Le désespoir n’a pas d’âge…..
Comme prévu, le Hamas essaie de sauver la face et de marteler à la face du monde, qu’il est le grand vainqueur de cette guerre pour rien.
Cette posture coutumière aux organisations terroristes du monde musulman n’est finalement pas totalement vide de sens.
En effet, gagner la guerre sur le terrain est une chose. La gagner sur le terrain de la diplomatie en est une autre. Une victoire militaire ne s’identifie pas forcément à une victoire morale. Et après l’épreuve du feu, Israel doit maintenant se préparer à l’épreuve des tirs croisés des « grandes consciences internationales », pour lesquelles il est plus facile de condamner que de favoriser la solution d’un probléme d’une extraordinaire complexité.
En effet, la diffusion des images de cette guerre a traumatisé les sensibilités des opinions mondiales, ce que le Hamas ne va pas manquer de tenter d’exploiter. Les images d’enfants innocents enterrés vivants sous les décombres des bombardements, ou déchiquetés dans les écoles, par des explosions aveugles vont rester longtemps gravées dans la mémoire du monde.
Mais les images de ces enfants palestiniens, éduqués dans la haine, et préparés dès leur plus jeune âge, au sacrifice suprême par des illuminés qui prétendent agir au nom d’un Dieu dont ils trahissent l’image, alors qu’ils ne sont que des marionnettes dont les fils sont tirés ailleurs, ne doivent pas non plus sombrer dans l’oubli…….
Si le bombardement d’enfants innocents peut être considéré comme crime de guerre, il devrait en être de même pour le conditionnement d’autres enfants que l’on prépare à tuer ou à mourir.