La Porsche noire, le play-boy et la burqa, par Tahar Ben Jelloun. LE MONDE | 26.09.09 | 13h46 • Mis à jour le 26.09.09 | 13h46.
Première phrase de cet article:
« Le choc des civilisations se remarque parfois dans des situations ridicules, des comportements stupides provoqués par l’arrogance et l’ignorance. »
Moi qui croyais ( naivement ???) que l’idée d’un « Choc des Civilisations » attribuée à l’américain Huttington, était une idée absurde, et autogénératrice de graves conflits planétaires…!!!
Mais Tahar Ben Jelloun est un auteur marocain talentueux et lucide. Son regard sur notre société occidentale, mais aussi sur la société marocaine est sans concession.
Lisez cet article s’il vous a échappé:
Il est révélateur de ce qu’une immigration « non choisie », provoque, sur les deux rives de la méditerranée,comme situations absurdes.
Cela démontre qu’il doit encore progresser dans sa modernité et sa vision du monde mais ne réduit en rien son témoignage et analyse.
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Bien entendu que le talent littéraire de Tahar Ben Jelloun n’est pas en cause quand il écrit ….des livres !
Quant à ses articles par çi par là, au gré des circonstances, c’est peut être une autre affaire.
Un peu comme pour un Suisse, Tariq Ramadan……(dont je n’ai jamais dit que j’étais tombé sous son charme! Car ce serait totalement faux)
jf.
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@Rifeno:
Apparement, Tahar Ben Jelloun n’a pas que des amis, parmi les Marocains !!!
J’ignorais tout de cette sombre histoire, mais à mes yeux , elle ne diminue en rien le talent littéraire de ce écrivain que j’apprécie.
La littérature française foisonne d’excellents écrivains dont la vie ne fut pas « un long fleuve tranquile »….
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Comment peut-on croire qu’un type comme Tahar bnJelloun qui a maltraité et exploité la jeune Fatma S., son ex-bonne qu’il a fait venir spécialement du Maroc pour le servir en France, puisse avoir un gramme de respect pour la femme ?!
Voici un concentré sur cette honteuse affaire :
Stephen Smith, journaliste à Libération (France), répond à Tahar Benjelloun
LA VÉRITÉ SANS PLUS
Suite à l’interview que nous a accordée Tahar Benjelloun, au sujet de son ancienne bonne, Fatna S. (MHI N°431), nous avons reçu la mise au point suivante de notre confrère de Libération, Stephen Smith, cité par l’écrivain marocain.
Stephen Smith
http://www.maroc-hebdo.press.ma/MHinternet/Archives_432/html_432/verite.html
Dans l’interview qu’il vous a accordée, Tahar Ben Jelloun identifie bien l’objet de la controverse le concernant en affirmant qu’elle porte sur la « rupture entre les valeurs qu’il défend et sa vie ». Aussi n’ y aurait-il rien à ajouter s’il se limitait à expliquer son point de vue dans le respect des faits. Or, ce n’est pas le cas. Qu’il me soit donc permis de relever les points suivants:
– L’écrivain dit qu’il « n’y a pas d’affaire de bonne », ni juridique ni morale. Pour preuve, il cite le Comité contre l’esclavage moderne qui constate que le cas de Fatna S. ne relève pas de sa compétence. Cela, on pouvait déjà le lire dans Libération. En revanche, Tahar Ben Jelloun a-t-il employé, et exploité, une main d’œuvre illégale? La réponse, au regard du droit et de la morale, est affirmative. Pour commencer, il a fait venir Fatna S. en France avec un visa de complaisance, ne donnant droit qu’à un séjour touristique. Ensuite, « l’essai » a duré quatre mois, selon sa version, neuf mois si l’on compte tout le temps que la femme est restée sous son toit (sans rien faire ?). Que l’écrivain garde chez lui quelqu’un qui « maltraite » ses enfants, dont l’un trisomique, paraît extravagant. Mais surtout, comment peut-il dire qu’il la payait « normalement »? De son propre aveu, il versait 2.000 dirhams par mois à sa famille au Maroc et lui donnait « de l’argent de poche ».
Affirmation
Faut-il apprendre au défenseur des immigrés en France que même une fille au pair, qui vient en France pour apprendre la langue, a besoin d’une carte de séjour et gagne, outre les frais de sécurité sociale (840 francs, 1120 dirhams) pris en charge par la famille d’accueil, 1.800 francs par mois, soit 2.400 dirhams? Peut-être le salaire de Fatna, et ses conditions de travail, seraient-ils « normaux » au Maroc, mais ils ne le sont pas en France.
Tahar Ben Jelloun affirme, sans pour autant démentir les citations qui lui sont attribuées dans Libération, que j’aurais fait sciemment l’amalgame entre un fait d’ordre privé et un projet littéraire, donc entre l’affaire de Fatna et son livre à paraître sur Tazmamart. Interrogé sur une éventuelle pression du « palais » au sujet de cette publication, il ajoute que j’aurais « tout fait pour [lui] faire dire une telle ignominie ». Par quel moyen ?
Comment ai-je pu retourner la langue dans la bouche de l’écrivain ? N’est-ce pas plutôt qu’à la lecture de l’article dans Libération, Tahar Ben Jelloun s’est finalement rendu compte à quel point était infondée sa » paranoïa » à l’égard des autorités marocaines ? Je ne le sais pas. En revanche, je sais que l’écrivain a bien lui-même, et avec insistance, établi le lien entre ses déboires domestiques étalés sur la place publique et son projet de livre.
De même qu’il a affirmé, comme rapporté dans Libération, que Hassan Aourid » lui avait simplement demandé s’il pouvait reporter la parution de son roman, sans insister ». Enfin, que Fouad Ali El Himma l’avait ensuite appelé au téléphone pour lui dire, d’ailleurs plutôt ironiquement: « On est même prêt à vous aider à le publier au Maroc ».
Comment fais-je pour en être certain ? Je tiens à la disposition de Tahar Ben Jelloun l’enregistrement de notre conversation téléphonique, pendant qu’il séjournait à Venise en tant que membre du jury de la Mostra.
Le débat est libre, mais les faits sont sacrés. Aussi pour un écrivain.
http://www.maroc-hebdo.press.ma/MHinternet/Archives_432/html_432/verite.html
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En effet, ce n’est pas le Maroc qui est égratigné dans cet article, mais bien une certaine catégorie d’immigrés trafiquants, voyous,déliquants en puissance, mais qui se donne le gant d’être respectueuse du Coran qu’ils interprètent à leur guise.
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Plus sérieusement comme le dit notre cher président mais certains vont justement me dire qu’alors ce n’est pas sérieux, à force de vouloir expliquer l’inexplicable on excuse l’inexcusable enfin quelque chose comme cela.
Cela existe bien et la bêtise n’est pas le privilège de l’occident et existe partout même chez certains musulmans.Cela se passe au Maroc, le Maroc n’est pas visé, mais la même scène est possible aux E A U ou dans d’autres pays du golf, ou partout ailleurs dans le monde.
Oui il provoque avec sa vérité.
Amalgames où cela?
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Ben Jelloun est Français et Marocain, car la nationalité marocaine ne se perd jamais.
Je n’ai pas regardé la 2 ce soir là.
Ceci dit, Tariq Ramadan est un redoutable débateur. Il a la flexibilité des orientaux, et souvent ses discours sont « à double entrée ». Vous ne seriez pas le premier à succomber à son « charme »…
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Bonsoir, moi j’aime bien la blonde
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Une vraie controverse entre vrais et faux marocains. C’est une pièce intéressante dans le débat.
J’imagine que le contradicteur de Tahar Ben Jelloun est un riffain qui n’a pas apprécié qu’un faux marocain (selon lui, car les Maghrebins nés pendant la période « coloniale » ont tous plus ou moins, la double nationalité), se gausse d’un autre marocain apportant de l’eau au moulin de tous ceux,- ils sont nombreux -, qui pensent que beaucoup de riffains vivent et propspèrent grâce au trafic de la drogue….
Ceci dit, il y a dans le propos de ce contradicteur, une bonne part d’élucubrations. Il se perd dans des considérations qui n’amenuisent en rien le côté savoureux du texte de Ben Jelloun.
Je dirais même que le caractère fantaisiste de certaines considérations évoquées pour faire passer Ben Jelloun pour un cuistre affaiblissent énormément la portée de la critique.
J’imagine que ce qui n’a pas plu à ce contempteur de l’écrivain, c’est le passage suivant:
« La femme séquestrée dans ce linceul noir hoche la tête. Elle ne prononce aucun mot. Sans que je lui parle, il me dit : « Je me suis marié, et je repars avec elle, mais problème papiers, ils veulent photo identité visage découvert, ils sont fous, enfin Allah est grand ! » Il passe plusieurs fois la main sur l’aile de la voiture comme s’il caressait la jambe d’une jeune fille nue. A son accent, je constate qu’il est du Rif, pays où l’on cultive du kif, avec lequel on fait le haschisch. Argent facile. Il conduit un engin comme s’il était prêt à s’embarquer pour la Lune et traite sa femme ou celle supposée être sa femme comme une esclave, une chose, un paquet enveloppé dans un service funéraire. Evidemment, il téléphone avec son portable et parle en néerlandais. Il vient de Rotterdam, car la voiture y est immatriculée. La chose le suivra dans son pays d’immigration, ou bien chargera-t-il ses parents de lui livrer le paquet par la poste ?
En repartant, il s’arrange pour que nous recevions un nuage de poussière. La chose noire n’est plus visible. Je n’ai pas eu envie de lui parler. Cela n’aurait servi à rien. Il doit avoir peur des femmes. C’est un problème d’ordre intime et relève de la psychiatrie. Il a peur qu’on lui prenne sa femme, qu’on la viole avec le regard, qu’on la désire en rêve. Alors qu’il la garde en attendant que la pauvre se réveille un jour et prenne sa revanche. C’est déjà arrivé. »
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J’ai éhgalement trouvé ceci sur un autre blog….:
27 septembre 2009
Une réponse à Tahar Benjelloun par Citoyen sur Causeuse(avec votre permission)
Le pseudo-écrivain habillé souvent vulgairement dans des couleurs fluos tel le violet, le rose et l’orange exactement comme un clown de service dans un sex-shop, académicien du troc littéraire fait de bric-à-brac et de rien du tout, Goncouresque ou iste comme il aime être nommé désormais ou plutôt grotesque comme il faut bien l’appeler et chouchou de la presse à la sauce parisienne sans goût, vient de commettre, comme à son habitude, un pamphlet bêtisier fait d’amalgames, de stéréotypes et de préjugés qui débordent d’arrogance et d’ignorance sur certaines communautés, intitulé : La Porsche noire, le play-boy et la burqa !
Voici quelqu’un qui écrit juste pour se faire remarquer et faire plaisir à ses maîtres qui se moquent des communautés auxquelles notre écrivain se considère supérieur et forcément ne pas appartenir officiellement ou officieusement, lui le must de l’intelligence fassie perdu dans cette jungle barbaresque aujourd’hui appelée le Maroc !
L’autre jour, je me suis abstenu de contribuer à la surenchère sur un minable griffonné plein d’erreurs et d’amalgames sur les égyptiens et l’histoire de la grippe porcine, rédigé comme d’habitude par ce pitoyable, par celui-là même qui exerce la fonction officielle d’écrivain-copieur-voleur-plagiaire et pasticheur médiocre sans être dénoncé par quiconque ! Il s’est fait une spécialité de Grand voleur de phrases et d’histoires qui appartiennent à ses compatriotes ! Grand voleur des grandes oeuvres littéraires de ce grand, vrai et noble écrivain, Mohamed Choukri justement d’origine rifaine qui n’est plus de ce monde pour répondre à ce lamentable qui pillent ses œuvres sans vergogne…
Voici le lien de son minable écrit :
http://www.lemonde.fr/opinions/article/2009/09/26/la-porsche-noire-le-play-boy-et-la-burqa-par-tahar-ben-jelloun_1245524_3232.html
Avez-vous déjà vu des gens qui roulent à vive allure, qui s’arrêtent soudainement ou subitement pour s’adresser à des inconnus au bord de la route comme sieur benJelloun et sa tribu et de surcroît en compagnie de leurs femmes voilées supposées loin des regards égarés, pour des affaires très privées ???!!!
Ya Tahar benJelloun, le sujet en ce moment dans les cafés et les souks du Royaume Alouite est la ridicule affaire DB7 de M6, où ton roi donc, accapare l’avion de l’armée marocaine pour transporter son Aston Martin DB7 à 2000 km pour la faire réparer aux frais de ses sujets contribuables !
Mais comme Tahar est connu pour avoir des ovaires à la place des couilles, il n’osera jamais pondre un papier qui dénonce les excès de son monarque au lieu de faire diversion et plaisir à ses maîtres avec un sujet à la mode des salons politiciens parisiens !
Moi aussi, j’étais l’autre jour témoin d’une scène similaire ! Voici mon récit, intitulé :
La Aston Martin DB7 grise métallisée, l’écrivain play-boy et le top-model fassie !
Ainsi, j’étais l’autre jour dans le nord du pays qui appartient désormais au Makhzen pourri dominé par une race qui se prénomme fassie et j’ai assisté à cette scène : une voiture décapotable blindée arrive à toute allure sur une route étroite et très sinueuse, une piste pleine de trous et de cailloux comme à l’accoutumé au pays des merveilles du Makhzen.
Une voiture de luxe, peut-être une Aston Martin DB7, conduite par une jeune femme, cheveux coiffés à la dernière mode, cigarette aux lèvres rouges vifs et téléphone cellulaire, un smartphone dernier modèle, dans une main. Une femme presque entièrement dévêtue, sinon habillée d’un voile transparent et sexy façon moulin rouge ou Crazy Horse, mains gantées de noir résille, et le visage maquillé à la provoc…Un mannequin, disons un vulgaire objet sexuel qui s’agite dans tous les sens et parle et gueule sans retenue sur son mec.
Une bagnole qui coûte cher, le prix d’une école ou d’un dispensaire, somme pillée dans les caisses de l’Etat ou les salaires cumulés sur plusieurs années volés à un millier d’employés par sa famille d’origine fassie.
La caisse s’arrête à notre niveau. La jeune femme est fière de son machin truc machine. Elle montre le pays à un homme assis à ses côtés, mais un homme triste, cigare au bec et visiblement séquestré dans ce costume croque-mort et lunettes noires sombres, sûrement des Ray-Ban; l’homme hoche la tête. Il ne prononce aucun mot. Sans que je lui parle, elle me dit : “Je me suis mariée, et je repars avec lui, mais problème papiers, ils veulent photo identité visage découvert, sans lunettes, ils sont fous, enfin Dieu Seigneur est grand !” [je ne sais pas en quelle langue, elle m’a adressé ces paroles ? A votre avis, en rifain originel ou en arabe dialectal marocain dit « darija » de préférence fassi, pour faire plaisir à notre fassi qui se prend pour un grand écrivain ?!
Cela me rappelle justement la fameuse oeuvre littéraire de l’écrivain justement Rifain Mohamed Choukri, LE PAIN NU, où est décrite dans un langage nu et brut, l’hypocrisie humaine à la marocaine.
La jeune femme donne une claque à son mari, sort de la Martin, allume une cigarette et dit en anglais ou en espagnol, franchement je ne me rappelle pas : « ” my country is beautiful”, “mi país es muy bonito!” ». Elle passe plusieurs fois la main sur l’aile de la voiture comme si elle caressait la queue d’un jeune homme nu.
A son accent et surtout à ses Rrrr roulés, je constate qu’il est originaire de Fès El Bali, médina où l’on pratique le tannage de père en fils avec lequel on fait toute sorte de maroquinerie et de babouches et où l’on pratique également le patronage à la maquerelle de mère en fille, décidément que des vieux métiers. Argent difficile mélangé à l’argent facile, dites-vous, font fortune.
Elle, la femme top model, conduit cet engin comme si elle était prête à s’envoyer en l’air en public ou en plein orgasme et traite son mari ou celui supposé être son mec comme un esclave d’une sadique sexuelle, un objet enveloppé dans un costume croque-mort. Evidemment, elle téléphone avec son mobile et parle en français branché. Elle vient de Casa, car l’engin y est immatriculé (selon notre expertise). L’objet le suivra dans son pays d’immigration qui n’est plus la médina de Fès, il se situe désormais entre Casa, Rabat et Marrakech, ou bien chargera-t-elle ses serviteurs hérités des colons français de lui livrer l’objet à domicile ?
En repartant, elle s’arrange pour que nous recevions un nuage de poussière et un jet de cailloux en pleine figure. Le croque-mort machin vêtu en noir n’est plus visible. Je n’ai pas eu envie de lui parler. Cela n’aurait servi à rien. Elle doit avoir peur des vrais hommes. C’est un problème d’ordre intime et relève de la psychanalyse à la fassie, pardon je veux dire à la fesse. Elle a peur qu’on lui prenne son homme, qu’on le viole avec le regard, qu’on le désire en rêve. Alors qu’elle le garde en attendant que le pauvre se réveille un jour et prenne sa revanche. C’est déjà arrivé au pays des merveilles du Makhzen.
Ce machin individu soi-disant écrivain illustre à lui seul toutes les bêtises ridicules des conneries des soi-disant écrivains émancipés à l’occidentale. Il utilise les services et les pages d’un journal de la place pour véhiculer des préjugés et des amalgames sur des communautés auxquelles il n’appartient pas ou pour régler ses comptes racistes et mesquins avec une petite communauté qui dépasse et surpasse la sienne par sa bravoure et son histoire millénaire…Tout ça juste pour faire parler de lui dans les salons fassis et parisiens et paraître ainsi émancipé à l’occidentale.
En effet, le choc des bêtises se remarque parfois dans des situations ridicules, des comportements odieux stupides insolents méprisants provoqués par la jalousie, l’arrogance et l’ignorance de certains soi-disant écrivains supposés éclaireurs des nations comme ce minable type !
Ce griffonné dégage une odeur nauséabonde enrobée de mépris et de jalousie qui cache un racisme primaire et insolent anti-rifain ! Quel rapport entre l’Afghanistan, les Talibans, le Maroc, le Rif, et les Rifains ?!
Il est tout à fait choquant de voir véhiculer autant d’amalgames et de clichés réducteurs par de simples mots ravageurs à travers les médias de masse par des soi-disant écrivains censés combattre ces préconçus.
Ce griffonné insidieux a atteint le niveau extrême de la stupidité et de l’absurdité, à vrai dire de la pure provocation! Il dévoile amplement la mauvaise foi intellectuelle de benJelloun et en découle le constat suivant : Ce monsieur souffre d’un complexe d’infériorité vis-à-vis des Occidentaux !
Citoyen
Réaction sur le blog aujourd’hui, nous nous sommes autorisés à la publier
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« Tahar Ben Jelloun est un auteur marocain talentueux et lucide. »
M. Ben Jelloun étant né à Fès le 1er décembre 1944, il est FRANCAIS…..
Mais ça ne retire rien à son talent et à sa lucidité, ni à votre billet, sauf pour cette « imprécision » de votre part.
Avez-vous Tariq Ramadan sur France 2 samedi soir ?
Après tout ce que j’ai pu lire et entendre sur lui, c’est la première fois que je le voyais s’exprimer sous le feu roulant de questions de MM Naulleau, Zemmour, Francis Huster etc…
Eh bien j’ai été agréablement surpris même si je n’ai pas adhéré à cent pour cent à ce qu’il disait.
Mais il me semble maintenant que je comprends un peu mieux pourquoi ce monsieur est tant diabolisé.
jf.
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