Esclavage à…Bruxelles !!!


Bruxelles a été, dernièrement, le théatre d’un vrai scandale commenté dans toute la Presse belge.

L’Hôtel CONRAD, l’un des Palaces de la ville, abritait depuis plusieurs mois, une Princesse et ses quatre filles, qui louaient à l’année, le 4 ème étage de cet hôtel . La veuve de l’Emir et ses quatre filles, des princesses, étaient accompagnées de « leur suite ». Le personnel de « service » qui en composait l’essentiel, était originaire notamment des Philippines, du Maroc, d’Inde, d’Egypte, de Turquie, d’Irak et de Syrie. Ce personnel « corvéable à merci », dormait dans les couloirs de l’étage, et avait l’interdiction de sortir de l’Hôtel.Il est surprenant que le personnel de l’Hôtel ne se soit apperçu de rien, pendant des mois…..

Malgrè les interdictions, l’une des femmes de service, d’origine marocaine, avait abandonné son travail il y a deux mois et s’était échappée.
Le mardi 24 juin, quatre autres femmes originaires de Philippines avaient tenté de s’échapper mais trois d’entre elles avaient été reprises par des membres du service de sécurité de la famille. Celle qui a réussi à prendre la fuite a été également auditionnée vendredi. Les employeurs auraient tenté de renvoyer vendredi les trois autres.

Les Services de l’Auditorat du Travail ont été alerté et ont ouvert une enquête, et ont procédé à l’audition de plusieurs des victimes de ces séquestrations.
L’une d’entre elles a été interceptée par la police à l’aéroport de Brussels Airport afin d’être entendue dans ce dossier. Elle a accepté de collaborer à l’enquête. Les deux autres servantes auraient été rapatriées. Samedi, deux autres servantes ont été envoyées de Paris à l’hôtel Conrad à Bruxelles. Selon l’Auditorat du travail, deux victimes présumées ont actuellement déjà été entendues. Les autres personnes, interpellées mardi matin, seront auditionnées dans le courant de l’après-midi. D’après le député Ecolo qui saisi par l’une des « plaignantes » a révélé ce cas d’esclavagisme moderne, l’ambassadeur des Emirats Arabes Unis était présent mardi à l’hôtel Conrad, sans doute pour prendre la défense de la « Princesse »….

Ce n’est pas la première fois que ce genre de situation se produit. Il y a quelques années, un Ambassadeur avait été inquiété, à Paris, pour avoir séquestré une « servante », qui ne percevait jamais le salaire qui lui avait été promis, et qui travaillait gratuitement 24heures sur 24, 7 jours sur 7. Il lui était interdit de quitter l’ambassade, et pour l’empêcher de s’évader, son passeport lui avait été confisqué.

Les défenseurs des Droits de l’Homme, prompts à faire la chasse aux dérives qui se produisent dans les pays occidentaux, sont bien silencieux sur ce qui se passe dans certains pays du Moyen et de l’Extrème Orient….Il y aurait pourtant beaucoup à faire pour mettre fin à des pratiques actuelles et plus répandues qu’on ne le pense. Mais il est tellement plus facile,…et moins dangereux peut-être, de remuer les poubelles de l’Histoire, en détournant son regard des réalités contemporaines.

Pour en savoir plus :

http://www.rtlinfo.be/rtl/news/article/145277/La+famille+dun+Emir+avec+leurs+esclaves+au+Conrad

Libre !!!


                                             

 Libre !!! Quoi dire de plus ???? Tout a été dit !!!! Presque jusqu’à saturation !!!

(Une simple et modeste recommandation de ma part : la prochaine fois ( s’il y en a une ? ) soyez plus prudente, ma chère Ingrid. Et surtout ne retournez plus, pour vos  promenades « écologiques », dans les zones infectées de F.A.R.C.)

Car les « Forces Amées Révolutionnaires de Colombie », qui ont emprunté aux méthodes communistes ce qu’elles ont de pire, n’ont pas l’habitude de plaisanter.

Un Journaliste de l’Express qui avait longuement enquêté sur cette organisation révolutionnaire, décrit ainsi la manière dont ses troupes sont embrigadées:

« Longtemps sous-estimé – peut-être parce que, comme le dit un commandant des Farc, «les gens ont du mal à imaginer qu’un paysan puisse être un idéologue» – Manuel Marulanda a pourtant tiré de sa longue expérience une doctrine. Elle tient en peu de mots: la fin justifie les moyens. «Si Marulanda s’aperçoit que kidnapper des étrangers ou pactiser avec les trafiquants de drogue est politiquement ou militairement rentable, analyse Alfredo Rangel, alors, aucun problème: ce pragmatique absolu n’a aucun état d’âme.»

C’est peu dire que Manuel Marulanda a mis au point une machine de guerre impitoyable. «Du point de vue de l’efficacité militaire, poursuit Rangel, les Farc se comparent seulement à la guérilla salvadorienne du Front Farabundo Marti de libération nationale (FMLN), qui, dans l’Amérique centrale en feu, tenait tête à Ronald Reagan sans vaciller.» A partir du milieu des années 1990, l’armée rebelle passe à la guerre de position. Les Farc démontrent qu’elles sont capables de concentrer jusqu’à 1 200 hommes afin de s’emparer d’une position ennemie!

Sur le terrain, la combativité, le professionnalisme et la résistance des guérilleros font merveille. Ancien garde du corps du redoutable chef de guerre «Romaña», le franc-tireur «Coco», 32 ans, en sait quelque chose, lui qui a combattu des centaines de fois au sein d’une unité d’élite rebelle avant de perdre un poumon et de déserter, après onze ans de bons et loyaux services. «A une époque, on allait au feu tous les trois jours, se souvient ce jeune homme blagueur, dont le regard fiévreux est encore habité par la mort. Il nous est arrivé de marcher six mois de suite à travers les Andes pour préparer une offensive. Chez les Farc, être fatigué, se plaindre ou contester un ordre est strictement prohibé.»

Ce n’est pas, loin de là, la seule interdiction en vigueur dans cette organisation de type stalinien, où règne une discipline de fer. Mal nettoyer son fusil, s’endormir pendant la garde, dénigrer un camarade, critiquer un supérieur, ne pas exécuter une mission, voler du sucre, boire de l’alcool, fumer en cachette, ne pas prendre la parole lors des discussions politiques ou encore s’attarder volontairement dans la rivière à l’heure de la toilette sont quelques-unes des innombrables fautes passibles du conseil de discipline. Présidé par le chef d’unité, celui-ci possède toute latitude pour prononcer des punitions sévères: faire 10, 50 ou 100 corvées de bois, creuser 15 mètres de tranchées, creuser 5 trous de 80 centimètres sur 80, semer 1 hectare de manioc, ramasser 20 kilos de maïs, rendre leur brillant à cinq marmites, porter le fusil-mitrailleur pendant quinze jours ou encore faire son autocritique en public.

La vie privée est, elle aussi, strictement réglementée. Les relations sexuelles entre guérilleros sont soumises à l’approbation de la hiérarchie et doivent donner lieu à une visite médicale préalable auprès de l’infirmière qui se trouve dans chaque unité de 26 combattants. Pour les femmes – près de 40% de l’effectif des Farc – flirter avec des civils est strictement illégal, tout comme le fait de tomber enceinte. «J’allais avoir 15 ans lorsque je me suis volontairement engagée dans la guérilla, raconte Johanna, aujourd’hui âgée de 26 ans. Très vite, j’attendais un enfant. Ils m’ont dit que je devais interrompre ma grossesse. J’ai d’abord refusé, mais ils m’ont dit qu’ils seraient alors obligés de me fusiller. Finalement, j’ai absorbé les pilules abortives fournies par leurs soins et j’ai passé dix années chez les Farc, en tant qu’infirmière. L’année dernière, j’ai pris la décision de déserter. Peu après mon départ, ils ont assassiné, en punition, mon père et ma sœur.»

« Quant aux déserteurs rattrapés avant d’avoir atteint la ville, ils sont systématiquement fusillés au peloton d’exécution… après avoir reçu l’ordre de creuser leur propre tombe.

A lire l’article complet sur : http://www.lexpress.fr/actualite/monde/amerique/le-vrai-visage-des-ravisseurs-d-ingrid_478160.html

Quand on songe que ces « citoyens » ont pour « ambition politique » et pour objectif la prise de pouvoir en Colombie, on imagine ce que serait la vie dans un pays gouverné par de tels zigs.