Le enième Sexe est en marche…


je-me-marre

Ni lui ni elle… mais alors qui ?

LE MONDE | 08.08.09 | 14h40  •  Mis à jour le 09.08.09 | 17h09

 « Le Monde », quotidien favori d’une intelligentsia « à la française », gourmande de tout ce qui peut animer des débats intellectuels fumeux, ouvre ce jour, à travers un article dont on trouvera ci-après quelques extraits savoureux, un dossier qui passionnera le microcosme intellectuel : existe-t-il la possibilité ( non pas d’une île mais..) de reconnaître d’autres sexes que le sexe masculin et le sexe féminin ???

Certes l’interrogation restait ouverte, depuis qu’un de nos plus brillants spécimen de la classe intellectuelle de la Rive Gauche parisienne avait évoqué dans un ouvrage resté célèbre le roman du « troisième sexe ».

Mais dans l’article évoqué ci-dessus , nos éminents observateurs des mésaventures de la condition humaine vont beaucoup plus loin.

Extrait : »Qu’est-ce qu’un homme, qu’est-ce qu’une femme ? Au-delà de la prise en charge médicale, la question de fond que posent ces troubles de « l’identité sexuelle reste peu débattue en France. L’excellente enquête sur l’« intersexuation » que vient de publier le journaliste indépendant « Julien Picquart, Ni homme ni femme, n’en prend que plus d’intérêt. Pour la première fois, une quinzaine de personnes y racontent leur « quotidien, leur parcours, les traitements qu’ils ont reçus, leur vie sentimentale et sexuelle. Leurs pathologies sont différentes, leur âge, leur « contexte familial et social également. Mais leurs questions sont toujours les mêmes. Quelle importance doit-on accorder aux organes « génitaux ? N’y a-t-il vraiment que deux sexes ? Jusqu’à quel point peut-on décider de son devenir, au-delà de ce qui nous détermine ?

« Pour tous, la plus grande souffrance provient du silence, du non-dit », affirme Julien Picquart. Utopiste revendiqué, il veut croire qu’« une « autre approche des variations du développement sexuel est possible, via une autre conception du sexe et du genre, une autre définition de « l’humanité ».

« Accepter sereinement de ne pas cantonner l’être humain à un sexe ou à un autre, cela reviendrait à étendre un peu plus le champ des « possibles. Celui, donc, de notre liberté. Au-delà du masculin, du féminin. » ( Fin de citation ).

Article signé: Catherine Vincent.
 
Mon commentaire:
 
Au nom de l’élargissement du « champ des possibles et de celui « de nos libertés », voila un débat qui devrait passionner l’opinion.
Quoi de plus naturel, pour une médecine sans frontière, que de s’intéresser aux perspectives d’une sexualité sans frontière naturelle, d’autant que depuis longtemps déjà, la frontière qui séparait, à l’origine, l’homme de la femme, comporte de larges brèches…..
J’entends déjà la voix sentencieuse de nos nouveaux philosophes ( chaque époque secrète sa nouvelle génération de « nouveau philosophes » ) prêts à renverser, dans ce domaine là, comme dans bien d’autres les vieux tabous qui empêchent notre humanité d’accéder à la modernité.
Jusqu’ici, pour moi et pour beaucoup de mes semblables, la réponse à la question posée: « qu’est-ce qu’un homme, qu’est-ce qu’une femme » était toute simple, et je la connaissais depuis que je  suis tout petit, grâce à ma mère: « l’ homme, c’est celui qui a un zizi, quelle que soit sa taille. La femme, c’est celle qui a une p’tite counette. »
Mais je suis certain que de brillants esprits, quelque peu contestataires de « l’ordre établi » trouveront d’ici peu une autre définition moins conforme aux « idées » que nous avons reçues…..
 
                 
 

L’Imam fait école….


Rien ne nous sera épargné , ici-bas !!!

Le sexe ayant pris le contrôle des parties nobles du cerveau, pour ceux qui en ont un, chaque jour nous apporte sa révélation sur les exploits de ceux-là mêmes qui sont sensés consacrer leur vie à l’élévation du niveau spirituel de leurs ouailles….

Ainsi, selon une information diffusée ce jour, par LCI.fr , après « l’Imam d’Orange », nous voici gratifiés du « Prêtre de Metz ».

« Un prêtre d’une cinquantaine d’années du  diocèse de Metz a été mis en examen pour « proxénétisme aggravé en bande organisée » pour « avoir, selon son avocat, servi d’intermédiaire à une jeune prostituée. Le religieux, qui a aussitôt été démis de ses fonctions par l’évêché de « Metz, a été brièvement placé en garde à vue la semaine dernière. Il a été présenté lundi au juge et placé sous contrôle judiciaire. Une dizaine « de personnes ont déjà été mises en  examen en juin, dont un couple, écroué depuis dix jours. Son défenseur nancéien Me Alain Behr est « persuadé que son client sera  finalement relaxé « car il n’a retiré aucun profit dans cette affaire ».
« Le prêtre, qui n’avait aucune intention délictuelle, a seulement été  victime de sa naïveté et de son souci de rendre service à une jeune « femme en  plein désarroi »
, a déclaré l’avocat.

« Le religieux a été identifié par les enquêteurs dans le cadre d’une  surveillance téléphonique, après avoir appelé à deux reprises un « salon de  » massage » dont il était occasionnellement client à Talange en Moselle. Il voulait  ainsi aider une jeune femme rencontrée dans un hôtel qui « souhaitait travailler dans un cadre plus structuré, selon son avocat. « Malheureusement, le simple fait d’aider une prostituée ou de la mettre « en contact est constitutif de l’incrimination de prostitution », estime Me Behr. Il  va contester l’incrimination parce qu’elle est « beaucoup « trop large et trop  vague ».

« La Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Nancy, qui traite cette  affaire de proxénétisme, a placé lundi le prêtre sous contrôle « judiciaire avec  l’obligation de se soigner. Elle n’a pas suivi les réquisition du parquet qui  avait réclamé à l’encontre du prêtre une « interdiction de séjour en Moselle et  l’obligation de séjourner dans une enceinte religieuse. « Le parquet de la JIRS, qui se doit d’être laïc, a « confondu la robe et le  goupillon », s’est insurgé l’avocat pour qui « ces réquisitions étaient celles de  l’Inquisition ». La JIRS instruit depuis six « mois ce dossier qui porte sur un réseau de  prostitution actif en Moselle, Meurthe-et-Moselle, Belgique, Luxembourg et à  Paris. Une dizaine « de prostituées travaillaient dans ce réseau dont la publicité se  faisait sur plusieurs sites internet….

Le port de la robe chez bien des hommes de foi, cache parfois d’inquiétantes tentations…. Certes, la chair est faible, mais bon….

Imams de luxe…


Article extrait du Magazine marocain « Le Reporter ». http://www.lereporter.ma/

« Scandales des imams marocains en France et en Belgique : Mosquées, sexe et mensonges « 

Mercredi, 08 Juillet 2009 15:02

« L’imam d’Orange (France) : Riche proxénète

« L’histoire de l’imam marocain d’Orange est renversante. Depuis 20 ans, il fait venir des filles du Maroc qu’il force à la « prostitution, se constituant, sur leur dos, une fortune impressionnante. Ce qui ne l’empêche pas de diriger « sa » « mosquée et de présider les prières.

« Les Français appellent ça « le système Bahiad ».

« Bahiad, c’est le nom de l’imam marocain qui fait scandale cette semaine en France et plus précisément à Orange, le fief « historique » de « l’extrême droite.

« Abdeslam Bahiad, 54ans, non seulement imam de son état, mais aussi président de l’association « Lumière de Dieu » qui gère la mosquée de « la cité des Princes, vient d’être arrêté. Lui et ses trois fils – Abdelgafour, 24 ans, Omar, 31 ans, et Niky, 33 ans – qui lui servaient de « lieutenants. Mais aussi une mère maquerelle, Drissia, 42 ans, personnage central qui a commencé au modeste grade de prostituée dans le « « système Bahiad », avant de gravir les échelons et quelques autres prostituées.

« Soit une dizaine d’arrestations en tout…

« Ils sont accusés de prostitution, proxénétisme aggravé, filière d’immigration clandestine et blanchiment d’argent. Et les enquêteurs n’ont « pas fini leurs investigations, selon la presse française.

« En quoi consiste l’affaire ?

« L’imam et honorable président de mosquée Abdeslam Bahiad -que tout le monde respectait dans la ville d’Orange et en qui les familles « marocaines (voire maghrébines) plaçaient leur entière confiance au point de lui confier, parfois, le sort de leurs filles et proches restés au « pays- était en fait un « Monsieur Claude », dirigeant un vaste réseau de prostitution entre le Maroc, son pays d’origine et la France, son pays « d’accueil.

« C’est un prétendu homme de religion qui guidait les croyants sur la voie de Dieu, le jour et faisait commerce de chair humaine, la nuit. Une « espèce de Docteur Jekyll-mister Hyde qui se complaisait dans sa schizophrénie depuis 20 ans. Et pour cause, elle lui rapportait gros ! 

« Il s’était constitué un patrimoine immobilier comptant, selon les premières informations, quelque dix appartements à Orange, sa maison de « 300 m2 dans laquelle il vit avec sa famille, des commerces, salons de coiffure et un café-bar « le France »… Ce qui étonne –un peu « tardivement- les Français qui réalisent qu’ « un gars arrivé en France en 1968 et qui depuis n’a travaillé que neuf ans en tant qu’ouvrier « agricole », n’a pas pu acquérir tout cela grâce à son travail.

« Le mode opératoire de Abdeslam Bahiad était simple et n’avait rien d’innovant. Il exploitait les illusions de jeunes Marocaines, âgées de 14 à « 25 ans qui rêvaient d’Eldorado européen. Ces jeunes filles étaient approchées au Maroc. Parfois, leurs familles payaient cher pour voir partir « leurs filles à qui étaient promis papiers en règle, travail, avenir brillant…

« Avec le temps, il avait aussi constitué sa petite mafia : autour de lui il y avait ses trois fils et l’ex-prostituée, devenue mère maquerelle, « Drissia.

« C’est elle qui allait « recruter » les gamines chez elles et leur faisait faire le trajet Maroc-France, clandestinement, dans le coffre de sa voiture.

« Des dizaines de filles ont ainsi été « recrutées » suivant cette filière…

« Arrivées en France, elles se retrouvaient à Orange, logées dans les appartements de Bahiad, en attendant de subir le sort réservé à toutes : « s’engager, de gré ou de force, dans la prostitution.
« Selon un enquêteur dont les propos ont été rapportés par la presse française, « certaines prostituées auditionnées ont affirmé avoir été « violées et frappées par les trois fils. L’une d’elles qui était tombée enceinte, déclare même que l’un d’eux lui a donné de gros coups de poing « dans le ventre jusqu’à ce qu’elle perde l’enfant ».

« Une fois « convaincues », les filles racolaient dans le bar « Le France » de Bahiad, situé – comble du comble – en face de la police municipale « d’Orange.

« Elles effectuaient leurs passes dans les appartements de l’imam qui avait ses propres règles de « mac ».

« Ainsi, elles ne payaient pas de loyer, mais elles ne recevaient pas non plus l’argent que rapportaient leurs passes.

« L’une d’elles a raconté aux enquêteurs qu’elle touchait seulement, de temps à autre, cinq euros pour pouvoir téléphoner au Maroc.

« Bien sûr, la duplicité de l’imam Bahiad est consternante. C’est un supposé sauveur d’âmes qui fabriquait des âmes égarées ! Mais il est quand « même étonnant que nul ne se soit douté de quoi que ce soit, pendant toutes ces années où d’innocentes rosières étaient transformées en « filles de joie…

« Fort de cette myopie générale, Bahiad n’avait aucune raison de croire que son manège n’allait pas durer ad vitam…

« Le fait est que, depuis un an, la police judiciaire d’Avignon enquêtait sur cette affaire pour établir, de la manière la plus exacte possible, les « tenants et aboutissants du trafic. Une enquête longue et minutieuse qui a enfin permis de donner un coup de pied dans la fourmilière. « Notamment après avoir obtenu, entre autres, le témoignage de six prostituées de Bahiad.

«  »L’imam-faux jeton a-t-il senti venir le coup ?

« Selon certaines informations, il aurait vendu ces derniers mois une bonne partie de ces biens. La police judiciaire qui épluche actuellement « ses comptes bancaires et ceux de ses complices, aurait trouvé de nombreux documents prouvant qu’il aurait récemment effectué des « virements de liquidités au Maroc.

« Comment Bahiad, ses fils et Drissia ont-ils expliqué toute leur affaire aux autorités, pendant leurs auditions ? Qu’ont-ils dit ? Rien… Ils sont « restés muets, n’avançant qu’un seul argument expliquant, selon eux, leur naufrage : « un complot des prostituées » ! « 

Etonnant, non ???

Même dans un « fief d’extrême droite », les immams propspèrent.

 Ce qui surprend encore plus, c’est la liberté avec laquelle les journalistes marocains évoquent ces sujets « sensibles »….

La Presse nationale française pratique, elle, l’autocensure. Par peur de déplaire à la « communauté » musulmane, ou d’encourrir les foudres des associations religieuses qui manipulent cette « communauté », ou tout simplement pour ne pas risquer des poursuites pour « propos discriminatoires » ????

Pour beaucoup moins que cela certains de mes billets sur la blogosphère, ont été « censurés » par des « modérateurs » zélés….