Paraphrasant le regretté Serge de Bekecht dont je partageais pleinement l’opinion, j’affirme, à mon tour, que je ne suis pas islamophobe, que je ne suis pas hostile à l’islam, et que je ne suis encore moins en guerre contre l’islam, à l’égard duquel je n’ai aucun ressentiment.
En fait, l’Islam je m’en bats les flancs tant qu’il reste sur les terres qu’il a conquises, au fil des siècles, par le glaive qui figure sur l’étendard de certains pays du Golfe.
J’admire les symboles de sa culture, l’architecture de ses palais et leurs décorations de stuc et de zelliges dont la géométrie parfaite me surprend.
J’aime, comme ceux qui ont longtemps vécu et beaucoup voyagé dans les pays musulmans, le folklore de ses souks poussiéreux, j’aime l’accueil réservé à l’étranger que je n’ai pas toujours été, mais que je suis devenu. J’aime échanger avec le marchand d’épices, quelques mots en Arabe. J’apprécie la gastronomie raffinée de ces pays : rien ne vaut un bon tajine ou un couscous préparé par des femmes héritières de recettes ancestrales, même si elles l’ont cuisiné avec leur « voile intégral »sur la tête.
Au fond, je n’ai rien contre les musulmans quand ils sont chez eux. Bien au contraire.
Mais quand ils sont chez nous, de plus en plus nombreux, je deviens « islamo-allergique ».
Car je redoute de voir l’islam prospérer en France.
Je ne nie pas que l’islam soit une religion respectable quand elle est pratiquée de manière paisible.
Mais, lorsque je contemple une mappemonde, et lorsque j’entoure d’un cercle rouge, tous les points de la planète où éclatent des bombes, où meurent des innocents, où se développent des conflits religieux, en Afghanistan où nos soldats ont dû aller se battre pour empêcher les excès de la charria, en Chine, au Cachemire, au Pakistan, en Iran, en Irak, au Liban, aujourd’hui en Syrie et j’en passe…, partout où on traite les femmes comme du bétail, partout où on pratique la lapidation pour la femme adultère, je suis obligé de constater que derrière chaque cercle rouge, l’Islam est là. Présent, à l’exclusion de toute autre religion, dont aucune ne trouve une place paisible à ses côtés.
Car l’Islam, n’en déplaise aux « islamophiles », en Arabe, signifie “soumission. Soumission de ses pratiquants au Livre sacré qu’est le Coran. Mais aussi soumission par le glaive, remplacé aujourd’hui par la Kalachnikov, ou par le couteau qui égorge, pour le mécréant.
Car l’Islam ne nous donne nulle part, là où il prospère, le sentiment d’être une religion de tolérance.
En outre, en ces temps de polémique sur la valeur respective des « civilisations », je nie que l’islam,-cette religion qui est à la source d’une grande civilisation -, ait quoi que ce soit de compatible avec la civilisation européenne et encore moins avec la civilisation française.
Il lui est en tous points étranger. Par son caractère, ses croyances, ses rites, ses observances, ses moeurs. Certes, il s’accommode de nos rites et de nos moeurs, tant qu’il se sent en position de faiblesse, parce que minoritaire.
Mais aussitôt que sa généreuse natalité lui permet de donner de la voix, il revendique de « nouveaux accommodements », qui nous contraignent à renoncer à des usages qui nous viennent du fond des âges, pour nous imposer les siens.
Ce que j’écris là vous paraît excessif ??? Et pourtant. Je ne suis pas seul à m’inquiéter des « avancées sournoises » de l’Islam dans notre pays. Regardez ces vidéos, et écoutez ces propos, qui ne sont pas prononcés par un « agité de l’extrême droite »…..
http://www.dailymotion.com/swf/xc9z7l
http://www.youtube.com/watch?v=t4xYVQDcO1s&feature=player_embedded#!
Et je mets au défi quiconque voudra me démontrer que l’islam ait apporté au patrimoine de la France un enrichissement qui élève son niveau de culture.
Bien au contraire. Car le type d’immigration que nous laissons entrer en France, a plutôt tendance à « tirer la France vers le bas »….
Aucun chef-d’oeuvre littéraire, musical, architectural, pictural ou sculptural. Rien.
On attend toujours l’écrivain de génie qui écrira “Le génie de l’islam” pour répondre au « Génie du Christianisme ».
On attend encore un Debussy, un Francis Poulenc, un Berlioz musulman, et aussi loin que notre mémoire puisse remonter, aucun Chateaubriant, aucun Victor Hugo, aucun Lamartine, aucun Zola, ni aucun Levi-Strauss n’a laissé sa trace dans notre histoire littéraire.
Je nie, en conséquence, que l’islam appartienne au patrimoine de la France. Il n’a rien laissé, rien créé, rien fait pour la France. Et il n’est pas un rivage de notre méditerranée qui ne se souvienne des incursions, des razzias, des enlèvements des pillages aux quels les musulmans se livraient encore jusqu’au 17ème siècle.
Et je n’ai pas oublié que sur les bancs de l’école j’ai dû apprendre par coeur qu’en l’an 732, Charles Martel dut se battre pour arrêter l’invasion arabe à Poitiers.
Aucune oeuvre d’art musulman dans notre patrimoine, on l’a vu. Ni aucune oeuvre de charité non plus. Pas un hôpital, pas un hospice, pas un orphelinat, pas une association caritative qui ait été fondé par un musulman, en France.
Et pour cause…La Zakkat ( la Charité) qui serait, nous dit-on, l’un des quatre piliers de l’Islam, ne s’est jamais manifestée, venant d’un pays musulman dans les périodes catastrophiques de notre Histoire, pas plus qu’elle ne se manifeste aujourd’hui encore entre « pays frères », à l’occasion des grandes misères que traversent le Soudan, ou la Somalie….
Où est l’imam dont la personnalité et l’oeuvre pourraient se comparer à celles de saint Vincent de Paul ? et quelle fatwa a jamais fait pour les pauvres, les malades, les vieillards ou les enfants de France le millième de ce que font depuis des siècles les religieuses hospitalières, soignantes ou enseignantes au Moyen Orient ?
Je nie également l’influence de l’islam sur notre histoire intime. Pas un dicton, pas une coutume, pas un mot, pas un geste, qui l’exprime, dans le comportement des Français, dans leur imaginaire, dans leurs souvenirs, dans les chansons, les comptines, les fables de leur enfance.
Aucune oeuvre de progrès, enfin.
On nous rebat les oreilles avec l’apport de l’islam en matière de mathématiques, de géométrie, d’algèbre, d’astronomie, de médecine, de philosophie. Ils n’ont été que « les passeurs » de quelques uns de ces savoirs qu’ils ont emprunté à d’autres civilisations, à la civilisation grecque et aux Perses.
Où sont, dans l’histoire de l’Humanité, les savants, les penseurs, les philosophes musulmans dont les traces seraient comparables à celles de Pasteur, des Curie, de Pascal, de Descartes, de Bergson, et j’en passe.
La vérité c’est que l’islam n’a rien à faire chez nous parce qu’il n’a jamais rien fait chez nous.
La déclaration de ce « faux-cul » de Chirac selon qui « les racines de l’Europe (donc de la France) sont aussi musulmane que chrétiennes » est un propos stupide, qui oublie que l’esprit de soumission est à l’opposé même du génie français.
Parce que la notion de patrie est contraire à l’Ouma, cette loi islamique qui nie la nation, comme la charria nie les Lois de la République.
Les politiciens renégats qui oeuvrent à asservir la France au totalitarisme islamique porteront un lourd fardeau de responsabilité vis à vis des générations futures.
Et les « islamophiles » doivent savoir que longtemps encore, des « islamorésistants » se dresseront pour empêcher la France de sombrer, comme sont en train de le faire, certains pays européens, comme la Belgique, où l’Etat a déjà renoncé à sa souveraineté au profit des fondamentalistes jusque dans ses Universités.
L’exemple ci-dessous, est significatif. Il émane d’un grand quotidien belge que l’on peut difficilement suspecter de manipuler l’information. Et que l’on ne nous enfume pas en considérant que ces « musulmans » souhaitaient s’opposer à une « manifestation d’extrême droite » .
Ce serait un comble !!!!
Et que les « sous-chiens » le sachent !!! En Espagne, ils ont déjà commencé, en éliminant les chiens ….
Sans doute parce que les chiens les dérangent. Car les chiens aboient lorsque la caravane passe, et ils donnent l’alerte,…..
Mais attention aux sous-chiens, ils finiront par sortir de la niche et par mordre……