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 avantages acquis par les Monténégrins. Vu l’impossibilité d'obtenir une démarcation régulière cette constatation unilatérale, mais internationale, pourrait y suppléer jusqu’à un certain point, et assurer au Prince Ni­ colas le fruit de l’héroisme (sic!) de ses braves guerriers.
А.ВПР, K.-31.
Nelidow
338.
ПОВЈЕРЉИВИ ИЗВЈЕШТАЈ УБРИА ГОРЧАКОВУ
О дипломатској активности између кабинета у вези с енглеским приједлозима, које je руска влада прихватила, дајући им предност пред оним које je формулисао Андраши. Аустро-угарски министар се плаши да се израз „локална аутономија", који je прилично неодре- ђен, не тумачи као политичка аутономија, на шта Аустро-Угарска не би пристала. Берлински кабинет je уложио велики напор да енглеске базе, које je Русија прихватила, учини прихватљивим и за Аустро- -Угарску. Билов je обавијестио Убриа да су се силе напокон споразу- мјеле око дефинитивне форме коју треба дати енглеским приједло- зима. На питање Убриа да ли ће се Вертер придружити корацима ко- ји ће бити предузети у Цариграду у корист мира Билов je одговорио да ће он то учинити ако Нелидов добије од руске владе такво овла- шћење.
Berlin, le 12/24. Septembre 1876, 189.
Monsieur le Chancelier,
Les pourparlers de ces derniers jours, entre les différens (sic!) Cabinets, ont porté sur les bases anglaises auxquelles le Cabinet Impé­ rial avait adhéré de son côté de préférence aux proposition, du Cte An- drâssy.
Il s’est fait tout un travail par télégraphe, pour amener d’autre part le Ministre austro-hongrois à l’acceptation du programme de Lord Derby.
C’est la dernière partie de ces proposition qui offusquait, parait-il, le Comte Andrâssy. Le mot »d’autonomie locale« lui semblait trop vague. Il désirait le voir précisé de manière à éliminer toute portée politique et à y rattacher les bases de sa note du 30. Décembre, ainsi que le mé­ morandum de Berlin.
Mr de Bülow a été très réservé vis-à-vis de moi dans ses renseigne- mens (sic!) sur les pourparlers entrepris entre les différens (sic!) Cabi­ nets, en vue d'amener une entente de toutes les Puissances sur la base des propositions anglaises.
Le Cabinet de Berlin s'y est prêté de son côté, paraît-il, dans l’in­ tention évidente de concilier les divergences existantes et de faire ac­ cepter le programme de l’Angleterre, admis par nous, en le rendant éga­ lement acceptable pour l’Autriche.
Mes renseignemens (sic!) indirects, puisés à des sources dignes de fois me le font du moins supposer. Je m'en suis entr’autres convaincu par les télégrammes adressés à mon collègue d’Italie, et ses entretiens
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