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само у изводима, па je чак било одређено и како ови треба да изгле- дају. Одједном, они се јављају објављени у цјелини у Плавој књизи. Андраши сматра да je у то умијешан Бојст, незадовољан што ниje именован за амбасадора у Паризу. Y Бечу осуђују држање торијев- ског кабинета који сматра да има монопол на политичко предвиђање jep je стално истицао потребу неинтервенисања и предви- ђао као неизбјежан судар који je наступио између књажевина и Тур- ске. Орци истине да je управо британска влада својим ставом убр- зала експлозију. Деказ je у разговору с аустро-угарским амбасадо- ром у Паризу изнио да га стерилност негативне улоге бри- ганске владе, која je одбацила берлински меморнадум, не предлажу-
ћи умјесто њега никакав други пројекат, управо и навела да му он приступи.
Vienne, le 3/15. VIII 1876, 150.
Mon Prince,
Les publications du Livre Bleu au sujet de la question d’Orient ont paru indiscrètes à la Chancellerie d'Etat.
L’Ambassadeur d’Autriche-Hongrie à Londres avait reçu des com­ munications de son Gouvernement sous la réserve expresse qu’elles ne seraient pas livrées à la publicité autrement que sous forme d’extraits dont les termes mêmes avaient été précisés.
Au lieu de cela on les a vu paraître dans le Livre Bleu.
Le C,e Andrâssy m’a avoué qu’il ne croyait pas Mr de Beust étranger à la manipulation suspecte de ces documents, en vue de lui créer des embarras, et il attribue la conduite de ГAmbassadeur à la vive contrariété qu’il aurait éprouvée de n’avoir pas été nommé à Paris.
En tout cas, m’a-t-il dit, il faudra redoubler de circonspection dans les ouvertures qu’on fait aux Anglais.
On est surtout indisposé ici de la tendance manifestée par le Cabi­ net Tory à réclamer le monopole de la prescience politique en ce que seul, il aurait invariablement maintenu la nécessité de la non-interven­ tion et prévu comme inévitable le choc qui vient de se produire entre les Principautés et la Turquie.
Or, — m'a fait observer le Bon Orezy, — le Gouv‘ Britannique oublie qu’il a contribué par son attitude à accélérer l’explosion. Mr le Duc Decazes en a fait dernièrement l’aveu à l’Ambassadeur d’Autriche en ajoutant qu’il avait trouvé, dans la stérilité du rôle négatif du Cabinet de
St. James déclinant le mémoire de Berlin sans y substituer un projet quelconque, — la meilleure justification de son propre empressement à y adhérer.
Dans le même ordre d’idées le Comte Andrâssy vient de me signa­ ler, comme un désaveu passablement naïf de cette non-intervention si prônée à Londres, l’intention des Ministres anglais de déléguer un Géné­ ral dans le camp turc pour y contrôler la conduite des troupes. Et que dirait l'Angleterre, ajouta-t-il, si la Russie et l'Autriche envoyaient, elles aussi, des généraux ad hoc?
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