Noirs Désirs chez les Bleus…


Il y a longtemps que cette pauvre équipe de France de Football n’a plus l’estime, l’admiration, ni l’affection des Français.

Je ne vais pas reprendre ici l’opinion de beaucoup d’amateurs de foot.

Ceux qui s’y sont risqué ont été « frêchement » désavoués par la » police de la pensée ».

Alors, il ne manquait plus que cette sordide affaire pour parfaire le « désamour » dont ils sont les touchantes victimes : si on en croit une bonne partie de la Presse française et étrangère, quelques joueurs de l’équipe de France, souffrant d’un excédent de testostérone, auraient été dénoncés par une « beurette » qui leur accordait ses faveurs et les soulageait, en contrepartie de quelques gros billets, qu’ils avaient gagné « à la sueur de leur front » sur les terrains de foot…

Un incident de parcours mineur dans une carrière de footballeur, sauf que la petite beurette en question n’était pas majeure.

Au fond, les « Bleus »concernés n’ont fait que rechercher quelque compensation affective à ce désamour du public français, désamour qui s’amplifie au fur et à mesure que l’on se rapproche de la date des premières rencontres de la Coupe du Monde en Afrique du Sud.

Ribery devra prier deux fois plus en entrant sur le terrain de ses futurs exploits, pour se faire pardonner par son public de « fans » ce que l’Islam tolère plus facilement que la morale populaire européenne peu favorable à la polygamie…..

Pour mémoire:

La lapidation est un devoir envoyé par le livre d’Allah pour les hommes et les femmes mariés qui ont commis l’adultère si la preuve est établie, s’il y a grossesse ou aveu. ” (récit d’Abdullah ibn Abbas, Muslim XVII 4194)
L’envoyé d’Allah a dit : – Quand un homme célibataire commet l’adultère avec une femme célibataire, ils recevront cent coups de fouet et seront bannis un an. Dans le cas où ils sont mariés, il recevront cent coups de fouet et seront lapidés à mort. ” (récit de Ubada ibn as Samit, Muslim XVII 4191)

Les amateurs de prêchi-prêcha coraniques apprécieront….

Quand à la « beurette » objet de ces « noirs désirs », elle a intérêt à se tenir hors de portée de ses « grands frères »….

Et qu’elle ne vienne pas nous dire qu’elle n’est « ni pute, ni soumise ». Personne n’en croira un mot.

Les « Bleus » broient du noir….


L’équipe de France a reçu une belle leçon de Football, hier soir au stade de France.

Avant le match , les commentateurs de service à TF1, essayaient de nous convaincre de la capacité de l’équipe de France – grâce à son physique (sic) –  de « faire un bon résultat » devant une Espagne qui a tout gagné depuis qu’elle est devenue championne d’Europe,

Nous avons eu la démonstration sans appel de la supériorité d’une équipe qui joue avec de petits gabarits, et qui compense un manque de puissance athlétique dans certains secteurs du jeu, par des qualités de  vitesse d’exécution, de vivacité et d’intelligence.

Tourbillonnants, doués d’un sens lumineux du placement, s’appuyant sur  une technique parfaite, un toucher de balle d’une grande précision, les Espagnols ont « dominé leur sujet », l’ équipe de France ne donnant jamais, sauf dans un court instant en deuxième mi-temps, l’impression qu’elle pouvait revenir au score après avoir encaissé deux buts superbes.

On a pu mesurer ainsi, en une soirée, la différence de niveau qui sépare une grande équipe qui peut légitimement prétendre à figurer dans le tableau final, et une équipe ( mais est-ce bien le terme approprié ???) constituée de prétendues « stars » qui ne brillent que dans leurs clubs respectifs, sans doute motivés par des salaires à faire rougir de honte nos meilleurs PDG, mais peu enthousiastes lorsqu’il s’agit de défendre les couleurs de la France.

L’équipe de France est devenue, sous Domenech, une équipe qui doute, une équipe qui n’ a plus d’autre « identité « que celle que lui confère…. sa couleur. Mais , dans la perspective du mondial, le ciel n’est n’est pas Bleu, il est plutôt sombre. (Oserai-je dire noir ???).

Les « Bleus » de l’ère Domenech sont tombés bien bas, et les sifflets des supporters à l’intention d’un groupe qui, à mes yeux, n’a aucune valeur représentative du football français, sont significatifs: » l’équipe de France » ne fait plus rêver la France. Rien à voir avec celle qui a connu les sommets de la Gloire en 1998.

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Bien pire, elle ne suscite chez nos voisins, – qui n’ont pas oublié ce que fut le football français dans ses années de gloire , que sarcasmes et plaisanteries douteuses, qui ne rehaussent pas le prestige de notre pays.

Thierry Henry, Patrice Evra, Nicolas Anelka et Florent Malouda, le 10 octobre 2009.
Hier soir, le public du stade de France, en connaisseur, sifflait son équipe et saluait
chaque exploit des joueurs espagnols par des « Hollé » admiratifs.

Petite parenthèse : je suis tout de même surpris que les très nombreux fils et petits-fils d’immigrés espagnols vivant en France ne se soient pas rassemblés sur les Champs Elysées et sur les grandes artères des villes de province, pour manifester leur joie, en brûlant quelques bagnoles et en saccageant quelques vitrines….

Question d’éducation…. ou de culture, sans doute ????

Du Noir dans le Bleu…


   Après leur défaite devant la sélection hollandaise, les « Bleus » broient du « Noir ». Et avec eux leurs supporters, dont la plupart pressentaient depuis quelques temps déjà que « l’équipe de Domenech » ne faisait plus le poids,- face aux grandes équipes qui disputent l’Euro 2008-, et qu’un naufrage était en vue…. 

Cette équipe constituée de « mercenaires » dont les « cadres » sont des joueurs gavés de fric, dont la seule motivation pour jouer en équipe de France est de maintenir un niveau de notoriété dont dépendent les généreux contrats de pub qu’ils ont signés, dont les revenus viennent s’ajouter à des salaires qui feraient rougir d’envie les plus performants de nos PDG d’entreprise.

Ils ne jouent pas pour représenter le footbal français auquel ils n’appartiennent plus depuis longtemps pour la majorité d’entre eux, et encore moins pour défendre les couleurs de la France : Il suffit de les observer au moment où, selon la tradition, dans les matches internationaux, on exécute des hymnes nationaux, que certains d’entre eux, écoutent le visage fermé, sans même se donner la peine de remuer le bout des lèvres…..alors que dans les équipes adverses on chante, la main sur le coeur, à l’unisson avec le public venu pour soutenir « son » équipe. Manifestement, la Marseillaise leur écorche la langue.     

                                              Raymond Domenech le 24 mars 2008 à Clairefontaine

Constituée de ceux qui depuis longtemps ont fait allégeance et soumission au sélectionneur,- ceux qui ont refusé cette soumission étant systématiquement éliminés-, elle n’est pas représentative de la valeur réelle du football français. Il y a dans les équipes jouant en Ligue 1, en France, des joueurs de talent qui seraient honorés de pouvoir mouiller leur maillot pour les couleurs de la France, que le sélectionneur s’entête à ignorer, car il est prisonnier de ses préjugés et d’une conception étriquée du jeu. En outre il est dans l’incapacité de renouveler ses schémas tactiques, ce qui l’obligerait probablement à renouveler certains éléments de cette équipe.

Cette déroute, comme la sélection française n’en a pas connu depuis 25 ans, devrait inciter les dirigeants du football national à une profonde remise en question des conditions dans lesquelles s’effectue la sélection des joueurs. Cela passe par l’éviction de l’entraineur, dont l’arrogante suffisance, les commentaires provocateurs, les explications fumeuses, et la langue de bois systématique commencent à fatiguer le public des passionnés de foot.

Cette lourde défaite a mis en évidence le fait que les équipes qui jouent avec la fougue de ceux qui rentrent sur le terrain pour gagner, et pour défendre les couleurs de leur pays, sont capables de donner la leçon – et quelle leçon !!!- aux « techniciens » de la « baballe » que sont devenues les « stars friquées » de l’équipe de France. Champions de la passe courte au milieu du terrain, ils sont incapables de percer les défenses et de mettre un ballon au fond des filets adverses.

L’Euro 2008 nous révèle une nouvelle génération de joueurs,qui  bouscule, par sa vivacité et sa volonté de s’affirmer les équipes installées dans une autosatisfaction fondée sur les victoires passées . L’Espagne, le Portugal, les Pays-Bas et d’autres nous en font la démonstration.La victoire « à l’arrachée » de la Turquie sur la Tchécoslovaquie en est une superbe illustration.

Il est significatif de constater qu’à ce jour, dans ce championnat d’Europe, les équipes les plus menacées d’élimination dès le premier tour , sont l’équipe championne d’Europe, la vice-championne du monde et l’équipe qui a remporté le dernier « mondial ».

Une page se tourne.