancartes que vous avez vu!
jf.
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