La France coupée en deux.


Lorsque j’étais enfant, la France, vue de l’autre rive de la Méditerranée, était, pour moi, coupée en deux. Il y avait la France du Nord de la Loire, et celle du Sud de la Loire.

Au Nord, régnait la grisaille et la pluie, les gens étaient distants et froids, mais ils étaient sérieux, travailleurs, fidèles en amitié à condition d’avoir su conquérir cette amitié en se montrant modeste et plutôt effacé.

Au Sud, c’était le soleil, la lumière, la joie de vivre, la chaleur humaine, un goût modéré pour le travail, une superficialité aggravée d’une inconstance qui rendait les amitiés peu fiables, mais la douceur du climat compensait largement les déceptions éventuelles.

Bien entendu, lorsque, n’ayant pas le choix, j’ai dû venir habiter ce pays, j’ai été contraint par les circonstances, de réviser les fausses idées que j’avais reçues.

Les vicissitudes de la vie professionnelle m’ayant conduit à vivre des deux côtés de la Loire, j’ai pu vérifier ce que le folklorique Enrico Macias proclamait avec conviction dans un de ses « tubes », à savoir que « les gens du Nord ont dans le coeur, le soleil qu’ils n’ont pas dehors ».

J’ai pu constater également qu’il y avait au Sud de la Loire, des gens astucieux, imaginatifs, capables de concilier le travail et la convivialité.

Tout cela est caricatural, bien évidemment.

Tout comme me semble caricaturale l’image de la France sous Sarkozy, qui se dessine à mes yeux, à travers la lecture quotidienne de la Presse.

Ainsi, il y aurait aujourd’hui deux France.

Tout d’abord, celle qui « fleure bon » : tolérante sans modération, généreuse sans limite, accueillante, même vis-à-vis de ceux qui, puérils, n’hésitent pas à cracher dans la soupe qu’elle leur sert et qu’ils n’ont plus chez eux, capable de mansuétude à l’égard de ceux qui se comportent comme des prédateurs et des voyous et dont la « misère » n’explique pas tout.Angélique, … QUOI !!!

Cette France là est insensible aux provocations, aux insultes, aux agressions. Elle est prête, à renier quelques-unes de ses valeurs les plus chèrement acquises par les générations passées, pour apaiser et ne pas froisser la susceptibilité de ceux qui sont venus chercher chez elle, la protection et la liberté que leur procurent les Lois de la République.

Elle s’attendrit devant les écrans de télévision devant les efforts désespérés des peuplades les plus primitives qui luttent pour préserver ce qui reste de leurs traditions séculaires contre les intrus qui viennent couper des arbres sur leur territoire, et manifeste sa compassion à l’égard des peuples qui ne veulent rien changer à leurs coutumes religieuses et qui luttent contre les agressions de la modernité, mais elle rougit de honte lorsqu’un compatriote se démène pour éviter de subir des moeurs et des coutumes contraires à l’éducation qu’il a reçue.

Jacques Faizant avait, il y a déjà quelques années, ironisé dans ses dessins sur cette nouvelle forme de « progressisme ».


Et puis, il y aurait l’autre France, la France « rance » et « nauséabonde » : celle qui veut bien se montrer accueillante, à condition que l’on soit, chez elle, respectueux d’un minimum de « savoir-vivre », et surtout respectueux de ses Lois. A condition que l’on ne siffle pas stupidement son hymne national, que l’on ne manifeste pas sa joie en brûlant son drapeau, ou en organisant, à dates fixes de vrais festivals de voitures brûlées, ou en manifestant son « mal-vivre » en brûlant des écoles maternelles ou des bibliothèques.

Cette France » nauséabonde » ne supporte pas qu’au nom de la laïcité, on lui impose des comportements, des coutumes, des accoutrements vestimentaires incongrus, des attitudes de provocation qui dénotent un refus de respecter des codes qui font partie intégrante de l’éducation transmise par les générations passées.

Ce qui est le plus grave et le plus préoccupant, c’est que la France qui « fleure bon », ne supporte plus – oserai-je dire ne peut plus « sentir » – la France « nauséabonde », surtout depuis que celle-ci a décidé de ne plus souffrir en silence et d’exprimer son irritation, heurtant ainsi les convictions de l’autre France, celle qui considère qu’il est « honteux » et »stigmatisant » d’aborder des sujets devenus « tabous ».

Ce qui est le plus grave encore, c’est que « la France qui sent bon » refuse désormais de débattre avec celle qui « sent mauvais », même en se pinçant le nez. Et bien pire, si elle s’adresse à elle, malgré l’odeur, c’est sous forme d’invectives, d’insultes et de mépris.

Et c’est cette même France « parfumée » qui , à longueur de discours, se gargarise d’un prêchi-prêcha aux accents  sentencieux,  sur la « Fraternité »….

En écoutant le discours des représentants du bon peuple de France, qu’ils soient de Gauche ou de Droite, on se demande s’il en est un qui sera, un jour, capable de recoller les deux morceaux du pays.

16 réflexions au sujet de « La France coupée en deux. »

  1. C’est précisément ce que je dis. Je ne suis pas en mesure de juger les décisions des juges aux quels, dans un état de droit, comme vous dites on doit faire confiance même si on peut avoir quelques fois des doutes sur leur neutralité politique. Ceci dit, cela n’exclut pas qu’un citoyen ordinaire puisse avoir des réactions de bon sens……
    Et le bon sens c’est de se demander si n’importe qui, venant de n’importe où, sans passeport ni visa, peut obtenir un titre de séjour en France, en débarquant simplement, la nuit, sur une plage déserte.
    J’ai cité les pays arabes parce que j’ai pu expérimenter, chez l’un d’entre eux, le sens de l’acueil et les méthodes de police, alors que je disposais d’un passeport en règle et d’un visa en plus d’un ordre de mission émanant d’un Ministre du même pays où je venais travailler au titre d’une mission officielle.
    Mais ce que je dis est vrai pour n’importe quel Etat: essayez d’aborder les côtes d’un pays, sans avoir les papiers et les autorisations nécessaires, même comme simple touriste, à bord d’un voilier qui s’est trompé de route, par exemple…..

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  2. Et pourquoi donc vous ramenez toujours tout aux Pays Arabes ???? une véritable obsession pour vous !
    Et ceci, est-ce normal:

    Un Français installé au Canada expulsé par les autorités canadiennes à la demande de l’immigration américaine

    Installé à Vancouver avec des papiers en bonne et due forme, Guillaume Carabin, un jeune concepteur graphiste, a passé trois jours en prison avant Noël pour découvrir à sa sortie qu’il serait renvoyé en France par les autorités canadiennes. À l’origine de cette étrange affaire, le film protégeant la photo sur son passeport français, qui était légèrement décollée.

    Maintenant, la question de fond que vous semblez vouloir poser, c’est

    VIVONS NOUS DANS UN ETAT DE DROIT OU PAS ????

    Si oui, il n’y a pas a discuter la décisions de juges qui se sont prononcés de la même façon, au même moment et dans des tribunaux différents, fort éloignés les uns des autres.

    jf.

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  3. Je ne suis pas assez compétent pour juger la décision des Juges.
    Mais sur le plan du bon sens, j’ai une opinion, probablement partagée par beaucoup de Français .
    Il suffit donc d’aborder, on ne sait trop comment, les côtes d’un pays, pour immédiatement bénéficier de droits et de protections que j’estime exorbitantes???
    Essayez d’aborder les côtes d’un pays Arabe , juste pour voir comment vous serez accueilli.
    Il suffit de voir le regard suspicieux des Policiers des Frontières et des Douaniers, lorsque vous entrez dans un de ces pays, avec un passeport en règle, un visa touristique en bonne et dûe forme. Il suffit d’avoir été extrait, au moins une fois dans sa vie, de la file des touristes qui attendent leur tour, sans raison, pour être introduit dans une salle où vous avez droit à une fouille en règle, sans aucune explication,et sans ménagement, pour imaginer ce que serait votre situation si vous n’étiez pas en règle.

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  4. Corse: les juges libèrent plusieurs dizaines de migrants

    il y a 1 heure 24 min
    Le Figaro

    Le préfet de Corse désavoué. La justice a décidé dimanche la libération d’au moins une vingtaine de clandestins, sur les 123 découverts vendredi sur une plage corse , qui avaient déposé des recours contre les arrêtés d’expulsion pris à leur encontre par le préfet de Corse. Ces arrêtés avaient ouvert la voie à leur placement en centre de rétention administrative (CRA).

    A Nîmes, le juge des libertés et de la détention (JLD) a prononcé 12 remises en liberté, tandis que son homologue de Rennes prenait une décision identique pour 11 migrants. Dans les deux cas, les juges ont estimé que leur privation de liberté s’était faite hors de tout cadre juridique «puisqu’ils n’étaient pas placés en garde à vue». Le juge de Nîmes a pointé l’absence de pièces de procédure justifiant une reconduite à la frontière, soulignant que celle-ci contrevenait aux conventions internationales sur les droits des réfugiés.

    jf.

    PS : A noter que le Juge des Libertés est appelé à disparaître en même temps que le Juge d’Instruction……

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  5. – Je ne sais pas si Guillon est de gauche.
    – Je n’écoute pas Guillon.

    – Fidèle lecteur du Canard Enchaîné depuis au moins trente ans, je ne sais pas si le Canard est de gauche.
    – Fidèle lecteur du Canard…. j’aimerais connaître de quelles « provocations » cet hebdomadaire aurait pu se rendre coupable.

    §§§§ Si j’ai écrit « trop de provocation tue la provocation » c’était juste en réponse à votre confession: « Alors il est vrai que dans mes billets, il y a souvent une part de provocation ».
    Je suis d’ailleurs sûr et certain que vous l’aviez bien compris mais que vous avez tenté une diversion en forme, d’ailleurs, de procès d’intention.

    jf.

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  6. Je ne suis pas convaincu que la Gauche revenant au pouvoir ferait beaucoup mieux.Les expériences passées montrent que, par démagogie, la Gauche se préoccupe plus de la « délinquance en cols blancs » que de la vraie délinquance, celle qui vole ou qui tue…….
    Le problème de l’insécurité dû à un apport de populations venues de pays où les pauvres ne survivent que par la rapine, le vol à la tire, l’escroquerie, l’arnaque ou le trafic, n’est pas propre à la France.J’ai beaucoup énervé dans un passé récent quelques lecteurs ainsi que les « modérateurs » du Monde en publiant une série d’articles s’appuyant sur des informations extraites de la presse internationale ( qu’on ne trouve pas reprises dans « Courrier International » qui dans ce domaine est très sélectif dans le choix des articles qu’il reproduit ) qui montraient que le raz-le bol atteignait des niveaux comparables à celui qui se manifeste, malgré les « tabous », en France.
    J’ajoute que parmi ces pays, notamment en Europe du Nord, beaucoup sont dirigés par des Gouvernements de Gauche.
    Qu’il soit nécessaire de modifier le régime de la garde à vue en France, je n’en disconviens pas. Je n’ai pas d’opinion tranchée sur ce qu’il faudrait faire: nous avons suffisamment de bons juristes pour apporter une réponse conciliant l’efficacité des enquêtes et un respect des valeurs.
    Mais le problème est bien plus profond que cela.S’il suffisait de modifier le système de la garde à vue pour rétablir l’ordre et la sécurité, cela se saurait!!!!
    Je reviens sur l’une de vos remarques , dans votre précédent commentaire, que j’ai laissé passer: si » la provocation tue la provocation », le Canard Enchainé est menacé de mort et Stéphane Guillon ne fera pas de vieux os….Ce que vous avez voulu exprimer, c’est sans doute ce qui sommeille au fond de votre pensée, à savoir que la provocation de Droite est insupportable. Et que par définition, la provocation fait partie de la « propriété privée » des humoristes de Gauche ??????

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  7. Vous avez effectivement raison de souligner notre « Etat policier au bord de la dictature ».

    Car l’INSECURITE , c’est également le fait qu’aujourd’hui, juste en sortant de chez soi, on risque de ne pas y revenir de sitôt. Au coin de la rue on peut se retrouver en garde à vue pour avoir traversé au mauvais moment, oublié les papiers de son véhicule en allant chercher son gosse à l’école etc….

    PREMIÈRES NUITS AU POSTE
    Article paru dans l’édition du 17.01.10
    DIX CITOYENS RACONTENT LEUR GARDE À VUE, SUR RADIO NOVA. INQUIÉTANT VOIRE AHURISSANT.

    Personne n’est à l’abri. Griller un feu rouge pour piéton, participer à une manifestation citoyenne pour le droit au logement, militer au sein d’une association de barbouilleurs de panneaux publicitaires : autant de situations a priori anodines qui peuvent conduire un homme ou une femme en garde à vue. C’est l’ahurissante et traumatisante expérience qu’ont vécue les dix personnes rencontrées par le réalisateur Joseph Beauregard pour sa série de microdocumentaires « Ma première nuit en garde à vue », diffusée sur Radio Nova pendant deux semaines. Dix exemples concrets, alarmants et parfois bouleversants qui témoignent de l’absurdité et des dérives de la « politique du chiffre » imposée aux policiers par le ministère de l’intérieur et le président de la République.

    MENOTTES, HUMILIATIONS…

    En à peine trois minutes, chaque témoin raconte les raisons (ou les prétextes) qui ont motivé son interpellation, puis le déroulement de sa garde à vue au commissariat. Le tout est rythmé par une Marseillaise titubante. « J’ai demandé à un ami de me faire une Marseillaise dégénérée, qui sonne faux. Il s’agit de montrer que la République tourne mal et d’introduire un peu de recul, de décalage. Car ce que l’on entend est dur… », explique le réalisateur.

    En écoutant le témoignage de Jean-François, on est effectivement pris par une forme de malaise. Le 20 août 2008, cet homme âgé de 59 ans a traversé un passage piéton alors que le « bonhomme » du feu de signalisation était rouge. Quelques heures après cet écart au code de la route, des agents de police sont venus le chercher chez lui, pour l’emmener au commissariat, en pyjama. Un interrogatoire menotté, beaucoup d’humiliations et une nuit en garde à vue plus tard, Jean-François a finalement été relâché. « Lorsque je suis rentré chez moi, j’étais bousculé, j’avais perdu tous mes repères », raconte l’homme vraisemblablement marqué, dont la voix rappelle celle du comédien Michael Lonsdale.

    « Depuis mon premier film, Les Avocats du salopard (2006), les questions de l’arbitraire et de la dignité humaine me préoccupent. Ici, ce sont autant les motifs que les conditions de garde à vue qui me heurtent. La police est l’incarnation de l’Etat républicain. Or, lorsque j’entends ces expériences, je ne pense que ce soit ça, le maintien de l’ordre dans une République. Les policiers que j’ai rencontrés ne le pensent pas non plus… », ajoute Joseph Beauregard, avant de conclure : « Ce que je souhaite plus que tout, c’est une réforme de la garde à vue. »

    En 2008, près de 600 000 personnes en France ont été placées en garde à vue (1 % de la population de plus de 15 ans !), soit une augmentation de plus de 55 % en huit ans. Des chiffres effarants, que pointe Patrick Klugman dans Le Livre noir de la garde à vue, parfait manuel de savoir-vivre en commissariat (Nova Editions), publié parallèlement à la collection sonore de Joseph Beauregard.
    Hél. D.

    Je vous rappelle également ceci:

    Il y a des exceptions dont la France pourrait – et devrait – se dispenser. Il en est ainsi de la garde à vue. Selon une étude de législation comparée réalisée par le Sénat – elle porte sur six pays européens : Allemagne, Grande-Bretagne, Belgique, Danemark, Espagne, Italie -, la France se singularise par un régime de garde à vue qui ne se limite pas aux présomptions d’infractions graves et qui, pour ce qui est de la présence d’un avocat, est peu respectueux des droits des prévenus.

    Vous avez donc bien raison, finalement, de séjourner en France le moins possible….

    Bon dimanche,

    jf.

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  8. C’est bien ce qui est le plus inquiétant. Si même un « Etat policier au bord de la dictature » ne parvient pas à réduire l’insécurité, à lutter efficacement contre le banditisme, à neutraliser les voyous, que reste-t-il ??? La guerre civile, chaque citoyen assurant sa propre sécurité ??? Car je ne crois pas à la solution des policiers qui maintiennent l’ordre en jouant au foot dans les « quartiers », et qui calment les voyous en les amenant à la plage. Et je ne suis pas le seul !!!!

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  9. Il est sûr, qu’aujourd’hui, le « sentiment » d’insécurité n’existe plus.
    L’insécurité REGNE.
    Y compris dans les établissements scolaires, alors même que je me souviens d’une véritable bronca de la Droite contre M. Vaillant, à l’Assemblée Nationale, alors Ministre de l’Intérieur.
    Je me souviens également d’une promesse de karcher….

    On vient même de voir l’actuel Ministre de l’Intérieur ramer lamentablement pour se « glorifier » d’une baisse de…1% dans ses statistiques qui s’avèrent fausses de l’avis même de son grand copain BAUER, qui en est lui, à proposer une modification du calcul des stats en question…..

    Les attaques de fourgons blindés se multiplient à nouveau. Il n’y a jamais eu autant de fusillades en pleine rue, et pas seulement dans les grandes villes, etc, etc…
    Beau bilan des champions de la…sécurité.

    Et paix à l’âme d’Alain Peyrefitte, l’inventeur du sentiment d’insécurité !

    Je terminerais en vous disant: trop de provocation tue la …provocation, !

    jf.

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  10. Sous-chiens ou souchiens, dans l’esprit de ceux qui inventé ce terme, c’est du « pareil au même ». Ce n’est pas une question d’orthographe. Ce sont les arrières pensées qui sont masquées derrière ce terme qui comptent…..
    Quand à l’origine de l’expression de « sentiment d’insécurité », à supposer qu’elle ne soit pas à Gauche, cela ne change pas grand chose non plus. On peut avoir la mémoire courte, mais il est difficile d’oublier les multiples propos sur l’insécurité tenus à Gauche pendant la période Jospin, propos qui voulaient démontrer que ce problème était exagérément grossi par la Droite coupable d’emboîter le pas au Front National…..Depuis, les choses ont beaucoup évolué et le discours de certains membres éminents du Parti Socialiste n’a plus rien à envier au discours traditionnel de la Droite.
    Qui à l’époque aurait pu imaginer qu’un Communiste et non des moindres prendrait un jour la tête d’une croisade contre la burqa ???? Et accuserait son Parti d’avoir sombré dans « l’angélisme » ?????
    Alors il est vrai que dans mes billets, il y a souvent une part de provocation, destinée à susciter des réactions, dont les vôtres font partie. Mais c’est ma manière de mettre le doigt là où ça fait mal…..

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  11. Eh bien je suis ravi de ce statut spécial chez vous ( un peu en somme comme mon régime spécial de retraite….!!!).

    Mais, de temps en temps, j’aimerais bien que vous teniez compte de mes commentaires, puisque je vous attire des lecteurs. Ce ne serait que justice à mon endroit !

    Ainsi, vous devriez quand même arrêter d’écrire régulièrement « sous-chien », puisque grâce à moi et pas seulement moi ,vous savez très bien que c’est de votre part une interprétation fallacieuse de souchien.

    Egalement, vous devriez vous abstenir de commettre régulièrement cette erreur historique qui consiste pour vous, de manière totalement polémique et infondée, a attribuer à M. Jospin et/ou la gauche la notion de « sentiment d’insécurité »‘.

    Je sais bien que le comique de répétition, ça existe. Mais n’est pas forcément comique qui veut.
    Et vous devriez quand même vous méfier. La répétition outrancière finit par lasser même les publics les plus conquis.

    jf.

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  12. Normal. Vous avez un statut spécial : vous êtes mon contradicteur préféré. Celui qui trouve toujours quelque chose à dire sur mes billets, et qui attire toutes sortes de lecteurs sur mon blog, car il y a des gens qui sont curieux de savoir ce que vous allez bien pouvoir trouver à redire sur ce que j’ai exprimé, et ceux qui sont curieux et amusés de savoir ce que je vais bien pouvoir vous répondre.
    C’est pourquoi vous êtes le seul dont je ne place pas systématiquement les commentaires « à la corbeille », sauf quand vous déconnez complètement !!!!
    Le nombre des commentaires sur mon blog n’est pas significatif, car je les élimine automatiquement, surtout lorsqu’ils détournent mes propos pour alimenter des débats qui n’ont plus rien à voir avec mon sujet.

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  13. « S’il n’en reste qu’un, je serai celui-là » !!!
    De plus, les commentaires quels qu’ils soient ne m’intéressent pas. Ce qui compte pour moi, c’est le nombre de consultations de mon blog.
    J’ajoute qu’il y a deux catégories de lecteurs: ceux qui sont d’accord avec moi et n’éprouvent pas le besoin « d’en rajouter ». Et les autres, qui trouvent que mes propos sont « nauséabonds », et ne veulent pes en débattre.

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  14. Pratiquement six jours que ce billet a été publié et…aucun commentaire.
    On est amené à penser que la France, si elle coupée en deux, c’est vous d’un coté et le reste de la France de l’autre…..

    jf.

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