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Réduits aux abois les Ministres Turcs se montrent favorablement disposés même pour un arrangement qui n’offriraiit qu’en soulagement momentané.
Le groupe de financiers qui recommande l’emprunt de 125 millions désire, comme garantie, prendre en ferme les ressources du Trésor af­ fectées au service de la dette. Mais ce service qui comprend d’après le tableau du Ministre des finances 7,000.000 de livres pour le coupon ré­ duit, serait augmenté de la dette flottante, — dette que l’emprunt en question est destiné à consolider également. Celle-ci se compose de 10,000.000 de livres, avec 2,000.000 de pourcents et de 5,000.000 de livres sans intérêts. Il s’agirait donc de trouver un et demie (sic!) ou deux millions de ressources annuelles supplémentaires. Or, le Grand Vézir déclare que l’Empire ne saurait affecter au service de la dette plus de 8,000.000 de livres sur les revenus de l’année. Il ne veut pas en outre remettre entre les mains d’une compagnie étrangère l’administration des finances ni aliéner les autres taxes qui servent de garantie aux emprunts. La combinaison qui, le cas échéant, pourrait peut-être pré­ valoir quant à cette dernière matière est celle d’une régie co-intéressée entre le Gouvernement et l'association des capitalistes.
Mahmoud Pacha continue à prétendre que le coupon d’Avril sera payé, mais il lui sera assez difficile de tenir cette promesse.
АВПР, K-27.
N. Ignatiew
95.
ИЗВЈЕШТАЈ ШУВАЛОВА ГОРЧАКОВУ
Откако je прихватила препоруке Андрашијеве ноте, изгледа да je Енглеска постала незаинтересована за даљи развој кризе на Исто­ ку, док се остале силе живо баве компликацијама у Босни и Херце- говини. Такав став Енглеске не дозвољава да се претпоставља какве би одлуке донијела британска влада ако би упорност устаника до­ вела до нових компликација.
Londres, le 4/16. Mars 1876, 29.
Monsieur le Chancelier,
Mr Villamow m’a remis hier soir l'intéressant dossier de pièces diplomatiques que Vous m’avez fait l’honneur de m’adresser.
J’ai eu à peine le temps de le parcourir, mais je tiens à constater dès à présent l’impression que j’en ai retirée.
Tandis que l’Europe toute entière, et plus particulièrement les trois cours du Nord, sont vivement préoccupées des complications en Bosnie et en Herzégovine, l’Angleterre semble ignorer une situation si grosse de dangers et ne prendre aucun intérêt au développement ulté­ rieur de la crise en Orient.
En effet, depuis que le Cabinet Anglais a adhéré à la note du Comte Andrâssy, les hommes d’Etat, aussi bien que la presse de ce pays, ont voué leur attention exclusive aux affaires intérieures. Le titre
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