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 et en le faisant participer à notre oeuvre de paix, nous lui donnons des facilités pour faire valoir auprès des Turcs le prix de sa coopération. Mais si l’on demandait maintenant de couronner l’édifice en lui faisant obtenir des concessions territoriales; si, au bout de notre action com­ mune, devait surgir la question de Nikschitch, que diraient les Slaves autrichiens, eux qui déjà m’accusent de n’avoir pas saisi l’occasion de leur annexer la Croatie turque et dont les clameurs ne sont impuissantes qu’en tant que je puis me baser sur une attitude de désintéressement gé­ néral? Ils diraient qu’en Russie on a sacrifié l’amitié pour l’Empereur de l’Autriche à des sympathies pour le Prince du Monténégro et que le Comte Andrâssy a servi des prédilections étrangères aux dépens des intérêts plus directs de la Monarchie. Ce serait Essaü abandonnant son droit d’aînesse pour un plat de lentilles«.
Le Ministre des Affaires Etrangères m'exprima l’espoir que Votre Altesse voudra bien, dans Son équité, prendre ces argumens (sic!), le dernier surtout, en mûre considération. Que le Prince Nicolas réussît à se faire payer spontanément son concours par les Turcs, — il ne di­ rait pas non, il en serait même content, car au fond ce Prince y avait plus de droits que le Gouvernement Serbe; mais le Ministre ne pourrait ni appuyer à Constantinople ni faire espérer à Cettigné des avantages matériels pour la Montagne Noire, et si la démarche qu’il avait sollicitée à St. Pétersbourg, celle d’inviter le Prince Nicolas à soutenir le plan des alliés auprès des insurgés, ne pouvait avoir lieu inconditionnelle­ ment, il aimerait mieux qu’elle n’eût pas lieu du tout, pour ne pas consti­ tuer dans ces parages fût-ce la moindre nuance de désaccord entre la Russie et l’Autriche.
АВПР, K-126.
132.
ИЗВЈЕШТАЈ ЈОНИНА ГИРСУ
О разговору ca генералом Јовановићем поводом сусрета генерала Родића са устаничким првацима у Суторини и замјеркама Koje je необавијештена руска дипломатија имала на неке Родићеве изјаве.
Рагуза, 8/20 апреля 1876 года, 162.
В русской, а также в иностранной прессе производит большое впечатление, что генерал Родич, говоря с инсургентами и стараясь их убедить в необходимости положить оружие, упомянул и о России, что та также не в состоянии была бы им помочь, и даже, как сооб­ щают корреспонденты, например, „Русского мира" и „Wiener Tagblatt" что та уже раз была побита турками.
Что нечто подобное было сказано, меня уверяли со всех сто­ рон, а с другой стороны, австро-венгерский кабинет, кажется, опо- верг это известие.
Считаю долгом донести вашему превосходительству о том, чтб именно могло дать повод приписывать генералу Родичу вышеупомя­ нутые слова, и мне кажется, что я могу поручиться в верность сооб­ щенного мне.
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Novikow























































































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