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Prince Nicolas avait déjà rendus dans l’intérêt de cette cause, excluaient, quant à lui, tout oupçon de l’avoir trahi. L’avantage de Son Altesse était bien plutôt de raffermir son excellente position acquise auprès des Puissances et qui tôt ou tard porterait ses fruits, d’autant plus que la Serbie n’était pas sûre, qu'en 1862. elle avait faussé compagnie au Monténégro et qu’aujourd’hui encore un veto des Puissances pourrait forcer. M. Ristitch et consorts à faire taire leurs ardeurs belliqueuses.
D'autre part, en causant incidemment avec le Comte Andrâssy, j’ai pu constater l'intérêt qu’il porte à l’avenir du Monténégro. Il m’a répété qu’engagé confidentiellement par Rachid-Pacha, avant l’entrevue de Ber­ lin, à faire intervenir le Prince Nicolas en qualité d’intermédiaire paci­ ficateur, il avait puisé dans cette demande spontanée des Turcs le droit de réclamer à son tour en faveur de Son Altesse le prix du concours efficace qu’Elle serait dans le cas de nous apporter.
Reste à savoir si les dispositions manifestées par le Ministre des Affaires Etrangères de Turquie persisteront sous le nouveau règne.
АВПР, K-126.
Novikow
191.
ИЗВЈЕШТАЈ УБРИА АЛЕКСАНДРУ II
Њемачка je сагласна да ce признање новог султана обави пре- дајом идентичних нота од стране амбасадора сила у Цариграду, а по­ том би турска влада требало да упути нове акредитиве својим пред- ставницима. Првобитно je било договорено да се демарш пет сила у Цариграду одгоди за неко вријеме, како би се турској влади омогу- ћило да заузме свој став. Како турска влада, међутим, намјерава да устаницима одобри примирје од шест недјеља, не помињући ни обе- ћане реформе ни прихваћене обавезе, Горчаков je предложио да се одмах приступи том кораку. Убри je о овом обавијестио Бизмарка, а Горчакову ће доставите одговор берлинског кабинета чим му буде саопштен.
Berlin, le 24. Mai/5. Juin 1876, 116.
Sire,
Mes télégrammes à Monsieur le Chancelier de l’Empire ont repro­ duit les résolutions successivement prises par le Cabinet de Berlin dans les affaires d’Orient.
Le Prince de Bismarck est revenu sur les entrefaites du Lauenburg. Il a eu hier son travail avec Sa Majesté. Nous étions convenus avec Mr de Bülow, qui s'est rendu pour deux jours à la campagne, qu’il me ferait parvenir par Mr de Radowitz les réponses que j’attendais à nos der­ nières communications.
Je viens. Sire, de mander au Prince Gortchakow:
1°) que l’Allemagne est d’accord quant à la reconnaissance du nou­ veau Sultan, d’y procéder par des notes identiques de nos Ambassadeurs à Constantinople, qui prendraient acte de la notification de Rachid Pa­ cha. La Turquie aurait ensuite à régulariser sa position par l’envoi de
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