L’inéffable Montebourg a ouvert le feu.

Ce frénétique de la « dénonciation », surnommé « Kalachnikoff », Avocat de profession, qui a raté sa vocation et aurait dû faire une brillante carrière de Procureur, dénonce une nouvelle fois les turpitudes de son Parti, regardant dans la direction de « La Martine »qui répugne, dans le cadre de ses fonctions de « Première Secrétaire », à prendre des mesures de sanctions lorsqu’elles sont nécessaires.

Celle qui avait cru pouvoir « noyer le poisson », dans l’affaire Guérini, et compter sur la mansuétude de médias complaisants pour contribuer à étouffer « l’affaire », se voit de nouveau contrainte à « ouvrir les yeux » sur des turpitudes qui font désordre dans un Parti qui s’est toujours érigé en gardien de la morale en politique. 

Jack Lang, montré du doigt par les accusations de son « camarade » Montebourg, accuse ce dernier d’avoir franchi la « ligne jaune ». Furieux, il aurait même envisagé de lui flanquer une paire de claques s’il le rencontrait dans les prochains jours.

Et à défaut, il porte plainte contre son accusateur.

Il n’en reste pas moins que dans le Pas de Calais, ça magouille grave, chez les Socialistes où toutes sortes de malversations remontent à la surface, malversations dénoncées depuis longtemps par le Front National local, qui en a fait sa tarte à la crème, et en profite pour consolider ses positions dans le petit peuple, écoeuré par toutes ce turpitudes…..

Au fur et à mesure que l’on avance vers l’échéance présidentielle, les voiles tombent.

Et l’on apprend, deci, de là, que des membres éminents de ce Parti, tels que Jean-Pierre Chevènement ou Delphine Batho  bénéficient de logements confortables, en plein centre de Paris, à des prix de loyer, qui même après « révision », défient toute concurrence….Devant de tels abus, que fait le DAL ??? Que dale !!!!

 Quand on sait qu’un Juppé a failli voir sa carrière politique ruinée par des « affaires » du même genre, on est sidéré de la discrétion qui a entouré jusqu’ici, ces privilèges d’un autre âge.

Et ce n’est pas fini.