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овоме скренуо пажњу на тешкоће на коje ће код Порте наићи услови означени у мемоару књаза Николе за спровођење у живот примир- ја и који ће свакако учврстити Енглеску у ставу који je већ заузела по том питању. Насупрот устаницима који сматрају да ће примирје користити искључиво Турцима ако не буде пропраћено извјесним га- ранцијама, Енглези су увјерени да ће наметнуто двомјесечно примир- је преко љета само деморалисати отоманске трупе и исцрпсти Порту због потребе њиховог снабдијевања, док ће хришћани лако наћи у сусједству довољне изворе да ојачају своје снаге. На Андрашијеву напомену да ће, у случају да ce примирје не оствари, бити тешко за- држати сусједне књажевине у неутралности, британски кабинет je одговорио да ће за Турке бити олакшање да та лажна неутралност уступи мјесто отвореној борби са Србима, а поготову Црногорцима, који већ и онако воде с Турцима прикривени рат.
Budapest, le 15/27. Mai 1876, 105.
Sire,
Invité à Berlin par le Comte Andrâssy à venir le rejoindre à Pest, le Président du Sénat Monténégrin Bojidar Pétrovitch se trouve dans cette dernière ville depuis une couple de jours.
Les nombreuses occupations du Ministre des Affaires Etrangères, obligé non seulement à défendre devant les Délégations le budget de son propre département mais aussi celui du Ministère de la Guerre dont le Chef est absent pour cause de maladie, n’ont pas encore permis un échange d’idées suivi entre lui et Monsieur Pétrovitch.
Toutefois le Comte Andrâssy a déjà fait ressortir aux yeux de l’envoyé monténégrin les difficultés que rencontreraient auprès de la Porte les conditions indiquées dans le mémoire du Prince Nicolas pour la mise en oeuvre de l’armistice et que viendrait (sic!) incontestablement renforcer l’attitude adoptée par l’Angleterre dans cette question.
En effet, contrairement aux insurgés qui considéreraient la trêve comme exclusivement favorable aux Turcs si elle n’était entourée de certaines garanties, les Anglais l’envisagent plutôt au point de vue opposé, en soutenant qu’une suspension d’armes forcée pendant deux mois de l’été ne pourrait que démoraliser les troupes Ottomanes et épuiser la Porte par les nécessités du ravitaillement, tandis que les Chrétiens trouveraient dans un voisinage ami des ressources suffisantes pour reprendre des forces.
Entre deux appréciations si diamétralement contraires, un compro­ mis n'est guère à espérer.
Il y a plus: Le Comte Andrâssy ayant fait valoir aux yeux du Cabinet de St James combien il serait difficile, dans le cas où l’armistice ne se réaliserait pas, de maintenir les Principautés voisines dans les voies de la neutralité, il lui fut répondu que ce serait plutôt un soulagement pour la Porte que cette fausse neutralité fît place à une lutte ouverte avec les Serbes et surtout avec les Monténégrins qui déjà faisaient une guerre sourde aux Turcs.
АВПР, K-126. Novikow
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