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 Nouvelle démarche de notre part ne saurait rien y ajouter. Si autres Cours veulent en faire autant, cela dépend d’elles; mais doutons qu’elles réussissent mieux que nous; les choses sont déjà allées trop loin.
АВПР, K-91.
225.
ИЗВЈЕШТАЈ ШУВАЛОВА ЦАРУ АЛЕКСАНДРУ II
Скреће пажњу цару на разлике између усмених изјава лорда Дербија и неких тачака у ноти датој као одговор на руску, у којој говори о вјерској припадности устаника и о ставу Турске према зах- тјевима Црне Горе и Србије за територијалним проширењима.
Londres, le 19. Juin/1. Juillet 1876, 78.
Sire,
Je me permets de porter l'attention de Votre Majesté sur quelques uns des points de la note responsive que m’a remise le Principal Secré­ taire d’Etat de Sa Majesté la Reine, et de relever la différence que j’ai trouvée dans quelques autres entre ce que Lord Derby a dit et ce qu’il a écrit.
Votre Majesté remarquera en premier lieu le reproche indirect à notre adresse que contient le passage de la dépêche par lequel il est constaté que le Slaves appartenant à l’Eglise catholique romaine n’ont pas pris part au mouvement et n'ont pas eu à se plaindre d’exactions turques. L’insurrection serait donc soutenue du dehors et par des éléments appartenant à l’Eglise orthodoxe. Ceci est un argument que Lord Derby emploie pour la première fois et dont il n’a pas été question dans mes entretiens avec lui; je le considère comme une riposte au pas­ sage de la dépêche de Mr le Chancelier de l’Empire du 2/14. Juin où il est dit que l'unanimité des Cabinets qui avait seule pu contenir les pas­ sions en présence sur le sol de l’Orient, ayant fait défaut, une explosion était à prévoir et qu’elle ne s’était pas fait attendre.
Lord Derby semble se défendre plus loin d’avoir admis que si les Turcs se rendent maîtres de l’insurrection, il s’en suivrait un massacre de chrétiens. Il m’a développé de vive voix, et le réitère par écrit, que les renseignemens (sic!) reçus par le Gouvernement de la Reine sur les sentimens (sic!) de modération du nouveau gouvernement à Constantino­ ple et le ferme désir du Sultan d’accorder de larges réformes quand même, écarte de son esprit la possibilité de massacres. Il affirme donc qu’ils ne peuvent pas être la conséquence de succès obtenus par la Turquie et croit prématuré d’aviser à cette éventualité.
Le Principal Secrétaire d’Etat a omis dans ses considérations au sujet de l’autonomie la pensée qu’il m'a exprimée à deux reprises, et notamment que l’Angleterre, au point de vue de la politique générale, n’a pas d’objection contre des institutions autonomes en Bosnie et en Herzégovine.
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