Extrait d’un article paru sur un blog ami,>http://politique-liberale.blogspot.com/< dont je recommande la saine lecture, car elle est tonifiante !!!
« Ne dites pas qu’Untel est homosexuel : c’est une discrimination homophobe !
« Ne dites pas que tel autre est un Noir : c’est une discrimination raciste !
« Ne dites pas que tel autre encore est juif ou musulman : c’est une discrimination confessionnelle !
« Ne dites pas qu’il est arabe : c’est une discrimination xénophobe !
« Ne dites pas que votre voisin est RMiste : c’est une discrimination sociale !
« Ne dites pas que votre chef de service est une femme : c’est une discrimination sexiste !
« Ne dites pas que votre cousin est fonctionnaire : c’est une discrimination aussi !
« Ne dites pas que votre frère est syndicaliste : c’est encore une discrimination !
« Cette liste n’est pas close…
« Surtout, ne discriminez personne ! Surtout, laissez tout le monde sur le même plan ! Surtout, abstenez-vous de toute remarque es-qualité : vous « tomberiez automatiquement sous le coup de la vindicte populaire, voire de la loi… »
« Dans ce monde lisse et fade dans lequel on voudrait nous faire vivre, il importe que chacun respecte l’autre au point de ne surtout pas « évoquer de différence, même évidente. Il importe que chacun soit le strict égal de l’autre. Il importe qu’aucun relief ne vienne faire de l’ombre à qui que ce soit.
Nous sommes donc tous discri-minables à un titre ou à un autre….quelle que soit la minorité à laquelle nous appartenons !!!
Ainsi, traiter publiquement quelqu’un de raciste parcequ’il a traité un Arabe d’Arabe, ou un black de noir, c’est une manière de le stigmatiser.
A ce propos, curieusement, je n’ai jamais entendu parler de la plainte d’un Asiatique traité injustement de chinois……Cela doit pourtant bien exister ??? Mais cela n’intéresse probablement pas les médias.
Autre exemple, celui des Pieds-Noirs.
Cette ethnie héritée de la période coloniale, connue en France pour son goût immodéré pour l’anisette et les merguez, aurait dû, depuis longtemps, créer une Association sur le modèle de SOS-Racisme, destinée à défendre son image honteusement stigmatisée depuis 1962, et à porter devant la Halde le cas de toute personne qui s’aviserait de traiter de « Pied-Noir » un Français d’Algérie.
Car après tout, les pieds de ces Français là ne sont pas plus noirs que ceux d’un souschien (1), et cette forme ignoble de stigmatisation est profondément injuste à l’égard d’une ethnie en voie de disparition à laquelle l’Histoire moderne rendra justice un jour ou l’autre….
Dans un autre domaine, observons que les Chats sont, dans le règne animal, les principales victimes de la discrimination ordinaire: trop de gens se permettent d’appeler un Chat, un Chat. C’est, bien entendu, tout à fait insupportable pour cet animal « domestique », injustement condamné, – par ceux et celles qui l’ont définitivement domestiqué et stigmatisé pour son tempérament félin -, à manger des croquettes.
La Halde devrait sans tarder se doter d’une section animale pour traiter tous ces cas ignorés jusqu’ici.
Par contre traiter un Français de souche de souschien (1), c’est presqu’un compliment, car c’est un qualificatif valorisant. La Halde n’a donc pas matière à intervenir.
D’ailleurs, dans sa jurisprudence, existe-t-il un exemple de plainte d’un souchien contre un Arabe insolent, pour propos racistes ??? Probablement pas.
Normal puisque les souschiens n’aboient pas !!!!!
Tout d’abord merci pour le lien et la citation.
J’attends avec impatience qu’un « souchien » porte plainte auprès de la HALDE pour insulte raciste. Je me damande bien quelle serait la position adoptée par cette « haute » institution !
Quant à « l’affaire » Hortefeux, elle montre à quel point certains politiques saisissent au vol la moindre raison de faire oublier qu’ils n’ont pas grand chose à dire. C’est lamentable autant qu’indigne.
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Les Asiatiques sont en effet totalement oubliés par les « anti »racistes.À cela deux explications contradictoires :
– ils ont osé fuir des pays socialistes et/ou communistes
– ces mêmes pays sont, aujourd’hui, devenus capitalistes
Oubliés naguère parce que renégats du communisme, oubliés aujourd’hui parce que « ressortissants » du capitalisme.
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