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 Mais il m’a exprimé sa vive satisfaction de la communication que je venais de lui faire. La lecture de la lettre de Votre Altesse du 21. Sep­ tembre, lui permettait en effet, d’après ce qu’il voulut bien me dire, de se rendre compte de la suite des diverses résolutions du Cabinet Impé­ rial, ainsi que des motifs qui l’avaient empêché d’adhérer pour sa part à la combinaison précitée.
АВПР, K-19.
d’Oubril
367.
СТРОГО ПОВЈЕРЉИВИ ИЗВЈЕШТАЈ УБРИА ГОРЧАКОВУ
Билов je истакао да ријечи коje je пренио маршал Мантојфел не остављају никакве сумње у погледу намјере њемачке владе, као што су и иначе поступци берлинское кабинета увијек одговарали да­ там увјеравањима. То je био случај с подршком указаном Нелидову у Цариграду и у Бечу, у вријеме мисије грофа Сумарокова, када je њемачка влада скренула озбиљно пажњу Аустрији на потребу њеног споразума с Русијом. Уосталом, њемачка влада ће ускоро пружити за то још један доказ, при чему je Билов мислио на прекид односа између Њемачке и Турске, уколико отпор Порте буде тај корак учинио неопходним.
Berlin, le 29. Septembre/11. Octobre 1876, 207.
Monsieur le Chancelier,
Je n’ai pas manqué de faire de suite, de Votre lettre très secrète du 21. Septembre, l'objet d’un entretien confidentiel avec le Secrétaire d’Etat.
Mon télégramme de ce jour, ci-joint en copie, en à déjà transmis un résumé complet à Votre Altesse. Il ne me reste que peu de mots à y ajouter.
Mr de Bülow releva en premier lieu dans notre entretien, que les paroles transmises par le Maréchal Manteuffel étaient des plus positives et si explicites (ce sont ses propres termes) qu'elles ne pouvaient laisser planer aucun doute sur les intentions du Gouvernement Allemand. Ces assurances avaient été confirmées par les communications dont avait été chargé Mr de Beckhem (?) à St. Pétersbourg.
En second lieu, le Secrétaire d’Etat appuya sur le fait que les actes du Cabinet de Berlin répondaient constamment à ces assurances. Tel avait été le cas à Constantinople, dans l’appui prêté à Mr Nelidow, et à Vienne lors de la mission du Général Comte Soumarokow, où les conseils étaient sans doute hors de question, mais où le Gouvernement allemand n'en avait pas moins appelé l’attention la plus sérieuse de l’Autriche sur la nécessité de son entente avec la Russie.
Les faits répondaient, donc, constamment aux assurances. Mr de Bü­ low espérait nous en donner prochainement encore de nouvelles preuves; allusion évidente à la rupture diplomatique des rapports de l’Allemagne avec la Turquie, que la résistance et l'aveuglement de la Porte pouvaient
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