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De gauche à droite, et en partant du sommet de l'empilage :
- carte MIDI (1)
- carte sonore utilisant les 2 excellentes puces sonores du Commodore 64 (2)
- carte palette 4096. Chacune des 16 couleurs peut être librement choisie parmi 4096. Elle utilise un EF9369. Un bit d'attribut supplémentaire permet en outre de faire clignoter les couleurs. (3)
- étage de sortie audio pour les sorties d'origine du DAI ; ceux-ci étaient intégrés à la carte mère et fortement bruités, une fois branchée sur un ampli HIFI la sortie son était pleine de grésillements affreux. En changeant l'étage sur cette platine déportée avec une alimentation "propre", plus aucun bruit ! (4)
- étage de coupure de la sortie "noise" d'origine du DAI ; même avec un volume à 0, il restait du souffle, le circuit était mal conçu à l'origine. Avec cette carte Pascal Janin court-circuitait la sortie "noise" à la masse pour le volume à 0, effet radical ! (5)
on voit aussi un condensateur d'antiparasitage (6) monté sur un domino (7) sortant de l'alimentation (8) : c'est là que Pascal branchait un ventilateur (commuté par l'interrupteur 220V général) pour refroidir le tout.
la nappe venant de la carte floppy (9) cache le connecteur pour les caractères programmables, venant directement du circuit ROM dans l'étage vidéo, qui tient par une pièce de meccano à cheval sur les 2 grandes ailettes du radiateur (10). Pascal avait aussi déporté le gros transistor principal sur l'emplacement TO3 pré percé du radiateur (on le distingue juste au-dessus de la nappe XBUS) (11).
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